Journal du chantier

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 16 Octobre 2013
Journal du chantier - Fac - Désultoirement vôtre !
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Même pas le temps de mettre en ligne les photos prises ce matin lors de mon passage en coup de vent à la Chaslerie. La fac ne me laisse aucun répit, ou je n'arrive pas à m'organiser.

De toutes façons, ces photos ne sont pas terribles, il faisait mauvais et, en plus, c'était trop tôt dans la matinée pour une bonne lumière naturelle.

P.S. : Bon, je vois que vous êtes déçus (la statistique plonge). Donc je vais vous raconter le chantier aujourd'hui.

Voici les compagnons de Roland BOUSSIN alors qu'ils venaient d'arriver, après environ 90 minutes de route. Tous trois sont déjà intervenus sur plusieurs chantiers de la Chaslerie (celui de gauche, pour la 1ère fois, il y a 14 ans me dit-il, pour le dôme d'entrée). Leur premier réflexe, se réchauffer. Et, peut-être aussi, se réveiller :

16 octobre 2013.

Depuis 48 heures, ils ont déjà enlevé les ardoises et les liteaux des brisis, et disposé des bâches pour servir de parapluie :

16 octobre 2013, le premier étage des écuries.

16 octobre 2013.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 16 Octobre 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord
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Igor a fini d'enduire de "Prépenduit" les murs de l'entrée du bâtiment Nord :

16 octobre 2013, au rez-de-chaussée du bâtiment Nord, le mur de gauche de l'entrée.

En attendant que "Point P" lui livre les produits à badigeonner sur les murs de ma "cellule monastique", ainsi que je m'y suis résolu pour masquer des défauts de l'enduit précédent, il en a protégé le nouveau plancher :

16 octobre 2013.

La D.R.A.C. m'ayant rappelé qu'un architecte habilité devait suivre la restauration de la charpente et de la couverture des écuries, j'ai demandé à Dominique RONSSERAY, A.C.M.H., auteur de l'"étude préalable" réalisée il y a quelques années sur ce sujet, si cela l'intéresserait de se replonger dans ce dossier.

Il l'a accepté avec plaisir, ce qui l'amènera, de temps à autre, à quitter son havre du Jerzual.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 19 Octobre 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord
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Dans le bâtiment Nord, Igor m'a préparé des échantillons de badigeons pour ma cellule monastique :

19 octobre 2013, essais de badigeons dans la grande chambre en soupente.

Il me semble qu'on pourrait choisir l'échantillon du bas, dont la teinte est un mélange des deux teintes au-dessus, vendues telles quelles par Saint-Astier. On va cependant poursuivre les essais.

Au rez-de-chaussée du bâtiment, il a enduit le mur Sud de chaux sans lésiner sur les quantités. En effet ce mur avait du fruit (c'est un ancien mur extérieur de la cour) et il a voulu le redresser de la sorte. Son travail me paraît, de ce fait, un peu trop géométrique ; il faudra, à tout le moins, amollir les lignes de la petite ouverture :

19 octobre 2013, le mur Sud du bâtiment Nord vu de l'intérieur, au niveau de l'entrée.

Je demande également à Igor de coller des tomettes sur l'appui correspondant.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 19 Octobre 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
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Le travail se poursuit au niveau de la 4ème travée de l'escalier du logis.

19 octobre 2013, les 7 dernières marches de la 4ème travée.

19 octobre 2013, les 7 premières marches de la 4ème travée.

Sébastien est obligé de travailler à la lumière artificielle et il me semble que la qualité de son travail s'en ressent, certaines cicatrices apparaissant un peu trop nettes à mon goût, sans doute parce que son intervention y est encore en cours. Par exemple :

19 octobre 2013, les 3 dernières marches de la 4ème travée.

N.B. : Je suggère aux visiteurs qui s'intéressent plus particulièrement à la progression de ce chantier de le suivre sous l'onglet "Logis". Et puisque j'en suis à donner des conseils méthodologiques, je signale que, dans un précédent message, je me suis trompé en comptant sur les photos 11 marches par travée ; en réalité, il y en a 12 (par exemple, sur la dernière photo ci-dessus, on voit les marches 12, 11 et 10 de la 4ème travée ; la 12 est au niveau de dernier palier, le dessus de la 9 contient un important morceau de ciment, très visible au-dessus de la marche mais encore plus en-dessous ; bien entendu, cet affreux pâté va disparaître).

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 19 Octobre 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
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Voici l'état présent de la 3ème travée de l'escalier du logis. Il me semble que Sébastien a déjà entamé ses travaux cosmétiques sur les marches du haut :

19 octobre 2013, les marches 12, 11 et 10 de la 3ème travée.

19 octobre 2013, les marches 11, 10 et 9 de la 3ème travée.

