Lobbying autre qu'environnemental

La Haute-Chapelle fait les grands titres des journaux cette semaine ! On ne parle plus que de la déviation. J'espère qu'à la suite des vives protestations de certains "riverains", un nouveau tracé ne viendra pas s'infiltrer dans vos terres ! Protégeons l'intégrité de la Chaslerie ! Amitiés !

Tout fier qu'"on y parle de la Chaslerie !", Pascal MAIZERAY, mon maçon, vient de me communiquer le numéro de novembre 2009 du journal de circonscription de M. Yves DENIAUD, député de la 1ère circonscription de l'Orne. Domfront et La Haute Chapelle font partie de cette circonscription, donc Yves DENIAUD est "notre député".

C'est avec attention que nous avons pris connaissance, notamment, de l'article où Yves DENIAUD nous fait la courtoisie de citer, photo à l'appui, la Chaslerie et son site internet.

Ce que cet élu écrit, dans l'article qui nous est consacré, dépasse le cas de notre seul monument. Je cite quelques passages de son texte : il est "important d'encourager celles et ceux qui, sans relâche, participent à la préservation de notre propre culture. Bien entendu, le bénévolat est la première ressource de cette dynamique. (...) Il y a également une dimension économique qu'il ne faut pas négliger au moment où l'Etat mobilise ses forces sur un vaste plan de relance". Yves DENIAUD termine son article en soulignant que, grâce aux monuments historiques, "de nombreux corps de métier (...) trouvent là une activité économique, en plus de participer à la sauvegarde d'un patrimoine collectif."

Pascal et moi aurions pu signer ce texte, mais aussi tous les artisans qui concourent aux travaux de la Chaslerie.

Il est à espérer que la netteté et la qualité de ce diagnostic conduiront à de bonnes décisions de la part de la représentation nationale et, plus généralement, de l'ensemble des élus avec lesquels Yves DENIAUD est amené à coopérer "pour rendre la vie commode et les gens heureux" (comme, de mémoire, l'avait recommandé BOSSUET).

A cet égard, je voudrais évoquer ici - je le fais ainsi pour la première fois sur ce site -, la question de la politique du conseil général de l'Orne en matière d'aide à la restauration et à l'entretien des monuments historiques privés de son ressort.

A ma connaissance, aucune ligne de crédit n'est plus prévue depuis 1993, au niveau du conseil général de l'Orne, pour subventionner de tels travaux. L'Orne serait ainsi le seul département de Basse Normandie et, plus largement, de l'Ouest du pays (je pense ici aux régions limitrophes) à avoir opté si longtemps pour une telle abstinence, pour ne pas dire absence de politique.

Cette situation est évidemment préoccupante.

Ainsi, pour revenir au cas de la Chaslerie, l'Etat a d'ores et déjà promis, pour une certaine tranche nécessaire de travaux (sur la couverture des écuries, c'est-à-dire une petite partie du programme de travaux restant à effectuer) d'importantes subventions qui risquent fort de ne pouvoir être consommées, faute d'aide significative au financement des 60 % qui, à ce stade, restent à la charge des seuls propriétaires. La subvention réservée par l'Etat mais qui risque désormais d'être rapidement perdue s'élève à plus de 50 000 €€ ; la somme complémentaire à trouver avant la fin du premier trimestre 2010 est de plus de 75 000 €Â€ (cette dernière somme ne tient nullement compte de tous les autres travaux engagés par ailleurs ni des salaires et charges sociales des employés comme Pascal). Je souligne qu'à défaut de solution avant le printemps 2010, ces 50 000 €Â€ devront repartir à Paris et ne pourront nullement, la réglementation étant ce qu'elle est, être remobilisés ni dans l'Orne ni en Basse Normandie, ce qui serait particulièrement dommageable et, on peut le dire, absurde.

Il paraît indispensable que le conseil général de l'Orne modifie profondément sa politique en ce domaine, et aussi qu'il le fasse suffisamment tôt pour que les artisans ornais puissent ne pas perdre le bénéfice des crédits d'ores et déjà réservés par l'Etat.

