Journal du chantier

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 22 Juin 2022
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord
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Travaux du jour :

22 juin 2022.

22 juin 2022.

22 juin 2022.

22 juin 2022.


Aux dernières nouvelles, l'électricien ne pourra pas intervenir avant dix jours, ce qui ne simplifiera pas nos affaires.

Toutefois Carole, revenue plus tôt que prévu au manoir favori, ne semble pas manifester d'impatience.

P.S. (à 17 heures 30) : Igor me dit qu'il n'aime pas faire ce genre de travail. Le fait est qu'il est gêné par tous ces fils, tubes et tuyaux accumulés là au fil du temps.

Je le rassure en lui disant que, même "provisoire-destiné-à-durer-encore-un-moment", le résultat sera, du moins à mes yeux, très satisfaisant.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 23 Juin 2022
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord
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Il semble que les mêmes causes soient en passe de produire les mêmes effets :

23 juin 2022.

23 juin 2022.

23 juin 2022.

23 juin 2022.

23 juin 2022.

23 juin 2022.


Igor vient ainsi de m'informer que ce chantier est interrompu jusqu'à mardi prochain.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 29 juin 2022 09:12
À : Leroy-Tullie Jean-Paul
Cc : Fondation du Patrimoine ; Hugues HOURDIN ; Xavier MEYER ; ROCHAS Philippe ; arnaudpaquin architecte ; Fourcade Thibaud ; BERGER Jérôme ; Arnaud Tiercelin
Objet : RE: Chaslerie - "Fondation du patrimoine associée à Airbnb"

Cher Jean-Paul,

Merci pour ce message.

De notoriété publique, le château de Bourgon est protégé et nullement visible de la rue.
Je vous suggère plutôt de vérifier pour quelles raisons, manifestement autres, ce château a retenu l'attention bienveillante de vos collègues de la Fondation du patrimoine dans le département voisin de la Mayenne.

Quant à la mission BERN, dont la puissance de la mobilisation de fonds qu'elle permet ne fait aucun doute, "La SVAADE" a estimé, après l'échec non motivé de sa candidature récente à un petit prix de la fondation BERN susceptible de reconnaître la qualité de ses animations culturelles, qu'elle n'a aucune chance de voir sa candidature ni celle de la Chaslerie prospérer auprès d'elle. Après 31 ans de travaux de restauration du monument menés par les propriétaires, il nous semble en effet que les extérieurs de la Chaslerie ne présentent plus l'état de décrépitude favorisant la couverture médiatique, intense, propre à cette orientation particulière de l'action des pouvoirs publics.
En tout état de cause, le "tour" de l'Orne vient de passer au guichet le plus généreux de cette "mission", de sorte que l'on peut craindre que, au moins pour les cinq ans à venir, il nous demeure fermé.
Si toutefois vous aviez d'autres informations, nous serions évidemment heureux d'en prendre connaissance.

Plus généralement et en l'absence hélas confirmée du moindre relais familial utile, nous demeurons dans l'immédiat à la recherche de mécènes pour nous aider dans le financement des travaux à venir à la Chaslerie.
Tous conseils à ce sujet, désormais tout à fait critique pour nous, nous seraient des plus utiles.

Cordialement,

PPF

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De : Leroy-Tullie Jean-Paul
Envoyé : mercredi 29 juin 2022 08:17
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Cc : Fondation du Patrimoine
Objet : Travaux La Chaslerie

Bonjour,
>
> Suite à votre demande prospective d’aide potentielle de la Fondation du Patrimoine pour le changement des huisseries de l’aile droite de vos bâtiments.
> Il me paraît nécessaire que vous constituiez un dossier complet relatif à votre projet patrimonial.

En ce qui concerne le Label de la Fondation du Patrimoine, je vous en rappelle les principes d’attribution que vous connaissez, il s’applique dans le cas suivant :
- visible de la rue
- pour les parties non classées MH
Intervention limitée de la Fondation au regard des sommes que vous citées.

