Les amis de la Chaslerie

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : dimanche 18 février 2024 05:20
À : arnaudpaquin architecte <arnaudpaquin.architecte@gmail.com>
Cc : Xavier MEYER
Objet : La Chaslerie - Etude de diagnostic d'ensemble - Erratum

Cher Monsieur,

A la page 74 (droite) de la dernière version que vous nous avez communiquée de votre "étude de diagnostic d'ensemble", je vous prie de substituer l'expression "arrière-petite-nièce" à celle, "petite-nièce", qui y figure à la deuxième ligne de la note de bas de page n°32.

Amicalement,

PPF

(Fin de citation)

Ce courriel a pour objet de nous éviter, si tant est que la chose soit possible, qu'un "érudit local autoproclamé contemporain" ne nous prenne plus longtemps pour cible si cette correction était omise.

On sait en effet que ce rustre, bien connu comme tel sur la place, vient de faire changer la dénomination, sinon l'acronyme "A.R.C.D.", de l'association qu'il préside, "attendu qu'(il n'organise) plus de chantiers sur le site du château depuis longtemps". Et pour cause : il avait été condamné par la Justice de notre pays pour des fouilles illégales dans l'enceinte de ce monument classé. Désormais l'A.R.C.D. serait habilitée à intervenir en matière de "Recherche historique", non plus seulement "médiévale" (terme il est vrai quelque peu galvaudé par ici puisque, selon les élus de proximité en charge du "projet MORIN", il concernerait même un palais de justice bâti au XIXè siècle) et non plus propre au château mais sur le "Domfrontais dans son ensemble".

Extrait du projet de compte rendu de l'A.G. du 20 janvier 2024 de l'A.R.C.D.


Notons au passage que les prétentions de cet individu sont d'autant plus cocasses qu'il s'affranchit allègrement, pour autant que je sois libre de m'exprimer à ce sujet, de tout scrupule tenant à la déontologie applicable en matière de recherches historiques puisqu'il persiste à refuser de nous communiquer, à "La SVAADE", à "Les Amis de la Chaslerie" ou à moi, le texte des trouvailles sur les LEDIN sur lesquelles il aurait mis la main.

Or, malgré sa mauvaise foi ainsi prouvée, du moins selon moi, ce propriétaire du siège de l'ancienne vicomté de Domfront (charge tenue plusieurs fois par un LEDIN) entend se placer en accusateur, procureur, juge et dispensateur de peines qu'il prononcerait sans jamais avoir permis à la défense de s'exprimer : encore un bel exemple pour la jeunesse de la part de cet éducateur qui fut également sanctionné à ce titre, cette fois par le Rectorat (si mes souvenirs sont bons) !

A noter que, considérant pour ma part que "la bave du crapaud n'atteint point la blanche colombe", je n'ai pas daigné répondre par voie de presse comme il eut été possible, à la campagne que ce Savonarole au petit pied paraît décidé à mener contre moi. Mais l'on ne saurait exclure qu'il donne de nouveau libre cours à ses passions tristes, auquel cas j'aviserais.