Maçonnerie-carrelage

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 14 Septembre 2018
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Aile "de la belle-mère"
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Discutant hier avec "l'un des PICAULT", je lui ai indiqué que j'envisageais de rehausser le sol du rez-de-chaussée de l'"aile de la belle-mère" en y disposant un dallage de granit qui avait servi dans une laiterie. Il m'a mis en garde contre l'acidité des excréments des vaches qui a pu en corroder la patine. C'est là un point auquel je n'ai pas prêté une attention suffisante lors de ma première visite chez le vendeur. Pour ce seul motif, il faudra donc que je retourne dans le Nord-Cotentin, ce qui, au demeurant, est toujours un plaisir pour moi.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 14 Septembre 2018
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Aile "de la belle-mère"
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Voici l'état de la cuisine-provisoire-qui-dure en début de journée, au retour des "PICAULT" :

14 septembre 2018.

14 septembre 2018.

14 septembre 2018.

14 septembre 2018.

Nicolas, le chef d'équipe (qui ne veut pas être reconnaissable sur notre site favori), m'a appris que le colombier ne serait pas rectangulaire, comme je le croyais, mais aurait une forme de "losange" (je crois qu'il veut dire de parallélogramme puisqu'il est clair que ses deux dimensions principales sont différentes). Il choisit pourtant de poser ses poutrelles de béton dans le sens de la longueur parce que, m'explique-t-il, il serait gêné autrement par les linteaux de la porte et des deux fenêtres Ouest. L'argument me paraît valable.

Les "PICAULT" ont donc commencé ce matin à préparer le terrain pour la pose des poutrelles de béton, en entamant en particulier le linteau de béton de la porte du passage vers le "salon de la belle-mère" voisin (linteau datant, comme vous vous en doutez, des années 50) :

14 septembre 2018.

14 septembre 2018.

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Dans la cuisine-provisoire-qui-dure, enlèvement ce matin de la poutre du fond (celle qui avait été attaquée par la mérule) ; (...) est aux commandes, assisté d'Igor (et un peu de moi) :

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

Après une dernière concertation, nous décidons de tronçonner la partie malade :

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

Voici le trognon tronçonné :

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

Une fois jeté à terre d'une hauteur de 50 cm, il éclate, ...

15 septembre 2018.

... ce qui confirme qu'on a bien fait de s'en séparer pour faciliter la manœuvre de la poutre en limitant les interventions en maçonnerie :

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

Voici les trous qu'il reviendra à Igor de boucher :

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

La sortie de cette première poutre se passe sans encombres :

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

Dans l'immédiat, cette première poutre est remisée à l'abri, au fond de la charretterie.
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En cette après-midi, le problème posé par la deuxième poutre à retirer apparaît plus ardu que celui de ce matin. Cette poutre me paraissant saine, j'exclus en effet d'en tronçonner une extrémité.

15 septembre 2018.

Or (...) renâcle à l'idée d'élargir le trou dans la maçonnerie sous le linteau du fenestrou :

15 septembre 2018.

Dès lors, il n'y a plus qu'une solution : traverser le mur !

Pendant que nous nous livrons à ces cogitations, Igor bouche les trous laissés dans la maçonnerie par la première poutre (et quelques autres) :

15 septembre 2018.

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Au rez-de-chaussée du colombier, les murs ont 80 cm d'épaisseur. Or la seconde poutre était engagée dans la muraille sur la profondeur de 60 cm du côté Ouest et sur 40 cm du côté de la cour.

Comme indiqué dans le message précédent, notre idée était de percer le mur sur cour pour y couler la poutre, en quelque sorte par reptations successives :

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

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15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

Mais il est vite apparu que, compte tenu du poids de la poutre (3 bons quintaux) et des instruments disponibles pour la manipuler, la chose serait impossible.

Donc changement de plan : après avoir sorti la poutre de son logement Ouest, on allait la faire tourner vers le fond de la pièce tout en faisant progressivement descendre son extrémité Ouest, ceci en évitant de casser la fenêtre Sud-Ouest.

Plus facile à dire qu'à faire :

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

C'est notamment là que je suis intervenu physiquement. Je ne prétendrai pas que cette contribution fut essentielle mais je me retrouve quand même ce soir avec le dos bloqué et une crampe à un mollet :

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

Arrivé à ce stade, le "Valtra" nous a été très utile :

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

15 septembre 2018.

