Je viens de signer le devis de Marc CAPPELAERE pour l'établissement du "plan simple de gestion du bois du domaine de la Chaslerie".
M. CAPPELAERE m'a prévenu qu'il interviendrait au 2ème semestre 2017. Il se charge des démarches relatives à la subvention. Il est en outre entendu qu'il vérifiera la justesse du cadastre.
Journal du chantier
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 20 Avril 2017
Journal du chantier - Administration - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse
rédigé le Jeudi 20 Avril 2017
Journal du chantier - Administration - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 23 Avril 2017
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Menuiserie - Logis - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
rédigé le Dimanche 23 Avril 2017
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Menuiserie - Logis - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
(Début de citation)
De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : dimanche 23 avril 2017 08:10
À : DESMOULINS-HEMERY Servanne
Cc : Maffre Benoit; arnaud.tiercelin@culture.gouv.fr; Thibaud Fourcade
Objet : Chaslerie - (1) Projet de lettre à M. de Balorre (2) devis révisés de M. Bresson, menuisier.
Chère Madame,
Je fais suite à nos échanges du 21 avril dernier.
(1) Voici mon projet de courriel à votre président que je souhaite lui envoyer dès demain. J'espère qu'il n'est ni trop long, ni trop compliqué.
(Début de citation)
Monsieur le président et cher ami,
En ce lendemain de 1er tour des présidentielles, l'actualité immédiate est riche d'autres sujets de préoccupation et de réflexion mais je me permets de vous saisir d'un problème pratique et de vous en recommander des solutions dans la perspective d'une très proche réunion du "comité de pilotage" en charge des aides du département pour la restauration du patrimoine, protégé ou non, public ou privé.
Je voudrais en effet vous présenter deux propositions, l'une d'assouplissement et à moindre coût pour le département, l'autre de restriction qu'il me paraitrait souhaitable d'introduire dans le dispositif afin de le rendre à la fois plus juste et plus efficace.
Comme vous le savez, une "Charte" énumère les 4 critères à remplir pour bénéficier d'un taux de subvention de 5 à 20 % pour les travaux extérieurs sur immobilier privé, selon que l'on remplit 1 à 4 de ces critères.
1 - Dans le sens de l'assouplissement :
Alors que les 3 premiers critères sont spécifiques au bâtiment en cause, le 4ème est conçu d'une manière qui pose problème. En effet, le fait que le bâtiment soit "situé sur une commune labellisée 'petite cité de caractère'" peut, s'il est fait une interprétation trop stricte de ce label, conduire à exclure les bâtiments qui ne se trouvent pas au centre-ville d'une telle commune. Cela est évidemment absurde, tant pour des raisons touristiques que culturelles, historiques comme patrimoniales. En effet, il est clair que les citadelles comme Domfront n'ont leur plein intérêt touristique, culturel, historique comme patrimonial que si l'on veille à ne pas exclure les manoirs de la même commune qui en constituent à l'évidence l'"hinterland".
Je vous propose donc de ne pas limiter l'application de ce 4ème critère à une interprétation trop stricte de la définition administrative des "petites cités de caractère".
Il va de soi que le nombre de manoirs faisant l'objet de travaux de restauration et situés dans l'"hinterland" d'une "petite cité de caractère" est limité. De la sorte, le risque d'inflation de l'enveloppe que le département de l'Orne veut bien consacrer à la cause du patrimoine serait limité. Il le serait d'autant plus qu'en tout état de cause, il existe un plafond (15 000 euros) au montant de chaque subvention.
En fait, l'enjeu de cet assouplissement est de permettre un affichage d'un taux plein de la subvention dans un tout petit peu plus de cas. Je précise que, dans le cas de la Chaslerie, un tel assouplissement serait le bienvenu pour les raisons que connaissent tant la D.R.A.C. (et le fisc) que vos services.
2 - Dans le sens du durcissement :
Le 2ème critère de la charte en question vise à favoriser l'ouverture au public des bâtiments privés bénéficiaires. Il est ainsi prévu que leur propriétaire doit "s'engager pour une période de 5 ans à l'ouverture au public".
Pourquoi ne pas renforcer ce critère en exigeant désormais, en plus de l'ouverture au public, la participation à "Pierres en Lumières", festival dont le département de l'Orne est à l'origine et qui connaît un succès croissant parmi les propriétaires de monuments privés ?
Si cela vous pose problème de durcir ce critère, pourquoi ne pas réserver ce durcissement aux seuls monuments protégés situés sur le territoire d'une "petite cité de caractère" au sens assoupli ci-dessus ? Il me semble que ce serait là un compromis favorable à toutes les parties concernées, sans oublier les artisans électriciens, le plus souvent locaux pour des raisons de commodité, à qui seraient confiés lesdits travaux d'éclairage.
