La réponse de la directrice générale du Trésor confirme, s'il en était besoin, le triomphe de l'incurie :On pourra retenir qu'il est loisible d'évoquer avec cette titulaire d'une des plus hautes charges de l'Etat l'amnistie que se sont conconctés certains de ses prédécesseurs, et pas les moindres, avec la complicité au moins passive de larges pans de tout l'appareil d'Etat, sans que ceci ne lui fasse ni chaud, ni froid.
Et c'est ainsi qu'en toute impunité, une caste dilapide l'argent des contribuables de notre pays.
Autant le savoir pour ne pas mourir idiots.
Généalogie et sagas familiales
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 24 Septembre 2016
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Pouvoirs publics, élus locaux
rédigé le Samedi 24 Septembre 2016
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Pouvoirs publics, élus locaux
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 3 Octobre 2016
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites - Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Pouvoirs publics, élus locaux - Anecdotes - Références culturelles
rédigé le Lundi 3 Octobre 2016
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites - Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Pouvoirs publics, élus locaux - Anecdotes - Références culturelles
J'ai assisté hier après-midi, à Bagnoles-de-l'Orne, au concert de clôture de l'édition 2016 du "Septembre musical de l'Orne". Excellent Michel PORTAL et excellents musiciens de "Tous dehors" ! Très chaleureuses félicitations aux organisateurs de ce festival et très vifs encouragements à continuer de les accompagner aux collectivités locales concernées !
(Comme aux précédents concerts de cette année, et comme au déjeuner à Sassy des "Amis du septembre musical", la place à côté de moi est restée vide. Il est néanmoins vivement question que le déjeuner de l'an prochain ait lieu dans le cadre de notre manoir favori, un jour à préciser ; j'espère que la jeune classe concernée pourra se libérer pour m'aider à accueillir nos hôtes ce jour-là également, en plus du dimanche des "Journées du Patrimoine", et à leur faire, comme il convient, les honneurs du lieu.)
(Comme aux précédents concerts de cette année, et comme au déjeuner à Sassy des "Amis du septembre musical", la place à côté de moi est restée vide. Il est néanmoins vivement question que le déjeuner de l'an prochain ait lieu dans le cadre de notre manoir favori, un jour à préciser ; j'espère que la jeune classe concernée pourra se libérer pour m'aider à accueillir nos hôtes ce jour-là également, en plus du dimanche des "Journées du Patrimoine", et à leur faire, comme il convient, les honneurs du lieu.)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 3 Octobre 2016
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Anecdotes
rédigé le Lundi 3 Octobre 2016
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Anecdotes
Au courrier aujourd'hui, une écriture désormais tremblotante mais que je reconnais sans peine :Comme promis, ma mère, que j'en remercie, nous relate la suite de ses mémoires :Comme on peut le constater, ma mère se souvient très bien d'anecdotes de son enfance ou même de celle de sa propre mère (comme "le tricycle du curé"). Elle prétend toutefois ne pas se rappeler les thèmes qu'elle pourrait encore aborder à notre intention.
Voici donc quelques pistes que je lui suggère (liste non limitative) :
- l'accident d'automobile de Papa, lorsqu'il était troufion ; tes prétendants ; "une plante attrayante et pimpante" (ou quelque chose comme ça) ; le père RIGAUD ; ses parents ;
- ton mariage ; vos premiers logements ;
- le bal de Saint-Cyr et "Paris-Match" ; plus généralement, quelques souvenirs à propos des meilleurs copains de promo de Paps (Jean de SAINT-GERMAIN, les GARRIC, VINCHON le 1er mort pour la France) ;
- souvenirs de Bon-Papa : l'aération du pantalon ; le béret basque ; les mâts Totem ; l'attrait des chevilles de Mamie de Tarbes ;
- tes souvenirs d'Angleterre : un fameux match de rugby ; Pamela & Co ; Buster ;
- souvenirs de Tunisie : le logeur rentre-dedans ; TUMBA Fofana mon collègue ; les anciens élèves du lycée, notamment DJIDANNE ; "dis, Maman, c'est comme ça qu'on est quand on est vieux ?" ; les caisses de champagne "pour rejoindre Papa en Indochine" ; moi dans la lessiveuse ; LACOUR et "Comment gérer sa fortune" sous la guitoune ; la visite de "Mamie de Saint-Sul" ; une nuit dans le bled ;
- souvenirs de Saint-Céré : le baptême de la Querçinoise, la Cancette, la directrice du lycée, le facteur et LURCAT ; la meilleure élève ; la guerre d'Algérie de Papa ;
- les vacances à Campan et les prêches de Tonton René ; le "Je me dévouerai donc" rituel de "Mamie de Tarbes" au moment du dessert ;
- souvenirs de Dakar : le mobilier du logement des "Mamelles", en particulier la glacière qui empestait l'humidité ; "Et gratte, gratte sur ta mandoline, mon petit BLANDINO !" ; mon attaque au Point E ; Betty coiffeuse ; la visite de MALRAUX ; l'orque épaulard ; le slip de l'Ambassadeur ; Sachadistelifou ; "Let us visit Africa !" à Bathurst et une certaine plaque d'immatriculation ; les joues de Seydou NOUROU TALL (orthographe ?) ; mon admission à Van Vo ; "Let us go to la mère DELAGE !" ; le "grand prix d'honneur pour un excellent élève de 6ème" ; DIALLO Vénus ; le "Où il est, le trou ?" du président TSIRANANA ;
- le bac à Cotonou ;
- souvenirs du lycée Paul Langevin de Suresnes : le père GIOT ("votre fils a un sens aigu de la justice, Madame") ; le prof de dessin proxénète ; PELANNE et la statue étrusque ; le proviseur et sa recommandation de m'inscrire à Louis-le-Grand ; mai 68 pour toi ;
- souvenirs du lycée Claude Bernard de Paris : "les reliefs sucrés et salés" du protal ; son successeur surnommé "demi-sel" ; ton ami VAN BROEK (orthographe ?) ; Michel FIELD, les enfants de Sacha DISTEL, les chapeaux extravagants de Graziella MOLINARO (future Mme MINC) et quelques autres de tes élèves ;
- ta rencontre avec Denis GERLL ;
- la fête de vos "20 ans C.F.A." ;
- souvenirs d'Hyères : le "coqqq" ; les tropéziennes ; etc...
Tu vois, ce ne sont pas les idées qui manquent. On attend tous de te lire encore et encore !
