Journal du chantier

J'ai oublié d'indiquer ici, hier, que la dameuse utilisée pour reboucher le sol de la future "terrasse n°1" nous avait été prêtée par Philippe JARRY.

De même, Francis m'a signalé qu'un de ses copains maçon cherche du travail. Nous devons nous rencontrer pour voir si on peut faire affaire.

Je l'ai déjà écrit ici il y a peu mais je le redis : notre chantier favori bénéficie désormais, de fait, de l'aide d'un réseau amical dont j'apprécie vivement les "ondes positives" qu'illustrent ces deux exemples. Ce réseau informel est apparu progressivement. Le site favori, en montrant à quoi nous passons notre temps, a sans doute joué un rôle dans son apparition et son développement.

Le temps où l'on me regardait généralement de travers par ici paraît donc révolu. Je suis heureux de le constater. Ceci n'est pas un mince appui pour continuer à porter ce chantier à bouts de bras.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 9 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Abords, Avenue, terrasse
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Je me suis rendu cette après-midi dans une grande ville de l'Ouest pour observer un lot de pavés à vendre. Il y en a une quantité susceptible de m'intéresser (de quoi paver la cour et l'allée qui descend de la D22). Mais sans doute pas assez pour l'allée historique. Ils ne sont pas carrés comme ceux du lot de La Ferté-Macé mais rectangulaires. J'ai néanmoins indiqué que je pourrais débarrasser mes interlocuteurs de l'ensemble :

8 juillet 2019.

Au même dépôt, il y a également des dalles de granit à vendre. Trop blanches pour ici. Dommage.

8 juillet 2019.

A noter que ces stocks m'ont été signalés par un membre de l'"Association normande" venu visiter notre manoir favori il y a quelques jours. Je le remercie vivement de m'avoir communiqué le tuyau.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 9 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis
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En ce qui concerne les tomettes vernissées que j'ai dans le collimateur, mon correspondant m'indique qu'il y en a entre 3 600 et 3 700 disponibles. Elles seraient en terre cuite grésée et font 11 cm de côté et 3 cm d'épaisseur. A première vue, cela pourrait suffire pour la salle-à-manger du logis. Cela dépendra néanmoins de leur état.

La discussion se poursuit. Il ne resterait guère qu'à se mettre d'accord sur le prix.
Considérons que c'est un simple détail.
Affaire à suivre. Je m'en occupe demain.

P.S. (du 11 juillet 2019) : Pas grésées du tout, d'après moi. Mais tendres, donc très vite usées, vraisemblablement.
Il faudrait que je me décide à lancer ou non le chantier de la cour.

Parmi les arguments contre :
- le désir (permanent) de ne pas ouvrir un nouveau front tant que les choses ne sont pas terminées sur d'autres ;
- le souhait que la cour ne soit pas transformée à son tour en pétaudière avant le séjour des enfants et petits-enfants que Carole m'a confirmé hier pour le début août ;
- l'idée, simple et de bon sens, qu'il vaudrait mieux connaître les préconisations du bureau d'études avant d'ouvrir des tranchées qu'on n'est pas sûrs de pouvoir refermer dans des délais raisonnables ;
- la grande incertitude sur la disponibilité de maçons pour effectuer leur part de travaux dans la cour ; à ce sujet, je ne peux m'en remettre indéfiniment à Igor, même si celui-ci est prêt à me dépanner amicalement quelques jours encore ; le fait est que son relais n'est toujours pas trouvé malgré plusieurs tentatives ;
- accessoirement (car on en a l'habitude), le risque sur la durée totale de cette tranche du chantier.

Parmi les arguments pour :
- le fait que l'été est la bonne saison pour procéder à de tels travaux ;
- la nécessité de les effectuer prioritairement à ce stade du calendrier d'ensemble du chantier ;
- la disponibilité immédiate du terrassier (avant fin juillet) et, sous les réserves indiquées, d'Igor ;
- le risque, si l'on ne se lance pas très rapidement, de retarder d'une année entière la disponibilité d'un chauffage, question à avoir pourtant réglée avant toute livraison de pièce habitable.

En fait, à ce stade de mes réflexions et malgré tous les inconvénients de ce choix, je penche pour un lancement très rapide des terrassements dans la cour.
Je sens que ça va encore couiner dans mon entourage (certes éloigné à beaucoup d'égards) et qu'une fois de plus, j'aurai beaucoup de mal à être compris.
Mais "such is life", "voilà mon sort à moi, malheureux prisonnier !"
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 10 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis - Désultoirement vôtre ! - O'Gustin - Anecdotes
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22 h 30, l'heure de mon retour au manoir favori, après une journée entière sur les routes de Normandie.

J'ai trouvé Guguss affalé dans sa bannette, hors d'état d'arquer après sa folle journée avec sa chérie Mara :

10 juillet 2019.

