Livre d'or

A vendre sur internet (...) :


Cordialement,

Alexandre

N.D.L.R. : Merci beaucoup. Je le signale à mon aîné. J'ai en effet compris qu'il est en train de décorer certains murs de son appartement (dans son bureau) avec des vues du manoir favori...

Ce dessin date de l'époque où il n'y avait plus de portail mais où des ouvertures avaient déjà été percées au rez-de-chaussée et au 2ème étage du colombier. Donc des années 1960, j'imagine.

A noter : le curieux symbole fiché dans la pelouse de droite. Signature de l'auteur (rappelant celle de Charlemagne) ou épi de faîtage d'une chapelle (que ferait-il là ?).

La fenêtre Sud de la "salle dévastée" a été oubliée. Curieux.

N.D.L.R. 2 (du 2 mars 2020 à 10 heures) : Mon aîné m'a laissé me dévouer. C'est fait.

Le vendeur est Italien. Voici le texte de son annonce : "disegno matita e/o grafite
castello francese
ottima mano, perfette condizioni. carta liscia non vergata.
350 x 220 mm.
vedi foto o chiedi.
opera di cortesia fatta da un ospite per il proprietario si usava fare."

Le traducteur en ligne me fournit ceci : "dessin au crayon et / ou graphite
Château français
excellente main, parfait état. papier ordinaire lisse.
350 x 220 mm.
voir les photos ou demander.
la courtoisie faite par un invité pour le propriétaire était habituée."

(La fin est bizarre. Pas au point, ces trucs-là...)
Chers amis

Veuillez trouver ci-joint le communiqué de presse signé par Vent de
Colère ! et 8 autres grandes associations de défense du patrimoine et de
l'environnement :

ÉOLIEN : NON A LA CACOPHONIE,
POUR UNE TRANSITION ÉNERGÉTIQUE ACCEPTÉE PAR TOUS LES CITOYENS


A diffuser et partager le plus largement possible.

Vent de Colère! Fédération Nationale
06 40 89 49 82

N.D.L.R. : Je soutiens !
0
Dans la dictée

"succédé", j'aurai tendance à écrire " succédées"

merci pour ton avis

N.D.L.R. : Eh bien non. J'ai fait la même faute, comme tu le vois. Il s'agit d'un verbe pronominal intransitif (c'est-à-dire qu'il n'a jamais de complément d'objet direct) ; comme tel, il est toujours invariable. Autre exemple : s'étaient souri (cf haut de ma 3ème page de notes. Il est vrai que j'écris comme un cochon).

Et, à mon avis, tu pourrais écrire : "j'aurais tendance"...
M. Fourcade,

Après quelques années sans visiter votre site et l’avancement des travaux, je le redécouvre avec plaisir.
Ce message pour évoquer vos travaux de la cour. Excellente nouvelle que d’avoir mis à jour une partie de l’ancien pavage.

Mais cette découverte confirme la drôle d’impression que j’avais en regardant le travail d’Igor... à savoir que les pavés sont certes très bien posés, mais sont pour la plupart posés à l’envers... !
Ces pavés permettent notamment aux eaux de pluie d’être drainées loin de la façade. Pour ce faire, ils doivent former des lignes perpendiculairement à la façade, et non parallèlement...
Exception : les allées menant aux portes piétonnes et aux portes de grange. A ce moment les pavés sont posés parallèlement à la façade, et en formant un petit dôme, toujours pour l’écoulement des eaux (la partie centrale de ce dôme constituant le fameux « haut du pavé » ).
Ce traitement différent permet de marquer ces entrées et cela permet aussi une marche plus aisée. De même devant les portes de grange, les roues de charrette évitaient ainsi de rester coincées dans une ligne de pavés (c'est une hypothèse, mais elle me parait sensée).

Restaurer ce pavage à l’identique et avec ces mêmes pavés serait effectivement la meilleure chose à faire. Les pavés posés par Igor ont le défaut d’être presque trop parfaits, et pour beaucoup trop carrés. Ce pavage ancien est constitué de pavés plutôt allongés il me semble (un type de pavés plus difficile à trouver, j’en sais quelque chose).
Si vous vous orientez vers une restauration à l’identique, je ne pense pas que vous pourrez faire l’économie de démonter entièrement les pavés posés par Igor...