Voici donc quelques pistes que je lui suggère (liste non limitative) :
- l'accident d'automobile de Papa, lorsqu'il était troufion ; tes prétendants ; "une plante attrayante et pimpante" (ou quelque chose comme ça) ; le père RIGAUD ; ses parents ;
- ton mariage ; vos premiers logements ;
- le bal de Saint-Cyr et "Paris-Match" ; plus généralement, quelques souvenirs à propos des meilleurs copains de promo de Paps (Jean de SAINT-GERMAIN, les GARRIC, VINCHON le 1er mort pour la France) ;
- souvenirs de Bon-Papa : l'aération du pantalon ; le béret basque ; les mâts Totem ; l'attrait des chevilles de Mamie de Tarbes ;
- tes souvenirs d'Angleterre : un fameux match de rugby ; Pamela & Co ; Buster ;
- souvenirs de Tunisie : le logeur rentre-dedans ; TUMBA Fofana mon collègue ; les anciens élèves du lycée, notamment DJIDANNE ; "dis, Maman, c'est comme ça qu'on est quand on est vieux ?" ; les caisses de champagne "pour rejoindre Papa en Indochine" ; moi dans la lessiveuse ; LACOUR et "Comment gérer sa fortune" sous la guitoune ; la visite de "Mamie de Saint-Sul" ; une nuit dans le bled ;
- souvenirs de Saint-Céré : le baptême de la Querçinoise, la Cancette, la directrice du lycée, le facteur et LURCAT ; la meilleure élève ; la guerre d'Algérie de Papa ;
- les vacances à Campan et les prêches de Tonton René ; le "Je me dévouerai donc" rituel de "Mamie de Tarbes" au moment du dessert ;
- souvenirs de Dakar : le mobilier du logement des "Mamelles", en particulier la glacière qui empestait l'humidité ; "Et gratte, gratte sur ta mandoline, mon petit BLANDINO !" ; mon attaque au Point E ; Betty coiffeuse ; la visite de MALRAUX ; l'orque épaulard ; le slip de l'Ambassadeur ; Sachadistelifou ; "Let us visit Africa !" à Bathurst et une certaine plaque d'immatriculation ; les joues de Seydou NOUROU TALL (orthographe ?) ; mon admission à Van Vo ; "Let us go to la mère DELAGE !" ; le "grand prix d'honneur pour un excellent élève de 6ème" ; DIALLO Vénus ; le "Où il est, le trou ?" du président TSIRANANA ;
- le bac à Cotonou ;
- souvenirs du lycée Paul Langevin de Suresnes : le père GIOT ("votre fils a un sens aigu de la justice, Madame") ; le prof de dessin proxénète ; PELANNE et la statue étrusque ; le proviseur et sa recommandation de m'inscrire à Louis-le-Grand ; mai 68 pour toi ;
- souvenirs du lycée Claude Bernard de Paris : "les reliefs sucrés et salés" du protal ; son successeur surnommé "demi-sel" ; ton ami VAN BROEK (orthographe ?) ; Michel FIELD, les enfants de Sacha DISTEL, les chapeaux extravagants de Graziella MOLINARO (future Mme MINC) et quelques autres de tes élèves ;
- ta rencontre avec Denis GERLL ;
- la fête de vos "20 ans C.F.A." ;
- souvenirs d'Hyères : le "coqqq" ; les tropéziennes ; etc...
Tu vois, ce ne sont pas les idées qui manquent. On attend tous de te lire encore et encore !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 8 Octobre 2016
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales
rédigé le Samedi 8 Octobre 2016
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales
S'il est une qualité de ma mère que personne ne peut lui contester, c'est d'avoir proclamé, avant le reste de l'humanité, que j'étais un petit génie.
Elle raconte ici les conditions de mon entrée en classe de 6ème, au lycée Van Vollenhoven de Dakar (c'était en 1961 et non en 1962), et les raisons de mes "deux ans d'avance" dont elle était si fière :"A de C" signifie aide-de-camp. Et je n'étais pas élève en 7ème de l'école primaire du Plateau mais de "Kléber".
"L'indépendance dans l'interdépendance", toute une époque, celle de ma prime jeunesse... SENGHOR parlait, lui, si mes souvenirs sont bons, du "rendez-vous du donner et du recevoir".
Et pourquoi cette mention à la fin, "source de nombreux désagréments" ? Tu en as trop dit ou pas assez, Bou-Maman !
Elle raconte ici les conditions de mon entrée en classe de 6ème, au lycée Van Vollenhoven de Dakar (c'était en 1961 et non en 1962), et les raisons de mes "deux ans d'avance" dont elle était si fière :"A de C" signifie aide-de-camp. Et je n'étais pas élève en 7ème de l'école primaire du Plateau mais de "Kléber".
"L'indépendance dans l'interdépendance", toute une époque, celle de ma prime jeunesse... SENGHOR parlait, lui, si mes souvenirs sont bons, du "rendez-vous du donner et du recevoir".
Et pourquoi cette mention à la fin, "source de nombreux désagréments" ? Tu en as trop dit ou pas assez, Bou-Maman !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 3 Novembre 2016
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Pouvoirs publics, élus locaux - Références culturelles
rédigé le Jeudi 3 Novembre 2016
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Pouvoirs publics, élus locaux - Références culturelles
A la "librairie le passage" d'Alençon, je me suis offert quatre bouquins. Celui que je vais lire en premier a été écrit par un de mes anciens élèves à l'E.N.A., un garçon que j'ai toujours trouvé très sympathique, y compris lorsqu'il était directeur du Trésor, ce en quoi il tranchait selon moi sur la galerie de tous ceux que j'ai connus dans ce rôle depuis 41 ans (déjà...).
Donc Jean-Pierre JOUYET - c'est de lui qu'il s'agit - a trouvé le moyen, alors qu'il est le principal collaborateur de son ami le président de la République, de nous pondre 228 pages sur le Régent et sur Fouché, entre autres, sous le titre "Ils ont fait la Révolution sans le savoir" et le bizarre sous-titre "Le libertinage contre la Terreur".
Tout à l'heure, en attendant mon hôte pour déjeuner, j'ai parcouru la première dizaine de pages. Et je n'ai pas été emballé. Pis, je me demande si ces types qui ont de tels jobs n'auraient pas une vraie case en moins au ciboulot : au lieu de lutter contre le chômage, le clown casqué se répand maladivement face à des journalistes trop heureux d'épingler un tel cloporte nombriliste à leur tableau de chasse ; et l'autre zigoto, il cherche quoi, au fait, avec cette prose ? Ils ont donc tant de mal à "habiter la fonction", comme on dit dans les gazettes ? C'est vraiment si dur ou quoi ? Question d'autant plus pertinente, me semble-t-il, qu'ils devraient bientôt, tous deux, disposer de beaucoup de loisirs pour se livrer à leurs écritures favorites. (Bienvenue dans le club !)
Donc Jean-Pierre JOUYET - c'est de lui qu'il s'agit - a trouvé le moyen, alors qu'il est le principal collaborateur de son ami le président de la République, de nous pondre 228 pages sur le Régent et sur Fouché, entre autres, sous le titre "Ils ont fait la Révolution sans le savoir" et le bizarre sous-titre "Le libertinage contre la Terreur".
