Dans les prochains jours, Jonathan poursuivra seul le piquetage de la cage d'escalier. Car, en retirant hier un radiateur dans l'entrée du logis, Igor s'est fait une entaille à une phalange de l'auriculaire droit. A son grand étonnement, le médecin lui a prescrit 3 semaines d'arrêt de travail. Dans l'immédiat, je vais devoir remplir quelques paperasses supplémentaires ; cela tombe bien, j'adore ça !
Journal du chantier
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 27 Février 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
rédigé le Mercredi 27 Février 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 27 Février 2013
Journal du chantier - Ferronnerie - Menuiserie - Bâtiment Nord
rédigé le Mercredi 27 Février 2013
Journal du chantier - Ferronnerie - Menuiserie - Bâtiment Nord
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 27 Février 2013
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Aile "de la belle-mère" - Transmission du patrimoine - Désultoirement vôtre !
rédigé le Mercredi 27 Février 2013
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Aile "de la belle-mère" - Transmission du patrimoine - Désultoirement vôtre !
J'ai reçu cet après-midi le dossier de demande de permis pour l'aile "de la belle-mère". Je mets en ligne ici les documents qui me semblent les plus intéressants pour les visiteurs de notre site favori ; en clair, je leur fais grâce du formulaire qui fait pourtant partie du dossier. A mon habitude, je commenterai en tant que de besoin les planches mises en ligne, ce qui me permettra d'ailleurs d'en prendre connaissance.
Je commence par le rapport de présentation du projet :A la 2ème ligne du premier paragraphe, il est inexact de prétendre que la prolongation de l'avenue de la Chaslerie date de 1900 pour sa partie sur le Tertre-Linot. Cette avenue se prolongeait bien entendu, dès le 18ème siècle au plus tard, jusqu'au bourg de La Haute Chapelle. Il en reste des vestiges (qui mériteraient d'être protégés) sur le fond de mon voisin FAVERIS, jusqu'à la route qui dessert la maison de Maxime. Au-delà, c'est moi qui ai arasé le talus, à l'abandon depuis longtemps, quand j'ai restauré la portion d'allée vers le bourg.Dans la légende sous la photo, l'incendie date de 1884, non de 1885.
Au 2ème paragraphe de cette page 2 de ce rapport, il est inexact de prétendre que tous les planchers du colombier datent du 20ème siècle. En effet, le plafond de la cuisine actuelle (au rez-de-chaussée du colombier) date de la mi-18ème siècle, lorsque le colombier fut rendu habitable dans ses actuels deux niveaux inférieurs, afin, sans doute, de loger le chapelain alors attaché à la Chaslerie. On peut imaginer que ces travaux furent concomitants de l'intervention de Jean MIDY, le charpentier des toits mansardés qui a signé en 1764 une sablière des écuries (ainsi que, deux ans plus tôt, une seconde, à la cave).
J'approuve le qualificatif de "désastreux" accolé aux travaux du Tonton que l'on sait.Bien que cette page de garde indique que Carole et moi sommes les maîtres d'ouvrage (ceci pour tenir compte du fait que nous sommes actuellement les seuls propriétaires du manoir), je rappelle que l'aménagement de l'aile "de la belle-mère" est un projet de Mr T qui pourra le mettre en œuvre dès que des formalités relatives à une S.C.I. auront pu être réglées.La photo aérienne a été trouvée sur "Google maps". Comme on le voit, elle date de l'époque où je commençais à restaurer le mur de terrasse. N'hésitez pas à vous reporter à la "Photothèque" de notre site favori pour retrouver à quelle date cette photo aérienne a pu être prise.Ce plan de masse comporte diverses erreurs :
- les talus qui y figurent ont été arasés par moi il y a plusieurs années, en vue de faciliter l'entretien des abords du manoir ;
- le mur de terrasse est un peu plus long qu'indiqué au Sud et un peu plus court au Nord ;
- le mur du manoir au fournil est un peu plus court au Nord ; les portails indiqués n'existent pas (d'ailleurs, il n'y en aura qu'un au plus).
