Journal du chantier

Bonjour Monsieur,

Mes sincères félicitations pour vos travaux de restauration et pour ce "journal du chantier". Quel plaisir de suivre, presque en direct, les différentes avancées de votre entreprise !

Il est très problable que vous ayez d'ores et déjà connaissance de l'accessibilité au plan cadastral de 1824 de votre commune. Si ce n'était pas le cas, voici le lien, voir la section A.

Et pour toute autre recherche dans l'Orne...

Cordialement,

Mathieu

N.D.L.R. : Merci beaucoup, cher et mystérieux Mathieu. J'ignorais l'existence de ces liens. J'ai réussi à ouvrir le second. Donc vous nous apprenez que le cadastre encore en vigueur en 1949 datait en fait de 1824. Je comprends également que le plan que je datais du milieu du 19ème siècle (celui où apparaît la D22 et où le canal d'arrivée de l'eau dans les douves a été détourné vers l'Est) est effectivement postérieur à 1824...
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 17 Avril 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Terrassement - Tour Louis XIII - Météo - Désultoirement vôtre !
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Comme il pleut beaucoup, j'ai demandé à Igor et Valentin d'interrompre leur travail sur le mur Ouest de la douve Nord. Ils vont donc commencer à gratter les murs de la future chaufferie (au rez-de-chaussée de la tour Louis XIII) en vue de les rejointoyer. Il conviendra également de retirer la terre battue de cette pièce, d'en drainer le sol puis, sans doute, de prévoir un revêtement de sol moins rustique. Nous procéderons cependant par étapes car je ne sais pas ce qu'on va découvrir à l'occasion.

Igor et Valentin ont pris l'initiative de regrouper au milieu de la pièce les poutres et planches qui étaient adossées aux murs. Je pense qu'il faudra les remiser ailleurs (sans doute dans la cour et sous bâche) le temps que dureront ces travaux.

17 avril 2012, Valentin à la fenêtre.

Il règne une telle humidité et un tel froid dans cette pièce que la lentille de mon appareil photo numérique se couvre immédiatement de buée...

Bonjour,

Il me semble qu'il y a comme une forme d'arc de décharge au-dessus de l'embrasure de tir. Lorsque cela sera nettoyé, pourriez-vous me refaire une photo ?

D'après les différentes vues du cadastre, votre avenue actuelle date de quand ?

Bonne journée !

N.D.L.R. : Vous, vous avez le coup d'oeil ! En fait, pour l'embrasure de tir qui se trouve à l'angle Sud-Ouest de la tour Louis XIII, il y a deux arcs de décharge, un sur chaque mur (les coulures blanches sont de la chaux, datant de la restauration de la charpente et de la couverture de cette tour, vers 1970 à ma connaissance).

17 avril 2012, l'arc de décharge sur la partie gauche de l'embrasure de tir, à l'angle Sud-Ouest de la tour Louis XIII.

17 avril 2012, l'arc de décharge sur la partie droite de l'embrasure de tir, à l'angle Sud-Ouest de la tour Louis XIII.

J'anticipe votre prochaine question : il n'y a pas de tel arc de décharge sur la meurtrière qui se situe à l'angle opposé de la pièce. Celle-ci devait déboucher sous le cul de l'échauguette dont on aperçoit les vestiges au Nord du manoir, accolés à la tour Louis XIII ; on peut imaginer que cette échauguette a disparu avant le milieu du 18ème siècle, lorsque le bâtiment qui se trouvait dans la cour mais à son Nord a été rasé, sans doute à la suite d'un premier incendie (avant celui qui a dévasté le logis en 1884) :

17 avril 2012, l'embrasure de tir, à l'angle Nord-Est de la tour Louis XIII.