En liaison avec la "Demeure Historique", j'ai eu, depuis le début de l'année, des échanges constructifs à ce sujet avec le président du conseil général de l'Orne et son directeur général des services. Je comprends que la question devrait être débattue dès le 30 novembre prochain par le conseil général et l'on nous laisse entendre que la réponse de principe pourrait y être favorable.

Pascal et moi formons le vœu qu'Yves DENIAUD relaye ces efforts de pédagogie et que, non seulement le département de l'Orne cesse de se démarquer négativement sur un tel sujet, mais le fasse assez vite pour ne pas risquer de perdre des fonds d'Etat promis, en fait, - et c'est bien là le point essentiel - aux artisans du département et de la circonscription.

J'apprends à l'instant que le conseil général de l'Orne a décidé hier d'élargir au patrimoine classé ou inscrit au titre des monuments historiques la gamme de ses interventions en faveur du patrimoine. En pratique, cela signifie que la majorité des conseillers généraux reconnaît la contribution des monuments historiques ornais à la promotion du tourisme et à la défense d'un emploi artisanal local de qualité. Cette assemblée est donc désormais disposée à subventionner (dans la limite de 15 % et de 15 000 €€ par dossier) les travaux extérieurs sur les monuments historiques privés.

C'est là une excellente nouvelle, et il convient d'en remercier au premier chef M. Alain LAMBERT, ancien ministre du budget, sénateur et président du conseil général de l'Orne, ainsi que M. Christophe de BALORRE, vice-président du conseil général. Sans leur soutien actif et éclairé, cette réforme n'aurait évidemment pu être adoptée.

J'observe que le "rapport du président" qui recommandait cette réforme au conseil général a eu comme "objectif opérationnel" de "contribuer à l'appropriation des biens culturels". Et c'est bien là, en effet, toute la portée d'une telle réforme. Car il ne s'agit pas tant d'alléger la lourde charge financière des propriétaires privés de monuments historiques que de leur donner un coup de chapeau officiel bienvenu pour leur action fondamentalement bénévole. Le patrimoine dont il s'agit ici est en effet, au-delà de ses propriétaires privés immédiats, une part significative de la culture profonde du terroir, un bien commun.

C'est bien ainsi qu'on le comprend à la Chaslerie et, j'en suis persuadé, chez les autres dépositaires temporaires de ces utiles vestiges d'un grand passé. Soyons donc fiers de nos monuments historiques, rendons-les accessibles et compréhensibles à tous, et notamment aux plus jeunes. Car tel est bien l'enjeu !

N'est-il pas regrettable que M. Christian DEROUET, le maire de Lonlay-l'Abbaye, n'ait pas cru devoir répondre favorablement à l'invitation qui lui avait été faite, en temps utile, de participer à notre assemblée générale de cette après-midi ? Il avait pourtant au moins cinq bonnes raisons de s'y rendre, ainsi que l'ordre du jour de cette assemblée générale l'exprime sans ambiguïté :

1 - La Chaslerie a toujours entretenu avec Lonlay et son abbaye des liens très forts ; à l'origine du manoir, le seigneur de la Chaslerie avait pour suzerain l'abbé de Lonlay ; pendant des siècles, l'abbaye a conservé les documents attestant cette vassalité ; il est d'ailleurs déplorable que le chartrier correspondant ait subi plusieurs fois les conséquences de l'incurie des hommes ou des aléas de l'Histoire. Le maire de Lonlay-l'Abbaye peut être informé de l'existence de documents inédits sur l'histoire de sa commune et souhaiter partager ce savoir.

2 - La Chaslerie constitue pour la commune de Lonlay-l'Abbaye sur le territoire de laquelle elle est en partie implantée un atout culturel et touristique de choix. Le public ne s'y trompe pas puisque la Chaslerie reçoit chaque année de très nombreux visiteurs (de l'ordre de 1 500 en "réel" et de 30 000 en "virtuel").

3 - Depuis plus de vingt ans, le manoir de la Chaslerie fait l'objet d'un important programme de restauration. Les travaux de maçonnerie nécessitent le recours au bon grès, de la bonne couleur et du bon grain. En trouver n'est pas facile depuis que les carrières locales ont fermé. La fine connaissance du terrain que sont censés développer les élus locaux aurait pu permettre à M. DEROUET de signaler chez lesquels de ses administrés des stocks de pierres pourraient être disponibles.