> Afin de bien vous orienter prenez contact avec les propriétaires du château de Bourgon pour constituer et documenter à bon escient votre dossier et de l’adapter à votre démarche patrimoniale de laChaslerie, chaque dossier étant unique.
Nous serons alors en mesure de déterminer éventuellement l’approche la mieux adaptée à votre projet définitif .
Il me semble que vous avez abandonné l’idée de concourir pour la mission Bern qui est un levier puissant de mobilisation de fond.
> Je suis en déplacement actuellement et je n’ai pas accès à l’ensemble des documents de travail de la Fondation, je reprendrais donc contact avec vous début juillet à mon retour. »
> Cordialement,
> Jean-Paul,
>
> Envoyé de mon iPhone

________________________________________________________________________________


De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 23 juin 2022 21:09
À : Leroy-Tullie jean paul
Cc : Claude Trianon ; Hugues HOURDIN ; Xavier MEYER
Objet : Chaslerie - "Fondation du patrimoine associée à Airbnb"

Cher Jean-Paul,

Des fenêtres à changer, nous n'en manquons pas à la Chaslerie. Une demande d'autorisation a été dernièrement transmise à la DRAC. Le budget va m'en être prochainement précisé par l'architecte du patrimoine maître d'œuvre ; pour le seul logis (bâtiment principal, à droite de la cour), il devrait y en avoir pour plusieurs centaines de milliers d'euros.

Pensez-vous que la Fondation du patrimoine pourrait nous aider comme elle le fait au château de Bourgon en Mayenne, pour une dizaine de fenêtres à changer ?

A la Chaslerie, il y a en effet, pour le seul logis, plus de vingt fenêtres à changer, plus deux portes, plus une dizaine de fermetures de meurtrières. Et il y en aura à peu près autant, dans un second temps, pour l'aile Ouest.

C'est dire à quel point cette aide nous serait utile et paraîtrait justifiée.

Je me tiens à votre disposition, en liaison avec le bureau de La SVAADE, pour répondre à vos questions en vue de vous présenter plus complètement ce dossier.

Bien cordialement,

PPF

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De : Isabelle Ducatillon <chateaudebourgon@gmail.com>
Envoyé : jeudi 23 juin 2022 17:24
À : penadomf@msn.com <penadomf@msn.com>
Objet : Programme mis à jour du 26 Juin à Décembre 2022

Une excellente nouvelle !!
La Fondation du Patrimoine associée à Airbnb vient d'allouer un prix de 20 000 € pour la présentation du projet de remplacer une dizaine de fenêtres au château de Bourgon (...)

(Fin de citation)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 29 Juin 2022
Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord
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Travaux du jour :

29 juin 2022.

29 juin 2022.

29 juin 2022.

29 juin 2022.

29 juin 2022.

29 juin 2022.


On va y arriver ! Bientôt, cette arrière-cuisine sera aussi propre qu'un laboratoire !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 1er Juillet 2022
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord
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J'avais demandé à Igor d'agrandir l'ouverture du fenestrou de l'arrière-cuisine, de manière à disposer, au-dessus du lave-bottes à implanter là, une tablette à toutes fins utiles.

En fin de journée, à mon retour au manoir favori, j'observe qu'Igor a buté sur une maçonnerie ancienne...

1er juillet 2022.

... qu'à juste titre, il a préservée, ce qui nous permettra de statuer sur son sort lundi prochain.

Au passage, on constate ici aussi l'épaisseur du ciment dont ces murs avaient été beurrés, dans les années 1950-1970, par un barbare monomaniaque :

1er juillet 2022.

1er juillet 2022.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 2 Juillet 2022
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Electricité - Bâtiment Nord
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L'électricien au look maori devait venir ce matin introduire un peu de rationalité dans l'installation électrique de l'arrière-cuisine.

Aucune nouvelle de sa part et il est injoignable.
Donc au suivant !
Le prochain, qui devrait passer mercredi après-midi, m'a été recommandé par le propriétaire d'un manoir voisin.

Par ailleurs, pour ce qui concerne l'agrandissement en cours du fenestrou de l'arrière-cuisine, Carole m'a indiqué se satisfaire pleinement de l'appui en pente découvert par Igor et ne pas avoir besoin là d'une tablette horizontale.

Quant à moi, j'hésite encore à ce stade à demander à Igor de foutre en l'air tout ce ciment ridicule et néfaste sur ce mur Nord.
Autant je m'estime à l'aise avec la fiscalité des monuments historiques (grâce, en particulier, au soutien et aux conseils de la "Demeure Historique"), autant je suis ignare en ce qui concerne la fiscalité de la forêt privée.