Je précise que la Chaslerie fait partie des monuments privés qui, bien que susceptibles de participer à ce festival, ne l'ont encore jamais fait (en raison du coût des projecteurs). Le coup de pouce suggéré au département que vous présidez serait, sans nul doute, de nature à la faire basculer, là aussi, du bon côté.
Je vous prie de bien vouloir signaler à vos services le sens dans lequel vous souhaitez que le "comité de pilotage" interprète ladite "Charte".
Je vous prie d'agréer, Monsieur le président, l'assurance de ma haute considération et de mes sentiments amicaux.
(Fin de citation)
(2) M. BRESSON m'a transmis hier ses devis révisés que je joins à cet envoi (il manque encore son récapitulatif mais je le lui ai demandé ; en attendant, j'en ai tapé un, que je joins également à cet envoi).
Comme je vous ai remis avant-hier mon exemplaire de l'étude préalable de 2016 de M. MAFFRE, je ne sais pas si ces derniers devis diffèrent de ceux que M. BRESSON avait établis l'an dernier. Je lui ai en effet mis la pression pour qu'il se montre moins gourmand, ce qui est, si l'on peut dire, son péché mignon.
Bien cordialement,
PPF
(Fin de citation)
P.S. du 25 avril 2017 : Mon courriel au président du CD 61 est parti hier matin, sans changement.
J'ai par ailleurs explicité, à l'intention de mes interlocuteurs (Mme DESMOULINS-HEMERY mais aussi, en l'état du dossier, M. MAFFRE et M. TIERCELIN), en quoi pourrait, selon moi, consister la 1ère tranche de travaux :
- si ma demande d'assouplissement de la doctrine du CD 61 est acceptée, la restauration (menuiserie et, en tant que de besoin, maçonnerie) de la porte principale du logis, des fenêtres de la cage d'escalier, de celles de la tour Sud-Ouest, ainsi que la fenêtre Sud de la "salle dévastée" (au 1er étage du logis) ;
- sinon, les mêmes plus la restauration des trois autres fenêtres de la "salle dévastée".
Il va sans dire que je préférerais nettement la première hypothèse.
De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : dimanche 23 avril 2017 08:10
À : DESMOULINS-HEMERY Servanne
Cc : Maffre Benoit; arnaud.tiercelin@culture.gouv.fr; Thibaud Fourcade
Objet : Chaslerie - (1) Projet de lettre à M. de Balorre (2) devis révisés de M. Bresson, menuisier.
Chère Madame,
Je fais suite à nos échanges du 21 avril dernier.
(1) Voici mon projet de courriel à votre président que je souhaite lui envoyer dès demain. J'espère qu'il n'est ni trop long, ni trop compliqué.
(Début de citation)
Monsieur le président et cher ami,
En ce lendemain de 1er tour des présidentielles, l'actualité immédiate est riche d'autres sujets de préoccupation et de réflexion mais je me permets de vous saisir d'un problème pratique et de vous en recommander des solutions dans la perspective d'une très proche réunion du "comité de pilotage" en charge des aides du département pour la restauration du patrimoine, protégé ou non, public ou privé.
Je voudrais en effet vous présenter deux propositions, l'une d'assouplissement et à moindre coût pour le département, l'autre de restriction qu'il me paraitrait souhaitable d'introduire dans le dispositif afin de le rendre à la fois plus juste et plus efficace.
Comme vous le savez, une "Charte" énumère les 4 critères à remplir pour bénéficier d'un taux de subvention de 5 à 20 % pour les travaux extérieurs sur immobilier privé, selon que l'on remplit 1 à 4 de ces critères.
1 - Dans le sens de l'assouplissement :
Alors que les 3 premiers critères sont spécifiques au bâtiment en cause, le 4ème est conçu d'une manière qui pose problème. En effet, le fait que le bâtiment soit "situé sur une commune labellisée 'petite cité de caractère'" peut, s'il est fait une interprétation trop stricte de ce label, conduire à exclure les bâtiments qui ne se trouvent pas au centre-ville d'une telle commune. Cela est évidemment absurde, tant pour des raisons touristiques que culturelles, historiques comme patrimoniales. En effet, il est clair que les citadelles comme Domfront n'ont leur plein intérêt touristique, culturel, historique comme patrimonial que si l'on veille à ne pas exclure les manoirs de la même commune qui en constituent à l'évidence l'"hinterland".
Je vous propose donc de ne pas limiter l'application de ce 4ème critère à une interprétation trop stricte de la définition administrative des "petites cités de caractère".