Autre point, quel est le mortier de pose utilisé par Igor ? Les photos sont peu flatteuses et ressemblent à s’y méprendre à un mortier réalisé avec du ciment... Ou un mélange bâtard chaux/ciment ?
Ces pavés devraient être posés exclusivement avec de la chaux, type chaux hydraulique naturelle. (ex : chaux Saint Astier NHL 3,5) et un sable grossier se rapprochant plutôt d’un sable à béton.
Le ciment n’a aucune raison d’être ici, ces pavés n’auront jamais qu’à supporter leur propre poids et pendant quelques secondes celui des personnes y circulant... pourquoi chercher une résistance mécanique pouvant accueillir un char d’assaut ?
Autre défaut du ciment, et surtout à cet endroit, c’est qu’il n’est pas du tout perspirant et va emprisonner l’humidité en pied de mur ; ce qui risque de créer des remontées capillaires dans vos murs... assez gênant.
Dernier argument, le ciment contrairement à la chaux contient des sels solubles qui peuvent migrer par capillarité et créer des efflorescences en pied de mur. Ces sels ont également un effet délétère sur les pierres de taille (du moins celles en calcaire, ce qui n’est toutefois pas le cas ici).

On pourrait aller plus loin en remettant même la chaux en question. Habitant en Lorraine, je n’ai pas forcément une bonne connaissance de la géologie et des matériaux de construction de votre secteur. Mais ce qui tombe sous le sens, c’est que, dans une région dominée par le granit, la chaux y est quasi inexistante, a fortiori à l’époque de construction de votre manoir ! Pas de calcaire, pas de chaux.
Importer de la chaux d’une région voisine n’est pas exclu, mais même pour des propriétaires de manoir, cela devait représenter un coût non négligeable à l’époque considérée. Au plus près de votre secteur, je pense à la chaux dolomitique de Neau, en Mayenne, qui pourrait être une bonne candidate (on la fabrique encore aujourd’hui sous l’appellation Batidol par le groupe BCB Tradical)
En tout cas, en importer devait rester chose très rare, à réserver à l’exécution de certains enduits ou de décors, mais je ne pense pas pour maçonner des murs et encore moins poser des pavés... J’imagine donc que la grande majorité de vos murs sont montés à la terre. Et ma foi ils ont tenu !
Ne connaissant pas votre région je peux me tromper, mais je jugeais utile de porter à votre connaissance ces quelques éléments.

En vous souhaitant la meilleure poursuite possible pour cette belle restauration,

Bien cordialement,

T. Schuler
Professeur de physique-chimie
Maçon du bâti ancien

N.D.L.R. : Merci beaucoup pour ce point de vue substantiel, réfléchi et détaillé.

Je me bornerai à quelques remarques :

- sur l'écoulement des eaux : il se fait en effet parallèlement aux façades et non perpendiculairement mais il a été prévu tout un système de canalisations et drainages sous le pavage nouveau (les "trottoirs") pour que l'eau disparaisse au plus vite, étant signalé qu'il existe une pente de 2% partout où, dans cette conformation, c'est nécessaire ;

- sur les raisons de ce choix d'orientation de l'écoulement : ceci résulte du souci principal d'origine d'assainir le pied du mur Ouest du bâtiment Ouest ; vous retrouverez mes explications détaillées en vous reportant aux pages du "site favori" de l'été 2019 ; l'idée principale était, en l'absence de gouttières, d'évacuer au plus vite les eaux pluviales, localement abondantes, tombées sur les couvertures ;

- sur les matériaux et la pose des pavés : je confirme qu'ici, les maçonneries sont traditionnellement montées à la terre ; la pierre est principalement du schiste, donc dérive, me semble-t-il, du calcaire mais, pour autant, il n'y avait pas de chaux, sauf peut-être dans des monuments plus riches que celui-ci qui est fondamentalement rural et rustique ; je pense (point à vérifier) qu'Igor a utilisé du sable légèrement additionné de "Baticim" pour la cohésion, étant entendu qu'il passera de lourds engins de chantier (dont le "Valtra") dans la cour, au moins aussi longtemps que l'intérieur du monument n'aura pas été restauré ;