10 juillet 2019.

10 juillet 2019.


Dans l'après-midi, alors que je téléphonais à Igor pour lui demander son avis sur Johnny, il m'a appris que ce dernier préférait arrêter là sa contribution. Il devait m'appeler pour me l'annoncer mais ne l'a pas fait. A l'âge de 40 ans, ce garçon s'est réfugié chez sa Maman qui l'accompagne au boulot et l'en ramène dans sa voiture "customisée" (en "style Goldorak", vous imaginez le genre) car il n'a pas son permis, s'est montré incapable de conduire le tracteur et nullement désireux d'apprendre. La question de l'insertion de tels individus sur le marché du travail me paraît entière (pour dire les choses de façon aussi aimable que j'en suis capable).

Pour le reste, malgré ce boulet, le chantier a bien avancé sur ses 4 lignes de pavés où il ne reste plus que quelques finitions à apporter au "trottoir" Nord du bâtiment Nord :

10 juillet 2019.

10 juillet 2019.

Score du jour : une centaine de pavés, si je ne me trompe pas dans mon décompte nocturne.

Pour s'en tenir (à Guguss près, et encore ça se discute) aux sujets relatifs à notre chantier favori :
- le géomètre m'a appris son passage demain ; ce n'est pas celui avec qui je conversais mais un employé, procédé que je trouve un tantinet cavalier ;
- après Yves LESCROART qui a tenté plusieurs fois de la joindre, j'ai laissé un message sur le répondeur de l'architecte du patrimoine recommandée par Arnaud PAQUIN ; apparemment, elle a dû migrer vers l'hémisphère Sud car tout, depuis sa visite d'il y a plus d'un mois, donne à penser qu'elle hiberne ;
- j'ai rencontré, quelque part dans le Grand Nord, le vendeur de tommettes vernissées :

10 juillet 2019.

10 juillet 2019.

10 juillet 2019.

Quoi que m'en ait dit l'ami intermédiaire, je pense qu'elles ont plutôt deux siècles que quatre, vu le bâtiment dans deux chambres de l'étage duquel elles avaient été disposées sur un lit de sable (dixit le vendeur, homme de goût et de culture qui les a démontées pour leur substituer un "plancher flottant" qu'il m'a fièrement montré) ; et elles sont bien usées. Surtout, au niveau stratosphérique de prix où le vendeur a choisi (depuis hier) de planer, nous ne sommes pas près de faire affaire. Le jour où j'aurai trouvé le revêtement dont j'ai besoin pour la salle-à-manger du logis, il sera trop tard pour lui ; laissons-lui donc le temps d'en prendre conscience et d'atterrir gentiment ;
- je me suis également rendu chez le scieur de granits ; j'ai en main son devis pour la pierre de seuil entre la cour et l'arrière-cour ; là aussi, le prix demandé est très élevé et la question du transport de cette masse de 300 kg serait encore à traiter. J'ai rapporté un échantillon d'un granit qu'il propose ; nous regarderons demain, au soleil, ce que cela donne par comparaison avec les granits les plus proches :

10 juillet 2019.

Si le test est trop défavorable, je me réserve, comme déjà dit, de réutiliser les anciennes pierres de l'âtre de la cheminée de la salle-à-manger. Le problème est qu'il faudrait les boucharder. A la main, en l'état de notre équipement. Donc ça freine une telle décision.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 11 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Logis - Aile "de la belle-mère"
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M. (...), géomètre de son état, dont je suis sans nouvelles depuis le 21 juin dernier et qui n'a pas été capable de respecter mes contraintes d'urgence, clairement soulignées dès le départ, m'a envoyé ce matin, sans explications, un jeune qui n'était manifestement pas bien informé de la tâche à réaliser. De surcroît tout-à-fait inapte à me dire quand son travail serait disponible pour le bureau d'études.

Aussi curieux que cela puisse paraître, ceci donne à penser qu'il peut arriver à M. (...) d'avoir, sur le plan professionnel, des procédés de (...).

P.S. (à 10 h 30) : Voici l'engin hi-tech utilisé par le géomètre :

11 juillet 2019.

11 juillet 2019.

Coup de fil ce matin au maçon auto-entrepreneur que m'a recommandé Régis FOUILLEUL. Je tombe sur une dame âgée, très aimable au demeurant. Il paraît que ce garçon (son fils ou, peut-être, son petit-fils) a prévu de venir nous aider dès le début août. Excellente nouvelle. Après Nicolas, Kévin et Johnny, je commençais à désespérer de trouver mon bonheur chez les djeuns.

Je vais donc pouvoir, sans risque immodéré, demander à Philippe JARRY de terrasser la cour.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 11 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord
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Igor et d'avis que la couleur du granit dont j'ai rapporté hier un échantillon ne serait pas choquante ici. C'est aussi mon opinion :

11 juillet 2019.