Il va de soi que le nombre de manoirs faisant l'objet de travaux de restauration et situés dans l'"hinterland" d'une "petite cité de caractère" est limité. De la sorte, le risque d'inflation de l'enveloppe que le département de l'Orne veut bien consacrer à la cause du patrimoine serait limité. Il le serait d'autant plus qu'en tout état de cause, il existe un plafond (15 000 euros) au montant de chaque subvention.
En fait, l'enjeu de cet assouplissement est de permettre un affichage d'un taux plein de la subvention dans un tout petit peu plus de cas. Je précise que, dans le cas de la Chaslerie, un tel assouplissement serait le bienvenu pour les raisons que connaissent tant la D.R.A.C. (et le fisc) que vos services.
2 - Dans le sens du durcissement :
Le 2ème critère de la charte en question vise à favoriser l'ouverture au public des bâtiments privés bénéficiaires. Il est ainsi prévu que leur propriétaire doit "s'engager pour une période de 5 ans à l'ouverture au public".
Pourquoi ne pas renforcer ce critère en exigeant désormais, en plus de l'ouverture au public, la participation à "Pierres en Lumières", festival dont le département de l'Orne est à l'origine et qui connaît un succès croissant parmi les propriétaires de monuments privés ?
Si cela vous pose problème de durcir ce critère, pourquoi ne pas réserver ce durcissement aux seuls monuments protégés situés sur le territoire d'une "petite cité de caractère" au sens assoupli ci-dessus ? Il me semble que ce serait là un compromis favorable à toutes les parties concernées, sans oublier les artisans électriciens, le plus souvent locaux pour des raisons de commodité, à qui seraient confiés lesdits travaux d'éclairage.
Je précise que la Chaslerie fait partie des monuments privés qui, bien que susceptibles de participer à ce festival, ne l'ont encore jamais fait (en raison du coût des projecteurs). Le coup de pouce suggéré au département que vous présidez serait, sans nul doute, de nature à la faire basculer, là aussi, du bon côté.
Je vous prie de bien vouloir signaler à vos services le sens dans lequel vous souhaitez que le "comité de pilotage" interprète ladite "Charte".
Je vous prie d'agréer, Monsieur le président, l'assurance de ma haute considération et de mes sentiments amicaux.
(Fin de citation)
(2) M. BRESSON m'a transmis hier ses devis révisés que je joins à cet envoi (il manque encore son récapitulatif mais je le lui ai demandé ; en attendant, j'en ai tapé un, que je joins également à cet envoi).
Comme je vous ai remis avant-hier mon exemplaire de l'étude préalable de 2016 de M. MAFFRE, je ne sais pas si ces derniers devis diffèrent de ceux que M. BRESSON avait établis l'an dernier. Je lui ai en effet mis la pression pour qu'il se montre moins gourmand, ce qui est, si l'on peut dire, son péché mignon.
Bien cordialement,
PPF
(Fin de citation)
P.S. du 25 avril 2017 : Mon courriel au président du CD 61 est parti hier matin, sans changement.
J'ai par ailleurs explicité, à l'intention de mes interlocuteurs (Mme DESMOULINS-HEMERY mais aussi, en l'état du dossier, M. MAFFRE et M. TIERCELIN), en quoi pourrait, selon moi, consister la 1ère tranche de travaux :
- si ma demande d'assouplissement de la doctrine du CD 61 est acceptée, la restauration (menuiserie et, en tant que de besoin, maçonnerie) de la porte principale du logis, des fenêtres de la cage d'escalier, de celles de la tour Sud-Ouest, ainsi que la fenêtre Sud de la "salle dévastée" (au 1er étage du logis) ;
- sinon, les mêmes plus la restauration des trois autres fenêtres de la "salle dévastée".
Il va sans dire que je préférerais nettement la première hypothèse.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 2 Mai 2017
Journal du chantier - Ferronnerie - Logis - Bâtiment Nord
rédigé le Mardi 2 Mai 2017
Journal du chantier - Ferronnerie - Logis - Bâtiment Nord
Roland FORNARI a ouvert son atelier pour moi hier après-midi afin que je puisse récupérer ses derniers travaux, dont cette grille pour la prise d'air extérieure du système d'aération à prévoir dans le cabinet de toilettes situé sous l'escalier du logis :J'ai en effet estimé qu'une telle grille serait moins moche que le truc en laiton, acheté au B.H.V., qu'Igor avait apposé à l'extérieur du cabinet de toilettes (toujours en chantier) du rez-de-chaussée du bâtiment Nord :Par ailleurs, Roland a forgé les supports de heurtoir, ainsi que les butoirs, qui manquaient, suite à mes mésaventures en ligne d'il y a quelques mois :
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 2 Mai 2017
Journal du chantier - Charpente-couverture - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Transmission du patrimoine
rédigé le Mardi 2 Mai 2017
Journal du chantier - Charpente-couverture - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Transmission du patrimoine
Roland FORNARI m'a informé hier que Roland BOUSSIN avait été très affecté par l'accident mortel survenu à l'un de ses amis, charpentier-couvreur comme lui, tombé la tête la première contre une dalle en béton. Roland BOUSSIN a invité récemment ses amis à l'occasion de son départ à la retraite.
