Electricité : chronique d’un désastre annoncé
Deux exemples récents de panne de vent en Allemagne montrent à la fois la dépendance des systèmes de production d'électricité aux aléas météo en raison du développement des énergies renouvelables intermittentes ENRi, la nécessité de recourir à des centrales thermiques et à l'importation ainsi que l'impact sur la volatilité des prix en Allemagne mais aussi en Europe en raison des interconnexions.
Les exigences européennes en matière de développement d'énergies renouvelables nous emmènent dans une situation à hauts risques. D'une part, parce que la demande sera demain encore plus similaire entre les pays de l’UE en raison de l'électrification des usages : pointes et creux de consommation seront quasiment simultanés à travers l’UE. D'autre part, parce qu'il y a peu de "foisonnement" de l’éolien sur une vaste partie de l’Europe. Ainsi les éoliennes de tous les pays produiront beaucoup simultanément lorsque le vent souffle fort et très peu dans des creux de vent simultanés. Si l’UE ne sort pas de l’utopie actuelle du "tout renouvelable", si elle n'encourage pas la construction de centrales au gaz pour remédier aux creux de production des ENRi, tous les pays auront simultanément un déficit de production et ne pourront exporter pour combler les déficits des voisins. Les périodes de black-out risquent de se multiplier.
La souveraineté électrique devient absolument impérative, à la fois parce que l’électricité sera la source principale d’énergie et parce que chaque pays ne pourra compter que sur lui-même. Pourtant la 3e programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) que le Parlement doit valider ne nous donne pas une sécurité d'approvisionnement. En l'état la PPE3 est suicidaire pour notre pays.
Lobbying environnemental
Fondation iFRAP
rédigé le Mercredi 29 Janvier 2025
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
rédigé le Mercredi 29 Janvier 2025
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"Front Populaire"
rédigé le Mercredi 29 Janvier 2025
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rédigé le Mercredi 29 Janvier 2025
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L’État contraint de rembourser près de 2 milliards d’euros aux producteurs d’énergies renouvelables
Un jugement du Conseil constitutionnel a rendu caduque une modification contractuelle unilatérale décidée par le gouvernement en 2024. Il était alors demandé aux producteurs d’énergie renouvelable de restituer une partie des superprofits acquis pendant la crise énergétique en 2022.
Pile, les producteurs d’énergies renouvelables gagnent, face, c’est l’État qui perd. Voilà en somme la situation que la décision du Conseil constitutionnel est venue renforcer dans un jugement daté du 24 janvier. Saisis par plusieurs sociétés de producteurs d’énergies vertes comme la Société TTR Energy ou la société Éolienne des tulipes, les sages ont rendu un avis défavorable vis-à-vis de l’État, non sans conséquence. Il pourrait le forcer à restituer 1,8 milliard d’euros aux exploitants d’éoliennes et autres parcs photovoltaïques.
Dans le viseur de l’État, le mode de financement de cette électricité verte. Depuis 2015, les contrats entre l’État et les producteurs d’énergie renouvelable fixent un tarif de référence. Si le prix réel du marché de gros de l’électricité lui est inférieur, alors l’État, par le biais d’EDF compense mensuellement le manque à gagner avec une prime aux producteurs. À l’inverse, si le prix du marché dépasse le tarif contractuel, ce sont les producteurs qui reversent à l’EDF la différence entre les deux, sous la forme d’une prime négative. Cette prime est toutefois plafonnée à la hauteur du montant total des aides perçues depuis le début du contrat.
Jusqu’à l’année 2022, le système avait très largement bénéficié aux producteurs d’énergies renouvelables. Mais la crise ukrainienne et l’envolée du cours du gaz ont fait exploser les prix du marché de gros, qui est allé jusqu’à atteindre 743,84 € du MWh en août 2022 (contre près de 68 € du MWh en janvier 2025). Une aubaine pour des producteurs qui ont vite dépassé le plafond des aides déjà perçues et à rembourser.
Le beurre et l’argent du beurre
Pour limiter les superprofits d’une industrie dont il a assuré la viabilité à coup de subvention, l’État a donc essayé en 2024 de lui imposer qu’à compter du 1er janvier 2022, ils soient tenus de reverser à EDF l’intégralité des sommes correspondant aux primes négatives. Pour faire simple, il n’est plus question de plafond : quand bien même l’entreprise aurait atteint le montant total des aides perçues depuis le début du contrat, elle devra toujours rembourser l’État et EDF des gains supérieurs au prix contractuel de référence. Un manque à gagner certain pour les producteurs, surtout en période de crise des prix de l’électricité.
