Message #43870

Depuis quatre mois, j'en ai beaucoup bavé entre la désertion en rase campagne de mon aîné et l'incapacité persistante de Carole, quand elle ne me complique pas l'existence, de répondre à la moindre question d'ordre financier. Heureusement pour moi, dans un contexte aussi pesant et paralysant, j'ai gardé le nez dans le guidon et continué à pédaler.

Or, comme je l'indique depuis quelques jours, je sens que j'approche de la sortie de ce tunnel. Enfin !

J'ai donc pris quelques résolutions relatives à notre chantier favori :

1 - Je vais changer prioritairement les solives et les planches de chêne du plafond des écuries, de manière à disposer à l'étage d'un espace adéquat pour entreposer tous les meubles et objets qui me gêneraient dans la restauration du logis et de l'aile de la belle-mère. Les planches actuelles sont vermoulues et dangereuses...

26 mars 2017.

26 mars 2017.

... (...) :

26 mars 2017.

J'attends qu'enfin il me rende ces parts de S.C.I. (...).

2 - Je vais faire sauter les frisettes de pin qui décorent, dans le colombier, le plafond des chambres du 1er et du 2ème étage...

26 mars 2017.

... mais attendre sans doute un peu pour procéder de même au plafond du salon de l'aile de la belle-mère :

26 mars 2017.

De la sorte, j'aurai les mains libres pour incorporer des isolations thermiques aux plafonds ainsi purifiés.

3 - Dès que j'aurai évacué le 1er étage du logis et ses combles de tout le fatras qui les encombre actuellement, je ferai sauter le plancher de la chambre des parents ainsi que sa "cheminée de Mebzon" et je pourrai isoler convenablement les plafonds des pièces du rez-de-chaussée.

4 - Concomitamment, il ne faudra pas tarder pour drainer les pieds de divers murs, à l'Ouest du manoir et dans la cour. Donc je vais devoir faire transplanter prioritairement toutes les fleurs des plates-bandes : il n'est que temps de s'en préoccuper si je ne veux pas perdre un an de plus.

Sur un plan général, et quant à l'esprit de ces interventions, mon vœu est de mettre en valeur la manorialitude des lieux. Donc plus de matériaux (...) nulle part et plus de cloisonnements (...), ni à l'étage des écuries, ni dans la "pièce dévastée". De même, je ferai en sorte que du lit de la chambre du 2ème étage du colombier, on voie enfin la charpente dans toute sa beauté.

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