Tout à l'heure, en attendant mon hôte pour déjeuner, j'ai parcouru la première dizaine de pages. Et je n'ai pas été emballé. Pis, je me demande si ces types qui ont de tels jobs n'auraient pas une vraie case en moins au ciboulot : au lieu de lutter contre le chômage, le clown casqué se répand maladivement face à des journalistes trop heureux d'épingler un tel cloporte nombriliste à leur tableau de chasse ; et l'autre zigoto, il cherche quoi, au fait, avec cette prose ? Ils ont donc tant de mal à "habiter la fonction", comme on dit dans les gazettes ? C'est vraiment si dur ou quoi ? Question d'autant plus pertinente, me semble-t-il, qu'ils devraient bientôt, tous deux, disposer de beaucoup de loisirs pour se livrer à leurs écritures favorites. (Bienvenue dans le club !)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 6 Novembre 2016
Vie des associations - Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales
rédigé le Dimanche 6 Novembre 2016
Vie des associations - Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 9 Novembre 2016
Vie du site - Entretien du site - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pour l'étude de diagnostic - Histoire des bâtiments de la Chaslerie - Généalogie et sagas familiales - Transmission du patrimoine - Anecdotes - Histoire de la Chaslerie
rédigé le Mercredi 9 Novembre 2016
Vie du site - Entretien du site - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pour l'étude de diagnostic - Histoire des bâtiments de la Chaslerie - Généalogie et sagas familiales - Transmission du patrimoine - Anecdotes - Histoire de la Chaslerie
Je trouve plaisant de constater que, plusieurs années avoir été mis en ligne, certains messages de notre site favori continuent à vivre, je veux dire par là qu'ils continuent à ramener dans leurs filets des informations inédites complémentaires.
Ainsi, hier soir, sous la forme du commentaire d'un message datant d'il y a 6 ans et demi. Message qui, rétrospectivement, m'apparaît suffisamment bien rédigé et documenté pour que je n'y trouve guère à reprendre. Tout au plus devrais-je aujourd'hui ajouter que mes espoirs relatifs à l'intérêt pour l'un de mes fils à poursuivre mon œuvre de restauration de notre manoir favori paraissent désormais à ajouter au compte, qui s'allonge vite, de mes plus amères désillusions.
Ainsi, hier soir, sous la forme du commentaire d'un message datant d'il y a 6 ans et demi. Message qui, rétrospectivement, m'apparaît suffisamment bien rédigé et documenté pour que je n'y trouve guère à reprendre. Tout au plus devrais-je aujourd'hui ajouter que mes espoirs relatifs à l'intérêt pour l'un de mes fils à poursuivre mon œuvre de restauration de notre manoir favori paraissent désormais à ajouter au compte, qui s'allonge vite, de mes plus amères désillusions.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 21 Novembre 2016
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Pouvoirs publics, élus locaux
rédigé le Lundi 21 Novembre 2016
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Pouvoirs publics, élus locaux
(début de citation)
De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : lundi 21 novembre 2016 05:04
À : SOETEMONT Vincent
Objet : Situation personnelle.
Monsieur,
Le 8 août dernier, je vous ai écrit que j'étais "effaré de n'avoir toujours pas perçu le moindre signe tangible de vie de la part de l'administration à propos de mon dossier". A ce jour en effet, je demeure "en instance d'affectation" depuis 18 ans, 1 mois et 20 jours. Le même 8 août dernier, je vous ai transmis la copie de ma lettre du 1er août 2016 à la directrice générale du Trésor.
Dans un courriel d'attente, vous m'avez répondu que vous reviendriez vers moi après avoir échangé avec ma direction d'origine, la direction du Trésor, et rien n'est venu.
Le 8 septembre dernier, je vous ai écrit pour vous demander qui est précisément mon supérieur hiérarchique.
A part un courriel d'attente, vous n'avez pas levé le voile, me laissant dans un complet brouillard à ce sujet.
Or, par lettre du 21 septembre dernier, la directrice générale du Trésor m'a écrit qu'elle avait lu ma lettre du 1er août 2016 "avec intérêt", sans autre commentaire alors que je lui avais rappelé que, dans le cadre d'un dossier où plusieurs personnes avaient bénéficié d'une amnistie dissimulée en dépit des pertes considérables que leur incurie avait causées à l'Etat, j'étais toujours, pour ma part, en situation de proscription.
Dans cette même lettre du 21 septembre dernier, la même Odile RENAUD-BASSO affirmait que ma "gestion administrative" relève de vos services où, ajoutait-elle d'un même élan, je bénéficie d'un "accompagnement de qualité".
Je vous pose donc la question : de qui le ministère des finances se moque-t-il lorsqu'il tolère passivement qu'un de ses agents soit maintenu dans un état aussi intolérable qu'une "instance d'affectation" de près de vingt ans alors que ce même ministère a favorisé activement une situation d'amnistie au bénéfice d'un certain nombre d'autres de ses agents, au mieux incompétents notoires ?
Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'expression de ma considération distinguée.
Pierre-Paul FOURCADE
(fin de citation)
De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : lundi 21 novembre 2016 05:04
À : SOETEMONT Vincent
Objet : Situation personnelle.
Monsieur,
Le 8 août dernier, je vous ai écrit que j'étais "effaré de n'avoir toujours pas perçu le moindre signe tangible de vie de la part de l'administration à propos de mon dossier". A ce jour en effet, je demeure "en instance d'affectation" depuis 18 ans, 1 mois et 20 jours. Le même 8 août dernier, je vous ai transmis la copie de ma lettre du 1er août 2016 à la directrice générale du Trésor.
Dans un courriel d'attente, vous m'avez répondu que vous reviendriez vers moi après avoir échangé avec ma direction d'origine, la direction du Trésor, et rien n'est venu.
Le 8 septembre dernier, je vous ai écrit pour vous demander qui est précisément mon supérieur hiérarchique.
A part un courriel d'attente, vous n'avez pas levé le voile, me laissant dans un complet brouillard à ce sujet.
Or, par lettre du 21 septembre dernier, la directrice générale du Trésor m'a écrit qu'elle avait lu ma lettre du 1er août 2016 "avec intérêt", sans autre commentaire alors que je lui avais rappelé que, dans le cadre d'un dossier où plusieurs personnes avaient bénéficié d'une amnistie dissimulée en dépit des pertes considérables que leur incurie avait causées à l'Etat, j'étais toujours, pour ma part, en situation de proscription.
Dans cette même lettre du 21 septembre dernier, la même Odile RENAUD-BASSO affirmait que ma "gestion administrative" relève de vos services où, ajoutait-elle d'un même élan, je bénéficie d'un "accompagnement de qualité".
Je vous pose donc la question : de qui le ministère des finances se moque-t-il lorsqu'il tolère passivement qu'un de ses agents soit maintenu dans un état aussi intolérable qu'une "instance d'affectation" de près de vingt ans alors que ce même ministère a favorisé activement une situation d'amnistie au bénéfice d'un certain nombre d'autres de ses agents, au mieux incompétents notoires ?
Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'expression de ma considération distinguée.
