Maçonnerie-carrelage

Igor est passé me voir ce matin, frais et dispos. Selon le document médical qu'il m'a remis, il s'est blessé au tendon extenseur de l'annulaire gauche.

Nous avons commencé à évoquer sérieusement la suite de sa collaboration avec l'APIJOMM. Son C.D.D. prendra en effet fin avant son arrêt de travail. Et il est toujours désireux de partir en formation dans sept mois.
Comme je l'ai déjà dit de nombreuses fois, ce site a pour moi le très gros avantage de me permettre de retrouver très facilement la moindre information très pointue qui y aurait été mise en ligne. Ceci tient à la présence de deux moteurs de recherche, l'un sur le site-même, l'autre dans la "tour de contrôle".

Ainsi, je viens d'entrer "taux de subvention" dans le moteur de recherche de la "tour de contrôle" et, grâce à cet outil très performant, j'ai immédiatement retrouvé le texte d'un courriel d'il y a trois ans environ où j'expliquais à la tutelle les réalités de ma comptabilité et les ratios que j'en tirais. J'avais immédiatement cantonné ce texte à la partie "Privé" du site, plus précisément sous l'onglet "Privé/Finances etc" ; donc, en procédant comme moi, vous ne le retrouveriez pas et tomberiez sur une impasse (sauf à disposer du mot de passe nécessaire, ce qui n'est le cas que de trois personnes à ce jour, à savoir Guillaume GENDRAUD, ès-qualité de "geek en charge", ma belle-fille et moi).

Or, selon l'ami dont j'ai fait état hier, il ne serait pas inutile que je me tienne prêt à répondre à ce sujet à l'exaspération, si j'ai bien compris (mais je n'en suis pas sûr), de prochains interlocuteurs qui trouveraient que je me plains trop en la matière alors que, selon eux, je serais bien loti.

En réalité, il semble que ces interlocuteurs et moi, lorsque nous évoquons ledit ratio, nous ne mettions pas les mêmes choses au numérateur et au dénominateur, ce qui n'est certes pas la meilleure façon de parvenir à un diagnostic commun. Et, bien naturellement, ma façon de voir aboutit à minorer ledit ratio quand je trouve que la leur a l'effet inverse. Il faut donc que j'explicite mon mode de calcul et, pour commencer, que j'actualise mes chiffres, au moins en les complétant sur la période la plus récente (ce qui amènera, d'ailleurs, à distinguer entre subventions programmées et subventions reçues). Je compte m'y employer, avec toute la sérénité nécessaire, avant leur prochaine visite, de manière à favoriser le caractère constructif de nos échanges, ce qui est évidemment mon seul but à leur sujet.
Sur la base du tableau modifié par l'architecte du patrimoine au cours de notre longue conversation téléphonique d'hier après-midi, je sens que je vais devoir passer de longues heures à pointer les différents chiffres collationnés.

L'enjeu de ce travail est de pouvoir présenter à la D.R.A.C. un récapitulatif détaillé des prochaines phases du chantier pour lesquelles soit des subventions ont été obtenues dont le versement n'a pu encore être demandé, soit des subventions seront sollicitées (au moins pour mon compte, c'est-à-dire avant le relais espéré par mon aîné).

Pour la tranche 1 de restauration des menuiseries extérieures du logis, la définition des rubriques de ce tableau sera facile. Pour la tranche 2, il me faudra expliciter un scenario souhaitable et compatible avec les enveloppes existantes. C'est pour la tranche 3 et pour les tranches ultérieures à mettre en place pour d'autres travaux que les choses se compliqueront. Il faudra que je vérifie si le scenario recommandé à ces sujets par l'architecte du patrimoine est compatible avec mes contraintes financières (il y aura, à ce sujet, une grande incertitude pour moi avant, au mieux, le 15 février prochain, date à laquelle je devrais savoir si mon candidat-acquéreur de "Pontorson" a obtenu le feu vert de sa banque) ou pratiques (dues au souci d'avancer dans l'habitabilité, c'est-à-dire, prioritairement, dans l'installation d'un chauffage efficace et approprié).

Je pourrai ensuite préparer, à la demande de l'architecte du patrimoine et en liaison avec elle, la note de synthèse destinée à la D.R.A.C. qui pourra être débattue le 7 février prochain avec les représentants de celle-ci et en présence - je l'espère - de ladite architecte du patrimoine. J'ai en effet prié hier cette dernière de participer à cette réunion, importante à mes yeux pour la bonne programmation de notre chantier favori.
Au cours de ma longue conversation téléphonique d'hier avec l'architecte du patrimoine, j'ai informé celle-ci que M. LESCROART a mis fin à la mission d'"assistant à la maîtrise d'ouvrage" que je lui avais confiée.