- sur le projet de restauration de la cour : j'ai beaucoup hésité mais un élément nouveau important est apparu le 7 février dernier ; le service régional d'archéologie est en effet intervenu ce jour-là dans des conditions telles que le conservateur régional du patrimoine nous a conseillés, à l'architecte du patrimoine et à moi, de "cristalliser" (le terme est de moi) le pavage ancien, c'est-à-dire de nous borner à ne pas à y toucher et à le recouvrir d'un revêtement qui demeurerait "amovible" (l'expression est encore de moi), tout en pouvant, en principe, poursuivre la pose de ce que j'appelle les "trottoirs" (en fait à l'emplacement des plates-bandes que nous connaissions jusqu'à mes travaux) sur le reste du pourtour de la cour, et en veillant à ne pas déborder de leur emprise pour enfouir les canalisations requises par le système de chauffage par aquathermie. Tout cela peut paraître excessivement compliqué et contraignant compte tenu de l'état et de l'intérêt apparents, au moins à mes yeux pourtant attentifs et relativement expérimentés, du pavage ancien mais, par pragmatisme, donc par résignation, et par manque de fonds et de temps pour entreprendre un travail plus fondamental, nous entendons, l'architecte du patrimoine et moi, agir de la sorte.
Bonjour,

Mieux que les pommes de terre, d'ici 15 jours dans la partie préparée fort humide des rangs de haricots beurre, pas de fil bon rendement, les haricots semés doivent entendre le pas du jardinier qui s'éloigne. Attendre encore une quinzaine de jours. et en semer tous les 15 jours pour une récolte échelonnée.

Quelques plants de tomates. Soit sur tuteurs soit sur paille

Dans les parties basses des douves quelques plants de courgettes, de patissons et de potimarons,
de préférence avec du soleil. Ça prend beaucoup de place. Juste 2 ou 3 plants de chaque si vous voulez juste pour votre consommation. Donc les éloigner les uns des autres de plusieurs mètres.

De par mon expérience ces légumes résistent aux ragondins, pas les pommes de terre ni les salades, ni les côtes de bettes.

Un super engrais : des peaux de banane déjà passées au congélateur elles se délitent plus vite, à laisser dégeler pendant la préparation du trou de plantage, valable aussi pour les tomates.

Si vos tomates, en particulier les cornues des Andes qui font des tartes délicieuses, ont tendance à devenir noires, leur mettre 1/4 de litre de lait au pied ça marche très bien.

Bonne chance !

N.D.L.R. : Super ! Merci beaucoup !
A propos du général LE PULOCH :

(Début de citation)

De : Xavier (...)
Envoyé : mercredi 8 avril 2020 09:57
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Re: Général LE PULOCH

Oui bien sûr vous pouvez citer mon nom .

Ma mère qui se porte très bien avec ses 90 ans m’a dit que Gilberte MESSMER n’avait pas sa langue dans sa poche .
Mes grand-parents étaient très liés aux MESSMER .

Bien Cordialement

Dr Xavier GASTINEL
B.P. 14155 ARUE
TAHITI
POLYNESIE FRANCAISE

PS ici il est 22 H . Le temps de dormir avant de retourner voir les patients demain matin

_________________________________________________________________________________

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 8 avril 2020 09:22
À : Xavier (...)
Objet : RE: Général LE PULOCH

Super. Je rends compte de nos échanges sur mon site favori.

Puis-je citer votre nom ?

_________________________________________________________________________________

De : Xavier (...)
Envoyé : mercredi 8 avril 2020 09:17
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Re: Général LE PULOCH

Oui tout à fait.

Je suis médecin à Tahiti depuis près de 40 ans, un peu grâce à MESSMER .

Vos indices étaient évidents pour MESSMER .

Votre histoire va faire rire ma mère je pense .

Voici une photo du lion qui avait tué des enfants dans un village :


On avait demandé à mon grand-père de régler ce problème …

Cordialement et bon confinement

(...)

_________________________________________________________________________________

> Le 8 avr. 2020 à 08:53, Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com> a écrit :
>
> Je pense que la message que vous évoquez est celui-ci.
>
> Comme vous avez dû le comprendre, la personne qui s'exprimait ainsi était l'épouse de Pierre MESSMER.
> Mon père était à l'époque l'aide-de-camp de l'ambassadeur de France à Dakar, Claude HETTIER de BOISLAMBERT.
> Ma mère a été témoin de la scène qu'elle relate, l'épisode faisant partie de notre mémoire familiale...
>
> A votre disposition pour correspondre.
>
> Cordialement,
>
> PPF

_________________________________________________________________________________

> De : Xavier (...)
> Envoyé : mercredi 8 avril 2020 08:38
> À : penadomf@msn.com <penadomf@msn.com>
> Objet : Général LE PULOCH
>
> Monsieur
>
> Vous évoquez sur un site internet mon grand-père le général LE PULOCH .
>
> Pourrions-nous correspondre ?
>
> Merci
>
> Cordialement
>
> (...)