Pierre-Paul FOURCADE
(fin de citation)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 19 Décembre 2016
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Pouvoirs publics, élus locaux
rédigé le Lundi 19 Décembre 2016
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Pouvoirs publics, élus locaux
J'interroge un ami juriste sur la jugement rendu aujourd'hui par la Cour de Justice de la République à l'encontre de Christine LAGARDE. Il me répond : "Je suis outré ! Ce n'est pas du droit, c'est de la politique. Visiblement le témoignage de Bezard a pesé lourd."
Eh bien moi qui connais BEZARD (qui fut mon officier traitant lors de ma présidence d'une structure de défaisance) et qui n'en pense pas beaucoup de bien tant il m'est alors apparu faux et dangereux, je suis satisfait que, pour une fois, la réputation d'une Ministre dont le Juge nous assure qu'elle a fait preuve de négligence (et probablement, à mon avis, d'une complaisance coupable due à de le flagornerie) soit entâchée.
Pour autant, il ne m'échappe pas que ce jugement - d'ailleurs bancal (condamnation sans peine) - soulève, en tout état de cause, un sérieux problème de séparation des pouvoirs. Je serais donc étonné qu'on en restât là.
Eh bien moi qui connais BEZARD (qui fut mon officier traitant lors de ma présidence d'une structure de défaisance) et qui n'en pense pas beaucoup de bien tant il m'est alors apparu faux et dangereux, je suis satisfait que, pour une fois, la réputation d'une Ministre dont le Juge nous assure qu'elle a fait preuve de négligence (et probablement, à mon avis, d'une complaisance coupable due à de le flagornerie) soit entâchée.
Pour autant, il ne m'échappe pas que ce jugement - d'ailleurs bancal (condamnation sans peine) - soulève, en tout état de cause, un sérieux problème de séparation des pouvoirs. Je serais donc étonné qu'on en restât là.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 5 Janvier 2017
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Pouvoirs publics, élus locaux - Références culturelles
rédigé le Jeudi 5 Janvier 2017
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Pouvoirs publics, élus locaux - Références culturelles
Je viens de lire, avec intérêt, "Nous les avons tant aimés ou La chanson d'une génération" de Jean-Pierre JOUYET, paru en 2010 chez Robert LAFFONT.Je m'étais lancé dans cette lecture car j'ai sollicité un rendez-vous auprès du secrétaire général de l'Elysée afin d'évoquer ma situation personnelle avant de mettre dans les tuyaux le courrier que je mûris à l'intention du premier président de la Cour des comptes.
L'ouvrage m'a permis, en filigrane, de comprendre l'état d'esprit du personnage aux diverses périodes où j'ai été amené à le fréquenter :
- d'abord, lorsqu'il était élève de l'E.N.A., dans la fameuse "promotion Voltaire" à qui j'essayais d'enseigner quelques rudiments de "techniques quantitatives" ; j'avais d'emblée remarqué ce garçon que je trouvais très sympathique mais j'avais surtout été frappé par la difficulté pour ce littéraire pur d'entraver quoi que ce soit à mon charabia sur les diagrammes P.E.R.T., par exemple ; à l'évidence, pour lui, la réponse à une question simple, du type "Combien font 2 et 2 ?", fait débat dans lequel il est toujours prêt à s'engager ; d'où ma grande surprise - je m'en souviens comme si c'était hier - lorsque j'ai appris qu'il avait été admis à l'inspection des finances ;
- deuxième époque, lorsque j'étais chef du bureau du mouvement des fonds, à la direction du Trésor, et lui, jeune chef du bureau des synthèses à la direction générale des impôts ; l'occasion était une réunion de travail au Conseil d'Etat où nous devions présenter et défendre la rédaction des services du ministère sur un projet de loi ramasse-tout ("portant diverses dispositions d'ordre économique et financier") face à un Conseiller d'Etat connu pour être féroce et intraitable (sauf pour le chef du bureau du logement puisque ce pourfendeur de l'"existentialisme juridique", ancien député O.A.S., était toujours élu local), M. de LACOSTE-LAREYMONDIE ; j'avais été frappé par la façon dont mon ancien élève avait réussi à embobiner ce vieux réac et très brillant juriste, qui opposait à tout bout de champ SARTRE et Jeanne d'ARC, et à lui faire gober des rédactions pourtant qualifiées par le même, en début de réunion, de "Brésiliens du Bois de Boulogne" ;
- 3ème épisode, lorsque Jean-Pierre était le dircab de Roger FAUROUX à l'Industrie ; j'étais allé le voir je ne sais plus pourquoi et il m'avait reçu très gentiment bien que flanqué - cela m'avait paru bizarre - d'un de ses collaborateurs de l'époque que j'avais côtoyé antérieurement, jeune ingénieur des Ponts qui a ensuite pantouflé chez Edouard STERN avant de créer sa start-up ;
- 4ème époque, lorsqu'il était directeur du Trésor, en 2000 de mémoire, déjà pour évoquer ma situation personnelle ; il m'avait alors proposé le job de ministre plénipotentiaire, conseiller financier auprès de l'O.C.D.E., et j'avais décliné, n'ayant aucune considération pour ce genre d'organisme que je trouve ectoplasmique (le regretté Francis MAYER, alors D.G. de la C.D.C., m'avait dit que j'avais eu tort mais, à ma décharge, j'avais été tellement abasourdi par la façon dont j'avais été traité lors de mon mandat précédent que j'étais encore K.O. debout). A la même époque, le patron de Cap-Gemini, Paul HERMELIN avec qui j'avais quelques souvenirs communs (par exemple, il était venu avant 81, dans mon 2 pièces H.L.M., me vanter le P.S. alors qu'il était encore élève à l'E.N.A.), m'avait offert de rejoindre son groupe, proposition sincère à laquelle je n'avais pas davantage donné suite. Puis Serge WEINBERG, pour le groupe Pinault, avait eu une première conversation avec moi à propos de la présidence d'une filiale bancaire à problèmes mais le dossier avait avorté de son fait (il avait alors décidé, quasi simultanément, de vendre cette banquette). Or le bouquin dont je viens de terminer la lecture évoque la très grande proximité de JPG avec PH et sa très haute estime pour FABIUS dont WEINBERG était le chef de cabinet en 81. Donc je peux imaginer que, derrière ces deux offres "privées", JPJ était à la manœuvre (et qu'il ne manquerait pas de me le rappeler si, par extraordinaire, il acceptait de me recevoir de nouveau un de ces jours).
Trêve de considérations personnelles, le bouquin en question est d'un ton volontiers primesautier, l'auteur étant manifestement doué pour le bonheur, et, bien que cette prose ne soit pas toujours facile à lire pour qui n'a pas l'honneur et l'avantage de faire partie du sérail (et même pour moi qui l'ai à tout le moins tangenté), comporte des vues d'ensemble de haute volée et des portraits percutants, comme celui-ci :Ecrire ceci dès 2010, fallait le faire !