Ces remarques sont sans incidence sur le projet de Mr T.Le plan cadastral est de 1824. La photo est antérieure à l'écroulement de la tour, intervenu en 1934 (de mémoire).Ces deux cartes postales sont importantes pour le dossier car ce sont elles qui fondent notre prétention à redonner à la couverture des écuries (donc, le moment venu, du colombier également) son caractère bicolore originel. La reproduction mise en ligne ici n'est pas fameuse mais, pour un professionnel comme Roland BOUSSIN qui a pu étudier les photos anciennes, il n'y a pas de doute sur l'emploi originel d'ardoises sur les brisis et de tuiles sur les terrassons. C'est ainsi que nous allons procéder dans le cadre des prochains travaux de restauration de la charpente et de la couverture des écuries, travaux qui seront lancés dès que nous en aurons reçu l'autorisation au vu du présent dossier.
Nous entrons ici dans la partie du dossier destinée à expliciter l'état présent.
Maintenant, je peux vous avouer que la principale raison pour laquelle je n'avais pas commencé de réels travaux dans l'aile "de la belle-mère" était que je ne savais pas comment résoudre le problème de l'escalier. Vous avez trouvé une solution à laquelle je n'avais jamais pensé, qui est à la fois commode et élégante. Pour ceci aussi et surtout, bravo !
Je compte déposer le dossier demain en mairie de La Haute Chapelle.
Je commence par le rapport de présentation du projet :A la 2ème ligne du premier paragraphe, il est inexact de prétendre que la prolongation de l'avenue de la Chaslerie date de 1900 pour sa partie sur le Tertre-Linot. Cette avenue se prolongeait bien entendu, dès le 18ème siècle au plus tard, jusqu'au bourg de La Haute Chapelle. Il en reste des vestiges (qui mériteraient d'être protégés) sur le fond de mon voisin FAVERIS, jusqu'à la route qui dessert la maison de Maxime. Au-delà, c'est moi qui ai arasé le talus, à l'abandon depuis longtemps, quand j'ai restauré la portion d'allée vers le bourg.Dans la légende sous la photo, l'incendie date de 1884, non de 1885.
Au 2ème paragraphe de cette page 2 de ce rapport, il est inexact de prétendre que tous les planchers du colombier datent du 20ème siècle. En effet, le plafond de la cuisine actuelle (au rez-de-chaussée du colombier) date de la mi-18ème siècle, lorsque le colombier fut rendu habitable dans ses actuels deux niveaux inférieurs, afin, sans doute, de loger le chapelain alors attaché à la Chaslerie. On peut imaginer que ces travaux furent concomitants de l'intervention de Jean MIDY, le charpentier des toits mansardés qui a signé en 1764 une sablière des écuries (ainsi que, deux ans plus tôt, une seconde, à la cave).
J'approuve le qualificatif de "désastreux" accolé aux travaux du Tonton que l'on sait.Bien que cette page de garde indique que Carole et moi sommes les maîtres d'ouvrage (ceci pour tenir compte du fait que nous sommes actuellement les seuls propriétaires du manoir), je rappelle que l'aménagement de l'aile "de la belle-mère" est un projet de Mr T qui pourra le mettre en œuvre dès que des formalités relatives à une S.C.I. auront pu être réglées.La photo aérienne a été trouvée sur "Google maps". Comme on le voit, elle date de l'époque où je commençais à restaurer le mur de terrasse. N'hésitez pas à vous reporter à la "Photothèque" de notre site favori pour retrouver à quelle date cette photo aérienne a pu être prise.Ce plan de masse comporte diverses erreurs :
- les talus qui y figurent ont été arasés par moi il y a plusieurs années, en vue de faciliter l'entretien des abords du manoir ;
- le mur de terrasse est un peu plus long qu'indiqué au Sud et un peu plus court au Nord ;
- le mur du manoir au fournil est un peu plus court au Nord ; les portails indiqués n'existent pas (d'ailleurs, il n'y en aura qu'un au plus).
