Journal du chantier

Alors que, me l'apprend-il, les BODIN seront absents la semaine prochaine (pour cause de vacances scolaires locales), Igor n'a pas voulu que cette semaine-ci se termine sans qu'il ait suffisamment avancé, à ses yeux, dans la restauration de la cheminée du 1er étage du colombier :

13 avril 2019.

13 avril 2019.

13 avril 2019.

Et devinez qui est venu fricoter avec ses brosses :

13 avril 2019.

13 avril 2019.

13 avril 2019.

13 avril 2019.

Sur les rotules, le p'tit gars :

13 avril 2019.

13 avril 2019.

Et maintenant, qu'est-ce qu'on va pouvoir encore inventer ?

13 avril 2019.

13 avril 2019.

13 avril 2019.

13 avril 2019.

13 avril 2019.

13 avril 2019.

Et hop, mine de rien, une brosse de plus pour la collection :

13 avril 2019.

Ah, une pelle ! C'est presque aussi bon qu'une brosse :

13 avril 2019.

13 avril 2019.

13 avril 2019.

13 avril 2019.

13 avril 2019.

Et un affreux linteau de béton (des années 1950, bien sûr) de moins dans le paysage :

13 avril 2019.

13 avril 2019.

13 avril 2019.

13 avril 2019.

13 avril 2019.

Maintenant, il faudrait trouver une pierre de la bonne longueur pour le futur linteau. Pour la poser, il conviendra néanmoins d'attendre que les jambages sèchent.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 13 Avril 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Aile "de la belle-mère"
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Voici la seule pierre, à peu près convenable bien que trop courte, qu'Igor a trouvée dans mes stocks pour servir de nouveau linteau à la cheminée du 1er étage du colombier :

13 avril 2019.

On y distingue encore les trous d'insertion des barreaux d'une grille, elle ne doit donc pas dater d'hier :

13 avril 2019.

Topé, il me semble que c'est préférable à un linteau de chêne.

Donc à Igor d'en tirer le meilleur parti !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 14 Avril 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis - Aile "de la belle-mère"
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C'est un gros avantage pour moi qu'Igor puisse, pendant dix semaines encore, se consacrer à des travaux de maçonnerie dans le cadre de notre manoir favori (déjà deux semaines de passées...). Le fait que l'entretien des abords soit pris en charge par ailleurs apporte beaucoup à l'organisation du chantier.

Je dois néanmoins réfléchir aux prochaines charges à lui confier, quand il en aura fini avec le 1er étage du colombier.

Je me suis ainsi rendu hier après-midi dans la tour Sud-Ouest pour me remettre en tête l'état des lieux.

Au 1er étage, il reste encore pas mal de ciment dû au crétin des années 50 mais, pour le faire disparaître (le ciment ; pour le crétin, c'est déjà fait et il m'attend dans la chapelle), il faudra d'abord, me semble-t-il, haubaner quelques pierres. Voici de quoi il retourne, de haut en bas et en tournant dans le sens des aiguilles d'une montre :
- mur Sud :

14 avril 2019.

14 avril 2019.

14 avril 2019.

- mur Ouest :

14 avril 2019.

14 avril 2019.

- mur Nord (on aperçoit la "pièce dévastée) :

14 avril 2019.

14 avril 2019.

- mur Est, avec sa latrine bousillée par l'abruti en question :

14 avril 2019.

14 avril 2019.

La même latrine, vue d'un autre angle, étant entendu que la porte est juste posée là :

14 avril 2019.

14 avril 2019.


Au rez-de-chaussée, voici, dans le même ordre, les vues correspondantes :
- mur Sud :

14 avril 2019.

14 avril 2019.

- mur Ouest :

14 avril 2019.

14 avril 2019.

- mur Nord, avec le passage vers le salon :

14 avril 2019.

14 avril 2019.

- enfin mur Est :

14 avril 2019.

14 avril 2019.

On notera, au sol du rez-de-chaussée, le haut circulaire des fondations de la tour, qui devrait appeler le même type de travaux que ceux déjà réalisés, au cours de l'avant-dernière semaine, dans la tour Nord-Est.

On remarquera que, dans ces deux pièces, les croisées des fenêtres ont été remplacées par du plastique, en attente d'un architecte du patrimoine (1) désireux de s'intéresser à notre chantier favori, (2) actif, (3) compétent (suivez mon regard, tourné vers l'Académie d'Architecture...), (4) sobre (suivez mon regard, tourné vers l'Ouest et le bord de mer breton...), (5) honnête (je veux dire par là désireux de tenir ses engagements formels ; suivez mon regard, tourné vers l'Est, aux marches de la Normandie...), (6) organisé (suivez mon regard, tourné vers l'Ouest et le bord de mer normand...) et... (7) disponible.


