Journal du chantier

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 11 Avril 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Terrassement
0
Toute la journée, Bernard a fait des allers et venues entre la Chaslerie, Saint-Gilles-des-Marais et Saint-Mars-d'Egrenne, pour récupérer les pierres que m'a vendues Marcel GAHERY.

11 avril 2011, le chargement des pierres d'un ancien poulailler à Saint-Gilles-des-Marais.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 11 Avril 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Ferme et son fournil
0
Pascal a quasiment achevé aujourd'hui la maçonnerie de la 3ème petite ouverture de la future cuisine-salle à manger de la ferme. Il ne reste plus que le linteau à couler, puis quelques pierres à poser dessus :

11 avril 2011, la 3ème petite ouverture de la future cuisine de la ferme.

Nous avons donc commencé à réfléchir à la pose des pierres de cheminée dans le futur petit salon de la ferme.

A dire vrai, mon achat de samedi n'est pas optimal, ainsi que je ne m'en suis rendu compte que ce soir.

Si, en effet, je compare la cheminée que je viens d'acheter à celle de la salle à manger du manoir, je m'aperçois que le linteau de la nouvelle est loin d'être satisfaisant. Il est en granit bleu, alors que tout le reste de la cheminée est en granit roux. Surtout, je pense qu'il est postérieur aux corbeaux et aux piédroits. Je suppose qu'il a remplacé un linteau de bois qui avait mal vieilli. Mon impression est que ce linteau a deux siècles au maximum alors que le reste de la cheminée en aurait plus de trois.

11 avril 2011, le linteau de la cheminée achetée avant-hier.

Ce linteau reposait directement sur les corbeaux, comme le montre la photo suivante que m'a communiquée le vendeur :

La cheminée achetée à Sainte-Opportune.

Voici, par comparaison, la cheminée du manoir :

11 avril 2011, la grande cheminée du manoir.

Une fois n'est pas coutume, je vais donc dire du bien d'Henri LEVEQUE, dont le choix de cheminée a été plus judicieux que le mien...

Sur la grande cheminée de la Chaslerie, on note que le linteau est posé sur des "sur-corbeau" (je ne connais pas le terme exact) qui l'éloignent donc du foyer. Cela donne à l'ensemble de bonnes proportions.

Sur la cheminée achetée avant-hier, il n'y a pas de "sur-corbeau", de sorte que la longueur de la partie des corbeaux dépassant du mur détermine la distance entre le linteau et le foyer ou, si l'on préfère, la profondeur de la cheminée. Autrement dit, il manque une trentaine de cm à l'appel !

Or, dans le futur petit salon de la ferme, le plan du mur dans lequel doivent être insérés les piédroits et les corbeaux de la cheminée achetée avant-hier n'est que de 10 à 15 cm en avant du plan du foyer. Comme les corbeaux ne sont prévus pour ressortir que de 30 cm devant le plan du mur, cela signifie que nous ne disposerions que de 45 cm au maximum pour la profondeur de la cheminée, ce qui est très peu.

11 avril 2011, l'emplacement de la cheminée de la ferme.

Face à ce problème, j'ai imaginé deux solutions :

- soit enfoncer le foyer de 15 à 20 cm en tirant parti de l'épaisseur du mur, ancien pignon de la ferme dans sa conformation initiale ; mais ceci me paraîtrait soulever des problèmes de réalisation, notamment de sécurité ; donc j'abandonne cette idée ;

- soit avancer le plan du mur, par exemple en le doublant d'un mur de parpaings de bonne épaisseur.

Pascal me dissuade de mettre en œuvre la deuxième idée, qui lui semble trop onéreuse. Il m'en suggère une troisième qui consisterait à retailler et boucharder les corbeaux de la "nouvelle" cheminée, de manière à en allonger la partie visible.

11 avril 2011, le corbeau gauche de la cheminée achetée avant-hier.

Pascal a commencé ce soir à tester la faisabilité de sa suggestion sur le corbeau gauche et se dit satisfait du résultat.

Pourtant, il s'est également mis à la recherche, dans mon stock de vieux cailloux, d'une paire de corbeaux de bonne longueur et en granit roux.

De mon côté, je ne suis pas convaincu que je pourrai faire l'économie d'un surépaississement du mur.

On verra demain. Il nous faudra également rechercher des dalles de granit pour l'âtre de la cheminée. La journée sera donc chargée.

Avant-hier matin, lorsque Mr T. et moi avons visité l'"aile de la belle-mère", je lui ai fait part de mes rares idées pour la restauration de ce volume.