J'ai envoyé ce soir à Franck LIEGEAS le S.M.S. suivant : "Cher Franck, j'ai appris que votre beau-père s'était résolu à vous passer le flambeau et à prendre une retraite bien méritée, qu'on lui souhaite aussi longue qu'heureuse. Tous mes voeux vous accompagnent lors de ce relais. Compte tenu de vos qualités que j'ai toujours appréciées, je suis persuadé de votre succès. Bien cordialement, PPF".
Bien que l'essentiel du programme de restauration des charpentes et couvertures de notre manoir favori soit désormais achevé, de sorte que nous devrions être tranquilles de ce côté-là pour un bon moment, je n'hésiterai pas à recourir de nouveau aux services de Franck dès que l'occasion s'en présentera et, en tout état de cause, à le recommander très chaleureusement à tous ceux qui, dans notre coin du bocage, rechercheraient, dans ses métiers, un artisan d'élite.
J'ai envoyé ce soir à Franck LIEGEAS le S.M.S. suivant : "Cher Franck, j'ai appris que votre beau-père s'était résolu à vous passer le flambeau et à prendre une retraite bien méritée, qu'on lui souhaite aussi longue qu'heureuse. Tous mes voeux vous accompagnent lors de ce relais. Compte tenu de vos qualités que j'ai toujours appréciées, je suis persuadé de votre succès. Bien cordialement, PPF".
Bien que l'essentiel du programme de restauration des charpentes et couvertures de notre manoir favori soit désormais achevé, de sorte que nous devrions être tranquilles de ce côté-là pour un bon moment, je n'hésiterai pas à recourir de nouveau aux services de Franck dès que l'occasion s'en présentera et, en tout état de cause, à le recommander très chaleureusement à tous ceux qui, dans notre coin du bocage, rechercheraient, dans ses métiers, un artisan d'élite.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 3 Mai 2017
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
rédigé le Mercredi 3 Mai 2017
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
Les compagnons de BODIN sont arrivés ce matin à 7 heures et ont commencé à creuser la saignée pour l'aération des toilettes destinées à être installées sous l'escalier du logis :De même, ils ont commencé à protéger le passage vers ma future bibliothèque :Dans la tour, à ma surprise, je trouve Benjamin juché à l'étage et en train de faire sauter les joints de ciment :Il me paraissait plus urgent pour lui de s'attaquer enfin aux joints du rez-de-chaussée. Comprenne qui pourra !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 3 Mai 2017
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Electricité - Logis
rédigé le Mercredi 3 Mai 2017
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Electricité - Logis
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 3 Mai 2017
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
rédigé le Mercredi 3 Mai 2017
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
Hélas j'ai été retenu à l'extérieur l'essentiel de l'après-midi, de sorte que, lorsque je suis rentré à notre manoir favori, les compagnons de BODIN rangeaient leur matériel. J'ai néanmoins pu photographier la carotteuse...... le trou qu'elle a percé...... les carottes...... les traces de l'intervention à l'intérieur du manoir...... et le trou, vu de la saignée :
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 3 Mai 2017
Journal du chantier - Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - A.D.D.O.O.E. - Sud Manche - Vie du site - Aspects juridiques - Désultoirement vôtre ! - Transmission du patrimoine
rédigé le Mercredi 3 Mai 2017
Journal du chantier - Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - A.D.D.O.O.E. - Sud Manche - Vie du site - Aspects juridiques - Désultoirement vôtre ! - Transmission du patrimoine
Sur le chemin du retour, j'ai fait étape à Céaucé où Marie Annick de SAINT MELOIR m'a remis l'attestation suivante :Je l'en remercie tout en faisant observer que j'aurais été moins catégorique qu'elle à propos de la date de livraison du fournil de la ferme (au point 3) . En effet, l'électro-ménager de sa kitchenette est encore à acheter.