Au total, quand je compare ce que m'aura coûté le récurage du plafond de la cuisine-provisoire-qui-dure au devis, sur les mêmes postes (planches, solives et poutres), de l'intervention des "PICAULT", je me dis que j'avais dû signaler à Vincent PICAULT que j'envisageais de confier ces tâches à (...) et Igor. En d'autres termes, le malin a dû y penser pour dégager sa marge ailleurs.

Cela m'apprendra d'être aussi bavard...
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A ceux qui douteraient encore de l'opportunité de substituer un plafond de béton aux poutres, solives et planches de l'appareillage antérieur, je donne mes arguments à mon sens les plus probants :

- avec le dispositif antérieur, la grosse poutre (la seconde retirée cette après-midi) était entre 192 et 198 cm au-dessus du sol (cet affreux carrelage bas de gamme des années 50), alors même que celui-ci se trouve 13 cm au-dessous du seuil d'entrée dans la pièce ; autant dire que l'ambiance était oppressante, outre que ladite poutre ne pouvait que raboter les crânes de ma descendance à tendance dégénérative marquée (du moins selon moi) ;

- le nouveau plafond en béton devrait être 232 cm au-dessus du sol ainsi abaissé stupidement dans les années 50, donc 219, vraisemblablement, au-dessus du niveau prochainement rehaussé (cf problématique des dégâts des eaux récurrents de l'"aile de la belle-mère"). Si l'on ajoute que ce nouveau plafond sera blanc, je pense qu'on pourra respirer sereinement dans ce volume destiné à abriter des locaux techniques.

CQFD
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 17 Septembre 2018
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Ferronnerie - Logis - Aile "de la belle-mère"
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Il résulte de mes échanges de ce soir avec (...) que les dalles de granit (que je retournerai voir demain) doivent être taillées pour ne pas avoir plus de 4 cm d'épaisseur si l'on veut ne pas trop entraver le chauffage par le sol.

(...) m'a signalé les dallages de schiste de l'abbaye d'Hambye...

... et celui de l'abbaye de Saint-Sever :

A première vue, je préférerais le schiste aux tons chauds (et des deux exemples le premier). (...) m'indique qu'à son avis, tous ceux-ci seraient trop rustiques pour notre manoir favori. Il me semble néanmoins qu'ils pourraient convenir pour le rez-de-chaussée de l'aile de la belle-mère (au moins pour le rez-de-chaussée du colombier et pour ce qu'(...)appelle, sur son plan du 19 juillet dernier, le "sas monte-plat").

Par ailleurs, il est prévu qu'après-demain (...), Sébastien LEBOISNE et moi nous rendions chez "Fermanoir", du côté d'Angers, pour choisir les modèles des ferronneries pour la tranche 1 des menuiseries extérieures du logis (porte et fenêtres).

Je signale au passage que, malgré de nombreux essais pour le joindre (y compris en laissant des messages téléphoniques à son domicile ou en lui écrivant à son atelier), je suis sans nouvelles directes de Roland FORNARI. Il est possible qu'il boude. A moins qu'il n'ait décidé de raccrocher son tablier. Si c'est le cas, je trouve qu'il aurait pu me prévenir et me recommander un successeur.

P.S. (du 18 septembre 2018) : Le rendez-vous chez "Fermanoir" est repoussé d'une semaine.

(...), à qui je faisais part de mes préférence, corrige les indications précédentes :
- les photos 1 et 3 ont été prises à Hambye ; ce sont des dallages anciens de récupération ;
- la photo 2, d'un dallage neuf, a été prise à Saint Sever.

Je confirme que mon préféré est le 1 et celui que j'aime le moins le 2. Bravo Mme BECK (propriétaire de Hambye), vous avez fait le meilleur choix !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 17 Septembre 2018
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Aile "de la belle-mère"
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Vincent PICAULT m'a déclaré que, pour éviter que la dalle se fissure, il fallait percer le nouveau passage entre le colombier et le "sas monte-plat" avant de couler le béton au plafond de la cuisine-provisoire-qui-dure.

A ce sujet, celle-ci devra changer de nom rapidement car j'ai demandé à (...) de transporter dans le bâtiment Nord (dans l'ex et future cuisine) l'électro-ménager et les autres "impedimenta".

