La canicule n'empêche pas Aurore JARRY, bientôt rejointe par son père, Philippe, de commencer à terrasser l'extérieur de la charreterie en vue de vérifier l'état des drainages et, surtout, de compléter le dispositif le long du pignon ouest :

Les roses de Carole, le long de ce pignon, risquent d'être un peu trop secouées par ces opérations. On tâchera néanmoins de les sauver, avec l'aide de Mickaël...

Selon Aurore et son père que j'ai consultés, il n'y aurait pas lieu d'enterrer plus profondément le drainage autour de la chapelle (j'étais persuadé du contraire). Ils recommandent plutôt (comme Arnaud Paquin qui a prévu ce poste dans son étude de diagnostic) d'aérer le bâtiment pour éviter la montée du salpêtre, voire de refaire les joints extérieurs pour assurer leur étanchéité.

Je leur ai toutefois demandé de retrouver l'arrivée de l'électricité quelque part du côté du pignon nord de la chapelle ainsi que d'enfouir la dalle de Guguss pour qu'elle affleure le sol, maintenant que mon copain doit être bien ratatiné au fond de son trou.

Voici la préface de Patrice CAHART pour l'"étude de diagnostic d'ensemble" de la Chaslerie :

A un point d'exclamation près qui semblerait à ajouter en fin de texte, celui-ci me paraît parfait.

La prochaine étape pour moi sera de me rendre à Paris pour y présenter l'étude d'Arnaud PAQUIN à Pierre TOUBERT en vue d'en obtenir un avant-propos. Au moins à mes yeux, celui-ci couronnerait magistralement cet ouvrage que, je le rappelle, je considère comme mon testament spirituel à propos de la Chaslerie.

J'ai rendez-vous cette après-midi à 17 heures chez Pierre et Hélène TOUBERT à Paris. Je communiquerai à Pierre l'"étude de diagnostic d'ensemble" que l'on sait, ainsi que la préface et le C.-V. de Patrice CAHART. Puis je répondrai à ses questions éventuelles.

Pierre, joint par téléphone ce matin, a manifestement hâte d'étudier tout cela.

En relisant l'étude de diagnostic d'ensemble dans chacune de ses versions successives, j'aurai toujours trouvé des amendements de rédaction à présenter.

Voici ma dernière liste à ce jour :

Pauvre Lucile qui trouvera ça dans son ordi à son retour de congés !

Dans l'immédiat je vais pouvoir confier à Jacques BROCHARD mon exemplaire de l'étude en format A3. Ce sera beaucoup plus facile pour lui de l'étudier en vue de la "séance de gala" du 22 septembre prochain. C'est en effet lui, que j'en remercie, qui a bien voulu accepter de représenter La SVAADE ce jour-là, en l'absence de Xavier MEYER, empêché.

Dernières photos du jour du côté de la charreterie. On voit que la rustine en ciment au pied du pignon ouest était très importante :

Voici un trou qui fut rebouché (du moins à l'intérieur du bâtiment) à ma demande il doit y avoir déjà deux ans et qui a longtemps servi à l'écoulement du purin hors de l'étable longtemps installée sur un sol de béton :

A partir de la porte Sud, le bâtiment a été remonté à mon initiative ; un premier maçon qui s'avéra alcoolique avait coulé des fondations en béton qu'on vient de redécouvrir :

Dans la terre récemment extraite par l'entreprise JARRY au Nord de la charreterie, je note la présence d'anciennes canalisations de chêne, comparables à celles qu'on avait trouvées sous le béton de la future chaufferie :

Ce matin, les premiers joints de Mickaël :

P.S. (à 15 heures) : Test concluant :

P.S. (à 18 heures) : La rustine de ciment a disparu :

La qualité des informations d'ordre historique contenues dans l'étude d'Arnaud PAQUIN me paraît résulter, à tout le moins, des caractéristiques suivantes :

Cette étude peut être analysée, sur ces questions, comme une synthèse des recherches entreprises, au moins depuis que ce site existe, c'est-à-dire depuis quinze ans. De très nombreux comptes rendus de ces recherches et de leurs résultats ont été publiés en toute transparence sur ce site ouvert au public. De ce fait, tous les sachants ou prétendus tels, notamment ceux qui ont manifesté le consulter fréquemment, ont pu, sans délai, faire part de leurs critiques éventuelles ou bien apporter leurs contributions comme il convient.

De telles méthodes de travail et de diffusion d'informations pertinentes, rendues possibles par l'existence de ce site, sont, au moins dans le principe, de nature à conférer à ces recherches et à leurs résultats une dimension de rigueur intellectuelle dont tous les érudits locaux autoproclamés qui se sont penchés sur la question n'ont sans doute pas toujours su ou pu faire preuve autant que cela eût semblé sinon nécessaire, du moins souhaitable.