Dans la chambre du 2ème étage du colombier, je lui ai indiqué que je ferais sauter le plafond, donc disparaître la chambre du 3ème étage avec la travée d'escalier incommode qui la dessert, de manière à disposer d'une pièce à double hauteur de plafond et vue sur la charpente. A cet endroit, cette dernière est en effet très belle. Cela permettrait de supprimer les deux lucarnes donnant sur la cour et de transformer celle donnant au Sud pour lui redonner un aspect d'entrée du colombier pour les pigeons (étant entendu que les trous de boulin sont nombreux sur deux des quatre murs de la chambre du 2ème étage). Je ferais de même disparaître le cabinet de toilettes exigu donnant sur la cour, ainsi que le petit vestibule contenant la travée d'escalier montant au 3ème, afin de disposer, au second, d'une grande pièce éclairée par 4 fenêtres.

Mr T. a tordu le nez devant ces suggestions et déclaré qu'il préfèrerait conserver les trois lucarnes et transformer ladite chambre du 3ème étage en bureau-bibliothèque pour lui.

Toutefois, dimanche soir, avant de rentrer à Paris, il m'a signalé que son amie trouvait très bonne mon idée. A mes yeux, il ne fait guère de doute que cette demoiselle a bon goût et une influence bienvenue sur mon aîné...

Mais hier soir, lorsque, téléphonant à Mr T., je l'ai informé que j'avais pris rendez-vous chez un notaire pour examiner comment organiser sa prise de relais sur cette "aile de la belle-mère", il m'a recommandé de ne pas trop me presser. Il souhaite réfléchir d'abord à la forme que pourrait avoir le nouvel escalier qui remplacerait l'actuel, raté comme l'on sait.

J'ai proposé à Mr T. de demander à Lucyna GAUTIER de réfléchir à ce problème. Il semblerait d'accord pour financer cette étude, ce qui me paraîtrait une bonne façon d'avancer.

Un visiteur du site m'indique que le "sur-corbeau" s'appelle en réalité un sommier. Ce sommier repose sur les corbeaux et sert à maintenir en place le linteau permettant de le déporter vers l'extérieur afin de constituer l'avaloir.

En fait, la nuit ayant porté conseil, je me dis que le mieux serait sans doute de nous priver des services du linteau de granit bleu que je viens d'acheter et de lui substituer un linteau de chêne. Cela aurait en outre l'avantage du retour à l'authenticité, vraisemblablement.

Reste à résoudre la question des dimensions de ce que j'appelle l'âtre, c'est-à-dire la surface au sol sous la cheminée. Je pense que, faute de meilleure solution, je demanderai à Pascal de le réaliser en granit bleu, en réutilisant des pierres du vieux pont de Lonlay qu'avait dû acheter Henri LEVEQUE (là, il va falloir que je me surveille car c'est la 2ème fois en 24 heures que je me laisse aller à des sentiments positifs à l'égard du père de mon vendeur. C'est simple, je ne me reconnais plus moi-même !)

Pascal me suggère d'aller faire un tour chez le marbrier de Domfront pour voir s'il n'aurait pas mon bonheur. J'y file de ce pas. Cela va finir par ressembler à un pélerinage sur les traces de cette grande âme du Domfrontais, comme dit le comique...

P.S. : Rebondissement dans l'affaire de l'âtre ce matin. J'avais en effet repéré dans le voisinage un stock de granits susceptibles de convenir, car plus roux, me semblait-il, que ceux laissés par Henri LEVÊQUE. Je me suis rapproché de la personne habilitée à en disposer. Ce dernier a bien voulu donner son feu vert à l'échange. Nous y procèderons dès cet après-midi. Qu'il sache en tout cas que je leur suis très reconnaissant, à lui d'abord, mais aussi à tous ceux qui ont permis cette opération.

Je reprends la plume dans l'après-midi. Voici les pierres que j'ai apportées à l'échange :

12 avril 2011, les pierres apportées à l'échange.

Et voici celles reçues, qui sont plus petites mais qui conviendront mieux pour l'âtre :

12 avril 2011, les futures pierres de l'âtre de la ferme.

Guy HEDOUIN
rédigé le Mardi 12 Avril 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Ferme et son fournil
0
Bonsoir,

Prenez le temps de la réflexion pour votre cheminée, agir vite n'est pas toujours le mieux. Il faut observer ce qui se faisait à cette époque, pourquoi l'on procédait de cette manière.

Les cheminées sont des sujets délicats car il faut aussi penser à leur fonctionnement. Ou alors cela sera une cheminée purement décorative.

Bonne réflexion !

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 13 Avril 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Ferme et son fournil
0
@ Guy HEDOUIN :

Oui, à gauche de la 1ère photo, il s'agit bien d'un sommier. Les deux autres pierres sont belles de dimensions mais ne comportent qu'un petit côté travaillé finement.