Tout ceci confirme que restaurer un tel monument pousse à vivre en nomade...
("Agir en primitif et prévoir en stratège", comme l'a dit le poète.)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 19 Septembre 2018
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord
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Hier après-midi, alors que les "PICAULT" poursuivaient la préparation du chantier du plafond que l'on sait ou commençaient à percer le mur entre le colombier et le "salon de la belle-mère" selon le projet d'(...), ...

18 septembre 2018.

18 septembre 2018.

18 septembre 2018.

... Michel POTTIER a essayé de récupérer les tomettes dudit salon. Hélas, elles avaient été collées à la dalle et jointoyées avec un ciment très dur :

18 septembre 2018.

Donc tout devra partir à la décharge, ...

18 septembre 2018.

...ce qui est le sort commun, ici, de toutes les initiatives de mon prédécesseur des années 1950 : l'animal aura vraiment tout raté sans exception.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 19 Septembre 2018
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Aile "de la belle-mère"
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Michel POTTIER a fini ce matin de faire place nette au pied du mur à percer :

19 septembre 2018.

Il ne sait pas me dire l'ancienneté des tomettes qu'il a arrachées. Ceci dit, compte tenu de ce que je crois comprendre de la psychologie de mon prédécesseur des années 1950, j'imagine que c'était un produit neuf à l'époque :

19 septembre 2018.

19 septembre 2018.

Quant aux deux autres "PICAULT", ils étayent le mur avant ce percement :

19 septembre 2018.

19 septembre 2018.

J'ai bien sûr demandé au chef d'équipe, Nicolas, de me signaler toute discontinuité de la maçonnerie qu'il apercevrait dans l'épaisseur du mur. Celle-ci suffirait à prouver la justesse de mon hypothèse selon laquelle les trous de colombe des deux étages du bas du colombier auraient disparu lors d'un changement des parements intérieurs destiné à rendre ces deux niveaux bas habitables au XVIIIème siècle. A ce stade de ce chantier, Nicolas me dit qu'il ne détecte rien de tel :

19 septembre 2018.

19 septembre 2018.


Hélas, je ne pourrai pas contrôler moi-même ce chantier au cours des deux prochains jours car je circulerai entre notre manoir favori, Paris et Alençon pour m'assurer que le déménagement du mobilier de ma mère se passe bien.
Le 23 mars dernier, nous vous avions présenté la carrière, mais de loin ! Aujourd'hui, nous sommes sur les lieux, en voici à nouveau l'historique...
Le domfrontais, au début du XXe siècle, était essentiellement un monde rural. La phase industrielle débute avec, entre autres, la carrière du tertre Sainte Anne en 1911, située sur la commune de la Haute Chapelle et exploitée par Marc Le Chippey . La roche, utilisée pour la fabrication de pavés, est extraite par une quarantaine de carriers.
Face à cette extraction, les élus s’inquiètent sur le devenir du site et obtiennent son classement en 1924. La carrière cessera son activité en 1956.
Elle est aujourd'hui masquée par la végétation et la voie ferrée qui la desservait (Caen-Laval) a disparu au profit de la voie verte !


N.D.L.R. : Aujourd'hui, quand on veut changer le revêtement des rues, on doit importer les pavés d'Inde ou de Chine ou les imiter avec un produit caoutchouteux qui ne durera pas, suivez mon regard... Alors que nous demeurons à un extrémité du massif armoricain dont les grès ont gardé toute la saveur du terroir.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 25 Septembre 2018
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Aile "de la belle-mère"
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Le chantier hier matin, à l'heure de mon départ pour Angers. Je note l'emplacement résiduel des tubes avant le coulage du béton :

24 septembre 2018.

24 septembre 2018.


Le chantier, hier soir, à l'heure de mon retour :
- les poutrelles ont été livrées :

24 septembre 2018.

24 septembre 2018.

- le mur sur cour a été étayé pour résister à la pression du béton qui va être coulé pour former le nouveau passage :

24 septembre 2018.

- les coffrages du passage sont en cours de finalisation :

24 septembre 2018.

24 septembre 2018.

24 septembre 2018.

Sur le mur Sud du colombier, rien n'a changé depuis le matin :

24 septembre 2018.

A mon étonnement, "les PICAULT" n'ont pas repassé la tête de la journée sur notre chantier favori.

