Le fisc ayant mis à ma charge les 2 005 € de taxe d'habitation 2024 sur la Chaslerie, somme qui, d'après le bail me liant à La SVAADE, aurait dû être supportée par elle et sans chichis, je viens d'adresser au "centre des finances publiques - SIP Flers" le chèque correspondant.
En revanche, pour ce qui concerne la majoration de 10 %, j'ai ajouté la mention suivante à la "Lettre de relance" que je viens de réceptionner via "impots.gouv.fr" :
Je précise, à l'intention du fan-club favori :
Faudrait voir aussi à ne pas pousser trop vite le Pépé dans les orties !
A ce jour, La SVAADE n'a plus de dette à mon égard, la question ayant longtemps échappé au brillant juriste revendiqué et donneur de leçons un peu lourdingue que nous avons appris à connaître. Quant à celui, présumé fiable, qui avalisait ses affirmations audacieuses, il semble, de son côté, avoir disparu dans la nature juste avant que ma famille n'ait à intervenir pour renflouer une association conduite obstinément par le premier jusqu'au bord de la cessation de paiements.
Heureusement, tout ceci est désormais du passé qui ne mérite qu'une chose : l'oubli.
La SVAADE (A.G.)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 8 Mars 2025
La SVAADE - La SVAADE (A.G.) - Pouvoirs publics, élus locaux - Anecdotes - Vie des associations - Désultoirement vôtre !
rédigé le Samedi 8 Mars 2025
La SVAADE - La SVAADE (A.G.) - Pouvoirs publics, élus locaux - Anecdotes - Vie des associations - Désultoirement vôtre !
Les invitations pour un double événement à la Chaslerie le 28 mars prochain ont été lancées hier soir à qui de droit.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé hier
Vie des associations - La SVAADE - La SVAADE (A.G.) - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux
rédigé hier
Vie des associations - La SVAADE - La SVAADE (A.G.) - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux
Dans le "Ouest-France" d'hier :
J'apprends ainsi qu'un groupe musical on ne peut plus généreusement subventionné par les pouvoirs publics se produira à Domfront en Poiraie aux mêmes moments que les deux premiers spectacles de la saison 2025 organisés par La SVAADE.
Il s'agit, je le rappelle :
- le samedi 17 mai à 18 heures, d'un récital "Amor y pasión" avec Maria MIRANTE, mezzo-soprano, et Paul BEYNET, pianiste,
- le samedi 7 juin à 18 heures, avec le "quatuor Elmire", lauréat du prestigieux "Concours de Genève" et de la "Fondation Etrillard", d'un concert qui nous permettra de retrouver, pour la sixième fois à la Chaslerie, le violoniste David PETRLIK dont on peut affirmer que nous avons couvé la carrière naissante, carrière qui se déploie dorénavant sur la scène internationale.
La SVAADE n'avait pas manqué de diffuser largement, notamment par un courriel du 4 janvier dernier de son président, le programme de ses spectacles de 2025.
La SVAADE ne reçoit, elle, guère de subvention de fonctionnement que de la commune de Domfront en Poiraie (un très grand merci à celle-ci et au maire Bernard SOUL !), subvention d'un montant de l'ordre du déficit de moins de deux de ses spectacles.
Et pas un kopeck de subvention d'investissement de quiconque alors que l'"étude PAQUIN" a illustré, de façon éclatante et reconnue comme telle par d'éminentes personnalités, que la Chaslerie offrirait un cadre particulièrement approprié au désenclavement culturel si nécessaire de notre partie du bocage, celle-là même qui fut parfois bizarrement qualifiée !
En finances, si mes souvenirs sont bons, on invoque, pour expliquer un tel phénomène, la "loi de Gresham". Cette loi dit en substance que "la mauvaise monnaie chasse la bonne". Gageons que, malgré la faiblesse insigne du soutien des pouvoirs publics aux spectacles de La SVAADE, celle-ci arrivera, grâce à l'effort soutenu de ses bénévoles et à sa reconnaissance par un public qui déborde les frontières départementales, à montrer une fois de plus à quel point il serait temps que des autorités, jusque là sourdes et aveugles, fassent enfin preuve d'un peu plus de discernement.
Cette conclusion ressort sans nul doute de l’expérience très réussie des trente-neuf « spectacles de qualité et à bas coût pour le public » et cent-trente deux artistes, souvent de notoriété internationale, que « La SVAADE » aura présentés, depuis sa fondation en 2020 jusqu’à la fin de l’année 2025, dans le cadre du manoir de la Chaslerie.
Tout ceci, avec le reste, paraît augurer d'intéressants débats à venir lundi prochain avec nos interlocutrices du conseil départemental de l'Orne, débats dont je ne manquerai pas de rendre compte sur le site favori.
J'apprends ainsi qu'un groupe musical on ne peut plus généreusement subventionné par les pouvoirs publics se produira à Domfront en Poiraie aux mêmes moments que les deux premiers spectacles de la saison 2025 organisés par La SVAADE.
Il s'agit, je le rappelle :
- le samedi 17 mai à 18 heures, d'un récital "Amor y pasión" avec Maria MIRANTE, mezzo-soprano, et Paul BEYNET, pianiste,
- le samedi 7 juin à 18 heures, avec le "quatuor Elmire", lauréat du prestigieux "Concours de Genève" et de la "Fondation Etrillard", d'un concert qui nous permettra de retrouver, pour la sixième fois à la Chaslerie, le violoniste David PETRLIK dont on peut affirmer que nous avons couvé la carrière naissante, carrière qui se déploie dorénavant sur la scène internationale.
La SVAADE n'avait pas manqué de diffuser largement, notamment par un courriel du 4 janvier dernier de son président, le programme de ses spectacles de 2025.
La SVAADE ne reçoit, elle, guère de subvention de fonctionnement que de la commune de Domfront en Poiraie (un très grand merci à celle-ci et au maire Bernard SOUL !), subvention d'un montant de l'ordre du déficit de moins de deux de ses spectacles.
Et pas un kopeck de subvention d'investissement de quiconque alors que l'"étude PAQUIN" a illustré, de façon éclatante et reconnue comme telle par d'éminentes personnalités, que la Chaslerie offrirait un cadre particulièrement approprié au désenclavement culturel si nécessaire de notre partie du bocage, celle-là même qui fut parfois bizarrement qualifiée !
En finances, si mes souvenirs sont bons, on invoque, pour expliquer un tel phénomène, la "loi de Gresham". Cette loi dit en substance que "la mauvaise monnaie chasse la bonne". Gageons que, malgré la faiblesse insigne du soutien des pouvoirs publics aux spectacles de La SVAADE, celle-ci arrivera, grâce à l'effort soutenu de ses bénévoles et à sa reconnaissance par un public qui déborde les frontières départementales, à montrer une fois de plus à quel point il serait temps que des autorités, jusque là sourdes et aveugles, fassent enfin preuve d'un peu plus de discernement.
Cette conclusion ressort sans nul doute de l’expérience très réussie des trente-neuf « spectacles de qualité et à bas coût pour le public » et cent-trente deux artistes, souvent de notoriété internationale, que « La SVAADE » aura présentés, depuis sa fondation en 2020 jusqu’à la fin de l’année 2025, dans le cadre du manoir de la Chaslerie.
Tout ceci, avec le reste, paraît augurer d'intéressants débats à venir lundi prochain avec nos interlocutrices du conseil départemental de l'Orne, débats dont je ne manquerai pas de rendre compte sur le site favori.