Le rôle de M. LESCROART était principalement de m'aider à recruter un nouvel architecte du patrimoine en succession de Benoît MAFFRE (la relation avec le très sympathique et compétent Arnaud PAQUIN n'ayant jamais pu être contractualisée ; c'est néanmoins Arnaud PAQUIN qui nous avait aiguillés vers l'architecte du patrimoine avec qui j'ai finalement conclu, ce dont je suis très reconnaissant à Arnaud PAQUIN, un gentleman à cette occasion ô combien critique). A titre accessoire et compte tenu des compétences dont témoigne assurément sa longue et brillante carrière professionnelle, M. LESCROART m'avait également aidé, pendant la période où il était chargé d'intervenir pour mon compte, à résoudre un certain nombre d'autres problèmes, techniques ou de documentation, relatifs à notre chantier favori ; ce fut le cas notamment à propos du si lancinant problème des dégâts des eaux récurrents dans l'aile Ouest face auquel j'étais bien seul, problème qui, malgré sa difficulté, a ainsi pu être réglé avec une grande efficacité. Enfin, toujours dans le cadre de sa mission, telle du moins que je l'entendais, M. LESCROART avait à dialoguer avec moi et à m'épauler dans les cas où je ressentais le poids d'une certaine solitude ou de quelque lassitude face à des formes d'adversité, réelles ou supposées ; un rôle de confesseur en quelque sorte, sinon d'accoucheur, au moins d'idées ; c'est sans doute à ce titre que son écoute policée et bienveillante me manquera le plus.
En vue de la réunion du 7 février prochain, je viens de terminer la mise à jour du tableau que je tiens et qui récapitule, année après année depuis celle de mon achat, soit 1991, le coût de la possession de la Chaslerie.

Ces chiffres n'ont rien de fantaisiste. Ce sont ceux de mes déclarations annuelles de revenus. Ils sont étayés par les factures réglées, au nombre d'environ 200 chaque année, factures dont je transmets toujours la copie au fisc (bien que je n'y sois pas tenu).

Cette fois-ci, j'ai voulu vérifier dans quelle mesure l'inflation impacte les ratios que je calcule. A ma surprise, le taux cumulé de l'inflation au cours des 28 années sous revue (je n'ai pas encore préparé ma déclaration de 2019) n'est guère supérieur à 50 %. Je m'attendais à beaucoup plus car je me rappelle l'époque, au début des années 80, où elle franchissait allègrement la barre des 10%/an.

Les principaux résultats de mes calculs établissent ainsi que, en euros de 2018, la Chaslerie m'aura coûté, en plus de son prix d'achat et nets de subventions et autres revenus (fermages et droits d'entrée), 4,6 M€, soit environ 165 000 €/an.

Le rapport des revenus totaux que j'en tire au coût brut de sa possession est de 11,82 %. Ce ratio monte à 36,22 % si l'on ne retient au dénominateur que les dépenses subventionnées qui, sur la période, et toujours en euros de 2018, auront été pour moi de 1,7 M€.

Il y a évidemment de quoi être effaré par de tels chiffres. Et tout cela, pour ne pas disposer de plus de 65 m2 habitables après 29 ans de travaux continus. Voire pour être traité comme un petit garçon. Chacun pourra apprécier.
J'ai reçu, cette après-midi, à ma demande, la visite d'un architecte du patrimoine très sympathique et dont j'ai entendu dire du bien par plusieurs personnes.

Je lui ai demandé de réfléchir à l'idée que je lui confie une mission de maîtrise d’œuvre qui porterait, au cours des cinq ans à venir, sur les réalisations suivantes :
- d'urgence, l'interface entre moi et le bureau d'études qui devrait, sous deux semaines, rendre ses premières conclusions en matière de dimensionnement de la chaufferie par aquathermie à prévoir ;
- d'urgence également, l'encadrement d'Igor pour couler une dalle au sol de la "salle dévastée" (au 1er étage Sud du logis), afin que cette pièce puisse rapidement me servir de garde-meubles ;
- ensuite, en première priorité, toutes propositions utiles pour terminer l'aménagement de l'intérieur du colombier, notamment le règlement des questions de sols et plafonds (choix des matériaux, impact sur les poutres et solives du choix de boiseries Louis XVI à dessiner pour mon futur bureau-bibliothèque) ;
- ensuite, lorsque la première architecte du patrimoine aura traité les questions des "poutres pourries" et du conduit de cheminée de "mon ancienne chambre" du 1er étage Nord du logis, toutes questions relatives à l'aménagement intérieur de la moitié Nord du logis ;
- dès que la nouvelle chaufferie sera en place, l'aménagement intérieur des volumes qui restent à traiter dans le bâtiment Nord, à savoir la cuisine et l'arrière-cuisine ainsi que le cabinet de toilettes jouxtant le "petit salon".