Il propose de se charger du transport, dès lors que je louerais un véhicule approprié. Nous sommes d'accord pour considérer qu'un bouchardage des pierres de l'âtre en question serait long et fastidieux.

Sur ces bases, je viens de donner mon feu vert sur son devis à M. MARIAU en le priant de nous trouver une pierre un peu plus foncée, si possible.
Après avoir terminé la pose de pavés au Nord du bâtiment Nord...

11 juillet 2019.

... Igor commence les finitions des premiers "trottoirs extérieurs"...

11 juillet 2019.

11 juillet 2019.

... mais les choses se compliquent parce qu'il entre dans une période d'indisponibilité pour notre chantier favori.

Bien entendu, je ne peux que lui être très reconnaissant pour tout ce qu'il a pu faire au cours de ces trois derniers mois. Grâce à lui, le problème, à la fois délicat et préoccupant, de la porosité du mur Ouest de l'"aile de la belle-mère" et son pendant au mur Nord du bâtiment Nord sont en passe, me semble-t-il, d'être résolus d'une façon digne du label "qualité FOURCADE".

Bien sûr, au cours de ces trois mois, je n'ai pu m'empêcher d'ouvrir de nouveaux fronts que nous n'avons pas eu le temps de refermer. L'essentiel est d'avoir avancé dans la bonne direction, et dans l'intérêt du monument.
Carole, revenue passer quelques jours à la Chaslerie, me déclare que le projet du cuisiniste, qu'elle vient d'étudier dans le train, "manque de charme". J'explique que nous n'en sommes pas à choisir les matériaux mais seulement la bonne répartition des appareils et des rangements dans l'espace disponible. En fait, je suis heureux qu'elle réagisse ainsi car je ne souhaitais pas qu'elle oublie, au bénéfice de la fonctionnalité, les contraintes tenant à la "manorialitude" du lieu.

Je lui montre l'échantillon de tommettes vernissées, m'attendant à une réaction de rejet pour difficulté d'entretien. Mais, à ce sujet, elle se montre intéressée et pose de bonnes questions, non sans s'insurger à propos du prix demandé par le vendeur. Je lui fais goûter le miel acheté à la même personne, elle le trouve excellent. Elle n'a pas encore vu que je lui ai également acheté des légumes bio pour son jardin.

Je lui fais voir les pavés posés par Igor à l’extérieur des bâtiments. Elle trouve le travail très bien réalisé. Je ne lui dis pas que Philippe JARRY prévoit de défoncer le pourtour de la cour à la fin de la semaine prochaine (comme je viens de l’apprendre) mais je lui fais remarquer à quel point les salades plantées par notre petite-fille poussent bien au fond de la cour et sont succulentes. De fil en aiguille, j'avance l'idée qu'il pourrait être judicieux de transformer le fond de la cour en potager, vu que l'arrière-cour est impraticable une bonne moitié de l'année ; on réagencerait les plessis de Roland FORNARI, voire on créerait une gloriette au-dessus du bassin central. Elle trouve que mon idée de gloriette est farfelue mais, pour le reste, s'intéresse à cette proposition et demande si on ne devrait pas en profiter pour recentrer le bassin ; j'explique qu'il est monolithique et doit peser une bonne tonne, ce qui rendrait l'opération difficile, outre le fait qu'il est, tel que positionné, classé monument historique. Je fais passer l'idée qu'il pourrait être intéressant de paver une partie de la cour, suggestion qu'elle avait toujours repoussée au motif qu'on s'y tordrait les chevilles. J'indique être en négociation pour un important lot de pavés qui permettrait de simplifier l'entretien de l'allée qui descend de la D22. Elle me demande de privilégier les travaux qui amélioreront enfin l'habitabilité, reproche que je n’ai certes pas volé. Je réponds que nous serons coincés tant que nous n'aurons pas trouvé un architecte du patrimoine acceptant de débloquer le dossier des fenêtres et celui de la poutre pourrie.

Cette conversation m'a permis de noter que Carole semble avoir fait son deuil de la prochaine disparition (temporaire) des fleurs de la cour. Je pensais qu'elle résisterait davantage à ce propos. Le fait est que ses hortensias n'ont jamais été aussi beaux que cette année, alors qu'elle s'en occupe depuis près de trente ans et a réussi à leur redonner de la vitalité.

Après quoi, je prends, de la fenêtre centrale du premier étage du bâtiment Nord, à la lumière du crépuscule, des photos de fleurs et plantations qui auront donc bientôt disparu...

11 juillet 2019.

11 juillet 2019.

... y compris celles du fond de la cour qui n'auront guère été entretenues, aux salades près, cette année :

11 juillet 2019.