Ces remarques sont sans incidence sur le projet de Mr T.Le plan cadastral est de 1824. La photo est antérieure à l'écroulement de la tour, intervenu en 1934 (de mémoire).Ces deux cartes postales sont importantes pour le dossier car ce sont elles qui fondent notre prétention à redonner à la couverture des écuries (donc, le moment venu, du colombier également) son caractère bicolore originel. La reproduction mise en ligne ici n'est pas fameuse mais, pour un professionnel comme Roland BOUSSIN qui a pu étudier les photos anciennes, il n'y a pas de doute sur l'emploi originel d'ardoises sur les brisis et de tuiles sur les terrassons. C'est ainsi que nous allons procéder dans le cadre des prochains travaux de restauration de la charpente et de la couverture des écuries, travaux qui seront lancés dès que nous en aurons reçu l'autorisation au vu du présent dossier.
Nous entrons ici dans la partie du dossier destinée à expliciter l'état présent.
[Image introuvable]
Nous en arrivons enfin au projet proprement dit :Et, pour finir, un dessin d'"intégration paysagère" (cette expression barbare désigne sans doute une pièce demandée dans ce dossier) :Il me semble que ce projet se présente bien. Les progrès sur la cage d'escalier sont appréciables. La gestation a parfois été un peu laborieuse, ne serait-ce qu'en raison de la multiplication justifiée (et que l'on aimerait pouvoir qualifier de légitime) des intervenants, mais le résultat est très satisfaisant selon moi. Bravo à tous !Maintenant, je peux vous avouer que la principale raison pour laquelle je n'avais pas commencé de réels travaux dans l'aile "de la belle-mère" était que je ne savais pas comment résoudre le problème de l'escalier. Vous avez trouvé une solution à laquelle je n'avais jamais pensé, qui est à la fois commode et élégante. Pour ceci aussi et surtout, bravo !
Je compte déposer le dossier demain en mairie de La Haute Chapelle.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 28 Février 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
rédigé le Jeudi 28 Février 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 28 Février 2013
Journal du chantier - Menuiserie - Logis - Bâtiment Nord - Ferme et son fournil
rédigé le Jeudi 28 Février 2013
Journal du chantier - Menuiserie - Logis - Bâtiment Nord - Ferme et son fournil
Denis DUVEAU est repassé ce matin à la Chaslerie. Avec son compagnon, ils ont dissimulé par des cornières de bois les vis qui fixent les contre-marches aux marches. Denis m'explique qu'il utilise des vis et non des clous car il a remarqué que les clous, même forgés, faisaient grincer les marches quand on utilise l'escalier alors que les vis assurent le silence.Thomas MOREL ne l'a toujours pas contacté mais Denis DUVEAU m'assure que l'assemblage de l'escalier est prévu pour que la fixation d'une rampe n'oblige pas à détruire des tenons. Denis a pris des mesures précises pour lui permettre de lancer la fabrication du placard sous l'escalier...... ainsi que du plancher dans la future chambrette en soupente...... et de la porte destinée à fermer, dans le logis, la première moitié du grenier. Il va également lancer la fabrication de la porte extérieure du fournil de la ferme.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 28 Février 2013
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Maçonnerie-carrelage - Logis
rédigé le Jeudi 28 Février 2013
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Maçonnerie-carrelage - Logis
Dans le premier paragraphe de son rapport de présentation du projet de travaux dans l'aile "de la belle-mère", Lucyna GAUTIER affirme que le linteau de la porte d'entrée du logis était initialement à 1,70 m du sol et a été ultérieurement surélevé.
J'ai toujours été dubitatif sur cette idée, notamment parce que je ne décèle aucune trace de reprise de maçonnerie sur ladite porte, ni à la hauteur indiquée, ni à tout autre.
Pour autant, je suis d'accord pour considérer que les mêmes tailleurs de pierres sont intervenus à la fin du 16ème siècle à la Servière, Loraille et la Bouëtte, trois manoirs voisins où les linteaux de la porte d'entrée du logis sont plus bas qu'à la Chaslerie.