(Fin de citation)
Monsieur,

Cherchant çà et là des informations sur ma famille, les « Levêque » de Saint-Mars-d’Égrenne, j’ai découvert le site du manoir de la Chaslerie, sur lequel vous aviez publié – il y a de cela quelques années – une note portant sur cette famille. Cette dernière m’a beaucoup intéressé.

N’ayant pas eu accès aux fonds Durand de Saint-Front, les renseignements dont je disposais étaient assez succincts, et s’interrompaient brusquement au XVIIème siècle…

Ayant ainsi vu que vous aviez eu accès à ces notes, rédigées par Charles Levêque vers 1860, dont je savais l’existence (sans pour autant y avoir eu accès…), j’ai alors pensé que vous pourriez peut-être avoir la gentillesse de me les transmettre, à l’adresse jointe à ce message, ou en publiant une photographie sur le site de la Chaslerie, afin que je puisse les consulter.

Bien sûr, si cela vous crée le moindre problème, je comprendrai tout-à-fait que vous ne donniez pas de suite à ma requête, et ce ne serait aucunement grave.

En vous assurant d’avance de toute ma gratitude pour tout ce que vous pourrez faire pour moi, je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur, l’expression de mes sentiments distingués.

Charles Levêque

P.S. : Si toutefois vous désiriez obtenir des renseignements supplémentaires sur la famille Levêque, je serai ravi de pouvoir vous les transmettre.

N.D.L.R. : Cher Monsieur,

Je pense que vous faites allusion à une note que m'avait transmise M. François LAMER (correspondant intervenu il y a dix ans sur ce site et dont je pourrais vous communiquer l'adresse mail), note dont j'avais résumé les principaux enseignements que j'en tirais. A l'époque en effet, je n'étais pas encore équipé pour mettre en ligne des photos.

Je ne sais pas ce que j'ai pu faire de ce document. Je vais tâcher de le retrouver, ce qui n'est pas garanti. Si j'y arrive, je vous le communiquerai avec plaisir.

En ce qui concerne votre famille, je serais très intéressé de savoir si elle détient encore des documents antérieurs à l'incendie qui, en 1884, a ravagé le logis de la Chaslerie. Toute description ou image anciennes des lieux (lucarnes, mobilier, décor immobilier comme les cheminées ou les peintures des plafonds, etc) me serait très utile pour poursuivre dans les meilleures conditions mon programme de restauration du manoir.

Accessoirement et à titre de curiosité, j'aimerais aussi comprendre ce qui a pu se passer ici entre la vente des Biens Nationaux et l'arrivée de votre famille dans les lieux, une vingtaine d'années plus tard si mon information est exacte.

Bien cordialement,

PPF
Bonjour Monsieur,

Merci beaucoup pour votre réponse. Ce n’est aucunement grave.

Concernant la période antérieure à 1884, je crains de ne pas être en mesure de vous communiquer ces informations… Nos cousins « Levêque » qui vécurent à la Chaslerie étaient des cousins assez éloignés, et nous ne les avons malheureusement pas connus. Notre branche était allée s’établir, à cette époque, dans le Calvados, et nous n’avions plus d’attaches à Saint-Mars-d’Égrenne depuis hélas trop longtemps. Je puis néanmoins effectuer des recherches de mon côté, et je me ferai un plaisir de vous les communiquer.