Il y a sept ans, dans le cadre du "Fogefor", j'avais assisté, sur ce dernier sujet, à un exposé qui m'était passé largement au-dessus de la tête. Il est vrai que j'étais alors très perturbé puisque je venais d'apprendre l'existence d'un projet éolien aux abords du manoir favori.

Désormais, ayant gagné, comme l'on sait, mon recours devant le Conseil d'Etat, je suis temporairement plus serein. Donc nous nous sommes inscrits, Carole et moi, à une nouvelle session du "Fogefor" dont la matinée de la séance d'hier était largement consacrée à la fiscalité des forêts privés.

Voici la principale documentation qui nous fut remise hier, préparée et commentée par Eric de CATHEU. Comme on peut le constater, la matière est pour le moins compacte. Hier, j'ai tout suivi de cet exposé car, pour une fois, mon esprit ne s'est pas mis à voleter de la façon désultoire qui le caractérise en général.

En complément de ces pages, je me propose de noter (dans des messages qui suivront) les points qui me semblent importants et, en particulier, ceux qui appelleraient une action de ma part :

La première leçon que je retiens en matière de fiscalité des boisements est qu'il paraîtrait judicieux que j'adopte très rapidement, du moins pour mes activités sylvicoles, le régime dit d'assujettissement volontaire à la T.V.A.

Ceci me permettrait en effet :
- de faire passer de 42 à 50 % de la dépense T.T.C. mon taux de subventionnement lorsque, comme j'ai commencé à en passer la commande, je ferai empierrer les allées nécessaires à mon activité sylvicole (dont l'allée principale) ;
- de récupérer la T.V.A. sur les achats qui concourent à l'activité (en particulier les achats de gasoil ou les frais d'entretien des tracteurs).

Si je comprends bien, l'inconvénient principal de ce régime serait de m'obliger à faire payer de la T.V.A. aux particuliers qui m'achèteraient du bois, ce qui ne devrait arriver que marginalement et être concentré sur mes premières années de production.

Également si je comprends bien, je pourrais récupérer, au titre du "DEFI travaux" et dans la limite de 10 000 €/an pendant cinq ans (ce qui serait largement suffisant pour moi), 18 % de mes dépenses T.T.C. d'empierrement d'allées ou d'amélioration des peuplements (dégagements, éclaircies, élagage, balivage, autrement dit des salaires de Francis et Didier que me facture mensuellement leur employeur, à savoir l'APIJOMM). Bref, ceci serait susceptible de porter le taux de subvention effectif de l'empierrement d'allées (pour ne parler que de celui-ci) de 50 à 68 % de la dépense T.T.C. correspondante.

Autrement dit, grâce à cet exposé dans le cadre du "FOGEFOR", je devrais pouvoir récupérer, au seul titre de mes dépenses d'empierrement, 26 % (8 + 18) de la dépense T.T.C. correspondante.

Pour arriver à ce résultat, je devrais, si je ne me trompe, m'empresser de faire modifier mon numéro de SIRET en indiquant désormais l'activité principale de "sylviculteur" sous le code APE 020A, sans cocher d'organisme d'assurance maladie mais en précisant à côté de la case idoine du formulaire "ad-hoc" que je remplis la condition "travail - de 150 heures".

Tout ceci est d'une simplicité biblique, comme d'hab, et je vais maintenant rechercher la paperasse obtenue de l'INSEE voici à peine un mois puis demander à la chambre d'agriculture compétente de procéder à la mise en musique des rectifications utiles.

P.S. (du 4 juillet 2022 à 8 heures) : A la réflexion, mon assujettissement à la T.V.A. serait encore plus avantageux pour moi que je ne l'ai d'abord pensé.

En effet, pour 100 € H.T. d'empierrement d'allées, je pensais pouvoir compter sur 50 € de subventions européennes, de sorte que la charge nette pour moi, après subvention européenne, était de 120 - 50 = 70 €, ce qui, en fait, ramenait à 42 % le taux de subvention par rapport au coût T.T.C.