Un autre argument mériterait d'être creusé (c'est le cas de le dire). Il y a, à la Chaslerie, entre l'entrée du logis et la salle-à-manger, la preuve qu'a existé là ce qui ressemble à une porte de circulation intérieure. Cette porte est basse. Daterait-elle de l'origine du logis ? En d'autres termes, les grandes portes d'accès à la salle-à-manger et au salon, chanfreinées du côté de la cage d'escalier, seraient-elles postérieures ? En tout cas, celles-ci sont beaucoup plus hautes que ce passage.Lorsque les horribles enduits auront fini d'être retirés de la cage d'escalier et de la salle-à-manger, on y verra peut-être plus clair sur ce mystère.
J'ai toujours été dubitatif sur cette idée, notamment parce que je ne décèle aucune trace de reprise de maçonnerie sur ladite porte, ni à la hauteur indiquée, ni à tout autre.
Pour autant, je suis d'accord pour considérer que les mêmes tailleurs de pierres sont intervenus à la fin du 16ème siècle à la Servière, Loraille et la Bouëtte, trois manoirs voisins où les linteaux de la porte d'entrée du logis sont plus bas qu'à la Chaslerie.
Un autre argument mériterait d'être creusé (c'est le cas de le dire). Il y a, à la Chaslerie, entre l'entrée du logis et la salle-à-manger, la preuve qu'a existé là ce qui ressemble à une porte de circulation intérieure. Cette porte est basse. Daterait-elle de l'origine du logis ? En d'autres termes, les grandes portes d'accès à la salle-à-manger et au salon, chanfreinées du côté de la cage d'escalier, seraient-elles postérieures ? En tout cas, celles-ci sont beaucoup plus hautes que ce passage.Lorsque les horribles enduits auront fini d'être retirés de la cage d'escalier et de la salle-à-manger, on y verra peut-être plus clair sur ce mystère.
Catherine DALIMIER
rédigé le Vendredi 1er Mars 2013
Journal du chantier - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis
rédigé le Vendredi 1er Mars 2013
Journal du chantier - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis
Monsieur,
Je suis votre beau site depuis un an. Mon projet est plus réduit (rénovation d'un petit presbytère du XVIème et XVIIIème siècles à Auvers-sous-Montfaucon), mais je suis la proie des mêmes enthousiasmes et de déceptions similaires. Vos commentaires sur l'entreprise Pavy m'ont particulièrement intéressée, car j'avais confié le gros de la rénovation à cette entreprise qui a interrompu les travaux pendant six mois, en me laissant un chantier dépotoir. Je viens de renégocier avec eux, en réduisant mon projet, car les nouvelles conditions me sont très défavorables. En résumé: je suis satisfaite de la qualité des prestations exécutées, mais indignée de leurs procédés commerciaux. Ne tombez pas dans le piège ! Bon courage.
N.D.L.R. : Il y a quelques années, j'avais confié un petit chantier à l'entreprise QUELIN, c'est-à-dire à M. SACCO. Il s'agissait notamment de remettre en place des pierres tombées de quelques murs. J'avais trouvé que le travail était de très médiocre qualité. Surtout, j'avais calculé, à partir de leur facture, combien ils me chargeaient pour une heure de leur employé de base. J'avais été horrifié. C'est pour cela que, depuis 2004 (de mémoire), j'emploie des tâcherons et m'en trouve très bien.
A l'époque, j'avais expliqué mon constat à M. SACCO et ne lui avais réglé que la moitié de sa facture, sans que cela pose le moindre problème. C'est même lui qui est revenu vers moi l'an dernier, pour le compte de PAVY, et qui a préparé un devis très lourd, en 4 postes, pour la restauration de ma cage d'escalier. Il m'a semblé que, pour 3 des 4 postes en question, Igor et Jonathan feraient aussi bien l'affaire et pour beaucoup moins cher. J'ai donc proposé à M. SACCO de ne conserver que celui des 4 postes relatif à la restauration des granits. Il l'a accepté et m'a retourné un nouveau devis, sous-ensemble du précédent, réduit à ce seul poste. Il n'y avait donc pas d'ambiguïté sur l'intervention de PAVY. Mais, dans ses deux devis, M. SACCO s'était bien gardé d'expliciter le nombre de marches en cause.