Quant à l'Avenue, elle date sans doute de la construction du manoir puisqu'elle reliait celui-ci à Domfront. J'ai acheté à Bernard, il y a quelque temps, des terres où passait la suite de l'allée, entre les distances de 500 mètres (534, pour être précis) et 2 km environ du manoir ; j'ai restauré cette portion, et l'ai plantée de hêtres tout le long ; ceux-ci ont actuellement une cinquantaine de centimètres de hauteur. Pour ce qui est des 534 premiers mètres qui sont inscrits à l'I.S.M.H., la restauration en est toujours au stade de l'étude...
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 18 Avril 2012
Journal du chantier
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Séance de travail à la D.R.A.C. (M. HENRIOT et Mme COURTIN) cet après-midi.

1 - Ne pas oublier les formalités à accomplir avant de lancer les travaux de restauration de la couverture des écuries. Pas de S.C.I. dans l'immédiat.

2 - Etude préalable : extourner l'aile de la belle-mère. Présenter un nouveau devis.

3 - Mur Ouest de la douve Nord : préciser le devis (notamment, nombre d'heures des tâcherons).

4 - Mur d'escarpe : accord de principe sur lancement rapide des travaux d'été (fondations + tri des pierres).

Répercuté l'info sur M. BOCHET puis Lucyna. Demandé à Lucyna de préparer la déclaration pour l'allée.

Excellents échanges aujourd'hui avec Mr T. à qui je racontais ma réunion hier à la D.R.A.C. Il commence à mieux comprendre que, lorsqu'on restaure de vieilles pierres, il y a des procédures lourdes à respecter. J'ai l'impression que le projet le tente néanmoins. J'essaye de ne rien lui dissimuler des difficultés de la tâche. Lorsqu'il reviendra à la Chaslerie, il pourra ainsi se plonger dans les dossiers que j'ai remis en ordre afin, notamment, de lui en faciliter la lecture.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 19 Avril 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Tour Louis XIII - Dans l'Orne - Annonces
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En allant dîner ce soir à Céaucé, je me suis arrêté chez un couple de jeunes Anglais qui, à ma connaissance, étaient susceptibles de vendre l'ancien dallage très rustique d'une porcherie. Il y en a pour 40 m2. Nous avons topé. J'espère pouvoir réutiliser ces pierres pour le sol de la future chaufferie, dans la tour Louis XIII. Cela devrait avoir plus d'allure qu'un revêtement moderne.

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Comme il fait un temps exécrable cet après-midi (y compris de la grêle à répétition !), j'ai demandé à Igor et Valentin d'interrompre le chantier extérieur du mur Ouest de la douve Nord et d'aller commencer à gratter, à l'abri, le sol au rez-de-chaussée de la tour Louis XIII :

23 avril 2012, Igor et Valentin à l'abri.

J'étais persuadé que ce sol était en simple terre battue ; c'est en tout cas ce qu'on voyait après avoir retiré toutes les bûches accumulées dans cette pièce.

Or Igor et Valentin n'ont pas tardé à mettre à jour une première couche de dallage et, sous celle-ci, une seconde !

23 avril 2012, les deux dallages superposés au rez-de-chaussée de la tour Louis XIII.

Et dire que j'ai déjà topé, il y a quelques jours, pour un dallage ancien de porcherie... Je vais donc me retrouver avec trois fois trop de pierres pour l'usage que j'en ai. Sauf à ce que j'imagine de substituer à la terre battue de la charretterie, qui ne me donne pas satisfaction, un revêtement avec mon trop-plein de pierres.

On le voit sur cet exemple, ce n'est pas toujours facile de bien calibrer les matériaux nécessaires pour les restaurations programmées...

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 24 Avril 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Terrassement - Tour Louis XIII
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24 avril 2012, le nettoyage s'est poursuivi dans la tour Louis XIII.

Igor et Valentin ont enlevé hier une bonne cinquantaine de centimètres de matériaux divers au rez-de-chaussée de la tour Louis XIII. En fait, il n'y avait de double pavage qu'à l'entrée. Ailleurs, l'argile était mêlée à quelques morceaux de tomettes ou d'ardoises anciennes. On a également retrouvé quelques débris de verre. Mais toujours pas de cadavre. Et encore moins de trésor...