Merci encore pour ces éléments,

Bien cordialement,

Charles Levêque

N.D.L.R. : Pour essayer de répondre plus complètement à M. Charles LEVÊQUE, j'ai fait un test cette après-midi. Je suis monté sous les combles de la tour Louis XIII pour essayer de retrouver le document dont il a fait état. Il y a, sous ces combles et entre autres, les archives de ma mission à la tête de la structure de défaisance du Comptoir des entrepreneurs ; autrement dit, de quoi faire sauter la République, si du moins il y avait (ou s'il y avait eu) une Justice dans ce pays (mais ceci est une autre histoire, hors du sujet ici). Il y avait aussi des kilos de cadavres de mouches que j'ai commencé par balayer puis aspirer une fois que j'ai nettoyé et remis en état de marche l'aspirateur engorgé par de précédentes campagnes de propreté. Bref, dans la première caisse que j'ai voulu rouvrir dans un coin de cette pièce difficilement accessible en l'état du chantier, j'ai trouvé tout un tas de vieux documents relatifs à l'histoire de la Chaslerie que j'avais accumulés et stockés là depuis une trentaine d'années mais que je n'avais plus consultés depuis longtemps, depuis une dizaine d'années je pense.

Et, dans ce fatras, j'ai retrouvé le document demandé, et même un autre qui pourrait intéresser M. LEVÊQUE. Les voici donc :

Le premier est la retranscription d'un manuscrit que je n'ai jamais eu entre les mains mais que M. LAMER avait dû taper à la machine avant de me communiquer cet exemplaire.

Le second fait apparaître l'écriture de mon épouse en première ligne (elle ne savait pas comment écrire Torchamp), les deux dernières sont de ma main, et l'écu a été dessiné par un visiteur lors d'une "Journée du patrimoine", il doit y avoir, de mémoire, quelque chose comme 25 ans ; Mme SINEUX, dont il est question, est la veuve d'un ancien maire de La Haute-Chapelle (je crois qu'elle réside actuellement à l'EHPAD de Domfront ; elle pourrait peut-être être interrogée sur ce que signifie la mention de la Pronière).

A noter qu'à l'occasion de cette plongée dans mes soutes, j'ai également retrouvé d'autres documents relatifs aux travaux effectués à la Chaslerie dans les années 1970, tels qu'ils m'avaient été communiqués il y a longtemps par Nicolas GAUTIER, alors A.B.F. de l'Orne (j'imagine à l'occasion d'une séance de nettoyage par le vide de ses propres archives à Alençon), documents qui pourraient intéresser ces jours-ci l'architecte du patrimoine dans ses efforts de remise d'aplomb de certains des dossiers administraaaâââtifs que l'on sait.
Bonjour Monsieur,

Je tenais à vous remercier d'avoir retrouvé ces papiers. Il vont me permettre de compléter nos papiers de famille.

En effet, les armes "d'azur sur fond d'or" étaient bel et bien les armes de la famille Levêque (du moins pour la branche qui résida à la Jarrière), bien que certains membres les aient changées par la suite.

Merci encore pour votre aide,

Bien cordialement,

Charles Levêque
Un idée du bonheur...

L'AUTRE

Viens, mon George. Ah! les fils de nos fils nous enchantent,
Ce sont de jeunes voix matinales qui chantent.
Ils sont dans nos logis lugubres le retour
Des roses, du printemps, de la vie et du jour!
Leur rire nous attire une larme aux paupières
Et de notre vieux seuil fait tressaillir les pierres;
De la tombe entr'ouverte et des ans lourds et froids
Leur regard radieux dissipe les effrois;
Ils ramènent notre âme aux premières années;
Ils font rouvrir en nous toutes nos fleurs fanées;
Nous nous retrouvons doux, naïfs, heureux de rien;
Le coeur serein s'emplit d'un vague aérien;
En les voyant on croit se voir soi-même éclore;
Oui, devenir aïeul, c'est rentrer dans l'aurore.
Le vieillard gai se mêle aux marmots triomphants.
Nous nous rapetissons dans les petits enfants.
Et, calmés, nous voyons s'envoler dans les branches
Notre âme sombre avec toutes ces âmes blanches.


Pour le jardin pas d'arrosage sur les feuilles, juste au pied des plants et pour les pommes de terre pas nécessaire d'avoir un énorme feuillage ça promet sous terre et trop d'eau peut faire pourrir, personnellement je n'ai jamais vu arroser des pommes de terre.

Les radis, à semer une fois par semaine, et régalez vos petits enfants de bananes pour faire du compost (couper les peaux en morceaux et les passer un jour ou deux au congélateur).

Profitez bien de tous ces bons moments.

Cordialement

N.D.L.R. : Merci beaucoup !
Bonjour,

Pas loin de chez nous, le château de Vigny, abandonné pendant des dizaines d'années puis à nouveau délaissé par des propriétaires japonais, semble enfin en voie d'être sauvé de la ruine. A condition que les projets deviennent réalité.