Je compte lui communiquer dès demain matin tous documents utiles pour nourrir sa réflexion relative au devis qu'il a bien voulu accepter de préparer à mon intention.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : mercredi 5 février 2020 05:04
À : (...)
Cc : C.F. ; T.F.
Objet : Manoir de la Chaslerie

A l'attention de M. (...), architecte du patrimoine

Cher Monsieur,

Dans le prolongement de votre visite d'hier et afin de vous permettre de préparer le devis de votre intervention, en complément de celle en cours d'une de vos collègues chargée principalement de la restauration des menuiseries extérieures des bâtiments sur cour de la Chaslerie, je vous transmets quelques documents utiles.

Je vous ai signalé que :
- il s'agit de m'épauler au cours des 5 prochaines années (le relais devant, si tout se passe bien, être pris alors par mon aîné, T(...)),
- les intérieurs des bâtiments où je souhaiterais que vous interveniez pour moi (à savoir le colombier, la moitié Nord du logis et le bâtiment Nord, ce dernier en vue d'y installer la cuisine, l'arrière-cuisine et un cabinet de toilettes) sont tous inscrits à l'I.S.M.H. (alors que les façades et couvertures sur lesquelles intervient votre consœur sont classées parmi les monuments historiques).


1 - Je vous ai prié d'assurer d'urgence, l'interface entre moi et le bureau d'études "Bee +" qui devrait, sous deux semaines, rendre ses premières conclusions en matière de dimensionnement de la chaufferie par aquathermie à prévoir et confirmer si, comme je le souhaiterais, il serait approprié que soit installée une chaufferie centrale au rez-de-chaussée du colombier (étant entendu qu'il est prévu que l'installation serait réalisée en deux phases, la première seulement par moi, couvrant les besoins en chauffage du colombier, de la moitié Nord du logis y compris sa cage d'escalier, du bâtiment Nord et de la mise hors-gel de la chapelle). A ce sujet, vous trouverez ci-joint :
. le texte des trois contrats de juin dernier qui me lient à Bee + ;
. le texte de ma L.R.A.R. du 25 novembre dernier à Bee + ;
. les échanges (ci-après) qui ont suivi leur courriel m'annonçant, le 10 décembre dernier, qu'ils reprenaient leur mission ;
. les plans et coupes du géomètre relatifs au colombier et à la moitié Nord du logis, y compris un relevé du sol de la pièce du 1er étage de la moitié Sud du logis (que j'appelle "la salle dévastée") ;
. les productions de "Bee +" à ce jour, au nombre de 5 et sans les légendes et explications qui devaient les accompagner.

2 - Je vous ai informé que je devrais pouvoir bénéficier, jusqu'à la fin du mois d'août 2020, de l'aide d'un excellent employé, Igor EREMIA, de nationalité roumaine, ingénieur diplômé dans son pays (et qui souhaiterait, soit dit en passant, reprendre ses études en vue de devenir architecte en France) ; je vous ai prié d'assurer d'urgence également, l'encadrement d'Igor pour couler une dalle au sol de la "salle dévastée" (au 1er étage Sud du logis), selon les préconisations de "Bee +", afin que cette pièce puisse très rapidement me servir de garde-meubles.

Les documents ci-dessus établis par "Bee +" et le relevé du sol établi par le géomètre sont les documents utiles en la matière. Je précise qu'il suffira que le sol soit aplani et puisse supporter mes meubles mais que je n'envisage pas d'installer dans cette pièce, durant ces 5 ans, le dispositif de chauffage par le sol ni le sol final, tâches qui incomberont à mon successeur

3 - Je vous ai prié de me présenter, après ces deux volets urgents et, en première priorité, toutes propositions utiles pour terminer l'aménagement de l'intérieur du colombier, notamment le règlement des questions de sols et plafonds (choix des matériaux, impact sur les poutres et solives du choix de boiseries Louis XVI à dessiner pour mon futur bureau-bibliothèque). Au deuxième étage sera installée la chambre de mon aîné ; au premier, mon "bureau-bibliothèque-de-mes-rêves" ; au rez-de-chaussée, outre la chaufferie, à tout le moins un w.-c. et un volume au moins provisoire pouvant servir de salle-de-bains à la chambre du second, tant que celle-ci ne disposera pas de cette commodité à son niveau (comme prévu sur l'"esquisse" de votre collègue Arnaud PAQUIN que je vous ai montrée).

4 - Ensuite, c'est-à-dire, vraisemblablement, lorsque la première architecte du patrimoine aura traité les questions des "poutres pourries" et du conduit de cheminée de "mon ancienne chambre" du 1er étage Nord du logis, il conviendrait que vous preniez en charge toutes questions relatives à l'aménagement intérieur de la moitié Nord du logis ; je vous ai dit que je souhaite en particulier que le plafond de la salle-à-manger soit entièrement repris, ce qui me semblerait la priorité pour ce volume. La pièce du 1er étage de la tour Nord-Est sera une salle-de-bains avec baignoire (mon rêve...). L'isolation thermique des combles devra être mise en place (sans doute en liaison avec le très compétent "Logis-Nature" de Falaise).