Bref l'homme (ou la femme) idéal(e), rien de moins !
En espérant que ce ne soit pas trop demander et qu'il en existe un(e) dans les parages.
Et qu'on finira par le(la) trouver.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 15 Avril 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Logis - Bâtiment Nord - Aile "de la belle-mère"
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Je reçois cette après-midi, pour la première fois, l'architecte à qui je souhaiterais confier, pour l'essentiel, la maîtrise d’œuvre des travaux intérieurs de notre manoir favori. Elle m'a été chaudement recommandée par diverses personnes bien au fait des problèmes posés par la restauration de monuments historiques appartenant à des particuliers et dont l'avis compte beaucoup pour moi.

Il convient qu'à son intention, je précise mes priorités.

En l'état du dossier, je mets en premier la restauration du colombier puisque, selon une exigence au moins tacite de Carole (qui exclut de ne pas disposer à tout moment d'un minimum de cuisine), nous aurons besoin d'une cuisine fonctionnelle (au rez-de-chaussée de ce bâtiment) lorsque nous nous lancerons enfin dans l'aménagement de la cuisine principale du manoir (actuelle cuisine provisoire), implantée dans le bâtiment Nord.

Le reste des travaux à mener dans le colombier découle de ce choix :
- il faut s'atteler enfin aux dégâts des eaux récurrents depuis une quinzaine de mois et résoudre proprement ce problème largement documenté ;
- au rez-de-chaussée du colombier, il faut mettre en place, d'abord, les circuits des fluides divers, opérationnels en entrée comme en sortie : tubes d'aquathermie, eau, électricité, téléphone et wifi ;
- au même rez-de-chaussée, aménager la chaufferie de l'aile Ouest (servant, dans un premier temps, au seul colombier), plus une salle-de-bains avec baignoire (mon rêve) et, pour le reste, cette cuisine ;
- au premier étage, la priorité est d'en réviser le plafond : réexaminer les poutres, y compris leur orientation, compléter le solivage ; assurer l'isolation thermique du sol et du plafond grâce à des matériaux performants et d'épaisseur appropriée (minimale pour le plafond, en raison des fenêtres du second étage) ; dessiner les boiseries, à usage principal de bibliothèque, y compris la cheminée qui devrait être opérationnelle, au moins (en raison de la poussière, peu compatible avec les bouquins) grâce à un insert ;
- au deuxième étage, arriver à faire venir l'excellent M. ROBVEILLE, électricien à Caen, pour installer un bel éclairage de la poutraison (à défaut, lui trouver un remplaçant aussi compétent).

Bien entendu, l'aménagement intérieur du colombier suppose que la question des menuiseries extérieures correspondantes soit enfin résolue. A cet effet, commencer par prendre l'attache de la D.R.A.C. qui vient de nous donner un délai de 4 ans pour les lucarnes, problème qui était sur la table depuis 4 autres années déjà et sur lequel aucun des deux derniers architectes du patrimoine intervenus à la Chaslerie n'a daigné donner la moindre réponse opérationnelle utile, en dépit des multiples relances dont ils ont fait l'objet.

Au-delà du colombier, la priorité serait de résoudre la question posée par les poutres pourries du plafond de la moitié Nord du premier étage du logis. Je souhaiterais que le dossier soit enfin traité ; ce problème n'avait pas été aperçu (carrément) par le dernier A.C.M.H. intervenu à la Chaslerie (il avait pourtant la maîtrise d’œuvre de la restauration de la charpente et de la couverture de ce logis...) et il n'a jamais été le moins du monde abordé, malgré mes multiples demandes, y compris écrites, par chacun des trois architectes du patrimoine intervenus à sa suite au cours de la bonne douzaine d'années qui a suivi. Parallèlement au règlement de ce problème de poutres pourries, je souhaiterais que soit enfin traitée proprement la question des fluides pour les ailes Est (logis) et Nord du manoir. L'aménagement intérieur de la moitié Nord du logis pourra être traité ensuite, y compris le choix de la cheminée au premier étage (cheminée Renaissance en granit de la Julinière, actuellement démontée, ou bien cheminée en boiseries).