Après en avoir, pas plus tard qu'aujourd'hui, parlé à la "jeune classe concernée" ("ou supposée telle", comme je devrais désormais l'ajouter), je suis en revanche au regret de confirmer l'appréciation portée (au point 5) sur le caractère très hypothétique du relais financier familial toujours espéré. Voici en effet, en substance, la réponse qu'on me fait de nouveau à Paris:
Après en avoir, pas plus tard qu'aujourd'hui, parlé à la "jeune classe concernée" ("ou supposée telle", comme je devrais désormais l'ajouter), je suis en revanche au regret de confirmer l'appréciation portée (au point 5) sur le caractère très hypothétique du relais financier familial toujours espéré. Voici en effet, en substance, la réponse qu'on me fait de nouveau à Paris:
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 4 Mai 2017
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis - Désultoirement vôtre ! - Transmission du patrimoine
rédigé le Jeudi 4 Mai 2017
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis - Désultoirement vôtre ! - Transmission du patrimoine
Aujourd'hui, les compagnons de BODIN attaquent la cheminée du rez-de-chaussée de la tour Sud-Ouest.
On se souvient peut-être que, bonne poire, donc soucieux de complaire à des individus qui donneront toujours la préférence à une cuisine plutôt qu'à une bibliothèque, j'avais accepté d'installer la bibliothèque-bureau de mes rêves dans une sorte de cul-de-basse-fosse, un volume mal éclairé, humide et retranché.
Depuis hier, je suis informé qu'une fois le plus, les vents ont tourné. Le programme des prochains travaux devra être réduit puisque, jusqu'à nouvel ordre, je devrai me satisfaire d'en supporter seul le coût (à l'exception des lucarnes de l'"aile de la belle-mère" pour la restauration desquelles il resterait un rogaton de subvention à engager, faute de quoi ce dernier serait perdu pour l'intéressé).
Je ne puis néanmoins décommander l'intervention de l'entreprise BODIN. J'estime au contraire que les artisans professionnels et compétents doivent être respectés.
Par conséquent on continue !
Voici donc les dernières photos dans la tour avant les premiers coups de pioche :Comme on le voit, le linteau de la cheminée est sous-dimensionné par rapport à sa largeur : En fait, ce travail est signé (si je puis dire), tout cela avait été bricolé, au ciment bien sûr, dans les années 1950.
On se souvient peut-être que, bonne poire, donc soucieux de complaire à des individus qui donneront toujours la préférence à une cuisine plutôt qu'à une bibliothèque, j'avais accepté d'installer la bibliothèque-bureau de mes rêves dans une sorte de cul-de-basse-fosse, un volume mal éclairé, humide et retranché.
Depuis hier, je suis informé qu'une fois le plus, les vents ont tourné. Le programme des prochains travaux devra être réduit puisque, jusqu'à nouvel ordre, je devrai me satisfaire d'en supporter seul le coût (à l'exception des lucarnes de l'"aile de la belle-mère" pour la restauration desquelles il resterait un rogaton de subvention à engager, faute de quoi ce dernier serait perdu pour l'intéressé).
Je ne puis néanmoins décommander l'intervention de l'entreprise BODIN. J'estime au contraire que les artisans professionnels et compétents doivent être respectés.
Par conséquent on continue !
Voici donc les dernières photos dans la tour avant les premiers coups de pioche :Comme on le voit, le linteau de la cheminée est sous-dimensionné par rapport à sa largeur : En fait, ce travail est signé (si je puis dire), tout cela avait été bricolé, au ciment bien sûr, dans les années 1950.
L'enquête se poursuit. Nous remarquons que l'intérieur de ce que nous prenions pour un conduit de cheminée était enduit à la chaux, celle-ci étant restée blanche :Donc ce n'était pas un conduit de cheminée mais une embrasure de fenêtre !
Vérification faite à l'extérieur, on comprend désormais la présence d'un ancien arc de décharge, englouti dans le parement extérieur de la tour...... comme il y a un arc de décharge au-dessus d'une ouverture ancienne dans le salon, condamnée sans doute au XVIIIème siècle :En y regardant de plus près, on comprend que, même à l'étage de la tour, il ne devait pas y avoir de cheminée à l'origine. Sinon, pourquoi le raccordement de la souche rectangulaire de la cheminée serait-il aussi raté au-dessus du fût cylindrique de la tour ?Reste à comprendre l'usage de la petite ouverture au niveau du 1er étage de l'ex-conduit de cheminée supposé :L'enquête doit donc continuer. Espérons que nous finirons par débusquer la véritable histoire de cette tour. Donc, plus prosaïquement, par décider comment finir le haut de l'embrasure que l'on vient de mettre à jour au rez-de-chaussée.