5- Dès que la nouvelle chaufferie sera en place, il y aura lieu de veiller à l'aménagement intérieur des volumes qui restent à traiter dans le bâtiment Nord, à savoir la cuisine et l'arrière-cuisine ainsi que le cabinet de toilettes jouxtant le "petit salon". Il va sans dire que mon épouse et mon aîné ne manqueront pas de faire part de leurs idées à ces sujets qui, pour des raisons pratiques évidentes, leur tiennent à cœur.

Je vous transmets ci-joint des documents dont le volume internet est déjà important. Ils sont essentiellement relatifs aux volets 1 et 2 ci-dessus. Pour les suivants, il va sans dire que je vous fournirais tous documents utiles en ma possession et dont vous souhaiteriez disposer d'une copie.

Cordialement,

PPF
06 12 96 01 34

____________________________________________________________________________________

De : ANDRE <julien@beeplus.fr>
Envoyé : jeudi 16 janvier 2020 08:53
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Cc : Grégory Vannobel <gregory@beeplus.fr>
Objet : Re: Suite courrier du 25 novembre 2019

Bonjour,

Suite à votre demande, ci-dessous les coordonnées de Mr Grégory VANNOBEL :

06 37 98 62 69

gregory@beeplus.fr

Cordialement.

Julien André
Agence Bee+ Miniac Morvan
(...)
____________________________________________________________________________________

Le 16/01/2020 à 05:53, Pierre-Paul Fourcade a écrit :

> Monsieur,
>
> Pouvez-vous m'indiquer l'adresse courriel de M. VANNOBEL afin que je m'assure qu'il dispose bien de toutes informations utiles pour reprendre l'exécution des contrats ?
>
> Cordialement,
>
> PPF
>
____________________________________________________________________________________

> De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
> Envoyé : mardi 10 décembre 2019 16:18
> À : ANDRE <julien@beeplus.fr>
> Cc : (...) ; Régis Fouilleul <fouilleul.energie@gmail.com>; C.F. ; T.F.
> Objet : RE: Suite courrier du 25 novembre 2019
>
> Cher Monsieur,
>
> Très bien.
>
> Je comprends qu'il ne s'agit pas d'une annulation de la mission "Fluides" mais d'un report après la mission "Aquathermie".
>
> Je préviens Mme (...), architecte du patrimoine, et Régis FOUILLEUL, mon plombier. (...)
>
> Cordialement,
>
> PPF
>
____________________________________________________________________________________

> De : ANDRE <julien@beeplus.fr>
> Envoyé : mardi 10 décembre 2019 10:40
> À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
> Objet : Suite courrier du 25 novembre 2019
>
> Bonjour,
>
> Suite à la lecture de votre courrier du 25 novembre 2019 et à un récent échange interne entre associés, nous vous proposons :
> - Un changement d'interlocuteur technique pour reprendre et terminer la mission de l'étude de faisabilité aquathermie (Mr VANNOBEL).
> - L'annulation de la mission fluides. Pourquoi ? Avant tout, nous souhaitons être rassurer sur votre attitude et le niveau de coopération pendant cette reprise d'étude. Il sera également nécessaire d'obtenir des validations de votre part suite à la présentation de l'étude de faisabilité aquathermie avant de se lancer sur la mission fluides.
> - Le respect de notre méthodologie de travail pour la bonne réalisation de l'étude de faisabilité (exemple : ne pas demander des réponses/éléments techniques avant la présentation de nos conclusions).
> - La présence de l'architecte du patrimoine et de l'entreprise pressentie pour réaliser les travaux, lors de la restitution de l'étude de faisabilité.
> - Un nouveau planning de travail tenant compte des disponibilités de Mr VANNOBEL. Reprise de l'étude : mi-janvier, restitution de l'étude : mi-février.
>
> En espérant votre compréhension.
>
> Cordialement.
> -
> Julien André
> Agence Bee+ Miniac Morvan
> 06 07 56 17 78
> julien@beeplus.fr

(Fin de citation)
J'ai déjà passé de très nombreuses heures (d'où mon silence) à essayer de recaler le "tableau EXE" à la suite de la réunion de recadrage du 7 février dernier.

Je me suis ainsi aperçu qu'entre l'étude préalable de septembre 2015 et la demande d'autorisation d'octobre 2016, c'est-à-dire entre deux documents signés par le même architecte du patrimoine, les coûts avaient plus que doublé, ce qui, à mon avis, devrait poser problème.

Il y a de même, mais heureusement d'une beaucoup plus faible ampleur, une dérive entre les coûts prévus dans le cadre de la subvention de la tranche 1 de restauration des menuiseries extérieures du logis et ceux engagés fin 2017, dans le contexte quelque peu turbulent de l'époque.