Le Conseil constitutionnel a jugé que, bien que « le législateur était fondé à supprimer, de façon rétroactive, le plafonnement des primes négatives », afin d’atténuer l’effet préjudiciable de la hausse des prix de l’électricité pour le consommateur final, la mesure votée en 2024 aurait pour effet de priver jusqu’au terme de l’exécution de leur contrat, « les producteurs d’électricités de la totalité des gains de marché dont ils auraient dû bénéficier », que les gains soient du fait « d’une hausse tendancielle des prix de l’électricité ou d’une hausse imprévisible liée à une crise énergétique ».
D’après les Échos, le déplafonnement des primes que versent les producteurs au budget national (via EDF OA) a rapporté un peu plus de 1,7 milliard d’euros aux finances publiques en 2022. Et seulement 132 millions au titre de 2023, prouvant ainsi que dans l’ensemble, les producteurs d’énergies renouvelables sont largement gagnants dans un système qui leur garantit une rentabilité artificielle. Manifestement, ce n’est pas suffisant à leurs yeux.
Un jugement du Conseil constitutionnel a rendu caduque une modification contractuelle unilatérale décidée par le gouvernement en 2024. Il était alors demandé aux producteurs d’énergie renouvelable de restituer une partie des superprofits acquis pendant la crise énergétique en 2022.
Pile, les producteurs d’énergies renouvelables gagnent, face, c’est l’État qui perd. Voilà en somme la situation que la décision du Conseil constitutionnel est venue renforcer dans un jugement daté du 24 janvier. Saisis par plusieurs sociétés de producteurs d’énergies vertes comme la Société TTR Energy ou la société Éolienne des tulipes, les sages ont rendu un avis défavorable vis-à-vis de l’État, non sans conséquence. Il pourrait le forcer à restituer 1,8 milliard d’euros aux exploitants d’éoliennes et autres parcs photovoltaïques.
Dans le viseur de l’État, le mode de financement de cette électricité verte. Depuis 2015, les contrats entre l’État et les producteurs d’énergie renouvelable fixent un tarif de référence. Si le prix réel du marché de gros de l’électricité lui est inférieur, alors l’État, par le biais d’EDF compense mensuellement le manque à gagner avec une prime aux producteurs. À l’inverse, si le prix du marché dépasse le tarif contractuel, ce sont les producteurs qui reversent à l’EDF la différence entre les deux, sous la forme d’une prime négative. Cette prime est toutefois plafonnée à la hauteur du montant total des aides perçues depuis le début du contrat.
Jusqu’à l’année 2022, le système avait très largement bénéficié aux producteurs d’énergies renouvelables. Mais la crise ukrainienne et l’envolée du cours du gaz ont fait exploser les prix du marché de gros, qui est allé jusqu’à atteindre 743,84 € du MWh en août 2022 (contre près de 68 € du MWh en janvier 2025). Une aubaine pour des producteurs qui ont vite dépassé le plafond des aides déjà perçues et à rembourser.
Le beurre et l’argent du beurre
Pour limiter les superprofits d’une industrie dont il a assuré la viabilité à coup de subvention, l’État a donc essayé en 2024 de lui imposer qu’à compter du 1er janvier 2022, ils soient tenus de reverser à EDF l’intégralité des sommes correspondant aux primes négatives. Pour faire simple, il n’est plus question de plafond : quand bien même l’entreprise aurait atteint le montant total des aides perçues depuis le début du contrat, elle devra toujours rembourser l’État et EDF des gains supérieurs au prix contractuel de référence. Un manque à gagner certain pour les producteurs, surtout en période de crise des prix de l’électricité.
Le Conseil constitutionnel a jugé que, bien que « le législateur était fondé à supprimer, de façon rétroactive, le plafonnement des primes négatives », afin d’atténuer l’effet préjudiciable de la hausse des prix de l’électricité pour le consommateur final, la mesure votée en 2024 aurait pour effet de priver jusqu’au terme de l’exécution de leur contrat, « les producteurs d’électricités de la totalité des gains de marché dont ils auraient dû bénéficier », que les gains soient du fait « d’une hausse tendancielle des prix de l’électricité ou d’une hausse imprévisible liée à une crise énergétique ».
D’après les Échos, le déplafonnement des primes que versent les producteurs au budget national (via EDF OA) a rapporté un peu plus de 1,7 milliard d’euros aux finances publiques en 2022. Et seulement 132 millions au titre de 2023, prouvant ainsi que dans l’ensemble, les producteurs d’énergies renouvelables sont largement gagnants dans un système qui leur garantit une rentabilité artificielle. Manifestement, ce n’est pas suffisant à leurs yeux.
Cérémé
rédigé le Jeudi 30 Janvier 2025
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
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Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
Bonjour Pierre-Paul FOURCADE ,
Le Cérémé et PNC-France sont heureux de vous informer de la tenue d'un colloque au Sénat, le 10 mars prochain, dont le sujet sera :
"Quelle programmation pluriannuelle de l'énergie pour la France ?"