Vérification faite à l'extérieur, on comprend désormais la présence d'un ancien arc de décharge, englouti dans le parement extérieur de la tour...... comme il y a un arc de décharge au-dessus d'une ouverture ancienne dans le salon, condamnée sans doute au XVIIIème siècle :En y regardant de plus près, on comprend que, même à l'étage de la tour, il ne devait pas y avoir de cheminée à l'origine. Sinon, pourquoi le raccordement de la souche rectangulaire de la cheminée serait-il aussi raté au-dessus du fût cylindrique de la tour ?Reste à comprendre l'usage de la petite ouverture au niveau du 1er étage de l'ex-conduit de cheminée supposé :L'enquête doit donc continuer. Espérons que nous finirons par débusquer la véritable histoire de cette tour. Donc, plus prosaïquement, par décider comment finir le haut de l'embrasure que l'on vient de mettre à jour au rez-de-chaussée.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 4 Mai 2017
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pour l'étude de diagnostic - Histoire de la Chaslerie - Histoire des bâtiments de la Chaslerie
rédigé le Jeudi 4 Mai 2017
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pour l'étude de diagnostic - Histoire de la Chaslerie - Histoire des bâtiments de la Chaslerie
Les compagnons de BODIN sont en train d'évacuer les gravats. Je discute avec le chef d'équipe.
En fait, au fond du bas de l'embrasure mise à jour, le parement présente un fruit. Cela donne à penser que le volume aurait déjà fait l'objet d'aménagements à trois époques successives :
- à l'origine, il y aurait bien eu une cheminée au rez-de-chaussée de la tour ; peut-être les pierres ouvragées en sont-elles la trace ;
- dans un deuxième temps, le conduit aurait été ouvert, enduit de chaux et une fenêtre percée dans son fond, à une certaine hauteur (analogue à celle de l'ouverture bouchée au XVIIIème siècle dans le salon) ; peut-être cette modification a-t-elle eu lieu vers 1598, quand le corps central du logis a été bâti, coincé entre les deux tours qui auraient donc, dans cette hypothèse (déjà évoquée lors de précédentes réflexions à propos de la cage d'escalier du logis), été antérieures ;
- dans les années 1950, le père de mon vendeur a bidouillé n'importe comment, au ciment, le truc qui ne m'a jamais plu malgré ses pierres ouvragées et que j'ai bien l'intention de faire sauter, sans savoir encore où je translaterai le linteau en question.
Reste toujours à comprendre la signification de la petite ouverture extérieure dans le conduit, au niveau du 1er étage. Elle a été proprement montée mais diffère des nombreuses meurtrières voisines.
En fait, au fond du bas de l'embrasure mise à jour, le parement présente un fruit. Cela donne à penser que le volume aurait déjà fait l'objet d'aménagements à trois époques successives :
- à l'origine, il y aurait bien eu une cheminée au rez-de-chaussée de la tour ; peut-être les pierres ouvragées en sont-elles la trace ;
- dans un deuxième temps, le conduit aurait été ouvert, enduit de chaux et une fenêtre percée dans son fond, à une certaine hauteur (analogue à celle de l'ouverture bouchée au XVIIIème siècle dans le salon) ; peut-être cette modification a-t-elle eu lieu vers 1598, quand le corps central du logis a été bâti, coincé entre les deux tours qui auraient donc, dans cette hypothèse (déjà évoquée lors de précédentes réflexions à propos de la cage d'escalier du logis), été antérieures ;
- dans les années 1950, le père de mon vendeur a bidouillé n'importe comment, au ciment, le truc qui ne m'a jamais plu malgré ses pierres ouvragées et que j'ai bien l'intention de faire sauter, sans savoir encore où je translaterai le linteau en question.