Par ailleurs, il faut que je ventile différemment le contenu des 4 tranches désormais prévues pour la restauration des menuiseries extérieures du logis. Il y a en effet des règles qui semblent intangibles pour la consommation des crédits par sous-enveloppes. Le moins que je puisse dire à l'usage est que tout cela manque singulièrement de souplesse, de sorte qu'on serait forcé d'oublier, à vouloir respecter de telles règles, beaucoup de considérations de simple bon sens. Ainsi, par exemple, pour la tranche 2, je serais aidé pour faire fabriquer des menuiseries mais il faudrait attendre l'horizon, indéfini à ce jour, d'une éventuelle tranche 3 pour pouvoir les faire peindre et doter de ferronneries appropriées, donc en définitive pour pouvoir les faire poser. Sauf bien sûr à accepter de se passer de subventions, ce qui n'est hélas pas dans mes moyens, ne serait-ce qu'en raison du budget prévisible par ailleurs pour arriver enfin un jour, si possible avant mon décès, à franchir la barre fatidique des 65 m2 habitables.

Bref, je baigne dans le bonheur. Bien que la réunion du 7 ait été remarquable par le sens de l'écoute et la bonne volonté de l'ensemble des participants - du moins c'est ce que je veux en retenir - il ne saurait être exclus qu'on attende de moi que je fasse montre d'un peu plus de patience et de respect des formes. Hélas, quand je me retrouve seul face à ce "tableau EXE" pour essayer de voir comment je pourrais rendre compatibles toutes les contraintes de manière à satisfaire tout le monde si possible, je me dis que ce serait exiger un peu trop de moi.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 20 Février 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Peinture - Chapelle
0
Voici l'état actuel des décors restaurés de la chapelle :

- le mur à droite de la porte Ouest :

19 février 2020.


- le mur au-dessus de la porte Ouest :

19 février 2020.


- le mur à gauche de la porte Ouest :

19 février 2020.

19 février 2020.


- le mur entre la porte Ouest et la fenêtre Ouest :

19 février 2020.


- autour de la fenêtre Ouest :

19 février 2020.

19 février 2020.

19 février 2020.

19 février 2020.

19 février 2020.


- le mur à gauche de la fenêtre Ouest :

19 février 2020.


- ce qu'il reste du visage du saint sur le mur Sud :

19 février 2020.


- ce qu'il reste du "pied" sur le mur Est :

19 février 2020.


- autour de la fenêtre Est :

19 février 2020.


- la tombe de marbre (anciennement blanc) au pied de l'autel :

19 février 2020.


- l'état du sol près de deux spots d'éclairage (c'est pareil pour les deux autres), après que, chaque hiver, le gel l'a fait sauter :

19 février 2020.

19 février 2020.


Il me semble que tout cela prouve surabondamment que l'humidité attaque les murs et a vieilli prématurément les restaurations d'il y a une vingtaine d'années.

Selon M. Yves LESCROART, intervenant alors comme mon "assistant à la maîtrise d'ouvrage", il y a lieu de prévoir une sortie d'air en haut du mur Sud et de maintenir le bâtiment hors gel.

C'est pourquoi j'ai demandé en juin dernier à "Bee +" de prévoir un tel chauffage, si possible par aquathermie, dans son étude.

Quant aux vitraux, je n'en parle pas ici, sauf pour montrer la laideur de la protection extérieure prévue par Dominique RONSSERAY, architecte en chef des monuments historiques, et mise en place par le vitrailliste à qui il avait fait attribuer le marché :

19 février 2020.

En fait, ce doublage a nécessité qu'à l'intérieur de la chapelle, de petit grillages d'aération soient inclus dans les vitraux de chacune des deux fenêtres. Diverses bestioles entrent par ces grillages, se réchauffent les os au soleil et, surtout, se reproduisent avec frénésie et un grand succès entre les vitraux et ces protections, avant d'y crever sans pouvoir en sortir. Or on ne pourrait éliminer ces insectes, sauf à démonter les vitraux ou leurs protections, ce qui est charmant.
Et voici maintenant les commentaires que m'inspire la restauration de l'intérieur de la chapelle de notre manoir favori :

Comme l'illustrent les photos du D.O.E. de l'artisan, ces travaux ont eu lieu alors que l'architecte en chef des monuments historiques en charge de ce chantier avait omis d'assurer préalablement la mise hors d'eaux du bâtiment. Elle avait en effet laissé les deux fenêtres de la chapelle ouvertes aux intempéries, les occultations provisoires ayant été installées, à l'initiative de l'artisan et par celui-ci. Un détail parmi d'autres ; à mes yeux, une faute professionnelle manifeste, s'ajoutant à l'incurie et à la désinvolture constatées plus généralement sur mon chantier de la part de cette bénéficiaire d'un monopole public.

Je m'étais plaint de son attitude auprès de la D.R.A.C.

A ma connaissance, l'inspection générale des monuments historiques a rédigé un rapport sur ces faits avérés, le rédacteur étant Yves LESCROART, que je ne connaissais pas à cette époque.

Malgré mes demandes auprès de la D.R.A.C., je n'ai jamais pu avoir communication de ce rapport.

