Journal du chantier

Hélène LEROY
rédigé le Samedi 8 Décembre 2012
Journal du chantier - Annonces - A la Chaslerie
0
... je cite un article, si vrai :

La "vie de châtelain" est un concept répandu dans l’imaginaire des Français. On l’associe souvent à une forme d’aisance et d’insouciance. Comme souvent, l’écart est considérable entre concept et réalité pratique. La vraie vie de châtelain est le plus souvent faite de travail, de dévouement et d’investissement ; elle laisse peu de place au farniente ou à l’oisiveté. Plus qu’un style de vie, entretenir et transmettre une maison ancienne est une vocation doublée d’une passion.

Au fond, la vie de châtelain, si elle n’est pas de tout repos, présente un atout inattendu et considérable, celui de relativiser le quotidien et d’inscrire son action dans la durée. Elle vous conduit à une philosophie personnelle axée sur la conservation du passé, offrant ainsi un socle fiable pour se projeter dans l’avenir et la modernité. C’est d’autant plus important aujourd’hui, la société occidentale ayant perdu une partie de ses repères. Cet aspect est régulièrement évoqué avec les visiteurs lors des journées portes ouvertes. Les gens se déplacent souvent pour retrouver une ambiance ou des valeurs d’autrefois et la plupart d’entre eux sont heureux de constater qu’un effort familial est fourni pour maintenir nos racines partagées.

Un château n’est pas une maison ordinaire, c’est un lieu symbolique qui témoigne de l’art de vivre d’autrefois et de notre histoire. Même privé et familial, il appartient un peu à tous et son propriétaire est en réalité investi d’une mission de dépositaire d’une parcelle d’histoire qu’il doit s’efforcer de communiquer aux autres et de transmettre à son tour. :-))

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 10 Décembre 2012
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Aile "de la belle-mère"
0
Lucyna GAUTIER a transmis hier soir à Mr T. ses plans en vue d'améliorer l'habitabilité de l'"aile de la belle-mère". Voici, avec mes commentaires, ce que cela donne.

D'abord, le façades. La façade sur cour (que Lucyna appelle Sud alors qu'elle est orientée vers l'Est) montre qu'on conserverait les ouvertures d'Henri LEVÊQUE sur le colombier et sur ce qui correspond, au rez-de-chaussée, au salon du logement. En revanche, sur la partie la plus au Nord (à droite) de cette façade, il y aurait de petites modifications : la porte d'accès aux écuries actuelles (à la future salle-à-manger) serait en partie vitrée et complétée à gauche d'une nouvelle ouverture, bien dessinée. Au niveau de la toiture, la cheminée serait décalée vers le Nord et les lucarnes rebalancées en conséquence. Tout ceci me semble bienvenu et relativement aisé à réaliser, la principale difficulté étant de trouver le bon granit pour les deux nouvelles ouvertures.

Façade Est.

Du côté de la façade actuelle d'arrivée (orientée vers l'Ouest et non, comme indiqué sur le dessin, vers le Nord), il y aurait de nombreuses modifications :
- au rez-de-chaussée, l'horrible porte extérieure d'accès aux écuries, percée par Henri LEVÊQUE, serait supprimée et remplacée par une fenêtre assortie aux autres ;
- au niveau du 1er étage, les ouvertures actuelles dans la maçonnerie disparaitraient au profit d'ouvertures beaucoup plus discrètes dans les brisis ; cela semble une excellente idée, les ouvertures actuelles ayant été très mal réalisées par Henri LEVÊQUE et dénaturant la massivité nécessaire de cette façade.

Ces travaux seront cependant très délicats à réaliser pour ne pas rendre perceptibles, par des différences de couleur de la pierre, les interventions nécessaires en maçonnerie. Il est vraisemblable que nous devrons démonter une grande partie du parement extérieur de cette façade afin de panacher les pierres ; ce sera un gros travail.

Façade Ouest.