La construction d'origine date du 16ème siècle, mais fortement remanié au 19ème dans le style de Viollet-le-Duc. Sans doute pas à votre goût, mais il vaut le détour quand même.

Les photos de l'article ne sont pas très valorisantes. Mais il y en a plein sur Google.

N.D.L.R. : Parmi les anciens propriétaires, il y a ceux, actuels, du château du Repas qui, lui, serait tout à fait à mon goût. Dommage, selon moi, que ceux-ci se montrent si rétifs à l'ouverture au public.
Hervé DUVAL
rédigé le Mercredi 8 Juillet 2020
Livre d'or - Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites
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Bonjour Monsieur Fourcade,
J'ai eu de plaisir de faire votre connaissance cette après-midi, mais vous deviez partir pour la bonheur de vos petits-enfants. Merci pour votre autorisation de redécouvrir les abords de ce magnifique écrin.
Qui sait l'an prochain pour finir la visite ?
Cordialement,

N.D.L.R. : Bien volontiers. N'hésitez pas à revenir !
Bonsoir M. Fourcade,

Ayant visité aujourd'hui l'exposition temporaire du musée du château de Flers ("Où sont les femmes?"), je suis tombé sur cette représentation du "manoir favori" :

Je ne sais pas si vous la connaissez, c'est pourquoi je vous l'envoie.

Bien à vous,

N.D.L.R. : Merci beaucoup. Oui, je la connaissais. Mais il est bon de la répertorier à toutes fins utiles sur le site favori.

Cette aquarelle date de 17 ans ans après l'incendie qui ravagea le logis. Elle nous montre qu'il n'y avait plus de menuiseries à la porte charretière de la cour et - si elle est fidèle - que l'axe d'une ancienne girouette n'avait pas encore été planté au sommet du dôme d'entrée. La charpente du logis avait été abaissée d'une soixantaine de centimètres lors de sa reconstruction avec les mauvais matériaux que l'on sait. On croit pouvoir relever également qu'après cet incendie, il n'y avait plus de menuiserie de porte d'entrée sur le logis, à part l'imposte semble-t-il. J'irai vérifier ce dernier point au musée de Flers car il est important pour la poursuite de mes travaux.

Cette dernière information contredirait en effet la thèse de Benoît MAFFRE à ce sujet, selon laquelle une certaine porte Transition, que j'ai connue sur l'aile Ouest, aurait résisté au feu à cette place-là du logis qui serait donc légitime.

On voit également la hauteur des arbres dans l'arrière-cour et sur le "Pournouët".

Mais nulle trace en revanche de la mare, avérée seulement durant une partie de la première moitié du XXème siècle (voir la "Photothèque" du site favori).

Quant à Amédée HEDIN, l'auteur de cette aquarelle, il paraît avoir été porteur de peaux d'âne supposées crédibiliser ses observations.

Donc merci beaucoup, vraiment, pour votre message et pour ces photos qui, sous réserve de la vérification sur place que j'ai dite, me paraitraient de nature à confirmer mes propres thèses.
Un grand jour en perspective !
Quand Sébastien Daucé et son ensemble "Correspondances" se produisent au théâtre de Caen, celui-ci affiche complet.
Idem pour leurs concerts parisiens...
La gendarmerie de Domfront va être sur les dents...
Je ferai mon possible pour en être.
Cordialement

N.D.L.R. : Et en plus il est très sympathique.
Chère Carole,

Cher Pierre-Paul,

Merci infiniment pour cette soirée de musique baroque que nous avons trouvée formidable; nous avons été très impressionnés en particulier par les chants exceptionnels de deux femmes de la troupe de musiciens.

(...)

En vous remerciant encore,

Eric et Frédérique

N.D.L.R. : Merci pour votre message. Nous avons eu beaucoup de chance que ces concerts soient possibles et très heureux de réunir des amateurs, dont une forte proportion que nous ne connaissions pas, même si, avec beaucoup, y compris parmi nos amis, nous n'avons guère eu le temps de converser hier. La météo, qu'on nous prédisait pénible, nous aura épargnés pour l'essentiel et ce fut une chance.

Tous ensemble, nous avons pu, le temps d'une journée, redonner à la Chaslerie la vie, légère et cultivée, qu'elle nous paraît appeler afin de l'aider à franchir quelques siècles supplémentaires.