Plus préoccupant, Christian, qui s'amuse, semble-t-il, à rester sourd à mes appels téléphoniques, n'a pas donné le moindre signe de vie ni avancé dans les tâches que je lui avais signalées comme prioritaires. Il semble avoir quelques difficultés à intégrer son nouveau statut de salarié. Afin d'éviter la dégradation du climat entre nous, je pense que nous n'échapperons pas à la pose d'un pointeur pour enregistrer ses temps de présence. Je n'ai en effet aucune vocation de garde-chiourme mais je trouve qu'après l'alerte de juillet, il est temps de siffler la fin de la récréation.
Après un invraisemblable parcours dû au dispositif GPS de la "Twingo" qui, à l'évidence, déconne à pleins tubes, j'ai fini par arriver, hier peu avant midi, aux Rairies, près d'Angers, plus précisément à l'usine de "Rairies Montrieux".

Sur un panneau d'exposition, j'ai tout de suite repéré des modèles de tomettes qui m'ont paru intéressantes :

24 septembre 2018.

Puis j'ai parcouru les rayonnages où sont présentés les fins de série et les articles déclassés :

24 septembre 2018.

24 septembre 2018.

Enfin, j'ai été abordé par le dirigeant et propriétaire de l'entreprise, M. MONTRIEUX, représentant de la 7ème génération de briquetiers de sa famille, qui m'a fait entrer dans un four à bois en cours de déchargement (il m'a ainsi expliqué les différences de couleurs des produits finis)...

24 septembre 2018.

... puis fait parcourir ses ateliers (je me suis étonné de la couleur très foncée de la terre broyée)...

24 septembre 2018.

24 septembre 2018.

... avant de m'entraîner à sa cantine favorite où nous avons très bien déjeuné.

J'ai indiqué que je pourrais me porter acquéreur de tomettes de dimension 11x11 des modèles "Anjou" (notamment "Valanjou" et "Chambellay") pour des surfaces de 40, voire 100 ou même 200 m2 pour commencer. J'ai ajouté que je ne voulais pas de tomettes présentant des traces de cendre de bois (c'est-à-dire de striures disgracieuses selon moi).

Il m'a dit que le prix serait de 45 €/m2, avec un manque de sensibilité à la surface qui m'a laissé quelque peu perplexe.

J'avais pensé, dans la foulée, aller voir de petits potiers que m'avait recommandés William BOVE (neveu de Carole), à Fuillet et Saint-Léger-sous-Cholet. Mais je n'en ai pas eu le temps cette fois-ci, de même que d'aller voir son père, Dominique BOVE, pour contempler ses installations de chauffage par géothermie profonde. Il faudra que je m'organise mieux une prochaine fois.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 26 Septembre 2018
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Aile "de la belle-mère"
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Pas facile pour moi de suivre notre chantier favori ces jours-ci alors que je dois m'absenter aussi souvent.

Ce matin, "les PICAULT" m'apprennent qu'ils sont venus hier matin couler le béton des côtés du passage entre le colombier et le salon de l'"aile de la belle-mère". Il viennent juste de le décoffrer :

26 septembre 2018.

26 septembre 2018.

26 septembre 2018.

26 septembre 2018.

26 septembre 2018.

J'observe l'épaisseur de la dalle dans l'ex-"salon de la belle-mère" (et dire qu'il faudra sans doute faire sauter tout ça, sans chance de récupérer la moindre tomette)...

26 septembre 2018.

... et je note que le bois de la première travée de l'escalier est vermoulu (au moins au niveau de la première marche) :

26 septembre 2018.

Il ne reste plus qu'à couler le linteau de ce passage :

26 septembre 2018.

Nicolas et "Gillou" commencent à fabriquer le coffrage de ce nouveau linteau :

26 septembre 2018.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 28 Septembre 2018
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Aile "de la belle-mère"
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"Les PICAULT", absents hier, sont revenus ce matin. Je trouve qu'ils travaillent très proprement.

Voici, "grosso modo", où ils en étaient rendus avant-hier matin...

26 septembre 2018.

26 septembre 2018.

... et avant-hier soir :

26 septembre 2018.

28 septembre 2018.


Ce matin, ils viennent de décoffrer le nouveau linteau et s'apprêtent à remaçonner de pierres son dessus :

28 septembre 2018.

28 septembre 2018.