J'en viens aux travaux intérieurs. Autant, sur les façades, j'estime que mon avis doit être considéré comme très important et à respecter (ce que les juristes appellent un "avis conforme"), autant, pour l'intérieur, je suis hors de la "boucle décisionnelle" et n'émets qu'un "avis simple". Après tout, c'est le fiston qui paye, les travaux sont dans "sa bulle", donc c'est lui qui décide librement. Ceci dit, compte tenu de mon expérience des chantiers, ce que je dis peut avoir un petit intérêt.

Au niveau du rez-de-chaussée, le plan de Lucyna n'appelle pas de remarque particulière de ma part :
- Les pièces sont de belles dimensions.
- Il faudra déplacer la cheminée d'une travée de charpente vers le Nord, de manière à redonner au salon un bon volume après l'amputation due à la nouvelle cage d'escalier ; ceci me paraît bienvenu.
- La cuisine provisoire actuelle, au rez-de-chaussée du colombier servira de débotté et de vestiaire avec un w.-c. : excellente idée.
- La nouvelle cuisine sera intégrée à la future salle-à-manger : très bien ; il ne faudra cependant pas se tromper dans le style de cette cuisine afin de la rendre discrète dans ce volume. Elle sera complétée par une arrière-cuisine : excellent pour assourdir le bruit des machines et dissimuler une quincaillerie moderne incongrue en ces lieux.
- La porte extérieure du salon donnera accès à un palier surélevé d'une marche par rapport au salon et il faudra monter deux marches pour passer du débotté au salon (Lucyna s'est trompé, sur son dessin, à propos du sens de cette montée) ; il sera toujours nécessaire de monter puis descendre une marche pour passer de la cour au débotté.

Le rez-de-chaussée.

Au niveau du 1er étage, j'éprouve quelques hésitations. Mais rien de fondamental :
- La chambre 1 n'est guère modifiée par rapport à sa découpe actuelle ; plutôt que deux lavabos, je recommanderais un lavabo et un bidet.
- Je ne suis pas sûr que le palier de l'escalier tournant, équivalent à trois marches, soit aisé à insérer dans le dispositif ; il est vrai néanmoins que le démarrage de l'escalier à l'étage en-dessous est suffisamment... inattendu pour donner quelque flexibilité dans la réalisation.
- Il faut deux marches (au lieu d'une, actuellement) pour accéder à la chambre 1 ; il faut également 5 marches pour accéder au couloir des autres chambres. A ce stade, le progrès n'est pas flagrant par rapport au spaghetti absurde d'Henri LEVÊQUE ; il est vrai que c'est surtout au-dessus de ce niveau que les zigouigouis de l'escalier étaient ridicules. Il y a encore 4 marches pour passer du couloir aux 3 autres chambres, donc un vide sanitaire sous le plancher de ces chambres ; l'idée sous-jacente de mettre enfin ces volumes en phase avec la hauteur des lucarnes me semble très bienvenue, donc ces séries de 4 marches ne me gênent pas en tant que telles. Il faudrait toutefois examiner sur la coupe du bâtiment si le caractère mansardé de la toiture joint aux nombreux placards prévus ne donnerait pas à ces chambres des dimensions trop exigües.
- Plutôt qu'un dressing entre les chambres 2 et 3, ne vaudrait-il pas mieux prévoir une autre salle de bains ? Certes, cela poserait des problèmes d'éclairage et de ventilation, donc de dessin de la petite ouverture extérieure à prévoir, sur le terrasson sans doute, mais cela me paraît mériter d'être envisagé.
- Dans la salle de bains, toujours 2 lavabos. Bizarre. La baignoire me paraît bien courte pour de grands gaillards (il faut penser à la dégénérescence de l'espèce, 10 cm par génération si l'on veut bien ne pas interrompre une si brillante lignée...). Donc à revoir ; une solution serait de faire tourner la baignoire de 90° en piquant l'espace du lavabo du fond.
- La mezzanine a-t-elle de l'intérêt ? Bibliothèque, sans doute. Pourquoi pas ?

Le premier étage.