4 - Comme tous les maires de la région Basse-Normandie, le maire de Lonlay-l'Abbaye doit faire part, d'ici quelques jours, aux autorités régionales, de son opinion sur le "Schéma régional éolien" ; il doit le faire en répercutant l'avis des associations locales concernées ; l'association de la Chaslerie a plus de 20 ans d'existence et une vitalité qui l'a conduit à inscrire ce sujet à l'ordre du jour de son assemblée générale de 2012. Pour l'efficacité de l'action du maire de Lonlay-l'Abbaye, il aurait semblé utile qu'à l'instar de son collègue le maire de La Haute Chapelle, M. Roger GRIPPON, il prenne ses dispositions pour éclairer de son point de vue les débats de l'association, étant observé que, dans sa version actuelle, le Schéma régional éolien de Basse-Normandie classe Lonlay-l'Abbaye parmi les "communes favorables au grand éolien" (!). Cela aurait paru d'autant plus opportun que l'idée d'implanter des éoliennes dans les parages soulèverait à l'évidence de très sérieux problèmes.

5 - Le ruisseau Choisel (ou Beaudouët) qui sépare les territoires de Lonlay-l'Abbaye et de la Haute Chapelle traverse les terres de la Chaslerie. Ce ruisseau a l'immense avantage d'héberger des écrevisses à pattes blanches, ce qui justifierait sans doute le renforcement des mesures de protection dont il bénéficie déjà, notamment au titre des truites fario.

Compte tenu du fait que M. DEROUET ambitionne, semble-t-il, d'être le prochain conseiller général du canton de Domfront, l'"association pour la restauration et l'animation du manoir de la Chaslerie" ne manquera pas de le tenir informé du résultat de ses propres réflexions. Elle sera particulièrement vigilante lorsqu'elle observera la façon dont M. DEROUET tirera les conséquences de ses délibérations. Elle en rendra compte ici, notamment.
Bonjour,

Votre demande est sûrement maintenant en cours de traitement à la D.R.A.C. et je suis persuadé que dans les prochaines mises à jour des données de l'Atlas, des corrections seront apportées. Les données figurant dans l'Atlas sont en présentation et en aucun cas ne peuvent être opposables comme cela est décrit dans l'Atlas, rubrique présentation.

Cordialement

Daniel FEUILLET - Chef de projets informatique (Gestauran - Atlas)
Département des systèmes d'information patrimoniaux
Ministère de la culture et de la communication
Direction générale des patrimoines
17, Quai de l'abbé Grégoire
41000 Blois
Tel : 02 54 55 76 94
Mob: 06 07 78 12 16

N.D.L.R. : Ce message fait suite à ma demande de correction de l'"Atlas du patrimoine", tel que je l'ai découvert dans le SRE de Basse-Normandie. Il y avait des erreurs à propos de la Chaslerie dont j'avais demandé la correction, ainsi que rapporté sous cet onglet en date du 15 août dernier.
Lu sur "lesechos.fr" : "Alors que le rapport Gallois valorise la qualité de vie en France pour attirer des entreprises, le dynamisme de la scène artistique hexagonale contribue aussi à placer le pays au premier rang des destinations touristiques, avec 80% de visiteurs étrangers générant 15 milliards d'euros de chiffre d'affaire annuel. « Notre territoire compte près de 50.000 monuments historiques et plus de 13.000 équipements culturels de proximité, 4.500 bibliothèques, 2.000 cinémas, des centaines de galeries et de centres d'art, 500 lieux de spectacle, 1.200 musées », a rappelé Aurélie Filippetti, estimant que cette logique de l'offre a d'ailleurs ses limites, et justifiant ainsi les grands chantiers stoppés à son arrivée rue de Valois."