Une invitation contenant plus d'informations sur le déroulé de ce colloque ainsi qu'un lien d'inscription vous seront adressés dans les prochaines semaines.
N.D.L.R. : C'est noté.
Le Cérémé et PNC-France sont heureux de vous informer de la tenue d'un colloque au Sénat, le 10 mars prochain, dont le sujet sera :
"Quelle programmation pluriannuelle de l'énergie pour la France ?"
Une invitation contenant plus d'informations sur le déroulé de ce colloque ainsi qu'un lien d'inscription vous seront adressés dans les prochaines semaines.
Cérémé
63 rue la Boétie, 75008 Paris, France
63 rue la Boétie, 75008 Paris, France
N.D.L.R. : C'est noté.
Fédération Environnement Durable
rédigé le Vendredi 31 Janvier 2025
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Paris, le 30 janvier 2025
La Programmation Pluriannuelle de l'Énergie (PPE3) : une stratégie énergétique coûteuse et suicidaire
Un récent article publié par la Fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques (IFRAP), intitulé "Électricité : chronique d'un désastre annoncé", analyse en détail les lacunes de la Programmation Pluriannuelle de l'Énergie (PPE3), portée par le ministère de la Transition écologique.
La Fédération Environnement Durable, qui partage en grande partie cette analyse, estime que la PPE3, qualifiée de "catastrophe programmée", doit être abandonnée en raison de son manque de pertinence et de sa non-viabilité.
Dans un contexte économique difficile, la fédération dénonce un investissement jugé exorbitant de 400 milliards d'euros, associé à des bénéfices nuls et des risques de sécurité d'approvisionnement considérables. La PPE3 prévoit en effet de tripler la puissance des énergies renouvelables intermittentes (éolien et solaire) d'ici 2035, une ambition critiquée pour ses hypothèses biaisées et son coût élevé.
Les problèmes majeurs de la PPE3 : Plusieurs points critiques sont soulevés :
- Absence de sécurité d'approvisionnement : La PPE3 ne traite pas des enjeux essentiels tels que la puissance garantie, l'équilibre entre offre et demande ou la gestion des périodes de forte demande et de faible production des énergies renouvelables intermittentes (EnR-i).
Les flexibiltés envisagées pour garantir la sécurité d'approvisionnement sont floues, non éprouvées, coûteuses et/ou basées sur l'encrêtement non sollicité des consommateurs, dont les ménages, s'éloignant ainsi de la notion de service public de la fourniture.
- Risques de déséquilibre : Le réseau électrique fera face à des pénuries en cas de conditions météorologiques défavorables (absence de vent ou de soleil), ainsi qu'à des surproductions incontrôlées.
- Inutilité environnementale : Le mix électrique français étant déjà décarboné à 92 %, l'augmentation massive des EnR-i ne se justifie pas par un impératif de décarbonation.
- Données faussées : La PPE3 répond à une consommation électrique future surévaluée par les industriels du secteur pour développer leur intérêts privés et non pour l'intérêt général.
La consommation électrique de la France diminue systématiquement ou stagne depuis 10 ans ce qui reflète notamment son déclin industriel lié à une perte de compétitivité.
- Coût disproportionné : Le développement de 106 GW supplémentaires d'EnR-i est estimé à 400 milliards d'euros, une dépense jugée exorbitante comprent le coût collossal de la construction en cours d’un nouveau réseau électrique, pour un bénéfice énergétique, environnemental et de souveraineté nul.
Conclusion
La fédération Environnement Durable appelle à l'abandon immédiat de la PPE3, considérant que cette stratégie énergétique manque de pertinence et de viabilité. Dans un contexte économique critique, elle estime qu'il est impératif de renoncer à un investissement aussi lourd, aux bénéfices inexistants et aux risques élevés.
Contact presse :
Jean-Louis Butré
06 80 99 38 08
contact@environnementdurable.net
La Programmation Pluriannuelle de l'Énergie (PPE3) : une stratégie énergétique coûteuse et suicidaire
Un récent article publié par la Fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques (IFRAP), intitulé "Électricité : chronique d'un désastre annoncé", analyse en détail les lacunes de la Programmation Pluriannuelle de l'Énergie (PPE3), portée par le ministère de la Transition écologique.
La Fédération Environnement Durable, qui partage en grande partie cette analyse, estime que la PPE3, qualifiée de "catastrophe programmée", doit être abandonnée en raison de son manque de pertinence et de sa non-viabilité.
Dans un contexte économique difficile, la fédération dénonce un investissement jugé exorbitant de 400 milliards d'euros, associé à des bénéfices nuls et des risques de sécurité d'approvisionnement considérables. La PPE3 prévoit en effet de tripler la puissance des énergies renouvelables intermittentes (éolien et solaire) d'ici 2035, une ambition critiquée pour ses hypothèses biaisées et son coût élevé.
