Message #44371

Au courrier de ce jour, une excellente nouvelle, relative à la 2ème tranche de restauration des menuiseries extérieures du logis :

Il vaudrait donc mieux ne pas traîner pour répondre utilement à cette invitation.

Il va d'abord falloir que je choisisse quelles sont les fenêtres que je retiendrai pour cette 2ème tranche. Il y aurait une certaine logique à ce que j'inclue prioritairement dans le lot les fenêtres du rez-de-chaussée du logis restant à restaurer, c'est-à-dire celles du salon (ce qui entraînerait la restauration des boiseries de cette pièce), celles de la salle-à-manger et celles de la pièce attenante dans la tour Nord-Est.

C'est dire que resteraient, pour une troisième tranche de restauration des menuiseries extérieures du logis, par hypothèse en 2010, les fenêtres de mon ancienne chambre du 1er étage (restauration à mener en même temps que celle des poutres du plafond de cette pièce) ainsi que celles de la pièce attenante dans la tour Nord-Est.

Et il serait alors grand temps de restaurer les menuiseries extérieures du colombier et de la tour Louis XIII, ainsi que celles de mon futur bureau-bibliothèque (dans l'actuel salon de l'"aile de la belle-mère"). Bref, il y aurait là de quoi m'occuper, rien qu'à cela, jusqu'à mes 70 ans au moins.

Et je ne parle pas de la restauration intérieure de la cuisine (enfin !) et de toutes ces pièces, dont le préalable est, comme on le sait, la mise en place d'un chauffage approprié.

Quand j'aurai 80 ans - disons 82 si j'arrive à obtenir un jour le déblocage du crédit que l'on sait - je pourrai peut-être commencer à penser que j'ai fait le plus gros.

Mais il resterait encore à traiter, outre la restauration intérieure du 1er étage du logis, celle des dépendances, c'est-à-dire, pour l'essentiel, de la ferme (très gros travail en perspective) et de la cave (gros travail). Cela, je compte bien le laisser à mes successeurs, de même que la restauration des douves (énorme morceau, du moins à mon échelle), celle de l'allée historique ou encore le relèvement de la toiture du logis.

Dans l'intervalle, j'aurai eu tout le loisir de réfléchir à qui mériteraient d'être ces fameux successeurs, "a priori" (ou plutôt à ce stade de mes élucubrations à ce sujet) pas ceux auxquels j'avais pensé jusqu'à une date récente et qui ont largement démontré dorénavant, à mes yeux de principal décideur en la matière, leur incapacité foncière à relever ce gant.

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