L'ouvrage m'a permis, en filigrane, de comprendre l'état d'esprit du personnage aux diverses périodes où j'ai été amené à le fréquenter :
- d'abord, lorsqu'il était élève de l'E.N.A., dans la fameuse "promotion Voltaire" à qui j'essayais d'enseigner quelques rudiments de "techniques quantitatives" ; j'avais d'emblée remarqué ce garçon que je trouvais très sympathique mais j'avais surtout été frappé par la difficulté pour ce littéraire pur d'entraver quoi que ce soit à mon charabia sur les diagrammes P.E.R.T., par exemple ; à l'évidence, pour lui, la réponse à une question simple, du type "Combien font 2 et 2 ?", fait débat dans lequel il est toujours prêt à s'engager ; d'où ma grande surprise - je m'en souviens comme si c'était hier - lorsque j'ai appris qu'il avait été admis à l'inspection des finances ;
- deuxième époque, lorsque j'étais chef du bureau du mouvement des fonds, à la direction du Trésor, et lui, jeune chef du bureau des synthèses à la direction générale des impôts ; l'occasion était une réunion de travail au Conseil d'Etat où nous devions présenter et défendre la rédaction des services du ministère sur un projet de loi ramasse-tout ("portant diverses dispositions d'ordre économique et financier") face à un Conseiller d'Etat connu pour être féroce et intraitable (sauf pour le chef du bureau du logement puisque ce pourfendeur de l'"existentialisme juridique", ancien député O.A.S., était toujours élu local), M. de LACOSTE-LAREYMONDIE ; j'avais été frappé par la façon dont mon ancien élève avait réussi à embobiner ce vieux réac et très brillant juriste, qui opposait à tout bout de champ SARTRE et Jeanne d'ARC, et à lui faire gober des rédactions pourtant qualifiées par le même, en début de réunion, de "Brésiliens du Bois de Boulogne" ;
- 3ème épisode, lorsque Jean-Pierre était le dircab de Roger FAUROUX à l'Industrie ; j'étais allé le voir je ne sais plus pourquoi et il m'avait reçu très gentiment bien que flanqué - cela m'avait paru bizarre - d'un de ses collaborateurs de l'époque que j'avais côtoyé antérieurement, jeune ingénieur des Ponts qui a ensuite pantouflé chez Edouard STERN avant de créer sa start-up ;
- 4ème époque, lorsqu'il était directeur du Trésor, en 2000 de mémoire, déjà pour évoquer ma situation personnelle ; il m'avait alors proposé le job de ministre plénipotentiaire, conseiller financier auprès de l'O.C.D.E., et j'avais décliné, n'ayant aucune considération pour ce genre d'organisme que je trouve ectoplasmique (le regretté Francis MAYER, alors D.G. de la C.D.C., m'avait dit que j'avais eu tort mais, à ma décharge, j'avais été tellement abasourdi par la façon dont j'avais été traité lors de mon mandat précédent que j'étais encore K.O. debout). A la même époque, le patron de Cap-Gemini, Paul HERMELIN avec qui j'avais quelques souvenirs communs (par exemple, il était venu avant 81, dans mon 2 pièces H.L.M., me vanter le P.S. alors qu'il était encore élève à l'E.N.A.), m'avait offert de rejoindre son groupe, proposition sincère à laquelle je n'avais pas davantage donné suite. Puis Serge WEINBERG, pour le groupe Pinault, avait eu une première conversation avec moi à propos de la présidence d'une filiale bancaire à problèmes mais le dossier avait avorté de son fait (il avait alors décidé, quasi simultanément, de vendre cette banquette). Or le bouquin dont je viens de terminer la lecture évoque la très grande proximité de JPG avec PH et sa très haute estime pour FABIUS dont WEINBERG était le chef de cabinet en 81. Donc je peux imaginer que, derrière ces deux offres "privées", JPJ était à la manœuvre (et qu'il ne manquerait pas de me le rappeler si, par extraordinaire, il acceptait de me recevoir de nouveau un de ces jours).
Trêve de considérations personnelles, le bouquin en question est d'un ton volontiers primesautier, l'auteur étant manifestement doué pour le bonheur, et, bien que cette prose ne soit pas toujours facile à lire pour qui n'a pas l'honneur et l'avantage de faire partie du sérail (et même pour moi qui l'ai à tout le moins tangenté), comporte des vues d'ensemble de haute volée et des portraits percutants, comme celui-ci :Ecrire ceci dès 2010, fallait le faire !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 1er Février 2017
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales
rédigé le Mercredi 1er Février 2017
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales
Depuis quelques jours avant Noël, j'essayais d'obtenir un rendez-vous avec Jean-Pierre JOUYET afin d'évoquer ma situation personnelle.
Il m'a fait rappeler aujourd'hui par une de ses proches collaboratrices à qui j'ai expliqué que j'attendais toujours qu'une mission me soit confiée à Bercy.
Il ne sera peut-être pas nécessaire que je saisisse le premier président de la Cour des Comptes.
Il m'a fait rappeler aujourd'hui par une de ses proches collaboratrices à qui j'ai expliqué que j'attendais toujours qu'une mission me soit confiée à Bercy.
Il ne sera peut-être pas nécessaire que je saisisse le premier président de la Cour des Comptes.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 24 Février 2017
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales
rédigé le Vendredi 24 Février 2017
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales
"Il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer." (air connu)
(début de citation)
De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : vendredi 24 février 2017 13:17
À : thierry.aulagnon@cabinets.finances.gouv.fr
Cc : adrienne.brotons@elysee.fr
Objet : Situation personnelle
Cher Thierry,
Sur les conseils de Jean-Pierre JOUYET, je me permets de reprendre contact avec toi.
Je désirerais très vivement qu'une mission me soit attribuée.
Amicalement,
Pierre-Paul FOURCADE
06 12 96 01 34
De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : vendredi 24 février 2017 13:02
À : BROTONS Adrienne
Objet : RE: Situation personnelle
Merci beaucoup pour ce conseil que je vais suivre bien volontiers.
Bien à vous,
PPF
De : BROTONS Adrienne
Envoyé : vendredi 24 février 2017 12:54
À : 'Pierre-Paul Fourcade'
Objet : RE: Situation personnelle
Bonjour monsieur,
Monsieur Jouyet vous recommande de prendre contact avec Thierry Aulagnon, directeur de cabinet de Michel Sapin de sa part.
Bien à vous,
Adrienne Brotons.
De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : vendredi 24 février 2017 09:58
À : adrienne.brotons@elysee.fr
Objet : Situation personnelle
Madame,
Dans le prolongement de mes efforts pour joindre M. JOUYET depuis décembre dernier et de notre conversation téléphonique du 1er février 2017, je me permets de vous exprimer de nouveau mon ardent désir que me soit enfin attribuée une mission, si possible au Trésor ou dans sa "mouvance".
Il va sans dire que je demeure à votre disposition pour répondre à vos questions éventuelles en vue de faciliter cette évolution tant attendue par moi.
Je vous prie d'agréer, Madame, l'expression de mes salutations distinguées.
Pierre-Paul FOURCADE
(fin de citation)
(début de citation)
De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : vendredi 24 février 2017 13:17
À : thierry.aulagnon@cabinets.finances.gouv.fr
Cc : adrienne.brotons@elysee.fr
Objet : Situation personnelle
Cher Thierry,
Sur les conseils de Jean-Pierre JOUYET, je me permets de reprendre contact avec toi.