Quant à cette architecte en chef des monuments historiques, elle n'intervient plus dans l'Orne depuis cette affaire. Elle a, semble-t-il, été promue puisqu'elle a reçu en apanage la restauration de la cathédrale de Strasbourg, dossier à propos duquel elle s'est vite répandue dans la presse en protestant contre l'insuffisance des crédits d'Etat qui lui étaient alloués.

Détail annexe : l'architecte en chef des monuments historiques qui lui a succédé dans l'Orne, et à qui donc j'ai dû m'en remettre jusqu'à ce qu'il atteigne l'âge de la retraite, était un (...). A la chapelle, il a évincé, pour des motifs futiles, la restauratrice de vitraux avec qui je prévoyais de faire affaire pour lui substituer un de ses compagnons de (...). Au passage, le devis que j'ai dû régler, de mémoire sans aucune subvention, avait, comme par hasard, explosé : le prix de compétences aussi distinguées, sans doute ?

Mais le point le plus frappant de la restauration de ces peintures murales, du moins à mes yeux et à ceux du public qui ne manque pas de continuer à s'en étonner, est qu'elles ne doivent pas couvrir plus de 5 % de la surface des murs.

Il y a donc eu beaucoup d'efforts pour, somme toute, pas grand chose.

La raison principale de ce fiasco tient selon moi à l'application étroite qui a alors été faite de la "charte de Venise".

Je comprends fort bien qu'il faille des règles pour éviter des abus mais - je vous le demande un peu - n'eût-il pas mieux valu à la Chaslerie, par exemple, prendre un peu de hauteur par rapport à ce que de telles réglementations peuvent avoir - appelons un chat un chat - de stupide ?

Cette idée de savoir prendre un peu de hauteur par rapport à des réglementations étouffantes me paraît très importante. Nous connaissons tous des fonctionnaires particulièrement zélés qui appliquent étroitement des réglementations dont ils savent eux aussi le caractère excessif. C'est bien triste car, ce faisant, que servent-ils en réalité ? Leur carrière ? Leur tranquillité ? Un peu de courage, que diable !

Car il est clair qu'au moins dans ce pays, on excelle à pondre toujours plus de règles, toujours plus détaillées et exigeantes, pour forcer les gens à la vertu. Un chouette programme, vraiment ! Et tout ça crée, bien sûr, de nouveaux emplois publics, donc grève toujours plus les budgets publics. Et pour quel résultat, je vous le demande ? (...) :

Franck LIEGEAS est venu ce matin constater les infiltrations que je lui avais signalées hier :

3 mars 2020.

Il ne pense pas que ce soit dû au travail de son entreprise mais reviendra s'en assurer, muni d'une grande échelle, d'ici quelques semaines.

Et le fait est qu'en haut du conduit de la cheminée, au-dessus de la corniche, il semble que la maçonnerie ait bougé :

3 mars 2020.

3 mars 2020.

La réunion de ce matin avec "Bee +" s'est déroulée dans un climat très studieux, le changement d'interlocuteur s'étant ainsi révélé très salutaire :

10 mars 2020.

10 mars 2020.


Les principaux enseignements que je retiens pour ma part sont les suivants :
- le principe du chauffage par aquathermie ayant été validé, on s'orienterait vers un chauffage par le sol partout où c'est possible, mais avec des radiateurs électriques plutôt que par aquathermie là où ça ne l'est pas ;
- par voie de conséquence, les espaces dévolus à la sous-station à prévoir dans le bâtiment Nord seraient fortement réduits ; en clair, Carole disposerait d'une arrière-cuisine non ratatinée pour cause de chauffage ;
- l'eau chaude aux robinets serait fournie par des chauffe-eau électrique et non par l'aquathermie comme envisagé précédemment ;
- la mise hors-gel de la chapelle se ferait par un dispositif aussi peu invasif que possible ;
- le chauffage de la cave ne serait pas raccordé au chauffage central du manoir mais à un système particulier d'aérothermie (sans doute à dissimuler, selon moi, dans l'appentis de la cave, ce point n'ayant toutefois pas été évoqué).

Sur ces bases, le coût en investissement et en fonctionnement de l'ensemble de l'installation de chauffage serait moindre que celui d'une installation exclusivement aquathermique.

L'architecte du patrimoine s'est tout particulièrement intéressée aux problématiques du raccordement des puits à la chaufferie centrale ainsi que de cette dernière au logis. Son souci est d'éclairer toutes les questions susceptibles d'être posées par le service régional d'archéologie au titre de l'enfouissement des réseaux nécessaires, tant dans l'avant-cour que dans la cour, ainsi qu'en direction de la chapelle.

Pour le reste, l'architecte du patrimoine et le bureau d'études se sont mis d'accord sur les adaptations à apporter à la version de l'étude d'aquathermie déjà remise, ainsi que sur un découpage des livraisons de compléments d'études réparti entre "APS" et "APD" (mais assez chinois pour moi).