Hier, quand lui et son acolyte sont revenus à la Chaslerie, j'ai vite compris qu'ils ne tiendraient pas parole. Je les ai donc virés avec pertes et fracas, comme je sais faire avec les individus de cette engeance.
Je suis votre beau site depuis un an. Mon projet est plus réduit (rénovation d'un petit presbytère du XVIème et XVIIIème siècles à Auvers-sous-Montfaucon), mais je suis la proie des mêmes enthousiasmes et de déceptions similaires. Vos commentaires sur l'entreprise Pavy m'ont particulièrement intéressée, car j'avais confié le gros de la rénovation à cette entreprise qui a interrompu les travaux pendant six mois, en me laissant un chantier dépotoir. Je viens de renégocier avec eux, en réduisant mon projet, car les nouvelles conditions me sont très défavorables. En résumé: je suis satisfaite de la qualité des prestations exécutées, mais indignée de leurs procédés commerciaux. Ne tombez pas dans le piège ! Bon courage.
N.D.L.R. : Il y a quelques années, j'avais confié un petit chantier à l'entreprise QUELIN, c'est-à-dire à M. SACCO. Il s'agissait notamment de remettre en place des pierres tombées de quelques murs. J'avais trouvé que le travail était de très médiocre qualité. Surtout, j'avais calculé, à partir de leur facture, combien ils me chargeaient pour une heure de leur employé de base. J'avais été horrifié. C'est pour cela que, depuis 2004 (de mémoire), j'emploie des tâcherons et m'en trouve très bien.
A l'époque, j'avais expliqué mon constat à M. SACCO et ne lui avais réglé que la moitié de sa facture, sans que cela pose le moindre problème. C'est même lui qui est revenu vers moi l'an dernier, pour le compte de PAVY, et qui a préparé un devis très lourd, en 4 postes, pour la restauration de ma cage d'escalier. Il m'a semblé que, pour 3 des 4 postes en question, Igor et Jonathan feraient aussi bien l'affaire et pour beaucoup moins cher. J'ai donc proposé à M. SACCO de ne conserver que celui des 4 postes relatif à la restauration des granits. Il l'a accepté et m'a retourné un nouveau devis, sous-ensemble du précédent, réduit à ce seul poste. Il n'y avait donc pas d'ambiguïté sur l'intervention de PAVY. Mais, dans ses deux devis, M. SACCO s'était bien gardé d'expliciter le nombre de marches en cause.
Hier, quand lui et son acolyte sont revenus à la Chaslerie, j'ai vite compris qu'ils ne tiendraient pas parole. Je les ai donc virés avec pertes et fracas, comme je sais faire avec les individus de cette engeance.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 1er Mars 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis - Archives, histoire, documentation - Pour l'étude de diagnostic - Histoire de la Chaslerie - Histoire des bâtiments de la Chaslerie - Désultoirement vôtre !
rédigé le Vendredi 1er Mars 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis - Archives, histoire, documentation - Pour l'étude de diagnostic - Histoire de la Chaslerie - Histoire des bâtiments de la Chaslerie - Désultoirement vôtre !
Jonathan poursuit son œuvre de démolition :De l'autre côté du passage vers la terrasse, je constate qu'il s'agissait bien d'une porte, assez finement maçonnée. Je n'ai jamais vu d'arc de décharge aussi important à la Chaslerie. Ne s'agirait-il pas là d'un vestige d'un ancien manoir, bien antérieur à 1598 ?
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 1er Mars 2013
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Aile "de la belle-mère" - Transmission du patrimoine - Désultoirement vôtre !
rédigé le Vendredi 1er Mars 2013
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Aile "de la belle-mère" - Transmission du patrimoine - Désultoirement vôtre !