Sur la seconde photo, il s'agit de marches d'un ancien calvaire de cimetière. Donc elles ont été bouchardées sur 2 côtés, un grand et un petit. Et elles font un peu moins de 1,80 m de long, ce qui convient à mon âtre.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 13 Avril 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Ferme et son fournil
0
A 9 h, ce matin, Pascal a commencé par délimiter le futur emplacement de l'âtre :

13 avril 2011, le chantier en début de matinée.

A midi, il avait dégagé la place :

En fin de journée, seule la première pierre de l'âtre restauré avait pu être posée. Pascal a eu du mal à en déplacer seul les 450 kg. Je lui avais demandé que la surface supérieure de cette pierre soit dans le même plan que le sol fini, ce qui est peut-être une erreur :

13 avril 2011, la 1ère pierre de l'âtre est placée.

Demain, il devrait commencer par installer l'un ou l'autre piédroit. Je me demande comment il compte s'y prendre pour déplacer le bloc de granit en question. Je serais bien incapable de lui suggérer la moindre idée.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 14 Avril 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Ferme et son fournil
0
Pascal commence la journée en nettoyant au "kärcher" les granits des piédroits :

14 avril 2011, nettoyage du piédroit gauche de la cheminée du futur salon de la ferme.

Afin d'en faciliter le tirage, il n'omet pas de doter la cheminée d'un dispositif y amenant de l'air frais :

14 avril 2011, le fond de l'âtre.

En fin de matinée, le chantier est prêt pour la pose des piédroits :

14 avril 2011, le chantier en fin de matinée.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 14 Avril 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Ferme et son fournil
0
En début d'après-midi, Carole a donné son point de vue, éclairé évidemment, sur la meilleure façon de mouvoir des granits de 500 kg :

14 avril 2011, Carole inspecte les travaux de la ferme.

Heureusement, Pascal avait sa petite idée en tête :

14 avril 2011, Pascal déménage un piédroit à la mini-pelle.

Il lui aura fallu tout l'après-midi pour placer deux granits (et, accessoirement, boucher quelques trous dans le mur) :

14 avril 2011, le piédroit gauche monté aux deux tiers.

En fin de journée, sous le regard admiratif de Bernard, Pascal a approché de son futur emplacement le premier granit du piédroit de droite. Il reprendra demain le chantier à cet endroit.

14 avril 2011, Bernard observe Pascal à la manoeuvre.

Pascal serait-il un nouveau géant Atlas ?

Atlas portant le Monde.

Le voici en effet, ce matin, en train de placer la 1ère pierre du piédroit de droite de la cheminée de la ferme.

15 avril 2011, Pascal en géant Atlas.

Il m'explique qu'il va ensuite disposer les granits du fond de l'âtre. Après quoi, il compte s'occuper de la restitution de la niche à droite de la cheminée.

Mais Carole intervient et dissipe mon petit monde, qu'elle appâte avec des croissants :

15 avril 2011, réunion de travail, bien sûr, dans la

Ainsi requinqué, Pascal soulève et place, au fond du foyer, un granit de 150 kg (60 cm sur 35 et 25, je précise ceci pour ceux qui ne me croiraient toujours pas, suivez mon regard...).

Voici l'état du chantier en fin de matinée :

15 avril 2011 en fin de matinée.

Nous disposons des granits pour tapisser le foyer sur 30 cm de haut. Au-dessus, l'exercice deviendra problématique. Il est donc possible que nous ayons à nous contenter de grès.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 15 Avril 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Abords, Avenue, terrasse - Ferme et son fournil
0
J'ai suggéré à Pascal de regarder dans mes stocks de pierres et il a trouvé des dalles de granit que j'ai achetées à Tinchebray il y a une petite dizaine d'années. Elles proviennent d'un très vieux manoir démoli et ont juste la bonne couleur.

Bien sûr, il a fallu les retailler à la disqueuse :

15 avril 2011, Pascal adapte les dalles au foyer de la cheminée de la ferme.

Ce soir, l'effet est satisfaisant :

15 avril 2011, le chantier en fin de semaine.

La semaine prochaine, Pascal poursuivra l'habillage du foyer en granit, toujours en utilisant ces vieilles dalles.¨Puis il s'attaquera au remontage de la niche à droite de la cheminée. Mais, pour celle-ci, nous ne disposons que de la pierre du bas et de celles du fond. Pascal devra donc reconstituer le reste.

Guy HEDOUIN
rédigé le Vendredi 15 Avril 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Ferme et son fournil
0
Bonsoir,

Heureusement que la mini pelle est là, 150 kg à bout de bras, il serait bon pour devenir haltérophile.

Je trouve la profondeur du foyer un peu courte, attendons la suite.