Reste toujours à comprendre la signification de la petite ouverture extérieure dans le conduit, au niveau du 1er étage. Elle a été proprement montée mais diffère des nombreuses meurtrières voisines.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 4 Mai 2017
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pour l'étude de diagnostic - Histoire des bâtiments de la Chaslerie - Histoire de la Chaslerie
rédigé le Jeudi 4 Mai 2017
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pour l'étude de diagnostic - Histoire des bâtiments de la Chaslerie - Histoire de la Chaslerie
En fin de matinée, les compagnons de BODIN ont fini de récurer l'ancien conduit de cheminée. Voici le linteau rapporté en train d'être retiré...... alors que la pierre qui le surmontait git déjà à terre. En fait, c'est un granit bleu de Vire, donc une incongruité ici :On remarquera les blocs de ciment qui tapissaient le conduit intérieurement, au niveau du linteau, de manière, sans doute, à favoriser le tirage de la cheminée :Oui, je dis bien, du ciment :Voici le haut du conduit vu du niveau du rez-de-chaussée, en regardant vers le haut. On aperçoit l'entrée de lumière correspondant à l'ouverture au niveau du 1er étage :En regardant plus haut, on distingue bien la fente de sortie de la cheminée, à la hauteur des "boules de noblesse" :Il est temps de desceller ce linteau collé au ciment :Voici qui est fait :Bizarre, cette histoire, le linteau d'origine semble bien avoir été à la même hauteur que le linteau rapporté :
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 4 Mai 2017
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pour l'étude de diagnostic - Histoire de la Chaslerie - Histoire des occupants de la Chaslerie - Histoire des bâtiments de la Chaslerie
rédigé le Jeudi 4 Mai 2017
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pour l'étude de diagnostic - Histoire de la Chaslerie - Histoire des occupants de la Chaslerie - Histoire des bâtiments de la Chaslerie
Dans les angles de l'embrasure dégagée à la place de l'ancien conduit de la cheminée, j'ai remarqué un truc bizarre, une fente verticale, de chaque côté du conduit, témoignant sans nul doute de la non-simultanéité du montage du fond et des deux côtés.
Plus bizarre encore, le truc censé jointoyer les angles était mou au toucher. J'ai demandé au chef d'équipe de le dégager.
Et là, je vous le donne en mille, devinez ce que nous avons découvert :Les angles du conduit avaient été jointoyés en y bloquant des feuilles de papier-journal préalablement mouillées pour en favoriser le tassement dans les fissures.
Vous ne me croyez pas ? Regardez :Le forfait est signé, il s'agit de feuilles du "Monde", un numéro daté du 23 avril 1965 !Jointoyer un conduit de cheminée avec du papier-journal, avouez qu'on fait très difficilement plus con. Comme si on en doutait, cette ânerie monumentale supplémentaire est donc bel et bien signée du père de mon vendeur !
Plus bizarre encore, le truc censé jointoyer les angles était mou au toucher. J'ai demandé au chef d'équipe de le dégager.
Et là, je vous le donne en mille, devinez ce que nous avons découvert :Les angles du conduit avaient été jointoyés en y bloquant des feuilles de papier-journal préalablement mouillées pour en favoriser le tassement dans les fissures.
Vous ne me croyez pas ? Regardez :Le forfait est signé, il s'agit de feuilles du "Monde", un numéro daté du 23 avril 1965 !Jointoyer un conduit de cheminée avec du papier-journal, avouez qu'on fait très difficilement plus con. Comme si on en doutait, cette ânerie monumentale supplémentaire est donc bel et bien signée du père de mon vendeur !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 4 Mai 2017
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis
rédigé le Jeudi 4 Mai 2017
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Logis
Arrivé à ce stade de nos découvertes, je considère que je sors de ma zone de confort pour décider de la suite des opérations. Je demande donc aux compagnons de l'entreprise BODIN de suspendre leurs interventions dans le conduit de cheminée.
Je les charge juste de ranger une statue de calcaire dans l'âtre...... où elle pourra patienter, le temps que nous défoncions le sol dont les tomettes ont été - vous l'avez deviné -, jointoyées au ciment - un beau ciment noir, bien chargé de vacheries très solides - à l'initiative de qui vous savez.
Puisque nos architecte et fonctionnaire de la D.R.A.C. favoris, MM. (...), doivent venir à la Chaslerie vendredi prochain (le rendez-vous initialement prévu pour le 28 avril ayant été reporté), je leur soumettrai mes réflexions :
- je suis d'avis qu'il n'y a pas lieu, comme je l'avais envisagé initialement, de reposer plus haut le linteau déposé aujourd'hui. Le conduit ouvert s'arrêterait donc au niveau du plancher du 1er étage ; selon moi, une dalle de béton, percée d'un conduit d'aération vers le trou mystérieux du 1er, ferait l'affaire pour boucher le haut du conduit devenu (ou plutôt redevenu) alcôve ;
- dans mon idée, il ne serait pas nécessaire de rétablir une cheminée au 1er étage ; le volume étant là destiné à abriter un jour une salle de bains, un percement pour laisser passer un autre conduit d'aération, celui-ci débouchant entre les "boules de noblesse", me paraîtrait largement suffisant pour le nouvel usage.
Peut-être serait-il bon que M. COOS, le gérant de l'entreprise BODIN, puisse participer à ce rendez-vous.
Je les charge juste de ranger une statue de calcaire dans l'âtre...... où elle pourra patienter, le temps que nous défoncions le sol dont les tomettes ont été - vous l'avez deviné -, jointoyées au ciment - un beau ciment noir, bien chargé de vacheries très solides - à l'initiative de qui vous savez.