J'ai déposé ce matin, en mairie de La Haute-Chapelle, les 5 exemplaires de ma demande de permis relative à l'aile "de la belle-mère". Voici ce dépôt :Il paraît qu'un exemplaire doit rester en mairie, un deuxième doit être envoyé à la préfecture, un troisième à la D.T.O. (ce qui veut dire D.D.E.), un quatrième au S.T.A.P. Quant au cinquième, il doit m'être retourné quand le permis sera accordé.
Guy HEDOUIN
rédigé le Vendredi 1er Mars 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis - Vie du site - Entretien du site
rédigé le Vendredi 1er Mars 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis - Vie du site - Entretien du site
Ben voila tout arrive à la Chaslerie, suffisait de patienter mon seigneur. Et de plus, il fonctionne, bravo l'artiste.
Je vais demander à mon maçon, lui qui a travaillé 15 ans pour les MH, chez Dagan, s'il ne connaît pas une entreprise. Vous avez combien de marches à recoller ?
Bonne soirée !
N.D.L.R. : une vingtaine, plus quelques linteaux et appuis (voir le message n°927 du 12 mai 2012)...
Je vais demander à mon maçon, lui qui a travaillé 15 ans pour les MH, chez Dagan, s'il ne connaît pas une entreprise. Vous avez combien de marches à recoller ?
Bonne soirée !
N.D.L.R. : une vingtaine, plus quelques linteaux et appuis (voir le message n°927 du 12 mai 2012)...
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 3 Mars 2013
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse
rédigé le Dimanche 3 Mars 2013
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse
N'en ayant plus de nouvelles depuis trop longtemps, j'ai glissé ce matin dans la boîte aux lettres de Bernard un mot l'invitant à passer me voir mardi matin à la Chaslerie afin qu'il m'explique ce qu'il fabrique désormais et s'il estime que je ne devrais pas songer à le remplacer prochainement.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 3 Mars 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
rédigé le Dimanche 3 Mars 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
Voici, dans le passage vers la terrasse, la trace de l'ancienne porte telle qu'elle se présente ce matin (dans la niche de ciment peinte de la couleur qu'elle affectionnait par l'épouse de mon vendeur, on peut remarquer les restes d'une belle statue en pierre de Caen, sans doute du 15ème siècle, décapitée depuis longtemps, qui représentait peut-être Sainte Anne et qui a pu orner longtemps la niche extérieure de la chapelle de la Chaslerie) :
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 3 Mars 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
rédigé le Dimanche 3 Mars 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
Jonathan a fini de piqueter les murs du passage vers la terrasse :Dans la cage d'escalier du logis, il lui reste à piqueter le secteur des w.-c. sous l'escalier ; je lui ai demandé de ne pas épargner celui-ci :Dans la cour, un nouveau chargement de gravats attend d'être emporté ; on remarquera l'épaisseur des enduits, notamment la couche de ciment pur :
Pour la restauration de vos marches, est-il nécessaire que l'entreprise ou l'artisan soit agréé MH ?
Demain, mon maçon est à la maison, je vais lui en parler.
Bonne soirée !
N.D.L.R. : A ma connaissance, l'agrément MH n'est plus nécessaire. Il vaut toutefois mieux que l'entreprise soit "qualifiée" mais ne me demandez-pas ce que cela signifie ni qui reconnaît ces qualifications car je l'ignore. Le bon sens me fait penser qu'il faut savoir réaliser le travail attendu dans les règles de l'art, notamment quant à la solidité des réparations et à l'esthétique du résultat ; il faut, par exemple, utiliser de broches inoxydables ou penser à mélanger la résine avec la poudre de granit de la bonne marche. J'ajoute que l'entreprise ou l'artisan qui interviendrait aurait sans doute à desceller les marches cassées et à les descendre au sol afin de pouvoir réduire proprement les fractures.
Demain, mon maçon est à la maison, je vais lui en parler.
Bonne soirée !