Je désirerais très vivement qu'une mission me soit attribuée.
Amicalement,
Pierre-Paul FOURCADE
06 12 96 01 34
De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : vendredi 24 février 2017 13:02
À : BROTONS Adrienne
Objet : RE: Situation personnelle
Merci beaucoup pour ce conseil que je vais suivre bien volontiers.
Bien à vous,
PPF
De : BROTONS Adrienne
Envoyé : vendredi 24 février 2017 12:54
À : 'Pierre-Paul Fourcade'
Objet : RE: Situation personnelle
Bonjour monsieur,
Monsieur Jouyet vous recommande de prendre contact avec Thierry Aulagnon, directeur de cabinet de Michel Sapin de sa part.
Bien à vous,
Adrienne Brotons.
De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : vendredi 24 février 2017 09:58
À : adrienne.brotons@elysee.fr
Objet : Situation personnelle
Madame,
Dans le prolongement de mes efforts pour joindre M. JOUYET depuis décembre dernier et de notre conversation téléphonique du 1er février 2017, je me permets de vous exprimer de nouveau mon ardent désir que me soit enfin attribuée une mission, si possible au Trésor ou dans sa "mouvance".
Il va sans dire que je demeure à votre disposition pour répondre à vos questions éventuelles en vue de faciliter cette évolution tant attendue par moi.
Je vous prie d'agréer, Madame, l'expression de mes salutations distinguées.
Pierre-Paul FOURCADE
(fin de citation)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 7 Mars 2017
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales
rédigé le Mardi 7 Mars 2017
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales
A propos de la mission que je réclame à Bercy, Thierry AULAGNON, directeur de cabinet de Michel SAPIN, m'a téléphoné ce matin. Il me renvoie vers la nouvelle secrétaire générale du ministère des finances, Mme BRAUN-LEMAIRE, dont il m'apprend au passage l'existence. Son ton était froid mais je l'ai remercié d'avoir pris la peine de m'appeler.
P.S. : Je viens d'expédier à Thierry AULAGON le courriel suivant :
(début de citation)
Envoyé : mercredi 8 mars 2017 00:53
À : thierry.aulagnon@cabinets.finances.gouv.fr
Cc : adrienne.brotons@elysee.fr
Cher Thierry,
Merci d'avoir pris la peine de me téléphoner hier.
Je suivrai ton conseil en contactant la nouvelle secrétaire générale du ministère dont tu as bien voulu me donner le nom.
Etant ballotté sans fin d'un interlocuteur à un autre depuis autant d'années (18 ans, 5 mois et 10 jours à ce stade, pour être précis), j'ose espérer que se posera un jour la question des raisons d'un traitement aussi stupéfiant à l'encontre d'un fonctionnaire du ministère qui n'a jamais fait que défendre les deniers publics mis à mal dans le cadre d'un montage bâclé à tant d'égards ô combien mémorables.
Amicalement,
PPF
(fin de citation)
Par exemple, il me revient que l'épouse de cet éminent collègue a joué un rôle actif et très bien rémunéré de conseil dans le montage des structures de défaisance dont il s'agit ici.
P.S. : Je viens d'expédier à Thierry AULAGON le courriel suivant :
(début de citation)
Envoyé : mercredi 8 mars 2017 00:53
À : thierry.aulagnon@cabinets.finances.gouv.fr
Cc : adrienne.brotons@elysee.fr
Cher Thierry,
Merci d'avoir pris la peine de me téléphoner hier.
Je suivrai ton conseil en contactant la nouvelle secrétaire générale du ministère dont tu as bien voulu me donner le nom.
Etant ballotté sans fin d'un interlocuteur à un autre depuis autant d'années (18 ans, 5 mois et 10 jours à ce stade, pour être précis), j'ose espérer que se posera un jour la question des raisons d'un traitement aussi stupéfiant à l'encontre d'un fonctionnaire du ministère qui n'a jamais fait que défendre les deniers publics mis à mal dans le cadre d'un montage bâclé à tant d'égards ô combien mémorables.
Amicalement,
PPF
(fin de citation)
Par exemple, il me revient que l'épouse de cet éminent collègue a joué un rôle actif et très bien rémunéré de conseil dans le montage des structures de défaisance dont il s'agit ici.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 28 Mars 2017
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Généalogie et sagas familiales - Pouvoirs publics, élus locaux - Références culturelles
rédigé le Mardi 28 Mars 2017
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Généalogie et sagas familiales - Pouvoirs publics, élus locaux - Références culturelles
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 29 Mars 2017
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Généalogie et sagas familiales - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Références culturelles
rédigé le Mercredi 29 Mars 2017
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Généalogie et sagas familiales - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Références culturelles
Le 26 septembre 2000, soit quasiment deux ans après mes révocations de la présidence de la seconde structure de défaisance du Comptoir des entrepreneurs, j'ai adressé l'ouvrage de 318 pages dont voici la page de couverture...... à trois personnages qui avaient eu, ès-qualités, à connaître de mon dossier, à savoir M. Laurent FABIUS, alors ministre des finances, M. Jean-Claude TRICHET, alors gouverneur de la Banque de France, et M. Pierre JOXE, alors Premier Président de la Cour des comptes.
Voici, à titre d'exemple, la page 58 de ce document (avec sa coquille de bas de page),...... document dont le résumé est connu par ailleurs.
Voici, à titre d'exemple, la page 58 de ce document (avec sa coquille de bas de page),...... document dont le résumé est connu par ailleurs.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 30 Mars 2017
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Pouvoirs publics, élus locaux
rédigé le Jeudi 30 Mars 2017
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Pouvoirs publics, élus locaux
1 - Courriels récents :
(début de citation)
De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : mercredi 29 mars 2017 15:11
À : thierry.aulagnon@cabinets.finances.gouv.fr
Cc : adrienne.brotons@elysee.fr
Objet : SIGNALE : Situation personnelle
Cher Thierry,
La lettre vient de partir.
Te souviens-tu que, il y a un peu plus de 22 ans, tu m'avais "donné l'ordre d'accepter" la présidence de la seconde structure de défaisance du Comptoir des entrepreneurs ?
Je t'avais pourtant signalé que le président des AGF avait déjà commencé ses manœuvres pour s'assurer le contrôle de la structure. Dans le contexte de la démission de mon prédécesseur, Pierre-Yves COSSE, intervenue le 15 février précédent, je t'avais aussi fait part des inquiétudes que j'éprouvais pour le succès de ma mission.
Or, depuis la fin de cette mission-ci, je n'obtiens plus de Bercy que des fins de non-recevoir à mes demandes de nouvelle mission.