Ce fut pour nous un grand bonheur que nous espérons partagé.

Avec l'aide de la "SVAADE" qui devrait pouvoir intervenir dans un rayon de 50 kilomètres autour de Domfront (quand elle sera enfin immatriculée...), on essayera de lancer d'autres initiatives, ici et ailleurs. D'ores et déjà, les uns et les autres, et si vous le voulez bien, essayons d'y réfléchir.
Cher Pierre-Paul, chère Carole,

Merci infiniment pour votre accueil et votre grande hospitalité mercredi à la Chaslerie, nous gardons un souvenir particulièrement fort de cette journée de clôture de notre tournée.
Les musiciens se sont sentis comme chez eux, et ont d’autant plus apprécié de participer à ces deux concerts et de rencontrer le public nombreux que vous aviez réussi à faire venir jusqu’à la Chaslerie malgré la communication de dernière minute !

Je copie Sébastien, Céline et Alice à ce mail pour qu’ils puissent profiter des 2 reportages photos ! Sébastien retrouve demain une partie des musiciens présents à la Chaslerie pour une autre tournée en Bourgogne, il pourra leur transmettre votre message en direct.

(...) si vous passez sur Paris prochainement, peut-être pouvons-nous en profiter pour nous retrouver ?
L’adresse de nos bureaux est :
Correspondances et musique
54 rue Taitbout
75009 PARIS

Encore merci de nous avoir ouvert les portes de la Chaslerie, et à bientôt.

Bien cordialement,
Audrey

Audrey Astruc
Chargée de mécénat et développement territorial
Ensemble Correspondances
+33 (0)6 31 13 11 90
Jean Paul LEROY-TULLIE
rédigé le Samedi 15 Aout 2020
Livre d'or - Vie des associations - La SVAADE - La SVAADE (animations et visites) - Animation, fêtes, visites
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Encore merci et félicitations pour cette après midi qui nous a fait découvrir entre autres les chants de procession et 2 des airs préférés de Louis XIV (avec le décor de la grande salle, nous pouvions imaginer….). Les artisans étant aussi intéressants dans leurs démarches et expériences.

Nous avons profité de ce bel après-midi pour visiter La Boisnerie (Saint Honorine), manoir cité par M. Degon. Une belle promenade dans les jardins.

Cordialement

N.D.L.R. : Merci pour votre présence et pour votre message.
Bonjour M. Fourcade,
Suite à ma visite de dimanche dernier à la Chaslerie, je vous remercie de l'attestation fiscale que j'ai bien reçue.
Mais, tel n'est pas l'objet de ce mail :
En effet, je pratique assez assidûment le logiciel de dessin "3D Sketchup" à titre de hobby, et en recherchant sur votre site des plans de la Chaslerie afin de représenter votre manoir en 3D, j'ai vu que vous aviez reçu il y a quelque temps un fichier Sketchup que vous n'aviez pas pu lire.
Dans la mesure où vous n'y seriez pas opposé, je pourrais récupérer ce fichier et le "travailler" afin que vous puissiez exploiter en dynamique toutes les possibilités liées à un dessin 3D. Entre autres plus basiques, une possibilité intéressante avec un tel fichier Sketchup serait de permettre de voir votre manoir en 3D sur Google Earth. Ce n'est pas forcément simple car cela requiert une validation de Google, mais je l'ai déjà fait pour la maison de mon cousin (qui était avec nous à la Chaslerie dimanche dernier) . Vous pouvez d'ailleurs voir sur Google Earth ce petit hameau en recherchant "La gaudinière - Niort la fontaine - Lassay les chateaux".

Quoiqu'il en soit, je suis à votre disposition pour vous rendre visite et échanger à ce sujet.

Bien cordialement

Jean Thuaudet
06 37 52 73 34

N.D.L.R. : Cher Monsieur, merci beaucoup pour cette offre. Je ne suis pas sûr de retrouver ce fichier dans mes archives (ni d'avoir plus de succès auprès de l'architecte du patrimoine qui l'avait créé). Mais je vais essayer. En tout cas, n'attendons pas cela pour que vous reveniez à la Chaslerie, à un prochain concert sous l'égide de la "S.V.A.A.D.E." (qui vous remercie beaucoup pour votre don du week-end dernier, un exemple à suivre) ou même avant. Bien cordialement, PPF