N.D.L.R. : A ma connaissance, l'agrément MH n'est plus nécessaire. Il vaut toutefois mieux que l'entreprise soit "qualifiée" mais ne me demandez-pas ce que cela signifie ni qui reconnaît ces qualifications car je l'ignore. Le bon sens me fait penser qu'il faut savoir réaliser le travail attendu dans les règles de l'art, notamment quant à la solidité des réparations et à l'esthétique du résultat ; il faut, par exemple, utiliser de broches inoxydables ou penser à mélanger la résine avec la poudre de granit de la bonne marche. J'ajoute que l'entreprise ou l'artisan qui interviendrait aurait sans doute à desceller les marches cassées et à les descendre au sol afin de pouvoir réduire proprement les fractures.
Pascal POIRIER
rédigé le Dimanche 3 Mars 2013
Journal du chantier - Sculpture - Archives, histoire, documentation - Désultoirement vôtre !
rédigé le Dimanche 3 Mars 2013
Journal du chantier - Sculpture - Archives, histoire, documentation - Désultoirement vôtre !
J'ai le plaisir de vous informer de mon nouveau site internet !
Pascal POIRIER Sculpteur. Maître Artisan. M.O.F
99, avenue du président Coty
61600 LA FERTE-MACE
Tel : 06.70.60.25.46N.D.L.R. : Très beau site, magnifique travail, nerveux et enlevé ! Merci, on note aussi les références du frangin en plus de celles de l'épouse dont on appréciait déjà le talent ! Et on retrouve avec plaisir notre Sainte Anne favorite, qui illustre la difficulté particulière de la sculpture du granit...
Pascal POIRIER Sculpteur. Maître Artisan. M.O.F
99, avenue du président Coty
61600 LA FERTE-MACE
Tel : 06.70.60.25.46N.D.L.R. : Très beau site, magnifique travail, nerveux et enlevé ! Merci, on note aussi les références du frangin en plus de celles de l'épouse dont on appréciait déjà le talent ! Et on retrouve avec plaisir notre Sainte Anne favorite, qui illustre la difficulté particulière de la sculpture du granit...
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 5 Mars 2013
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Aile "de la belle-mère" - Transmission du patrimoine - Désultoirement vôtre !
rédigé le Mardi 5 Mars 2013
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Aile "de la belle-mère" - Transmission du patrimoine - Désultoirement vôtre !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 7 Mars 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Charpente-couverture - Logis
rédigé le Jeudi 7 Mars 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Charpente-couverture - Logis
Franck LIEGEAS a changé la poutre atteinte de mérule au plafond de mon ex-chambre et a traité les bois environnants :Jonathan va pouvoir (avec l'aide d'Igor quand celui-ci reviendra) remplacer les solives de sapin que nous avons enlevées. Pour l'isolation, j'ai commandé un produit bio plutôt que de la laine de verre ; c'est plus de 5 fois plus cher mais il paraît que c'est efficace plus longtemps.
Le fait que je donne la priorité au plafond de mon ex-chambre signifie qu'on ne va pas piqueter tout de suite les murs de la salle-à-manger.
Je poursuis par ailleurs mes recherches d'un maçon capable de réparer les granits. J'ai d'ores et déjà plusieurs touches, on va pouvoir prendre le temps d'écouter et d'observer.
N.B. : Je mets en ligne ces messages à partir de mon nouvel ordi de la Chaslerie. On voit bien que je ne sais pas encore corriger les photos pour leur redonner des couleurs normales.
Le fait que je donne la priorité au plafond de mon ex-chambre signifie qu'on ne va pas piqueter tout de suite les murs de la salle-à-manger.
Je poursuis par ailleurs mes recherches d'un maçon capable de réparer les granits. J'ai d'ores et déjà plusieurs touches, on va pouvoir prendre le temps d'écouter et d'observer.
N.B. : Je mets en ligne ces messages à partir de mon nouvel ordi de la Chaslerie. On voit bien que je ne sais pas encore corriger les photos pour leur redonner des couleurs normales.