L'exposé d'Eric de CATHEU m'a montré qu'en m'assujettissant à la T.V.A. et en procédant à d'autres adaptations, je récupérerais, toujours pour 100 € H.T. de travaux et en plus des 50 € de subvention européenne, non seulement les 20 € de T.V.A. mais également 18 % de 120 €, soit 21,60 € au titre du "DEFI Travaux". Bref, ces 120 € de travaux me reviendraient en fait à 120 - 20 - 50 - 21,60 = 28,40 €, soit 23,7 % de la dépense T.T.C.

23,7 au lieu de 58, ça fait une sacrée différence !
A la Chaslerie, le budget d'empierrement d'allées est de l'ordre de 100 000 € T.T.C.
Donc voici un exposé qui devrait me permettre d'économiser de l'ordre de 35 000 €.
Merci beaucoup, M. de CATHEU !

Rien qu'à ce titre, je n'ai donc pas perdu mon temps en m'inscrivant une seconde fois à une session du FOGEFOR. Comme, par ailleurs, toutes les séances du stage sont passionnantes, je ne saurais trop recommander à tous ceux qui s'intéressent à la forêt, à quelque titre que ce soit, de s'inscrire à une prochaine session du FOGEFOR !
Grâce au moteur de recherche du site favori, je retrouve immédiatement les deux messages qui me seront utiles pour demander la modification de mon SIRET. Il s'agit du message 53436 ainsi que du 53483.

Il ne me reste plus qu'à remplir le Cerfa en question et à envoyer deux courriels :
- l'un à ma correspondante de la chambre d'agriculture pour demander la modification,
- l'autre à mon interlocuteur de la D.D.T. pour l'avertir du changement en cours.

P.S. (à 10 heures) : Je m'aperçois que je ne suis pas capable de remplir convenablement ce "Cerfa" pour ce qui concerne l'assurance-maladie et la mention "travail - de 150 heures". Ça aurait encore été trop simple. Il va me falloir appeler Eric de CATHEU au secours. J'attendrai demain lundi pour le faire. D'ici là, je vais essayer d'avancer sur les autres sujets sur lesquels il nous a documentés.
Le deuxième sujet dans lequel je vais avoir la joie de me plonger, après cet exposé sur la fiscalité des forêts privées, concerne la taxe foncière des propriétés non bâties.

Il faut d'abord que je retrouve combien je dois lâcher chaque année à ce titre. Puis que je vérifie dans quels "groupes de nature de culture" sont classées mes parcelles, que je les détienne directement ou par l'intermédiaire d'une S.C.I. familiale. J'aurais certainement dû constituer un "groupement forestier" pour porter les parcelles boisées car cela m'aurait ensuite simplifié la vie. Mais le faire à ce stade m'exposerait à des frais de délimitation de parcelles ainsi qu'à des frais de cession dont je me passerai volontiers. Mes successeurs aviseront, je leur en laisserai le plaisir.

Si, comme il est quasiment certain, vu le bordel administratif ambiant, mes parcelles sont mal classées, il faudra que j'intervienne afin de recaler le dossier. De la sorte, je devrais payer moins de taxes foncières à l'avenir. Mais, pour ce qui concerne le passé, les carottes me semblent cuites, sauf pour les trois dernières années où les choses sont, peut-être, encore rattrapables.
Vérification faite, je ne reçois pas moins de cinq avis d'impôt chaque année au titre des taxes foncières sur les terres de la Chaslerie.

Aucun de ces avis n'explicite simplement de quelles parcelles il s'agit.

Je vais donc devoir demander à l'expéditeur, le "centre des finances publiques SIP-E Domfront", de me le préciser.

En espérant qu'ils seront capables de répondre, ce qui reste à voir.

P.S. (à 12 heures 30) : Voici ces cinq avis qui, après que je les ai regardés de près, me semblent suffire à identifier les parcelles en cause, ce qui devrait m'éviter d'avoir à poser la question aux gabelous de Domfront ; je les cite dans l'ordre d'acquisition des terres en question :

- le premier est relatif aux achats de 1991 ; une grande partie des terres correspondantes a été plantée de feuillus en 1999 :


- le deuxième porte en réalité sur les terres de Lonlay-l'Abbaye, qui ont toutes été plantées d'arbres (aulnes glutineux ou pins laricio) après que je les ai achetées en 1991 ou 1999 :


- j'imagine que le troisième est relatif à la ferme achetée en 1993, avec 1,33 ha de terres :


- le quatrième est relatif à un autre achat, par moi seul, sans doute celui de 2007, sur le territoire actuel de Domfront-en-Poiraie mais son montant est peanuts, donc je peux me passer de me casser la tête à son sujet :


-enfin le dernier est plus transparent puisque la S.C.I. en question a acheté des terres en 2007 puis en 2014, toutes ces terres ayant ensuite été plantées de feuillus ou de résineux :


A la lecture de ces paperasses, je me dit qu'il pourrait être utile que tous les paiements correspondants soit débités sur mon principal compte bancaire ; mais ceci est un détail et on n'en mourra pas.