Hélène LEROY-PEETERS
rédigé le Mardi 24 Avril 2012
Journal du chantier - Tour Louis XIII - Anecdotes - Dans l'Orne - Désultoirement vôtre ! - Annonces
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Pas de cadavre en vue ? Mais vérifiez bien dans les conduits de cheminée... Surtout lorsqu'on a une verge de 13 mètres comme à la Tour Louis XIII !
Malheureusement je vous cite un fait divers qui s'est réellement passé dans notre bocage, à Saint-Aubert-sur-Orne (année 1990)...

Le petit ramoneur.

Le printemps fait sortir les anglais qui viennent prendre leurs quartiers dans leur résidence secondaire sur le continent. La Normandie est à quelques heures de chez eux. Au temps de la splendeur de la livre sterling et de la prospérité, il était de bon ton dans la bonne société de posséder un pied à terre, si possible original et en tout cas placé sous le sceau de l"'authenticité.
A Saint Aubert sur Orne , charmante bourgade d"une centaine d'"âmes, il est une maison qui correspond au goût typiquement anglais. Les gens d'"ici l"appellent « la maison à la tourelle ». Les propriétaires en confient le gardiennage à une voisine qui est également chargée du ménage.
Ce samedi, ils arrivent pour passer quelques jours, mais la maison n"'a pas été chauffée depuis un moment. Il fait un peu frais. Une flambée dans la cheminée s'"impose. L'"homme, un ancien officier de l'"armée des Indes, ouvre la trappe qui ferme le foyer. A cet instant précis tombe une chaussure. Surprenant n"'est-il pas vrai ? Impossible d"'apercevoir quoi que ce soit, le conduit est coudé. Cette technique de construction favorise l"'évacuation de la fumée et empêche la chute brutale de la grêle. Intrigué malgré tout, le colonel fait part de sa découverte à la voisine, laquelle conseille d"'allumer le feu afin de vérifier si le tirage se fait normalement. Un peu de fumée se répand dans la pièce, mais rien de vraiment anormal. Malgré tout, le doute s'"est installé. D"'où venait cette chaussure de sport, car il s"'agissait bien d"une chaussure de tennis d"'une pointure normale pour le pied d"'un adulte. Quelques facétieux en goguette auraient-ils improvisé un lancer de godasses.. Il fallait donc tenter de résoudre cette énigme. Qui d"'autre que les gendarmes pour apporter leur concours à la recherche de la véritéÂ… ? Les hommes en uniforme étaient confrontés aux mêmes interrogations que les propriétaires. Il fallait en référer au Procureur de la République. Le transport de justice eut lieu et le magistrat ne pouvait conclure, mais comme la cheminée fonctionnait bien, il n'"y avait pas lieu de s"'alarmer. Le calme de la campagne n"'était donc pas troublé, pas plus que l'"ordre public et c"'est dans cette atmosphère apaisée que les anglais ont terminé leurs vacances printanières.
Le second chapitre nous entraîne au début de l"'automne avec une nouvelle migration britannique. Quelques jours auparavant, la voisine est prévenue de leur arrivée, comme à l"'accoutumée, elle effectue une mise en état des lieux. A sa grande surprise, le sol est recouvert d"une quantité incroyable de mouches mortes et il règne dans le salon une odeur indéfinissable. Après un bon courant d"'air, et un balayage soigneux, les choses en restent là jusqu"'à l'"arrivée des occupants en fin de matinée. Cette fois encore, la température ambiante mérite un peu de chauffage et donc un petit feu dans la cheminée.
Rien de plus simple, il suffit d"ouvrir la trappe. Un ancien colonel de l'"Armée des Indes doit pouvoir faire face à toutes situations, mais en la circonstance, on se demande s'"il n"a pas perdu un tant soit peu une once de son flegme. Une chaussure chaussant un pied, un tibia et un péroné sont tombés dans l'"âtre. A bien y regarder, quelques lambeaux de tissu accompagnent cette chute intempestive.
En moins de six mois, la paire de tennis est reconstituée, là n"'est pas l"essentiel ainsi que le fait justement remarquer la dame anglaise. Le maire, les gendarmes, la justice et les pompiers se rendent sur place. Ce sont les pompiers qui sont chargés de l"'exploration et qui récupèrent les restes d"un corps coincé dans la cheminée. L"'identification criminelle va pouvoir commencer dans le laboratoire spécialisé de la gendarmerie de Lyon.
Subsiste une interrogation majeure qui est-ce ? Depuis quand ce corps est-il là, pour quelle raison ? Comment cela a-t-il pu se produire, alors que personne n"a vu d"'échelle ? Les supputations vont bon train dans la commune, chacun a un peu son avis sur la questionÂ…. D"'après les premières constatations, il s'"agit d"un homme jeune. Le scénario le plus probable est qu"'il aurait tenté de cambrioler la maison en passant par la cheminée, il aurait glissé et serait resté coincé. Selon un médecin, il serait mort de soif, les reins se seraient bloqués entrainant une perte de connaissance. « Il a probablement souffert le martyre. »
Les autorités sont confrontées à un autre problème. Il est fait obligation à la commune de prendre en charge l'"inhumation. Ce n"'est pas une mince affaire. Le budget voté par le conseil municipal n'"a pas prévu ce genre de dépense, finalement le préfet autorise l"'inscription au chapitre des fêtes et cérémonies.
Dans le petit cimetière, en face de l'"église, le vieux curé qui dessert la paroisse donne sa bénédiction « Inconnu, qui que tu sois, quoi que tu aies fait, quelle que soit ta religion, repose en paix. »
Quelques heures plus tard, à la nuit tombante, une voiture s"'arrête le long du cimetière. Plusieurs personnes en descendent discrètement. Le lendemain matin, on découvre un bouquet de fleurs sur la terre fraichement remuée. Depuis, plus rien. En apparence, personne n"'est venu se souvenir sur cette tombe.
Il faudra plusieurs mois avant que ne puisse être révélée avec certitude l"'identité de cet homme jeune né dans une ville voisine. Il était connu des services de police pour des faits mineurs. L'"ADN avait parlé. Sa famille ne s'"était pas manifestée, elle avait l'"habitude de ses absences prolongées.
Devant un thé, la dame anglaise tient salon, elle affirme que sa maison a désormais une histoire. La valeur marchande augmente puisqu'"il s"'agit de la maison du petit ramoneur.

