Michel POTTIER a fini ce matin de faire place nette au pied du mur à percer :Il ne sait pas me dire l'ancienneté des tomettes qu'il a arrachées. Ceci dit, compte tenu de ce que je crois comprendre de la psychologie de mon prédécesseur des années 1950, j'imagine que c'était un produit neuf à l'époque :Quant aux deux autres "PICAULT", ils étayent le mur avant ce percement :J'ai bien sûr demandé au chef d'équipe, Nicolas, de me signaler toute discontinuité de la maçonnerie qu'il apercevrait dans l'épaisseur du mur. Celle-ci suffirait à prouver la justesse de mon hypothèse selon laquelle les trous de colombe des deux étages du bas du colombier auraient disparu lors d'un changement des parements intérieurs destiné à rendre ces deux niveaux bas habitables au XVIIIème siècle. A ce stade de ce chantier, Nicolas me dit qu'il ne détecte rien de tel :
Hélas, je ne pourrai pas contrôler moi-même ce chantier au cours des deux prochains jours car je circulerai entre notre manoir favori, Paris et Alençon pour m'assurer que le déménagement du mobilier de ma mère se passe bien.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 19 Septembre 2018
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Aile "de la belle-mère"
rédigé le Mercredi 19 Septembre 2018
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Aile "de la belle-mère"