Dernièrement, j'ai même récupéré une enveloppe recommandée au timbre du secrétariat général du ministère, libellée au nom de notre collègue FORMAGNE et contenant le formulaire que je suis, paraît-il, tenu de remplir immédiatement en vue de ne pas risquer de rupture de trésorerie à l'occasion d'une "mise à la retraite d'office" qui m'est ainsi annoncée, à l'exclusion de toute réponse utile à mes demandes antérieures, pour le 2 octobre prochain.
Pourtant, dans la lettre que m'a envoyée Odile RENAUD-BASSO le 21 septembre dernier, la directrice générale du Trésor affirmait savoir (sic) que mon dossier faisait l'objet d'"un accompagnement de qualité" au secrétariat général.
Je te fais confiance pour remettre enfin le dossier d'aplomb et t'assure, cela va sans dire, de mon assistance empressée pour y parvenir.
Amicalement,
PPF
De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : mardi 28 mars 2017 20:19
À : thierry.aulagnon@cabinets.finances.gouv.fr
Cc : adrienne.brotons@elysee.fr
Objet : RE: Situation personnelle
Cher Thierry,
Je te prie de trouver ci-joint le texte de la lettre que je posterai demain à l'intention de Mme Isabelle BRAUN-LEMAIRE.
Amicalement,
PPF
(fin de citation)
2 - Courrier du jour à M. Alain JUPPE, Ancien Premier Ministre :
(début de citation)
De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : mercredi 29 mars 2017 15:11
À : thierry.aulagnon@cabinets.finances.gouv.fr
Cc : adrienne.brotons@elysee.fr
Objet : SIGNALE : Situation personnelle
Cher Thierry,
La lettre vient de partir.
Te souviens-tu que, il y a un peu plus de 22 ans, tu m'avais "donné l'ordre d'accepter" la présidence de la seconde structure de défaisance du Comptoir des entrepreneurs ?
Je t'avais pourtant signalé que le président des AGF avait déjà commencé ses manœuvres pour s'assurer le contrôle de la structure. Dans le contexte de la démission de mon prédécesseur, Pierre-Yves COSSE, intervenue le 15 février précédent, je t'avais aussi fait part des inquiétudes que j'éprouvais pour le succès de ma mission.
Or, depuis la fin de cette mission-ci, je n'obtiens plus de Bercy que des fins de non-recevoir à mes demandes de nouvelle mission.
Dernièrement, j'ai même récupéré une enveloppe recommandée au timbre du secrétariat général du ministère, libellée au nom de notre collègue FORMAGNE et contenant le formulaire que je suis, paraît-il, tenu de remplir immédiatement en vue de ne pas risquer de rupture de trésorerie à l'occasion d'une "mise à la retraite d'office" qui m'est ainsi annoncée, à l'exclusion de toute réponse utile à mes demandes antérieures, pour le 2 octobre prochain.
Pourtant, dans la lettre que m'a envoyée Odile RENAUD-BASSO le 21 septembre dernier, la directrice générale du Trésor affirmait savoir (sic) que mon dossier faisait l'objet d'"un accompagnement de qualité" au secrétariat général.
Je te fais confiance pour remettre enfin le dossier d'aplomb et t'assure, cela va sans dire, de mon assistance empressée pour y parvenir.
Amicalement,
PPF
De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : mardi 28 mars 2017 20:19
À : thierry.aulagnon@cabinets.finances.gouv.fr
Cc : adrienne.brotons@elysee.fr
Objet : RE: Situation personnelle
Cher Thierry,
Je te prie de trouver ci-joint le texte de la lettre que je posterai demain à l'intention de Mme Isabelle BRAUN-LEMAIRE.
Amicalement,
PPF
(fin de citation)
2 - Courrier du jour à M. Alain JUPPE, Ancien Premier Ministre :
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 2 Avril 2017
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Plomberie-chauffage - Ferronnerie - Menuiserie - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Logis - Aile "de la belle-mère" - Charretterie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Généalogie et sagas familiales - Transmission du patrimoine - Références culturelles
rédigé le Dimanche 2 Avril 2017
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Maçonnerie-carrelage - Plomberie-chauffage - Ferronnerie - Menuiserie - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Logis - Aile "de la belle-mère" - Charretterie - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Généalogie et sagas familiales - Transmission du patrimoine - Références culturelles
Mon aîné, de passage à la Chaslerie pour y rechercher les affaires de bébé (la naissance est prévue dans trois semaines environ) est en train de lire deux bouquins sur la famille "de l'écu rouge", dont un consacré à leurs châteaux. Il termine celui qui traite des mœurs de leur maison et me le passera avant de repartir tout à l'heure.
Nous discutons du programme de travaux sur notre manoir favori et de son financement :
- il marque son opposition à l'idée que j'installe ma bibliothèque-bureau dans l'ancienne cuisine du bâtiment Nord et affirme que, pour son épouse comme pour lui, il est important de disposer d'une grande cuisine ensoleillée ;
- mon idée de redonner à la salle-à-manger du logis son statut d'ancienne cuisine, avec puits au milieu de la pièce, ne lui convient pas pour autant ; il veut conserver là une grande salle-à-manger pour pouvoir recevoir ses amis ;
- il me recommande d'installer ma bibliothèque au rez-de-chaussée d'une des tours du logis ; j'objecte que, même si elle a l'avantage de donner sur la cour, me permettant ainsi de gardienner selon mon souhait, la tour Sud-Ouest est trop sombre pour moi qui y verrais plutôt une salle de télé ;
- il retoque mon idée de commencer par restaurer la moitié Nord du logis et m'informe que, s'il se lance dans le projet, c'est tout le logis qu'il voudra restaurer d'un coup ; dont acte !
- je rappelle que la restauration du logis présuppose le règlement de la question du chauffage ; il se dit prêt à financer l'intervention du bureau d'études qui nous conseillera le meilleur combustible ; il confirme son accord pour que la chaufferie soit installée dans la partie Ouest de la charretterie ;
- il se déclare désireux de restaurer l'allée historique dès que possible et souhaite qu'y soient plantés des arbres de haut jet ; je signale que mon festival nous oblige à attendre les beaux jours de 2018 et qu'accessoirement, il ne serait pas farfelu de solliciter un nouvel accord de la D.R.A.C. avec subvention à la clé, ce qu'il comprend ;
- enfin il souligne qu'il ne prendra pas de gros engagement financier avant la fin de sa période d'essai dans ladite maison "de l'écu rouge". OK, fiston, tous nos vœux de succès t'accompagnent !
Bref, nous avançons.
P.S. (du 2 avril 2017, après le déjeuner) : Nous avons évoqué la restauration des douves. Elle pourra intervenir lorsque j'aurai recruté un maçon fiable.