P.S. : Relisant ce message sur écran, je me dis que j'aurais pu parler d'autres sujets - ceux-ci plus ponctuels - qui, au moins à mes yeux, présentent un certain caractère d'urgence :
- la porte entre l'arrière-cuisine du bâtiment Nord et l'arrière-cour ;
- le sol de la salle-à-manger du logis : il est de mon intérêt qu'Igor puisse se charger d'un maximum de tâches, une fois, à mon avis, que l'entreprise BODIN aura restauré l'âtre ;
- le sol de la "pièce dévastée" au premier étage du logis : je souhaiterais pouvoir réutiliser rapidement ce volume comme garde-meubles ; cela pose la question de son sol, actuellement fragile et inégal. Certes, je pourrais utiliser comme garde-meubles l'ancien "salon de l'aile de la belle-mère" ; il faudrait pour cela qu'il soit hors d'eau (problème de la porosité du mur Ouest) ;
- le cabinet de toilettes du petit salon, au rez-de-chaussée du bâtiment Nord.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 15 Avril 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Aile "de la belle-mère"
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Au 1er étage du colombier, Igor continue à piqueter les murs :

15 avril 2019.

La question se pose de savoir quoi faire ensuite :
- jointoyer soigneusement les pierres, comme je l'envisageais ;
- se contenter d'un jointoiement grossier mais "à pierres apparentes", comme l'a recommandé Sébastien, afin d'aider le menuisier à placer au mieux son système d'accrochage des futures boiseries ;
- enduire les murs de chaux sur toute leur surface.

Je demanderai tout à l'heure son avis à l'architecte.

P.S. : L'avis est clair. C'est la deuxième proposition qui sera retenue.

15 avril 2019.

Coup de chapeau à Nathalie LEROY de la communauté de communes "Domfront-Tinchebray Interco" qui a immédiatement retrouvé ce matin, dans les archives dont elle est en charge, l'"Etude de filière d'assainissement autonome" réalisée en 2007, dont je pourrai ainsi communiquer une copie à l'architecte que je vais rencontrer cette après-midi.
La réunion avec l'architecte pressentie, rejointe à ma demande par M. LESCROART, a été studieuse. Nous avons visité le manoir de fond en comble, dans le bâtiment Nord, le logis, le colombier et la chapelle. L'architecte a piloté un drone pour photographier la besace de la couverture du logis, à proximité de la cheminée Nord, soupçonnée d'être à l'origine du pourrissement d'une poutre au plafond que l'on sait, hypothèse qui n'a pas été confirmée par cet examen.

J'ai été questionné sur les raisons pour lesquelles j'avais été amené à changer tant de fois d'architecte en une trentaine d'années de ce chantier. J'ai expliqué les six problématiques.

L'architecte pressentie m'a répondu qu'elle me fera une proposition de collaboration comportant l'intervention d'un bureau d'études à propos des questions de circulation des fluides, ce qui me semble normal. Je l'ai sentie plus réservée que je ne l'avais souhaité sur la question de la porosité du mur Ouest.

Elle a compris que mon point de vue exprimé ce matin, donnant la priorité au colombier, était calé sur le souci de Carole de disposer d'une cuisine à toutes les phases du chantier. Elle s'est néanmoins demandée s'il ne faudrait pas plutôt prévoir une installation provisoire de cuisinette dans le futur cabinet de toilettes du rez-de-chaussée du bâtiment Nord (à côté du "petit salon"). Je soumettrai cette idée à mon gouvernement, étant entendu que, s'il ne tenait qu'à moi, un frigo et un micro-ondes suffiraient amplement à mon bonheur en la matière.

P.S. (du 16 avril 2019 à 00 h 30) : J'ai oublié de noter que l'architecte pressentie recommande, dans le colombier :
- de ne pas changer les poutres du plafond du 1er étage qui, malgré le triste état de l'une d'elles, lui semblent restaurables :

16 avril 2019.


- d'ajouter des garde-corps aux fenêtre du 2ème étage, notamment si on devait en relever le sol pour y incorporer un dispositif de chauffage.

Au rez-de-chaussée de la tour Nord-Est, l'idée de prévoir un placo pour doubler le mur Nord est rejetée, même si les réservations pour ventilation sont approuvées. D'autres matériaux seront à mettre en œuvre, comme des boiseries. A ce jour, cette suggestion se heurte toutefois à l'objection que je ne sais pas encore quelle affectation donner à cette pièce. (L'idée d'y implanter le "bureau-bibliothèque-de-mes-rêves" pourrait refaire surface, notamment si la résolution du problème de porosité du mur Ouest devait traîner, ce qui, de mon point de vue, serait néanmoins un sérieux handicap.)

Dans la chapelle, elle recommande de prévoir une aération en partie haute, afin d'éviter que la condensation et les remontées d'humidité du sol ne gâtent si rapidement les décors peints.