N.D.L.R. : Je vois qu'avec vous, aucun terme technique ne tombe dans l'oreille d'une sourde (apprenez toutefois que la longueur de l'attribut en question est de 15 mètres et non de 13, vous me le copierez 100 fois)... Dans la version que je connaissais, le petit ramoneur avait un frère qui l'accompagnait ce jour-là et qui, prenant peur et désireux d'aller chercher du secours, aurait perdu le contrôle de son véhicule et se serait lui-même tué sur la route.

Pour nous réchauffer malgré les intempéries, à défaut de reléguer de nouveau Igor et Valentin dans la tour Louis XIII, nous allons travailler en écoutant le 4ème concerto pour piano de Sergueï PROKOFIEV !

P.S. : Non, même en musique, il n'y a vraiment pas moyen de travailler dehors avec un temps pareil ! Je suspends donc les travaux sur le mur Ouest de la douve Nord. Repli ordonné vers la tour Louis XIII, où je comprends que les morceaux de tomettes retrouvés provenaient du 1er étage (emplacement de mon bureau actuel) et avaient été précipités là lors de l'effondrement de la charpente et de la couverture de la tour, en 1931. Le revêtement du sol du rez-de-chaussée avait alors reçu le choc, de sorte qu'une partie avait dû en être arrachée lors des déblaiements ultérieurs. Le trou avait ensuite été comblé tant bien que mal. Ainsi, tout s'éclaire !