N.D.L.R. : Merci. Tous mes voeux également à votre équipe, en espérant qu'en 2013 nous obtiendrons enfin du comité départemental du tourisme qu'il finance des panneaux routiers vers la Chaslerie et d'autres sites qui le mériteraient plus que certains.
Le 17 novembre dernier, Jean-Luc Martinez, président-directeur du Musée du Louvre, a présenté un rapport de 50 propositions sur la protection du patrimoine de l’humanité dans les zones de conflit.

N.D.L.R. : Nous soutenons !
On trouvera ici le lien vers le mémoire en réplique de l'avocat de certains opposants (dont deux associations nationales reconnues d'utilité publique et une association régionale particulièrement active et compétente en la matière) à un projet de parc éolien voisin à 6,7 km de notre manoir favori.

Il est intéressant de noter que, selon le promoteur, les éoliennes en question ne seraient pas visibles de la Chaslerie.

Deux photomontages (photos 4 et 5) prouvent qu'une fois de plus, c'est sur la base de mensonges éhontés du promoteur et de ses relais locaux que les permis de construire ont été signés.

Observons au passage que ce promoteur (à capitaux et engins allemands), destiné à être bénéficiaire de la C.S.P.E. payée par tous les abonnés d'EdF, n'est même pas fichu de lire la base Mérimée, certes plus ou moins bien tenue à jour par le ministère de la Culture mais résumant utilement, me semble-t-il, l'essentiel des dispositions arrêtées pour ce qui nous concerne. Bien entendu, je n'avais pas manqué de signaler ces erreurs lors de l'enquête publique de l'automne dernier mais le commissaire-enquêteur n'en avait eu cure comme il ressort de son rapport qui laisse beaucoup de lecteurs pantois (mais je suppose qu'ils auront bientôt l'occasion de préciser cette pensée ; je tâcherai, le moment venu, de me faire l'écho de leurs sidérations).

Selon l'avocat des requérants, le dossier des permis de construire - pour ne parler que de lui à ce stade - comporte de nombreuses autres erreurs de fait ou de droit, de sorte que Maître MONAMY sollicite du tribunal administratif de Caen l'annulation des deux arrêtés préfectoraux litigieux ayant accordé, en mars 2015, les permis de construire six aérogénérateurs électriques industriels de 150 mètres de hauteur chacun.
Dans les abattoirs, le cauchemar continue.
L214 révèle 2 enquêtes.

Ces nouvelles images publiées ce matin proviennent des abattoirs de Pézenas (34) et de Puget-Théniers (Mercantour - 06). Elles « dévoilent encore une fois la cruauté des hommes envers les animaux » commente Rémi Gaillard dans cette vidéo.

N.D.L.R. : Je soutiens L214. La cruauté envers les animaux est intolérable !

Exigeons l'installation de systèmes de vidéo-surveillance dans TOUS LES ABATTOIRS de France !

Il y a désormais, outre des preuves qui s'accumulent, une très forte présomption d'inhumanité dans ces endroits, et d'insuffisance flagrante et manifeste des contrôles des services de police de l'Etat, notamment les vétérinaires.

N.D.L.R. : Il est bien dommage que le développement touristique de Domfront-en-Poiraie relève d'une élue fermée au dialogue et qui continue à laisser prospérer l'idée stupide que l'histoire de la commune et son intérêt patrimonial se cantonnent à d'aussi étroites limites.

C'est nul ! Vivement la relève !
(début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : vendredi 7 avril 2017 11:49
À : vcordier@citechaillot.fr
Cc : Maffre Benoit; Floriane Grippon; anne.chevillon@culture.gouv.fr; nicolas.gautier@culture.gouv.fr; arnaud.tiercelin@culture.gouv.fr
Objet : Stage de MM. Johann TOUCHARD et Nicolas VALLEE à Domfront-en-Poiraie.

Madame,

Je vous écris en qualité de propriétaire d'un monument historique classé sis à Domfront-en-Poiraie (Orne), le manoir de la Chaslerie.

Ce manoir fait l'objet de travaux de restauration sous la houlette d'architectes diplômés de votre école, M. Benoît MAFFRE et Melle Floriane GRIPPON, que je remercie de m'avoir communiqué vos coordonnées.