Au niveau du 2ème étage, l'idée est de mettre en valeur les trous de boulin. Le lit est donc absorbé pour partie par une alcôve. Les deux lavabos me choquent moins car les jeux de miroirs peuvent être traités de façon intéressante. Le palier fonctionne bien avec l'étage en-dessous.

Le deuxième étage.

Lucyna a prévu de conserver un 3ème étage de manière à disposer un bureau sous la belle charpente mansardée du colombier. Le problème est que l'escalier débouche en plein milieu du volume, ce qui peut gêner son ameublement. Il est vrai qu'il n'y aura jamais foule là-haut. Et je ne vois pas comment on pourrait utilement modifier la trémie sauf à raidir sensiblement les marches, ce qui serait casse-gueule. Il ne faudra pas se tromper dans les rampes qui devront demeurer arachnéennes.

Le troisième niveau.

Enfin, la coupe longitudinale permet de comprendre que le sol du débotté au rez-de-chaussée ne peut être relevé ; apparemment, il est même légèrement abaissé, ce qui me semble opportun. La coupe fait apparaître un vide sanitaire de 59 cm au plafond de la chambre 1 : je n'en vois pas l'intérêt ni l'usage ; à supprimer.

Coupe longitudinale.

Le point le plus préoccupant de cet ensemble de dessins est l'escalier en colimaçon. Si on prévoit, comme sur la coupe, que la structure de l'escalier portera sur une cloison en pan-de-bois, je doute fort que cela suffise à assurer la solidité de l'ensemble. Lucyna devra donc préciser très rapidement son projet sur ce point, cela me paraît indispensable en l'état du dossier.

Mr T.
rédigé le Lundi 10 Décembre 2012
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Aile "de la belle-mère"
0
Pourquoi dis-tu que le départ de l'escalier est inattendu ?

Quant a moi, j'avoue être déçu par ces propositions : on part d'une situation où les bouts d'escaliers s'enchainent dans tous les sens pour recréer une situation globalement similaire.

Je ne comprends pas comment on ne peut pas retomber sur ses pattes avec l'escalier : si on fait un tour de vis en 13 marches pour accéder à la première chambre, on doit bien pouvoir faire 3/4 de tour pour accéder à la mezzanine de laquelle partiraient ensuite 5-6 marches en ligne droite, parallèles au mur côté extérieur, pour accéder a notre chambre... Ou alors je me fous dedans dans mes calculs et/ou mes projections en 3D. Je me demande dans quelle mesure il ne va pas falloir faire intervenir un escaliériste dès aujourd'hui ?

N.D.L.R. : D'abord, mon grand, je ne te félicite pas : à cette heure-ci, les enfants dorment, nom de Diou !

J'écris "inattendu" car il faut s'enfoncer dans le volume pour aller trouver la 1ère marche : ce n'est sans doute pas dramatique.

Ensuite tu me dis trouver que le progrès n'est pas flagrant par rapport aux horreurs du phénix du bocage. En réalité, le problème posé est très difficile à résoudre. Deuxio, je trouve que Lucyna ne s'en tire pas mal : c'est surtout au-dessus du plancher du 1er étage que ça clochait ; ici, c'est nettement plus rationnel.

Tu es comme moi, mon fils : lorsqu'on manque de sommeil, on voit tout en noir. Je comprends que ces plans, que tu attendais avec impatience, te turlupinent. Mais je te l'assure : ce n'est pas mauvais, prends le temps d'y repenser tranquillement.

Tu es en train de te rendre compte des premières difficultés de la restauration des vieilles pierres. Courage, c'est le métier qui entre ! Et beau dodo, le Bibo !

Kisses du Dad.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 10 Décembre 2012
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Menuiserie - Aile "de la belle-mère"
0
@ Mr T. :

Si tu souhaites donner suite à ton idée de consulter un escaliéteur, ce qui ne peut effectivement pas faire de mal, je te conseillerais d'aller voir notre ami Marc CHALUFOUR. C'est lui qui a réalisé notre escalier intérieur à Paris, il a du goût et de l'expérience. Sans doute conviendrait-il de le rémunérer pour ses conseils. Je te propose de venir le rencontrer un prochain week-end chez lui, à quelques kilomètres de Briouze, à Chênedouit, à la demi-acre. En plus, la maison qu'il restaure actuellement et qui est son domicile, est très intéressante à visiter. Téléphone lui (02 33 12 71 45 ou 06 15 05 30 63). Si tu le veux bien, je t'accompagnerais.