Bonne soirée !

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 16 Avril 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Ferme et son fournil
0
@ Guy HEDOUIN :

Vous m'avez bien lu : c'est bien à bout de bras que Pascal soulève des cailloux de 150 kg ; la mini-pelle intervient pour les poids supérieurs.

Quant à la profondeur de l'âtre, je partage votre avis. Mais Pascal explique que, d'une part, il ne lui était pas possible d'avancer le foyer pour des raisons de sécurité (et, dans une moindre mesure, de fonctionnalité), d'autre part il a fait saillir les piédroits de 4 bons centimètres par rapport au plan du mur. J'avais bien vu la difficulté avec ma suggestion de doubler le mur avec des parpaings mais Pascal ne l'a pas retenue. Il est parfois un peu têtu.

N'oublions pas, cependant, qu'à ce stade, Pascal n'a posé au sol qu'un tiers de l'âtre (il manque encore en effet 2 des 3 pierres de 1 m 80 de long, issues de l'échange d'il y a quelques jours). En outre, je me dis que l'équilibre des proportions de la cheminée peut difficilement être perçu tant que les corbeaux et le linteau ne sont pas posés. Enfin, si vous observez bien la cheminée, avant démontage à Sainte-Opportune, elle n'était pas plus profonde ; et en plus, il y manquait les sommiers, de sorte que l'avaloir était riquiqui ; mais, si je persiste avec mon idée de linteau de bois, le plus important défaut de la cheminée achetée devrait être corrigé.

Ceci dit, j'ai observé la grande cheminée du manoir. Le plan à 45° des piédroits y est, certes, beaucoup plus important que sur la cheminée de la ferme mais le rapport entre la largeur de ce plan à 45° et la profondeur de l'âtre y est comparable.

Moralité : en restauration, on ne fait pas toujours ce qu'on voudrait (air connu) ; ces petites insatisfactions font partie de la vie du chantier, il faut s'y faire et s'en satisfaire. D'où le caractère volontairement elliptique du satisfecit de mon précédent message. Merci donc de m'avoir donné l'occasion d'expliciter mon appréciation qui vous avait justement semblé un peu trop louangeuse.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 17 Avril 2011
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Ferme et son fournil - Dans l'Orne - Annonces
0
Hier, au manoir des Brosses à Céaucé, chez nos amis Yves et Marie-Annick de SAINT MELOIR, j'ai observé l'imposante cheminée. Elle doit avoir 500 ans :

16 avril 2011, la cheminée de la salle de séjour du manoir des Brosses à Céaucé.

Le foyer en est peu enfoncé par rapport aux plans à 45° des piédroits. Il comporte en hauteur une niche. Yves m'indique qu'il y en aurait une autre derrière la taque aux armes comtales d'un de ses prédécesseurs (un de ses parents donc, puisque le manoir des Brosses n'a jamais été vendu). Au sol, l'âtre est en dalles de granit qui ne dépassent guère du sol de la pièce ; je note que la profondeur de cet âtre excède sensiblement celle de l'avaloir. Je signale une particularité remarquable du sommier gauche de cette cheminée : un des angles (le plus proche sur la photo précédente) est tronqué et orné d'une fleur de lys ; Yves pense qu'il pourrait s'agir là d'une signature de l'artisan qui a conçu cette cheminée.

La cheminée est flanquée, de part et d'autre, de niches profondes destinées à garder des aliments au sec, sans doute du sel. Elles étaient, à l'origine, fermées par des volets dont on aperçoit les feuillures. Voici celle de gauche :

16 avril 2011, la niche à gauche de la cheminée au manoir des Brosses.

La pierre de gauche de la niche droite comporte même un renflement pour le loquet :

16 avril 2011, la niche à droite de la cheminée au manoir des Brosses.

N.B. : J'ai pris les trois photos de ce message debout ; cela donne une idée des hauteurs du linteau et des niches par rapport au sol. On peut également en déduire que les ancêtres d'Yves étaient franchement râblés, ce qui ne m'étonne guère compte tenu, notamment, de la taille des armures que j'ai photographiées récemment aux Invalides à Paris et qui mettent en évidence le gigantisme de François 1er (voir mon message du 31 mars dernier en "Sujets divers").

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 18 Avril 2011
Journal du chantier - Plomberie-chauffage - Bâtiment Nord
0
Dans l'entrée, la chambre, la penderie et le cabinet de toilettes du rez-de-chaussée du bâtiment Nord, les compagnons du plombier ont passé l'après-midi à agrafer sur l'isolant le circuit de chauffage par le sol :

18 avril 2011, pose du circuit de chauffage par le sol sur 35 m2 du bâtiment Nord.