Le plombier n'est, comme moi, intervenu que marginalement dans ces débats auxquels Carole n'a pas participé. Mon principal rôle aura ainsi été de présenter les volumes à chauffer et de rappeler mes souhaits en terme d'habitabilité et d'échelonnement des travaux dans le temps.
La réunion de l'après-midi, avec l'architecte du patrimoine, se sera également déroulée dans un excellent climat.

Certes, je reconnais qu'il est parfois difficile d'introduire un ordre administraâtif dans ma façon de vivre notre chantier favori. L'architecte du patrimoine fait des efforts méritoires pour essayer d'y parvenir et moi, rien pour l'en dissuader. Au contraire.

La bonne nouvelle pour elle (et pour l'administration) est en effet que je suis volontaire pour lui confier la maîtrise d’œuvre de tous mes travaux, et même pour la charger d'obtenir dès que possible toutes autorisations administratives requises en l'état des textes applicables, y compris pour des travaux que je n'engagerais pas moi-même. En réalité et pour parler franchement, je souhaite purger dès que possible mon chantier de tous ces préalables officiels dont je sais, d'expérience, à quel point ils peuvent être chronophages, laborieux et largement imperméables à d'autres contraintes vécues, sur le terrain, comme très importantes (et ceci, sans doute, quel que soit le maître d'ouvrage, s'il a un minimum de moelle). Donc sortons dès que possible de ce qui peut être vécu comme autant de cauchemars.

Pour autant, je ne suis pas prêt à abdiquer sans me battre dans mes revendications que jamais, je dis bien jamais, on n'en rabatte sur la qualité des travaux, ceci dans l'espoir constant qui est le mien, depuis trente ans bientôt, de servir toujours au mieux l'intérêt du monument.

Ainsi, par exemple, j'avais reçu un accueil pour le moins tiède lorsque j'avais fait part de mon souhait que des granits de la salle-à-manger, gravement endommagés par l'incendie de 1884, soient restaurés. J'ai néanmoins tenu bon, c'est-à-dire, en pratique, financé seul 100 % du coût de ces travaux et, désormais, personne, même parmi les critiques les plus exigeants, ne remet en question la qualité de ces réalisations.

J'entends, tant que je vivrai, poursuivre dans cet esprit.

C'est pourquoi j'entends substituer :
- au rez-de-chaussée de la tour Louis XIII et pour ce qui concerne sa cheminée, à l'infâme bricolage que nous connaissons (linteau cassé, posé à l'envers, absence de pièces essentielles, insuffisance marquée d'autres pièces) la cheminée dite "du Houlme" dont j'ai récemment fait l'acquisition et que Sébastien DUVAL, assisté par Igor, saurait fort bien traiter ;
- au plafond de la salle-à-manger du logis, à la poutraison actuelle (poutres rachetèques, l'une de surcroît bouffée d'aubier, solivage en sous-effectif, disparition des corbeaux), un modèle "tant pleins que vides" inspiré du manoir jumeau déjà repéré (le Bas au Teilleul) ;
- au plafond de mon futur "bureau-bibliothèque-de-mes-rêves", au 1er étage du colombier, à la poutraison actuelle (massacrée dans les années 1950 par le sauvage que l'on sait), une poutraison digne des boiseries et rayonnages Louis XVI que j'envisage d'installer là.

On comprend qu'il reste encore un travail de conviction à réussir pour que je puisse avoir le sentiment que le train est sur de bons rails.

Nous sommes convenus, l'architecte du patrimoine et moi, de nous revoir à Paris, à son bureau.
Au cours de la discussion, hier après-midi, avec l'architecte du patrimoine, celle-ci m'a demandé de documenter tous les travaux que j'ai effectués depuis mon achat de la Chaslerie, de manière à lui permettre de reconstituer, à l'usage de l'administration qui a dit le souhaiter le 7 février dernier, un dossier complet.

Je ne vois aucun inconvénient de principe à une telle demande. Je suis même désireux d'y satisfaire. J'ai néanmoins fait observer que, avant le lancement du site favori, je n'avais pas une méthodologie d'archivage aussi régulière et systématique que désormais. Donc les deux premiers tiers de ma vie de chantier pourraient être retracés par moi de façon lacunaire. "Qu'à cela ne tienne", m'a répondu l'architecte du patrimoine, "j'irai rechercher les documents utiles auprès des services des affaires culturelles".

A la réflexion, je me dis que c'est certainement là une idée à creuser.