Je me réfère ici, par exemple, aux messages de ce site numérotés 1769, 1775, 1776, 1792, 1799, 1802, 1813, 1816, 1902, 2313, 13043, 16405 (liste à parfaire et à compléter, sachant que ce site porte à ce jour quelque chose comme 24 571 messages, dont 13 223 "publics" comme ceux-ci).

P.S. (du 21 août 2024 à 2 heures 45) :

Je rencontrerai demain après-midi Pierre TOUBERT à son domicile parisien. A mon habitude, je rendrai ensuite compte de cet entretien sur le site favori.

L'entretien avec Pierre TOUBERT avant-hier n'aura pas duré plus d'une vingtaine de minutes.

Fidèle à la procrastination qui me caractérise, j'avais fini par préparer, juste avant l'entretien, un court texte afin de suggérer des idées pour son avant-propos mais je ne pense pas qu'il en fera plus d'usage que Patrice CAHART n'en fit du sien, supposé l'aider pour la préface.

Pierre a tout de suite déclaré que Patrice ayant fort bien préfacé l'étude que l'on sait, cela réduisait la matière de sa propre intervention. Juste après, il m'a demandé quelle serait la diffusion de l'étude et j'ai alors compris que j'avais négligé à tort de réfléchir à une réponse utile à cette légitime question. J'ai bredouillé une réponse qui n'a pas dû l'emballer, notamment quand il m'a demandé si j'envisageais la publication d'un texte raccourci. Non, je n'ai rien prévu de tel, les lecteurs ne devraient avoir à leur disposition qu'un pavé d'essence administrative et de plus de 333 pages sur 80 centimètres de largeur, donc guère commode à déployer. Et peu de nature, de ce fait, à abonder une bibliographie...

Sur le fond, Pierre a évoqué une piste, celle de l'openfield anglais, sujet sur lequel il pourrait s'exprimer dans son avant-propos. Sujet inattendu pour moi, en tout cas extérieur, sinon à ma zone de confort, du moins à mes préoccupations de l'heure.

Quant au délai de remise de son texte, j'ai senti que mon souhait de la fin-août n'est pas forcément de nature à l'enthousiasmer.

Bref, on verra bien.

Le fait est que, ne sachant ce que Patrice produirait, j'avais introduit Pierre dans le dispositif. Comme une sorte de "corde de rappel" si je puis dire. Et j'avais "fait donner" Patrice en premier parce que je ne me sentais guère capable de coordonner deux tels pur-sang, le premier n'ayant en outre pas de liens familiaux avec moi...

Ceci étant, je crois que je n'ai plus grand chose à ajouter à cette étude ni à ses textes introductifs. Pondre un avertissement me semblerait excessif. Mais j'y réfléchis.

Donc, dans l'immédiat, je me suis enfin mis en roue libre à ce sujet qui m'aura beaucoup occupé depuis près de deux ans. Et je peux dire que ça fait du bien !

Du travail de "qualité FOURCADE", sans aucun doute :

P.S. (à 18 heures) : Voici très précisément où nous en sommes rendus en cette fin de journée :

Autrement dit, la moitié de ce boulot est faite.

Le travail n'est pas fini d'un côté...

... que déjà Carole réquisitionne Mickaël d'un autre :

P.S. : En fin de journée :

Les travaux de maçonnerie sur la charreterie ont pris fin :

On a laissé une réservation sous le seuil de la porte pour le passage de futures canalisations.

A son retour de vacances, Aurore JARRY pourra poser le drain et reboucher la tranchée.

Par ailleurs, je ne me suis pas bien fait comprendre de Mickaël pour ce qui concerne la pierre tombale d'O'Gustin. Il faudra recommencer ce travail afin que cette pierre affleure le sol :

Enfin Mickaël a restauré quelques joints en haut de l'escalier du fond de la cour :

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 28 août 2024 08:28
À : Lucile Bourdin <lbourdin.apaquinarchitecte@gmail.com>
Cc : arnaudpaquin architecte <arnaudpaquin.architecte@gmail.com> ; Xavier MEYER
Objet : La Chaslerie - Etude de diagnostic d'ensemble

Chère Lucile,

Puis-je vous saisir dès votre retour de congés en vous soumettant encore ceci ?

J'y joins la préface de Patrice CAHART, à paginer en tout début de document et en chiffres romains. J'attends encore un avant-propos qui précéderait la préface.

Cordialement,

PPF

(Fin de citation)