19 octobre 2013, les marches 9, 8, 7 et 6 de la 3ème travée.

19 octobre 2013, les marches 7, 6, 5 et 4 de la 3ème travée.

19 octobre 2013, les marches 3, 2 et 1 de la 3ème travée.

A première vue, il ne s'est pas passé grand chose :

19 octobre 2013, l'

19 octobre 2013, l'

Mais, dès qu'on grimpe dans le grenier, la lumière verte donne au chantier une ambiance de bloc opératoire :

19 octobre 2013, le grenier des écuries vu du Nord.

19 octobre 2013, le grenier des écuries vu du Sud.

Comme on le voit sur ces photos, des bastings ont été disposés de manière à renforcer la charpente, dont l'ossature paraissait pourtant très robuste.

Pourquoi ces renforts ? Parce que l'équipe de Roland BOUSSIN s'apprête à soulever l'ensemble de la couverture des écuries à l'aide de vérins :

19 octobre 2013, un verrin à pied d'œuvre.

Il va s'agir en effet de remplacer les blochets, dont bon nombre sont complètement pourris...

19 octobre 2013, le blochet le plus au Sud-Est vu de dessus.

... alors que ce n'était guère perceptible auparavant pour des yeux de profane :

19 octobre 2013, le blochet le plus au Sud-Est vu de dessous.

D'autres blochets ont été bricolés pour tâcher de dissimuler leur misère :

19 octobre 2013, un blochet malade de la façade Est, vu de l'intérieur du bâtiment.

19 octobre 2013, un autre blochet malade, bricolé par un sauvage.

19 octobre 2013, un blochet malade de la façade Ouest, vu de l'intérieur du bâtiment.

Mais le pire spectacle est au niveau des sablières. Nombre d'entre elles sont complètement vermoulues...

19 octobre 2013, exemples de sablières archi-mortes de la façade Est.

... d'autres ont été refaites par le Tonton que l'on sait et qui n'a pas manqué de mégoter sur la qualité de la marchandise là où il est intervenu...

19 octobre 2013, un petit peu de bois blanc, ni vu, ni connu (quand on est pingre, ça compte !).

... mais qui a fait bien pire en réagissant à tort et à travers face à des périls évidents...

19 octobre 2013, une intervention typique d'Henri LEVÊQUE.

... quand il n'a pas, carrément, ordonné de boucher les trous du bois...

19 octobre 2013, une sablière restaurée par le Tonton que l'on sait.

... avec du ciment !

19 octobre 2013, du chêne greffé au ciment, bravo l'artiste !

Chapeau l'artiste !
Des nuls comme ça, on espère qu'on n'en fabrique plus...
Ou alors, faut les piquer !

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Les travaux en cours sur les écuries font apparaître que le linteau de la fenêtre verticale de la façade Ouest ne tient pas. Il faut l'enlever et le remplacer par un bon vieux linteau de pierre avant que l'équipe de Roland BOUSSIN ne pose les nouvelles sablières :

19 octobre 2013, le linteau à changer.

Autant dire, Mr T., qu'il est temps que tu te réveilles...

J'ai demandé à Igor de se tenir prêt à intervenir dans les tout prochains jours.

Jean MIDY, qui, en 1764, a monté la charpente mansardée des écuries, a laissé d'autres marques que les inscriptions gravées sur les sablières, comme sa signature ou le nom de son client LEDIN. Ainsi, ces chiffres romains aussi approximatifs que son orthographe :

19 octobre 2013, le latin de Jean MIDY.

249 ans plus tard, son travail a belle allure :

19 octobre 2013, vue du Sud-Ouest.

19 octobre 2013.

Quant aux lucarnes, ce sont des ersatz, à bazarder selon moi :

19 octobre 2013, une lucarne démontée.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 23 Octobre 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord
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Difficile, ce choix de couleur du badigeon. En tout état de cause, nous utiliserons du "Badilith" de Saint Astier.

Voici les échantillons que m'a préparés Igor :

23 octobre 2013, dans l'embrasure de la fenêtre.

23 octobre 2013, à l'emplacement de la tête de lit.

23 octobre 2013, à gauche de la fenêtre.

Sur les 4 couleurs proposées, je choisis la plus chaude et foncée (en haut de la première photo, en haut à gauche des deux autres). C'est du "Badilith 96". Comme il y a trois couches à passer, il sera toujours temps de corriger.

Igor me signale que le badigeon peut "fariner", c'est-à-dire qu'en frottant le mur avec des vêtements, on risque d'enlever de la chaux. Il paraît que, pour limiter cet inconvénient, Saint Astier recommande d'ajouter une résine "Acrodéco" au badigeon, à raison de 5 à 10 % du poids de l'eau. Je demande à Igor de se renseigner pour savoir si cette résine n'empêche pas le mur de respirer. Sous cette réserve, je lui donne mon accord pour ajouter ce produit.

