J'ai reçu, hier après-midi, la visite d'un vendeur de pompes à air (= installateur d'engins d'aérothermie).

Son discours était nul, je lui ai vite demandé de ne pas me faire perdre de temps. J'avais été démarché par téléphone et j'avais voulu voir. J'ai donc vu.

Sur le même sujet, j'ai relancé Régis FOUILLEUL, qui tarde à me transmettre son devis.

Bonne nouvelle, en revanche, sur le front des sols : le magasin "Aubade" de Flers présente des carrelages qui me semblent très intéressants.

Mon père aurait eu 98 ans aujourd'hui.

Pensées...

Alors que certaines fonctions de mon ordi paraissent bloquées (comme le transfert de photos à partir de mon téléphone), je reçois, depuis le vol de ma précédente carte bancaire, tout un tas de courriels dont certains atterrissent parmi les "indésirables".

Le fait est que je n'arrive pas à entrer les coordonnées de la nouvelle carte là où il faudrait, semble-t-il, et que je ne comprends rien à cet environnement inhumain au sens propre du terme.

Mais qu'est-ce que ce sera quand l'intelligence artificielle, dont le nom ne dissimule pas la couleur, aura pris le contrôle de tous ces bazars ?

Un tel monde n'est pas fait pour moi, il est temps que je dégage !

Hier après-midi, au forum de Flers, pour un "opéra de poche" très réussi, organisé par "Les Musicales du Bocage" à partir de "Le barbier de Séville" de ROSSINI :

La vie sous la guitoune, c'est tellement plus chouette que dans un chantier bloqué depuis trop longtemps du fait de la suraccumulation de normes à la con comme s'en plaint un Bon-Papa !

6 heures 30, Carole me dit qu'elle a mal dormi car elle attendait le retour des petits croûtons. Mais, dans sa chambre transformée en dortoir comme à chacun de leurs (rares) séjours ici, leurs lits seront restés vides au côté du sien :

Cette jeunesse aventureuse nous démontre par là où vont ses préférences en matière de confort, de même que Speedy Gonzalès qui - pas folle la guêpe - est resté tapi dans la cuisine contre son radiateur électrique favori :

Les petits croûtons étaient tout heureux de reprendre leurs habitudes au haras des Perchers :

Courageux mais pas téméraires... Cette nuit, retour aux fondamentaux :

Garance dort à côté de Carole au fond à gauche, elle a déserté son lit du fond à droite, Hector est enfoncé sous sa couette dans le lit au premier plan à droite donc non visible derrière l'oreiller, et on aperçoit Paul dans le lit du premier plan à gauche.

Tel est le confort au manoir favori.

Ce matin, Garance m'a demandé de lui faire visiter la cave. J'ai constaté avec plaisir qu'elle s'intéresse à sa restauration...

... et attendra avec impatience de pouvoir coucher dans la mezzanine que je lui ai dit prévoir au-dessus du débarras de l'étage, avec vue sur la chambre du Bon-Papa et le futur lit à baldaquin, de style rustique, que je pense faire fabriquer par Sébastien, en guise d'ameublement de cette pièce.

Une saine jeunesse, qui ne manquerait jamais une séance de manège au poney-club de Passais :

Hier soir, sur "la Cinq", il y avait une épreuve d'orthographe.

Avec Garance, nous avons fait les trois dictées. J'ai été agréablement surpris par l'orthographe de ma petite-fille. Il est vrai qu'elle lit beaucoup, mais pas toujours des ouvrages que je recommanderais.

Paul, lui, a décroché très vite. Il m'a appris qu'à Paris et faute de temps, il préfère se consacrer au rugby plutôt qu'aux échecs.

Aux échecs, c'est Hector qui lui a succédé lors des cours auxquels il était inscrit. Hector me montre son cahier d'exercices d'échecs, je suis étonné tant du niveau de ceux-ci que de l'intérêt que ce très jeune joueur y trouve et du soin qu'il met à y répondre.

Avec ces trois enfants, nos principaux points de désaccord portent sur la musique, ils préfèrent en effet, sous l'influence que je n'ai pas de mal à déceler, ce que j'appelle la "zimboumboum".

Comment naissent les vocations :

Et là, une vocation d'agricultrice ?

Derniers jeux avant le retour à Paris :