Message #29105

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 16 Juin 2017
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Plomberie-chauffage - Electricité - Menuiserie - Logis
Julien PRUNIER, fils et compagnon de mon nouveau plombier, est venu hier commencer l'installation de la colonne de lavabo dans le futur cabinet de toilettes situé sous l'escalier du logis. Voici ce que cela donnera :

15 juin 2017.

15 juin 2017.

15 juin 2017.

Les robinets sont moins moches que dans mon souvenir, donc on va peut-être les garder. Le fait est qu'ils peuvent être changés, de même que le lavabo de verre lorsque (ne nous faisons pas d'illusion) il sera cassé.

Avant de finaliser cette installation, il faudra boucher divers trous ou saignées qui restaient en attente...

15 juin 2017.

15 juin 2017.

... mais surtout se rappeler si l'eau arrive bien dans ce volume.

A cet égard, j'ai perdu la mémoire de nos travaux de 2014, sauf à me reporter aux photos de l'époque telles que conservées sur notre site favori. Mais je crains que ce soit insuffisant si je n'arrive pas à remettre la main sur les photos que j'ai dû archiver ailleurs, mais où ?

Pour le reste, j'ai passé commande en ligne, pour un prix deux fois moins élevé que celui indiqué en magasin, de la cuvette suspendue "Memento" de "Villeroy et Boch" et de son abattant. M. PRUNIER est chargé de faire son affaire du bâti si toutefois nous maintenons cette cuvette à l'endroit envisagé par l'architecte. En effet, nous nous heurtons là aussi à une difficulté, à savoir la nécessité d'une intervention de Sébastien LEBOISNE pour plaquer sur la cloison du fond de la pièce un plan de chêne qui permette la pose sans jour de la cuvette.

Quant à l'auge prévue comme lave-bottes, son installation viendrait dans un troisième temps, lorsque nous aurions résolu les autres problèmes.

Il se vérifie ainsi que l'installation du moindre cabinet de toilettes dans un cadre de vieilles pierres est toujours très complexe dès lors que l'on souhaite réaliser quelque chose de fonctionnel, confortable et élégant.

P.S. (du 17 juin 2017) : Eurêka, je crois que, grâce à un message de notre site favori, j'ai fini par retrouver par où doit passer l'alimentation en eau de ce futur cabinet de toilettes : c'est ou bien dans le mur, entre la porte restaurée et la fenêtre, dans une saignée (derrière l'échelle) en passe d'être rebouchée en mars 2014...

15 mars 2014.

15 mars 2014.

... ou bien dans le gros tuyau bleu rampant sur le sol et qui, à tout le moins, doit être là pour amener un jour l'eau chaude au futur radiateur prévu sous la fenêtre :

7 mai 2014.

J'espère que je ne me trompe pas et que MM. PRUNIER, père ou fils, pourront confirmer l'une de ces hypothèses. Sinon, on est mal.

P.S. 2 : Je navigue sur notre site favori et, avec ma bécane et sans la 4G, c'est très lent. Je finis néanmoins par retrouver un autre message avec une photo qui me paraît confirmer la première de ces deux hypothèses. On aperçoit en effet dans la saignée en question un petit tuyau bleu :

12 mai 2014.

Ouf ! On est passés tout près de la catastrophe ! Je ne sais pas comment j'aurais pu livrer ce cabinet de toilettes pour le 10 septembre prochain si on avait perdu la trace de cette arrivée d'eau !

P.S.3 : Et encore un autre message montrant cette fois la saignée rebouchée :

28 mai 2014.

Voilà, on a quand même fini par retrouver la chronologie exacte de ces interventions et, surtout, la trace de cette arrivée d'eau. Tout ceci grâce à notre site favori !

Quand je constate de telles performances, je me dis que je dois défendre l'existence de ce site contre tous ceux qui, à un titre ou un autre, auraient tôt fait de réclamer son silence.

Certes, j'ai encore pas mal d'expressions à limer pour éviter des provocations inutiles et même, parfois, contre-productives mais, en l'état de mes outils (bécane et code), cela prendra du temps, nécessairement. Mais l'essentiel me paraît incontestablement d'excellente facture et de forte utilité. Du moins à l'échelle du chantier de restauration de notre manoir favori, qui demeure - j'espère qu'on voudra bien m'en excuser - ma préoccupation principale ici, à égalité avec mon souci de transmettre le bébé à qui de droit un jour prochain et dans les meilleures conditions possibles, toujours dans l'intérêt du monument.

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