Pas le temps de mettre en ligne les photos prises ce matin. Désolé, je suis débordé.

En quelques mots :
- l'entreprise BOUSSIN-LIEGEAS a relevé de 15 cm, à l'aide de crics et de vérins, la quasi-totalité de la charpente des écuries (le centre, pas les extrémités qui sont solidaires de la maçonnerie ; cela a été possible en raison de la flexibilité de cette œuvre mais il faudra qu'ils reviennent pour opérer de même aux extrémités) ; elle devait achever aujourd'hui l'enlèvement des sablières et des blochets ; le caractère irrécupérable de la plupart de ces pièces de bois est confirmé ; le tenon d'une poutre verticale est cassé car il était pourri ; un faux tenon devra être greffé pour arrimer cette poutre au blochet correspondant ; les autres poutres verticales sont en bon état ;
- Igor et Jonathan commenceront demain les reprises de maçonnerie en haut des murs des écuries de manière à ce que ces derniers puissent bientôt recevoir les nouvelles sablières et les nouveaux blochets, en cours de fabrication ; l'entreprise BOUSSIN-LIEGEAS leur prêtera son laser ;
- puisque je suis très satisfait de l'entreprise BODIN, j'ai demandé à M. COOS de passer me voir mercredi prochain pour qu'on discute, sous le contrôle de M. RONSSERAY, A.C.M.H., de la suite des travaux que je souhaite lui confier ; il s'agira, pour l'essentiel, de la restauration d'autres granits du logis (encadrements de portes et de fenêtres ; pierre du seuil de la cour) ;

Je signale en outre que j'ai reçu ce matin la visite de Me PETITJEAN, huissier de justice, venu constater à ma demande et à toutes fins utiles (sans que cela n'ait quoi que ce soit à voir avec l'intervention en cours de l'entreprise BOUSSIN-LIEGEAS) l'état intérieur des écuries et du colombier. Il a pris de multiples photos, lui aussi.

Enfin, j'indique à Mr T. qu'après le démontage des sablières et de la pièce de bois formant linteau de "sa" fenêtre, il est apparu que ce dernier était en sapin (merci au Tonton que l'on sait - même pas le temps de coller le lien...-) et, surtout, qu'il n'y a qu'une hauteur possible pour le linteau de pierre qui remplacera ce truc immonde, celle que je lui ai dite au téléphone ; donc plus matière à tergiverser, il faut y aller !

Pour Mr T. spécialement, alors que ses obligations professionnelles (et autres) le retiennent à Londres, voici une photo, prise hier, de "sa" fenêtre, après que les compagnons de Roland BOUSSIN ont enlevé la sablière :

23 octobre 2013,

Comme tu le vois, mon grand, on est obligés de placer le haut du linteau de pierre sous l'arête supérieure du mur qui portera la sablière, si l'on veut que cette fenêtre ne soit pas incongrue par rapport aux volumes de cette pièce de bois et de ce mur.

En d'autres termes, cette fenêtre perdra en hauteur, à ce titre, l'équivalent d'une vitre.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 24 Octobre 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
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Pour tailler et sculpter la résine et le granit, Sébastien est obligé de porter un masque :

23 octobre 2013, Sébastien en plein travail.

Voici ce qu'il a sous les yeux :

23 octobre 2013, entre les marches 9 et 8, un nez de marche en cours de restauration.

Observez que l'affreux pâté de ciment (visible sur la dernière photo d'un précédent message) a désormais disparu de la 9ème marche de la 4ème travée, celle sur laquelle est posé le marteau :

23 octobre 2013, plus aucune trace du pâté de ciment sur la marche 8.

Sébastien m'informe que la 4ème travée comportait 39 fissures et la 3ème, 24, sans compter les nez de marche cassés à restaurer.

Après l'intervention de l'entreprise BODIN, tout cela ne devrait être qu'un mauvais souvenir.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 24 Octobre 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord
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Après une nuit de lecture de "Grands arrêts de la jurisprudence administrative", je profite d'un moment de battement entre un T.D. et 4 heures d'amphi dans cette matière (ou presque) pour reprendre la plume.

Voici l'état, hier, de la petite ouverture de l'entrée du bâtiment Nord :

23 octobre 2013, au rez-de-chaussée du bâtiment Nord.

Remarquez le nouveau linteau et les tomettes posés par Igor.

Je suis conscient du fait qu'en ouvrant le fenestrou, on rasera les tomettes ; mais je me dis que l'entretien de cette niche sera plus facile.

Vous connaissez bien, désormais, l'atmosphère de l'étage sous combles des écuries :

23 octobre 2013, à l'étage des écuries.