En effet, d'après ce que je lis dans la presse locale, deux étudiants de l'Ecole de Chaillot, MM. TOUCHARD et VALLEE effectuent un stage dans cette commune sur le thème d'"Une ville, son territoire et son patrimoine".

Or il semble que les informations qui leur ont été transmises sur place ont omis de leur signaler que, sur le territoire de la même commune, existent un certain nombre de manoirs, dont plusieurs protégés au titre des monuments historiques et certains ouverts au public. Ces manoirs ont de tout temps constitué l'hinterland" de la citadelle de Domfront. De ce fait, il paraîtrait curieux que le rapport de ces étudiants omette, comme on peut sans doute le craindre à la lecture de la presse locale, cette réalité historique, patrimoniale et touristique.

Je tenais à vous le signaler tant qu'il paraît temps.

Je suis à la disposition de vos étudiants pour les rencontrer sur place (ou à Paris) et compléter leur information comme cela semblerait nécessaire.

Je vous prie d'agréer, Madame, l'expression de mes salutations distinguées.

Pierre-Paul FOURCADE
02 33 37 08 10
06 12 96 01 34

(fin de citation)
Chers Amis,

L'absence ou la relative pauvreté, dans le programme des candidats à l'élection présidentielle, de projet en matière de patrimoine, alors que ce domaine de l'action publique requiert toute leur attention, nous a incité à formuler des propositions concrètes.

Elles ont été diffusées en mars auprès des équipes de chacun des candidats et peuvent servir de référence pour l'avenir.

Les thèmes de l'enseignement, du patrimoine de l'Etat, du devenir des grandes demeures et de leur mobilier, des églises, des rapports à l'écologie et à l'aménagement du territoire y sont notamment abordés, avec un espoir : celui de remettre le patrimoine au cœur de la vie de chacun.

N'hésitez pas à diffuser largement notre projet, notamment auprès de vos parlementaires.

Avec mes remerciements.

Patrimonialement vôtre,

Alexandre GADY
Président de Sites & Monuments

Sites & Monuments - SPPEF
Association nationale reconnue d'utilité publique
39, avenue de La Motte-Picquet – 75007 Paris
01 47 05 37 71

https://twitter.com/SPPEF
www.facebook.com/sitesetmonuments
www.dailymotion.com/SPPEF
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 10 mai 2017 03:57
À : e.tranchido@crbn.fr
Objet : Politique de la région en faveur du patrimoine

Bonjour !

J'ai appris que notre Région entend "Définir et mettre en œuvre une nouvelle politique en faveur de la préservation, de la restauration et de la valorisation du patrimoine".

Pourriez-vous me donner quelques informations sur les moyens mis en œuvre et la possibilité de les mobiliser, sachant que je restaure dans l'Orne un monument historique classé, ouvert au public tout au long de l'année ?

D'avance merci.

Cordialement,

Pierre-Paul FOURCADE
Manoir de la Chaslerie, La Haute Chapelle, 61700 - Domfront-en-Poiraie
02 33 37 08 10
www.chaslerie.fr

(Fin de citation)

J'ai posé la même question à Catherine MEUNIER, vice-présidente de la Région Normandie et maire-adjointe de Domfront-en-Poiraie.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 18 janvier 2018 20:09
À : Soul Bernard
Objet : Ouest-France : Domfront. Le conseil régional donne carte blanche à la cité médiévale

Monsieur le maire,

Suite à l'article d'Ouest-France, je vous signale que l'"Association pour la restauration, la défense et l'animation du manoir de la Chaslerie" est prête, ainsi bien sûr que les propriétaires, à participer à la réflexion que vous allez sans doute organiser.

Il n'est certainement pas nécessaire que je vous redise que le patrimoine domfrontais ne se limite pas à la citadelle.

A la Chaslerie, on ne demande pas mieux que de vous aider, notamment sur des projets concrets d'animation ou, au moins autant, de restauration du patrimoine.

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)
A 17 h 30 aujourd'hui, le message 45023 a déjà été consulté, à lui seul, par 56 visiteurs différents depuis ce matin.


Cet engouement est tout à fait exceptionnel. Il donne une idée du RAS LE BOL qu'inspire ce gouvernement.