Pour ma part, je serais en effet demandeur d'accéder aux archives suivantes (si elles existent) :
- celles relatives à la campagne de travaux des années 1950 ; ceux-ci ont été considérables et ont touché, notamment, à l'avant-cour (comblement de la mare), à l'aile Ouest (percement de nombreuses ouvertures, conception d'un escalier particulièrement raté, affouillement des sols, usage intensif du ciment), au bâtiment Nord (percement de nombreuses fenêtres carrées, usage intensif du ciment), au logis (trafics divers de cheminées, infâmes bricolages de la charpente, réimplantation de décors, boiseries et planchers IIIème République d'appartements parisiens, usage intensif du ciment, recours fréquent à de l'amiante) ;
- celles relatives à la campagne de travaux des années 1970, tant dans le bâtiment Nord (usage intensif de parpaings, de ciment et de céramiques bleu des mers du Sud bas de gamme) que dans la tour Louis XIII (restitution de la charpente en lamellé-collé, ratage manifeste de la prétendue restauration de la cheminée du rez-de-chaussée, implantation d'un linteau ridicule, en granit, de la lucarne sur cour).

Et, puisqu'on ferait remonter à la surface de telles archives, ne pas oublier le dossier des travaux consécutifs à l'incendie de 1884 (notamment relatifs à l'arasement du logis et à la reconstitution de la charpente avec du sapin).

Tout cela promet d'être passionnant. Particulièrement pour la période allant de 1926, année de l'inscription à l'I.S.M.H. de l'ensemble du manoir et de ses dépendances, intérieurs comme extérieurs (donc de l'entrée de la Chaslerie dans le champ de contrôle des autorités des affaires culturelles), à 1991, année de mon achat.
Dès 7 heures du matin, je suis sur le pont pour me faire donner une plaque de cheminée trouvée sur "gensdeconfiance.fr" :

Le temps que j'écrive ce message, rendez-vous a été pris avec le donateur. Pour 15 heures, donc après ma matinée à Pontorson, et du côté de Honfleur.

Cette taque aux armes de France serait en effet légitime au manoir favori. A première vue, sans que j'en connaisse à cette heure les dimensions ni l'époque, il me semble qu'elle aurait sa place dans le futur "bureau-bibliothèque-de-mes-rêves". Au pire, j'aurais fait un peu de route pour rien.
Echange de courriels, pendant le week-end, avec l'architecte du patrimoine, en vue de mieux cerner ce que pourrait être le périmètre de l'extension de sa mission (au-delà de la "mission EXE" sur les menuiseries extérieures).

Elle prend son rôle très à cœur et c'est très bien. Mais j'ai des idées arrêtées sur certains sujets sur lesquels j'ai réfléchi depuis des années.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 16 Mars 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Abords, Avenue, terrasse
0
Voici le mur de pierres sèches que mon voisin Claude FAVERIS me donne, à charge pour moi de faire place nette :

16 mars 2020.

Ces pierres m'intéressent car elles sont du bon modèle pour le jour où l'on pourrait restaurer le mur d'escarpe des douves :

16 mars 2020.

16 mars 2020.

16 mars 2020.

16 mars 2020.

16 mars 2020.

16 mars 2020.

16 mars 2020.

16 mars 2020.

16 mars 2020.

16 mars 2020.

16 mars 2020.

16 mars 2020.

16 mars 2020.

Igor et Francis ont commencé ce matin à démonter ce mur :

16 mars 2020.

16 mars 2020.

16 mars 2020.

16 mars 2020.

Puisque Francis n'est disponible que les deux premiers jours de la semaine, je suppose qu'on n'en aura pas terminé vendredi.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : vendredi 20 mars 2020 12:45
À : (...)architecte@gmail.com
Objet : RE: DOMFRONT Manoir - Budget prévisionnel

Merci.

Bien cordialement,

PPF

____________________________________________________________________________

De : (...)architecte@gmail.com
Envoyé : vendredi 20 mars 2020 12:29
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Re: DOMFRONT Manoir - Budget prévisionnel

Bonjour,

Je comprends. Je vais vous faire un devis pour une mission partielle.
On pourra faire un avenant quand la situation sera améliorée et quand le montant des travaux sera établi.
Bien cordialement,
(...)
Architecte DPLG - Architecte du Patrimoine

____________________________________________________________________________

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : vendredi 20 mars 2020 11:44
À : (...)architecte@gmail.com
Cc : C.F. ; T.F.
Objet : RE: DOMFRONT Manoir - Budget prévisionnel

Madame,

Je ne suis pas capable de vous répondre. Particulièrement dans le contexte présent. Préparez donc au mieux les deux hypothèses si vous le voulez bien.

Bien cordialement,

PPF

____________________________________________________________________________

De : (...)architecte@gmail.com
Envoyé : vendredi 20 mars 2020 10:50
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : DOMFRONT Manoir - Budget prévisionnel

Bonjour,

Afin de vous faire une proposition financière, auriez-vous un budget prévisionnel pour l'ensemble des travaux qui feront l'objet du dossier administratif de dépose auprès du gouvernement?
Vais-je avoir une mission jusqu'à l'autorisation administrative ou bien une mission complète (suivi de chantier?)

Bien cordialement,

(...)
Architecte DPLG - Architecte du Patrimoine

(Fin de citation)