Je vais vous montrer aujourd'hui comment s'y prennent les compagnons de Roland BOUSSIN pour soulever la charpente de 15 cm, de manière à pouvoir dégager les tenons qui immobilisaient la charpente sur les blochets.

En fait, nous prenons le train en route, alors que la charpente a déjà été translatée comme ici, sous l'effet d'un vérin pneumatique. Notez que le vérin supporte un basting chargé de soulever une ferme ; parallèlement à ce basting, un tube métallique est en position de relayer l'effort :

23 octobre 2013, vérin, basting et tube métallique.

L'exercice va consister à dégager le vérin pour y substituer un support plus stable.

1ère étape, montrée ci-dessus, on agit sur un levier relié au vérin pour pousser encore plus haut le basting, donc la charpente.

2ème étape, on visse un dispositif sur le tube pour rallonger celui-ci :

23 octobre 2013, l'allongement du tube.

A ce stade, la charpente repose sur le tube métallique ainsi rallongé, et non plus sur le basting. On peut donc retirer le vérin qui ne supporte plus rien :

23 octobre 2013, le poids porte ici sur le tube métallique.

On place ensuite des pièces de bois sous le bastings jusqu'à la bonne hauteur (ici, quelques centimètres de plus que 15, puisque telle est la longueur des tenons qu'il s'agit de dégager des blochets) :

23 octobre 2013, le basting supporté par des pièces de bois ; à ce stade, le poids de la charpente repose sur le seul tube métallique.

Puis on s'assure de la verticalité du basting, après quoi on peut dévisser le dispositif du tube métallique, ce dernier n'ayant plus de rôle majeur à jouer :

23 octobre 2013, une installation qui pourra durer tant que les nouveaux sablières et blochets n'auront pas été installés.

Sur la vingtaine de blochets retirés de la charpente, il est probable que nous ne pourrons guère en sauver. La plupart sont trop abîmés. D'ailleurs, Roland BOUSSIN m'avait prévenu qu'ils seraient tous à changer. Pour vous en convaincre, en voici quelques échantillons...

23 octobre 2013.

23 octobre 2013.

23 octobre 2013.

... et voici celui dont le tenon de raccordement, pourri, a lâché :

23 octobre 2013.

Je suis étonné de la rapidité avec laquelle Igor et Jonathan restaurent le haut des murs des écuries. A ma demande, ils privilégient l'usage de la chaux. Déjà, les deux tiers du mur Est (celui sur cour) ont été traités :

26 octobre 2013, le Nord du mur Est des écuries.

Igor est venu me montrer comment ils procèdent :

26 octobre 2013, le Sud du mur Est des écuries.

Tout cela me convient.

Côté Ouest, nous décidons, avec l'accord téléphonique de Mr T., d'abaisser, de l'équivalent d'une hauteur de vitre, le linteau de la fameuse fenêtre (comprenez qu'à droite de la photo suivante, 3 pierres vont être enlevées - donc pierre rousse comprise - le linteau devant être surmonté d'un rang de pierres étroites dont le dessus sera aligné avec le dessous des sablières, c'est-à-dire la ligne marquée au crayon) :

26 octobre 2013,

Il reste encore du ménage à faire :

26 octobre 2013, le Nord du mur Ouest des écuries.

Surtout, à proximité de la tour Louis XIII, il est confirmé qu'il faudra couler de la chaux à la place de la terre qui avait servi à monter le mur mais qui a été lessivée, depuis des lustres, par les eaux de ruissellement, particulièrement abondantes à cet endroit :

26 octobre 2013, le Nord du mur Ouesst des écuries, à proximité de la tour Louis XIII.

Lors de ma visite ce matin, j'ai oublié de compter les blochets que l'équipe de Roland BOUSSIN a laissés sur place, sans doute parce qu'ils seront réutilisables. Il m'a semblé en voir 3. Il faudra que je lui demande. J'en profiterai pour savoir quels sont les commentaires de Dominique RONSSERAY, A.C.M.H., étant entendu que mon emploi du temps beaucoup trop tendu ne devrait pas me permettre d'assister, comme je le souhaiterais, aux prochains rendez-vous de chantier.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 26 Octobre 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord
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Dans ma cellule monacale, les premiers essais de badigeon (dont 2 couches ont été passées dans la seule embrasure de la fenêtre) me laissent perplexe. La couleur correspond bien à mes attentes mais il est fâcheux que les traces des tests précédents demeurent :

26 octobre 2013, le badigeon dans la chambrette.

Attendons néanmoins que tout cela ait le temps de sécher (de toutes façons, "Point P" a besoin de dix jours pour nous approvisionner en quantité suffisante pour le reste de la pièce). Je regarderai cela de nouveau mercredi prochain.