Au total, la taxe foncière afférente aux terres plantées d'arbres serait inférieure à un total annuel de 119 + 1 076 + epsilon + 31 + 3 + epsilon + 108, soit environ 1 337 euros dont j'aurais dû être exonéré si les choses avaient été bien faites au moment des plantations.

Il ne me paraît pas trop tard pour essayer de redresser la barre autant que faire se peut. Mais l'enjeu est moindre qu'en matière de T.V.A., donc je vais donner la priorité au règlement de ce dernier problème.
A propos des taxes foncières sur les propriétés non bâties, j'en arrive à l'examen du classement de mes parcelles selon la nature des cultures.

En la matière, le document pertinent est la matrice cadastrale que je m'étais procurée fin 2017 et que j'avais alors essayé de comprendre une première fois, avec l'aide d'un agent du cadastre encore basé à Domfront ; comme il n'y a pas eu d'achat ni de vente significatifs de terres depuis lors, tout me donne à penser que ce document est à jour.

En voici les feuilles, dans le même ordre que les avis d'impôt que je viens de mettre en ligne :


Il me reste à interpréter ce bazar et à vérifier dans quelle mesure il colle à la réalité.

Toutefois, considérant que j'ai assez bossé pour un dimanche, je renvoie cette corvée à plus tard.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 4 Juillet 2022
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord
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Je me suis borné ce matin à demander à Igor de dégager de sa gangue de ciment l'entourage du fenestrou de l'arrière-cuisine.

Je souhaite en effet constater en priorité en quoi a été fait le linteau et son état. Pour ce qui concerne les joues, enlever ce ciment nous gagnera un espace utile puisque j'ai l'intention de faire poser là des miroirs (à l'instar de ce qui a été réalisé dans le fournil de la ferme), ce qui augmentera utilement la luminosité de la pièce.

En première analyse et en réponse à ma question, Igor pense que la maçonnerie de l'appui du fenestrou est contemporaine de celle de ses joues.

P.S. (à 10 heures) : Cette vacherie de ciment est bien accrochée...

4 juillet 2022.

... et le linteau est en béton :

4 juillet 2022.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 4 Juillet 2022
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord
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Dans l'arrière-cuisine, le travail se poursuit :

4 juillet 2022.

4 juillet 2022.

4 juillet 2022.

4 juillet 2022.

4 juillet 2022.

4 juillet 2022.


Les premiers résultats me paraissent encourageants, cette maçonnerie ne demande qu'à être libérée de son carcan inepte. Je demande donc à Igor de poursuivre son œuvre de salubrité publique :

4 juillet 2022.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 4 Juillet 2022
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord
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En cette mi-journée :

4 juillet 2022.

4 juillet 2022.

4 juillet 2022.

4 juillet 2022.

4 juillet 2022.


Il est ainsi apparu que l'appui du fenestrou est sans intérêt. Même si Carole en conteste l'utilité, je demande donc à Igor d'implanter là la tablette à laquelle j'avais initialement pensé.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 4 Juillet 2022
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord
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En fin de journée de travail :

4 juillet 2022.


P.S. (à 20 heures) : Loupé de ma part puisque Régis FOUILLEUL, le plombier, est passé en fin de journée alors que j'avais oublié notre rendez-vous.

Il devrait repasser mercredi soir pour que je lui fasse part de mon intention de faire disparaître au plus vite tous les tubes et tuyaux qui encombrent murs et plafond de la première moitié de l'arrière-cuisine. C'est dire qu'une fois que Régis aura précisé ses besoins, Igor devra creuser des saignées dans la dalle de béton, et suffisamment profondes pour que la future installation d'un chauffage par le sol (y compris dans cette pièce) ne vienne pas perturber tout ce lacis.