A noter également que cette personne m'a indiqué être propriétaire d'un bulldog anglais et d'un bouledogue français et, de plus, déclaré qu'elle trouve O'Gustin très beau et très vif. Bref, nous nous sommes d'ores et déjà trouvé de très fortes affinités qui me semblent bien augurer de la suite.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 16 Avril 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Aile "de la belle-mère"
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Sébastien LEBOISNE est passé ce matin me remettre deux devis et m'annoncer qu'il compte démonter le plancher du 2ème étage du colombier, pour en récupérer les lattes, à partir d'après-demain.

Je demande donc à Igor de faire disparaître le carrelage moche des années 50 d'un coin de cette pièce :

16 avril 2019.

O'Gustin, qui ne veut rien manquer de la scène, repère une brosse au milieu de la pièce :

16 avril 2019.

Mais, dès que le marteau-piqueur entre en action, il va coller son museau contre le foret. Je suis donc obligé d'intervenir et le prends dans les bras, tout en photographiant Igor :

16 avril 2019.

16 avril 2019.

Notre loïde favori est captivé par le spectacle :

16 avril 2019.

16 avril 2019.

16 avril 2019.

Gérald est revenu aujourd'hui poser avec Igor les dalles provisoires "Novopan" remplaçant le parquet enlevé :

17 avril 2019.

17 avril 2019.

17 avril 2019.

O'Gustin est trop turbulent selon Gérald :

17 avril 2019.

Il est donc relégué dans un trou de colombe :

17 avril 2019.

Gérald montre à Igor comment nettoyer les lattes...

17 avril 2019.

... puis Igor se charge de cette tâche...

17 avril 2019.

17 avril 2019.

... tandis que Gérald prépare son intervention de la semaine prochaine :

17 avril 2019.

Vexé d'être incompris et traité comme un vulgaire volatile, O'Gustin part bouder dans la cour où il trouve rapidement son bonheur :

17 avril 2019.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 17 Avril 2019
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Menuiserie - Aile "de la belle-mère"
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Igor n'a pas tardé à améliorer le process du nettoyage des lattes. Il a d'abord substitué une brosse électrique à la brosse métallique à main...

17 avril 2019.

... puis il s'est fabriqué un établi :

17 avril 2019.

17 avril 2019.

Malgré cela, la quantité de lattes qu'il a réussi à traiter dans l'après-midi (ôter les clous, gratter la terre et les poussières des rainures, poncer la surface cirée)...

17 avril 2019.

... représente peu de choses par rapport à ce qui l'attendra à son retour, mardi prochain :

17 avril 2019.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 20 Avril 2019
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Annonces - A la Chaslerie
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Il est de fait que Francis travaille bien. Il m'a suggéré, et je l'ai écouté, de faire l'acquisition d'une épareuse "Marolin M250 de 60 cm de coupe" qui serait attelée au "John Deere" :

Comme le "John Deere" est réservé aux abords immédiats, je ne suis pas sûr qu'il ne faille pas viser un modèle d'épareuse plus important.

Pour faire toutefois baisser le coût de cette acquisition, je pense mettre en vente une tondeuse déportable qui n'a quasiment jamais servi (mais qui devra être lavée), susceptible, grâce à son satellite, de rendre de précieux services en terrain arboré :

Avis aux amateurs !

L'épareuse pourrait servir à nettoyer les douves (je suis en effet sans nouvelles de l'éleveur de chèvres des fossés qui m'en avait promis une), ainsi que les talus, en commençant, bien entendu, par ceux de l'allée historique.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 21 Avril 2019
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse
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Le terrain étant suffisamment sec, j'ai pu, pour la première fois de l'année, tondre l'herbe dans l'arrière-cour. Carole me relaye dans l'avant-cour :

21 avril 2019.

P.S. : Le compteur du "John Deere" indiquait que, depuis que je l'ai acheté neuf, il y a une bonne quinzaine d'années, il a fonctionné 1 800 heures.
Journée très active. Je n'ai pas eu le temps d'intervenir sur notre site favori. On va essayer de se rattraper dans les prochaines heures.

Qu'il me suffise ici de dire qu'à certains moments de la journée, une dizaine de personnes travaillaient simultanément à notre manoir favori (dont votre serviteur, ce qui, au passage, confirme que la journée était bel et bien exceptionnelle).

Comme vous pouvez néanmoins vous en douter, tout cela ne suffisait pas à empêcher certains (toujours les mêmes, d'ailleurs) de prendre un peu de bon temps à l'occasion :

23 avril 2019.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 23 Avril 2019
Journal du chantier - Vie des associations - APIJOMM - api
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En début de journée, Christian est passé chercher son "solde de tout compte". Notre discussion s'est déroulée dans un très bon climat. Au point qu'il n'est pas exclus que Christian revienne de temps à autre donner un coup de main, voire même mener à bien certains petits travaux de charpente, couverture ou menuiserie. On aura, j'imagine, l'occasion d'en reparler.