Chers amies et amis,

Participation :
Ce jour, sauf erreur de ma part, nous en sommes à 39 associations qui ont répondu positivement au recours contre le SRE. Quelques-unes sont en retard. J’ai relancé les autres.
Il y a 16 particuliers adhérents de BNE (notre point faible) qui ont également signé le recours avec participation financière quelquefois conséquente. J’ai relancé les autres.
Sinon, nous arrivons à 40 participants particuliers supplémentaires sympathisants avec participation financière dans la majorité des cas. Vous recevrez un bilan financier complet à la fin des inscriptions.
D’autres mandats ne sont pas expédiés à l’avocat car trop incomplets : pas de prénom entier, le nom du village comme adresse (même pas le code postal !), non signé etc… Je n’ai pas eu le temps de les relancer surtout par voie postale.
Félicitons la participation de la commune de Carquebut dans la Manche ainsi que celle des Maisons Paysannes de France. Je suis sans nouvelles d’autres communes, malgré des promesses et des relances.
En conclusion, nous arrivons à une centaine de requérants. Ce n’est pas si mal compte tenu du démarrage vitesse escargot après la réunion de Vacognes.

Le recours :
Sur l’invitation de Maître Monamy, avec l’accord de la majorité du bureau de BNE (6 pour, 2 abstentions) (et avec l’assentiment de notre champion du recours contentieux Fabien Bouglé), nous avons décidé de déposer en premier lieu un recours gracieux. Ceci malgré l’option prise lors de la réunion du 24 novembre à Vacognes.
Pourquoi ce changement de dernière minute ?
Les moyens de légalité interne du dossier sont apparus comme très insuffisamment développés à ce stade.
Nous vous laissons le temps de préparer des arguments propres à votre secteur comme quoi votre commune, communauté de communes ou sous-région est impropre à recevoir des éoliennes.

Nous en reparlerons après les fêtes.
Fêtes que nous vous souhaitons heureuses et joyeuses.
Je joins la signature de Viviane Holley, notre trésorière, à la mienne pour ce courrier car elle ne chôme pas non plus – et tant mieux !
Dominique CHADAL
rédigé le Lundi 10 Décembre 2012
Journal du chantier - Annonces - A la Chaslerie
0
Bravo, j'ai vu le reportage, tu es très convaincant.

N.D.L.R. : Tu as quand même mis 3 jours pour réagir...
Justement, ce matin, en répondant à Mr T., je me disais que les choses changent vite à la Chaslerie. Il y a moins d'un mois, j'affirmais qu'arriver à restaurer trois pièces me satisferait. Or, avec les plans de Lucyna (et les phynances de Mr T.), on s'apprête à exploser le compteur. Byzance, assurément !

Dominique CHADAL
rédigé le Mardi 11 Décembre 2012
Journal du chantier - Annonces - A la Chaslerie
0
Je m'étais quelque peu éloignée de mon ordinateur pendant quelques jours et je ne suis pas encore suffisamment équipée pour garder le contact avec la blogosphère quand je suis en déplacement. Cela devrait changer après le passage du père Noël !

Anne-Marie DESHAYES
rédigé le Mardi 11 Décembre 2012
Journal du chantier - Annonces - A la Chaslerie
0
Avec retard , je viens vous féliciter pour l'émission "la vie de château" qui représente bien la part de passion , de contraintes liée à ces merveilleuses pierres... Cependant ne serait-ce pas là des valeurs (rusticité, vie au grand air...) autrement plus intéressantes que le rythme stressant de la vie citadine du XXI° s?

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 13 Décembre 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
0
La dernière couche de chaux sur le mur sous les combles sera aussi douce à la vue qu'une peau de pêche. Cela me satisfait pleinement et augure très bien de la prochaine restauration de la cage d'escalier du logis.