11 juillet 2019.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 12 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Bâtiment Nord
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Pendant cette insomnie, je réfléchis à la meilleur façon de daller la future "terrasse n°1". Dois-je utiliser le lot de dalles grises achetées la semaine dernière ? Ou bien devrais-je en commander à MARIAU de nouvelles, assorties à la prochaine pierre de seuil ? Il y a des arguments dans les deux sens.

Ma conclusion (provisoire) : attendons de voir l'effet produit par la nouvelle pierre, il sera toujours temps de penser au dallage ensuite. Dans les prochaines semaines, nous devrions avoir d'autres priorités.
Et moi qui pensais que la furia du nettoyage passait avec l'âge...

Hier, cela a recommencé avec ma "Twingo", jugée trop sale. Puis il a été question de changer de nouveau mes housses de couette et d'oreiller. Dans les deux cas, j'ai résisté.

A propos des tommettes vernissées que j'avais eu l'imprudence d'exposer en guise de repose-plat dans la cuisine (provisoire), ma chère et tendre a émis hier soir un avis clairement négatif au sujet de leur achat : elle pense qu'elles seront trop difficiles à entretenir, argument définitif à ses yeux.
J'ai tâché de faire valoir que, notre mode de vie étant ce qu'il est, on n'utiliserait que rarement la salle-à-manger restaurée. Ce fut vain.
(Une fois de plus, je vais être amené à passer outre son avis. Si du moins le vendeur atterrit, ce qui est une autre histoire.)

S'agissant de la cage d'escalier du logis, elle exprime le vœu d'en récurer les marches. Le fait est que ce ne serait pas du luxe. J'explique néanmoins qu'en l'état du chantier, ce serait une perte de temps et qu'il faudra, en tout état de cause, utiliser le kärcher juste avant que les murs soient enduits, ce qui n'est pas demain la veille, du moins tant que les menuiseries de fenêtres n'ont pas été restaurées.

Elle me demande alors de l'aider à nettoyer le salon ce week-end, afin qu'il soit utilisable lors du prochain séjour des enfants. Je rappelle que j'ai souligné, de longue date, l'impossibilité de maintenir le salon propre en cette phase du chantier. J'ai même demandé que les meubles en soient déménagés pour leur éviter la poussière mais que cela m'a toujours été refusé, ce qui est évidemment idiot.
Rien à faire cette année encore, elle n'en démord pas.
Je crois que je ne couperai pas à la perspective de travaux ménagers tout à l'heure, dès que le jour sera levé :

Inutile que j'explique que les terrassements de la cour, la semaine prochaine, rendront vains tous ces efforts.

Au moins, lundi, elle sera rentrée à Paris et je pourrai souffler un peu. C'est quand même pénible de devoir se battre pied à pied sur de tels sujets.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 13 Juillet 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Plomberie-chauffage - Electricité - Menuiserie - Peinture - Bâtiment Nord
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Alors que nous déjeunions dans la cuisine provisoire, Carole et moi avons discuté du prochain aménagement.

Je l'ai incitée à réfléchir en termes de répartition des fonctions dans l'espace : de quel côté de la poutre centrale mettre la cuisine "stricto sensu" ? De quel côté la table de petit-déjeuner ou de repas en petit comité ?

Pour ma part, je pencherais pour une cuisine proche de l'entrée du bâtiment Nord. Mais mon point de vue n'est pas encore figé. J'écouterai donc avec intérêt l'avis de ma belle-fille. Préférera-t-elle que la partie la plus ensoleillée de la pièce (celle proche de l'entrée) soit dévolue à l'un ou l'autre usage ? J'ai ma petite idée sur ce que sera son choix. Mais j'attends de l'entendre de sa bouche.

P.S. : J'ai demandé à Ghislain BARBREL de préparer un jeu de plans basé sur ce que j'appellerai l'"hypothèse B". A cette occasion, je lui ai précisé qu'à ce stade, nous continuerions à nous placer dans le cas où il n'y aurait pas de chaufferie dans l'arrière-cuisine.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : dimanche 14 juillet 2019 18:20
À : (...)
Cc : yl-corespa@orange.fr
Objet : RE: Devis - Dossier n°199191 - DOMFRONT EN POIRAIE

Monsieur,

N'ayant plus le privilège de vous lire ou de vous entendre depuis trois semaines, je ne verrais que des avantages à ce que vous me répondiez enfin. Y compris sur la date de livraison de votre travail.

Je rappelle que, depuis le début, j'ai insisté sur l'urgence de votre prestation. Votre travail conditionne en effet le début de l'intervention du bureau d'études et il est désormais très gênant que ce dernier n'ait pas reçu de votre part les données réclamées depuis le début juin. L'ensemble de mon chantier s'en trouve retardé sur des points critiques.

Cordialement,

PPF

(Fin de citation)