Puisque nos architecte et fonctionnaire de la D.R.A.C. favoris, MM. (...), doivent venir à la Chaslerie vendredi prochain (le rendez-vous initialement prévu pour le 28 avril ayant été reporté), je leur soumettrai mes réflexions :
- je suis d'avis qu'il n'y a pas lieu, comme je l'avais envisagé initialement, de reposer plus haut le linteau déposé aujourd'hui. Le conduit ouvert s'arrêterait donc au niveau du plancher du 1er étage ; selon moi, une dalle de béton, percée d'un conduit d'aération vers le trou mystérieux du 1er, ferait l'affaire pour boucher le haut du conduit devenu (ou plutôt redevenu) alcôve ;
- dans mon idée, il ne serait pas nécessaire de rétablir une cheminée au 1er étage ; le volume étant là destiné à abriter un jour une salle de bains, un percement pour laisser passer un autre conduit d'aération, celui-ci débouchant entre les "boules de noblesse", me paraîtrait largement suffisant pour le nouvel usage.
Peut-être serait-il bon que M. COOS, le gérant de l'entreprise BODIN, puisse participer à ce rendez-vous.
Bon, c'est pas tout, la semaine n'est pas achevée et on n'est pas là pour rigoler !
Les compagnons de l'entreprise BODIN attaquent le relèvement du linteau de la porte d'accès à mon futur bureau-bibliothèque. Un passage sous le granit à moins de 1,70 mètres de hauteur, il n'y a rien de tel pour raboter les crânes, surtout si l'on veut bien prendre en considération la dégénérescence manifeste de l'espèce.On va relever ce bloc de 30 bons centimètres. Problème : c'est plus facile à dire qu'à faire.
Dans l'immédiat, il faut percer le mur au-dessus de ce linteau pour y passer les bastings qui, le temps des travaux, éviteront à la maçonnerie supérieure de se casser la figure.
C'est parti, mon kiki !Bien entendu, on a veillé à limiter l'envol des poussières du chantier vers les meubles, tapis, tableaux et tentures du salon voisin.
Les compagnons de l'entreprise BODIN attaquent le relèvement du linteau de la porte d'accès à mon futur bureau-bibliothèque. Un passage sous le granit à moins de 1,70 mètres de hauteur, il n'y a rien de tel pour raboter les crânes, surtout si l'on veut bien prendre en considération la dégénérescence manifeste de l'espèce.On va relever ce bloc de 30 bons centimètres. Problème : c'est plus facile à dire qu'à faire.
Dans l'immédiat, il faut percer le mur au-dessus de ce linteau pour y passer les bastings qui, le temps des travaux, éviteront à la maçonnerie supérieure de se casser la figure.
C'est parti, mon kiki !Bien entendu, on a veillé à limiter l'envol des poussières du chantier vers les meubles, tapis, tableaux et tentures du salon voisin.
En fin de leur journée de travail, les compagnons de l'entreprise BODIN installent un sas de protection contre la poussière, à l'entrée de mon futur bureau-bibliothèque :Les miroirs d'une des portes de séparation entre le salon et la tour étaient cassés depuis longtemps ; je la ferai réparer quand on posera les étagères :L'autre pose moins de problèmes, même si tout son système de serrurerie est largement hors service :Demain, on s'attaquera au gros morceau, le relèvement du linteau de la porte de la tour. A ce stade du chantier, on aperçoit au fond du trou le second arc de décharge de cette porte, celui qui se trouve du côté du salon :Et toujours ces foutus joints en ignoble ciment dont on finira bien par avoir la peau...
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 5 Mai 2017
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
rédigé le Vendredi 5 Mai 2017
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Ce matin, le sas du salon, soigneusement obturé, m'empêche d'accéder à la tour par la voie habituelle :Il va me falloir passer par la fenêtre :A leur habitude, ces jeunes gens ont embauché dès 7 heures du matin :Pas facile, ce gymkana, pour un Bon-Papa...
Il pourrait donc y avoir moins de photos aujourd'hui sur notre site favori.
Il pourrait donc y avoir moins de photos aujourd'hui sur notre site favori.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 5 Mai 2017
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis
rédigé le Vendredi 5 Mai 2017
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Les compagnons de l'entreprise BODIN ont fini leur travail de la semaine en cette fin de matinée. Ils reviendront mardi ou mercredi prochain. Voici où ils en sont rendus du relèvement du linteau de la porte :L'évacuation des pierres de ce matin a permis de constater que le bout du linteau qui était jusque là non visible est peu engagé dans le mur, ce qui simplifiera l'opération.