13 décembre 2012, sous les combles du logis.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 15 Décembre 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
0
Voici la chaux déposée hier sur le mur de refend des combles :

14 décembre 2012, sous les combles du logis.

Igor et Jonathan m'assurent que cette chaux encore humide ne risque pas de geler et qu'elle s'éclaircira très nettement en séchant. En tout cas, j'aime ces formes enrobées du mur.

Chers amies et amis

Le texte du recours gracieux doit être arrivé aujourd'hui chez le Préfet.
Vous trouverez ci-joint le communiqué de presse concernant ce recours.
Vous avez toute liberté de le faire suivre à vos médias de proximité (journaux, radios...).
Comme requérant, vous pouvez adjoindre vote nom comme contact presse en mentionnant vos nom, téléphone et département.

Bien cordialement,

Hervé TEXIER

(début de citation)

Communiqué de Presse de BASSE NORMANDIE ENVIRONNEMENT

RECOURS CONTRE LE SCHEMA REGIONAL DE BASSE - NORMANDIE
Halte au délire éolien !
Sur 1814 communes, seules 145 sont épargnées par les éoliennes !

Le Schéma Régional Eolien (SRE) de Basse-Normandie a été approuvé par l’arrêté du Préfet de région le 28 septembre 2012.
L’association Basse Normandie Environnement, 47 autres associations environnementales et de très nombreux citoyens demandent par un recours gracieux le retrait de cet arrêté.
Les requérants en dénoncent les irrégularités juridiques
- absence de participation du public à l’élaboration du SRE,
- parodie de concertation des collectivités territoriales, du public effectuée durant les deux mois d’été
- violations de la constitution du 4 octobre 1958, de la charte de l’environnement, des lois du Grenelle I et II

Notre démarche a pour buts, entre autres, de vouloir éviter
- une atteinte irréversible au cadre de vie des habitants des zones rurales
- la destruction de la cohésion sociale
- une altération reconnue de la santé des riverains
- une dégradation de notre patrimoine culturel, naturel, paysager
- un impact additionnel néfaste à la biodiversité déjà bien mal en point
- une livraison de notre territoire au profit de sociétés privées.

Ce schéma est une erreur manifeste d’appréciation du fait de la violation des objectifs du développement durable. Il ne démontre pas la pertinence sociétale, économique, écologique de cette industrie pour la Basse-Normandie.

Contact presse :
Hervé Texier
BNE / FED
06 89 58 70 27

(fin de citation)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 19 Décembre 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
0
La restauration du volume au-dessus de la "pièce dévastée" est enfin achevée. C'est parfait de mon point de vue. Il n'y manque que la porte. On pourra bientôt se servir de cet espace reconquis comme premier garde-meubles.

19 décembre 2012, dans le logis, sous les combles.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 19 Décembre 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Tour Louis XIII
0
Dans la cour, à côté de la future chaufferie, Igor et Jonathan sont en train de préparer le calepinage des pavés. L'assemblage du puzzle n'en est qu'à ses débuts.

19 décembre 2012, dans la cour.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 19 Décembre 2012
Journal du chantier - Menuiserie - Bâtiment Nord
0
Denis DUVEAU et deux compagnons viennent d'arriver à la Chaslerie. Il paraît qu'il va leur falloir trois jours de travail pour installer le nouvel escalier du bâtiment Nord :

19 décembre 2012, les escaliéteurs disposent leur matériel dans le bâtiment Nord.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 19 Décembre 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Tour Louis XIII
0
Le tri des pierres continue. Vive la jeunesse ! On devrait disposer de sensiblement plus de pierres que celles dont on aura besoin pour la future chaufferie...

19 décembre 2012, dans la cour (suite).

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 19 Décembre 2012
Journal du chantier - Menuiserie - Bâtiment Nord
0
Et c'est parti pour la pose de l'escalier du bâtiment Nord ! Première impression : ce sera meublant...

19 décembre 2012, dans l'entrée du bâtiment Nord.