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 25 Avril 2012
Journal du chantier - Administration - Menuiserie - Logis - Météo - Désultoirement vôtre !
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Il fait un vent à décorner un boeuf et une bourrasque a ouvert deux croisées sur cour au premier étage du logis, donc orientées plein Ouest. Je crains fort qu'il ne faille remonter la priorité de leur remplacement par des croisées neuves. En tout cas, Igor est allé les clouer provisoirement. Mais la tempête continue de plus belle.

Dès cette fin d'après-midi, le sol de la future chaufferie a été récuré par Igor et Valentin. Voici ce que cela donne :

25 avril 2012, le mur Sud de la future chaufferie.

25 avril 2012, le coin Nord-Ouest de la future chaufferie.

On observera tous les tuyaux destinés à alimenter la future chaudière ; il faudra sans doute les abaisser. Le tuyau jaune en altitude est celui par lequel passe l'eau froide vers la cuisine actuelle, au rez-de-chaussée du colombier. Quel confort, n'est-ce pas ?

24 avril 2012, Valentin et Igor en plein travail.

25 avril 2012, la cheminée de la future chaufferie.

Donc, encore une journée où Igor et Valentin n'auront pas besoin de berceuse pour s'endormir !

P.S. : La météo des prochains jours est tout aussi mauvaise. Il va falloir que je réfléchisse aux travaux à effectuer en attendant le retour d'un temps plus clément...

Lucyna GAUTIER n'a pas tardé à revenir à la Chaslerie afin de préparer les différents dossiers que nous devons soumettre à l'administration des affaires culturelles. La voici au premier étage du logis, en train de photographier la cage d'escalier :

26 avril 2012, Lucyna GAUTIER dans la cage d'escalier du logis.

J'ai profité de sa visite pour lui demander de se charger également de la mise au point du dossier de demande d'autorisation pour le rempierrage de l'Avenue, opération que je suis impatient de mener à bien, si possible avant la fin de cet été-ci.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 27 Avril 2012
Journal du chantier - Plomberie-chauffage - Terrassement - Tour Louis XIII - Météo - Désultoirement vôtre !
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La pluie aura au moins un avantage : elle lavera le dallage que nous sommes allés récupérer à Céaucé et qui se révèle de meilleure qualité que l'ancien dallage de la tour Louis XIII.

27 avril 2012, le dallage de Céaucé entreposé dans la cour.

J'attends désormais le retour du plombier pour qu'il examine comment masquer ses tubes dans le sol restauré de la future chaufferie. Il faudra en outre résoudre un problème de drainage car, l'ancien dallage ayant été retiré de la tour, on y marche pour le moment sur de l'argile molle car saturée d'eau.

Guy HEDOUIN
rédigé le Vendredi 27 Avril 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Terrassement - Tour Louis XIII
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Bonsoir,

Tiens donc, vous avez de l'eau... Je connais un spécialiste du drainage, il habiterait, paraît-il, dans le Domfrontais.

J'arrête mes persiflages, vous allez rire jaune.

A première vue, je dirais plutôt pavage que dallage, me semble-t-il.

Bon week-end !

N.D.L.R. : Pour le pavage, vous avez peut-être raison. Pour le drainage, c'est une autre affaire !

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 28 Avril 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Anecdotes - Désultoirement vôtre !
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A ma grande surprise, Valentin vient de démissionner. D'après ce qu'il me dit, je comprends qu'il souhaite rentrer près de sa femme et de ses enfants en Roumanie où son ancien employeur serait disposé à le reprendre à son service. C'est dommage pour notre petite équipe mais on s'adaptera. Dans l'immédiat, je lui demande d'effectuer son préavis.