Les problèmes majeurs de la PPE3 : Plusieurs points critiques sont soulevés :
- Absence de sécurité d'approvisionnement : La PPE3 ne traite pas des enjeux essentiels tels que la puissance garantie, l'équilibre entre offre et demande ou la gestion des périodes de forte demande et de faible production des énergies renouvelables intermittentes (EnR-i).
Les flexibiltés envisagées pour garantir la sécurité d'approvisionnement sont floues, non éprouvées, coûteuses et/ou basées sur l'encrêtement non sollicité des consommateurs, dont les ménages, s'éloignant ainsi de la notion de service public de la fourniture.
- Risques de déséquilibre : Le réseau électrique fera face à des pénuries en cas de conditions météorologiques défavorables (absence de vent ou de soleil), ainsi qu'à des surproductions incontrôlées.
- Inutilité environnementale : Le mix électrique français étant déjà décarboné à 92 %, l'augmentation massive des EnR-i ne se justifie pas par un impératif de décarbonation.
- Données faussées : La PPE3 répond à une consommation électrique future surévaluée par les industriels du secteur pour développer leur intérêts privés et non pour l'intérêt général.
La consommation électrique de la France diminue systématiquement ou stagne depuis 10 ans ce qui reflète notamment son déclin industriel lié à une perte de compétitivité.
- Coût disproportionné : Le développement de 106 GW supplémentaires d'EnR-i est estimé à 400 milliards d'euros, une dépense jugée exorbitante comprent le coût collossal de la construction en cours d’un nouveau réseau électrique, pour un bénéfice énergétique, environnemental et de souveraineté nul.
Conclusion
La fédération Environnement Durable appelle à l'abandon immédiat de la PPE3, considérant que cette stratégie énergétique manque de pertinence et de viabilité. Dans un contexte économique critique, elle estime qu'il est impératif de renoncer à un investissement aussi lourd, aux bénéfices inexistants et aux risques élevés.
Contact presse :
Jean-Louis Butré
06 80 99 38 08
contact@environnementdurable.net
Fédération Environnement Durable
rédigé le Lundi 3 Février 2025
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
rédigé le Lundi 3 Février 2025
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EN 53 SECONDES JANCOVICI « FLINGUE » EOLIEN ET SOLAIRE
Il condamne ainsi sans appel la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE3) du gouvernement qui consiste à vouloir tripler l’éolien et le solaire avant 2035 en France.
Essayer de singer les Allemands c’est une énorme bêtise...
N.D.L.R. : Difficile d'être plus clair.
Il condamne ainsi sans appel la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE3) du gouvernement qui consiste à vouloir tripler l’éolien et le solaire avant 2035 en France.
Essayer de singer les Allemands c’est une énorme bêtise...
N.D.L.R. : Difficile d'être plus clair.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 4 Février 2025
Electricité - Bâtiment Nord - Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
rédigé le Mardi 4 Février 2025
Electricité - Bâtiment Nord - Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
L'électricité n'arrête pas de sauter à la Chaslerie, le problème étant dû à EdF, entreprise en plein naufrage organisé par les pouvoirs publics.
Depuis un long moment, mon appareil respiratoire se retrouve H.S. à cause des conneries sans limites de la politique énergétique qu'on continue à nous infliger contre tout bon sens.
P.S. (à 1 heure du matin) : Cette panne dure depuis plus de 30 minutes...
P.S. 2 (à 1 heure 30) : J'ai médit, la panne n'affectait dans ma bulle d'habitation du bâtiment nord que ma chambrette monacalo monastique et certaines autres pièces comme l'entrée et la cuisine, ainsi que je viens de m'en apercevoir. Bizarre quand même.
Depuis un long moment, mon appareil respiratoire se retrouve H.S. à cause des conneries sans limites de la politique énergétique qu'on continue à nous infliger contre tout bon sens.
P.S. (à 1 heure du matin) : Cette panne dure depuis plus de 30 minutes...
P.S. 2 (à 1 heure 30) : J'ai médit, la panne n'affectait dans ma bulle d'habitation du bâtiment nord que ma chambrette monacalo monastique et certaines autres pièces comme l'entrée et la cuisine, ainsi que je viens de m'en apercevoir. Bizarre quand même.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 4 Février 2025
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Anecdotes - Références culturelles
rédigé le Mardi 4 Février 2025
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Dans le "Ouest-France" d'hier et faisant la une, un article de pure propagande éhontée en faveur des éoliennes.
Je crois que je vais finir par partager l'avis de Michel ONFRAY sur ce genre de presse toujours aux ordres.
Je crois que je vais finir par partager l'avis de Michel ONFRAY sur ce genre de presse toujours aux ordres.
Comité Trump France (via "X")
rédigé aujourd'hui
A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Vie des associations - Désultoirement vôtre !
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