Au total, je comprends que je peux, dans l'immédiat et, pour l'essentiel, aux frais dudit fiston :
- lancer la demande de devis pour la restauration des lucarnes de l'"aile de la belle-mère", mon aîné étant désireux que ces travaux soient commencés sans tarder ;
- lancer l'actualisation du dossier de restauration de l'allée historique (devis, autorisation, subvention) ;
- lancer l'étude sur un chauffage central ; étudier comment chauffer la cage d'escalier du logis grâce à un système plaqué sur ses murs ;
- demander au géomètre d'individualiser sur le cadastre le logis, les douves et l'allée historique ;
- engager des travaux autour des plates-bandes de la cour (à savoir un dallage le long des murs et des limites de fer, sur le modèle proposé par Roland FORNARI, sur les autres côtés) ;
- faire en sorte que l'APIJOMM mette à sa disposition Benjamin pendant une partie de l'année ; mon fiston m'encourage au passage à tenir bon face à l'administration du travail et à confirmer notre souhait que l'APIJOMM recrute de nouveaux jeunes en "emplois d'avenir".
Nous discutons du programme de travaux sur notre manoir favori et de son financement :
- il marque son opposition à l'idée que j'installe ma bibliothèque-bureau dans l'ancienne cuisine du bâtiment Nord et affirme que, pour son épouse comme pour lui, il est important de disposer d'une grande cuisine ensoleillée ;
- mon idée de redonner à la salle-à-manger du logis son statut d'ancienne cuisine, avec puits au milieu de la pièce, ne lui convient pas pour autant ; il veut conserver là une grande salle-à-manger pour pouvoir recevoir ses amis ;
- il me recommande d'installer ma bibliothèque au rez-de-chaussée d'une des tours du logis ; j'objecte que, même si elle a l'avantage de donner sur la cour, me permettant ainsi de gardienner selon mon souhait, la tour Sud-Ouest est trop sombre pour moi qui y verrais plutôt une salle de télé ;
- il retoque mon idée de commencer par restaurer la moitié Nord du logis et m'informe que, s'il se lance dans le projet, c'est tout le logis qu'il voudra restaurer d'un coup ; dont acte !
- je rappelle que la restauration du logis présuppose le règlement de la question du chauffage ; il se dit prêt à financer l'intervention du bureau d'études qui nous conseillera le meilleur combustible ; il confirme son accord pour que la chaufferie soit installée dans la partie Ouest de la charretterie ;
- il se déclare désireux de restaurer l'allée historique dès que possible et souhaite qu'y soient plantés des arbres de haut jet ; je signale que mon festival nous oblige à attendre les beaux jours de 2018 et qu'accessoirement, il ne serait pas farfelu de solliciter un nouvel accord de la D.R.A.C. avec subvention à la clé, ce qu'il comprend ;
- enfin il souligne qu'il ne prendra pas de gros engagement financier avant la fin de sa période d'essai dans ladite maison "de l'écu rouge". OK, fiston, tous nos vœux de succès t'accompagnent !
Bref, nous avançons.
P.S. (du 2 avril 2017, après le déjeuner) : Nous avons évoqué la restauration des douves. Elle pourra intervenir lorsque j'aurai recruté un maçon fiable.
Au total, je comprends que je peux, dans l'immédiat et, pour l'essentiel, aux frais dudit fiston :
- lancer la demande de devis pour la restauration des lucarnes de l'"aile de la belle-mère", mon aîné étant désireux que ces travaux soient commencés sans tarder ;
- lancer l'actualisation du dossier de restauration de l'allée historique (devis, autorisation, subvention) ;
- lancer l'étude sur un chauffage central ; étudier comment chauffer la cage d'escalier du logis grâce à un système plaqué sur ses murs ;
- demander au géomètre d'individualiser sur le cadastre le logis, les douves et l'allée historique ;
- engager des travaux autour des plates-bandes de la cour (à savoir un dallage le long des murs et des limites de fer, sur le modèle proposé par Roland FORNARI, sur les autres côtés) ;
- faire en sorte que l'APIJOMM mette à sa disposition Benjamin pendant une partie de l'année ; mon fiston m'encourage au passage à tenir bon face à l'administration du travail et à confirmer notre souhait que l'APIJOMM recrute de nouveaux jeunes en "emplois d'avenir".
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 29 Avril 2017
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Généalogie et sagas familiales - Anecdotes
rédigé le Samedi 29 Avril 2017
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Généalogie et sagas familiales - Anecdotes
Ma cousine Claudine RAVETON (son père était un cousin issu de germains de mon père) vient de me téléphoner pour me dire qu'elle tenait à ma disposition un ensemble de documents sur mes ancêtres LABATU-GUERIN, y compris le dossier de demande de béatification de ma tante Jacqueline FOURCADE, morte "en odeur de sainteté" en 1936 à l'âge de 11 ans.
Claudine a retrouvé ces archives dans des dossiers soigneusement tenus par son père, Jacques FOURNOL, décédé dernièrement.
J'étais au courant de l'existence de ces documents que mon cousin François BONEU (cousin germain de mon père) m'avait affirmé avoir communiqués à Jacques après les avoir lui-même retrouvés dans un tiroir secret d'une armoire de sa chambre d'enfant à Tarbes. J'ai également le vague souvenir qu'alors que j'avais moins de 10 ans, ma grand-mère m'avait fait lire le compte rendu de la mort de ma tante, "au milieu d'une pluie de pétales de roses".
A dire vrai, ce genre de lecture n'avait pas produit l'effet escompté sur le mécréant en herbe que ma grand-mère avait détecté.
Dans ses mémoires publiés il y a deux ou trois ans afin de servir à l'édification de ses propres petits-enfants, Jacques avait avoué avoir été, enfant, amoureux de ma tante, ce qui pourrait expliquer qu'il n'ait pas souhaité me confier ces reliques.
J'ai un peu discuté avec Claudine. Je lui ai appris la naissance de Paul chez mon aîné ; elle s'est déclarée tès sensible à ce choix du prénom et m'a demandé des nouvelles de ma mère. De son côté, elle m'a parlé de son petit-fils Hugo, qu'elle héberge depuis le décès d'Antoine ; ce jeune homme est scolarisé au lycée Louis-le-Gand et, du fait de l'expatriation de ses parents à Singapour, il parle chinois. J'ai appris à Claudine qu'il en allait de même chez d'autres petits cousins, des petits-neveux de François qui vivent avec leurs parents à Hong-Kong...... où leur père, à qui j'avais recommandé, il y a une quinzaine d'années, de s'inscrire à un master en finances à "London Business School", un conseil qu'il suivit, et qui est l'un de mes "amis Facebook", occupe une très brillante situation ("managing director" chez "Morgan Stanley").
Bien entendu, dès que Claudine m'aura transmis ces souvenirs, je les scannerai pour les mettre en ligne sur notre site favori.
P.S. (du 19 août 2019) : La vérité m'oblige à avouer que je n'ai toujours pas mis en ligne les documents relatifs à ma tante. Ces bondieuseries me tombent toujours des mains, je n'ai donc pas changé (au moins à ce sujet) depuis mes dix ans.
Claudine a retrouvé ces archives dans des dossiers soigneusement tenus par son père, Jacques FOURNOL, décédé dernièrement.
J'étais au courant de l'existence de ces documents que mon cousin François BONEU (cousin germain de mon père) m'avait affirmé avoir communiqués à Jacques après les avoir lui-même retrouvés dans un tiroir secret d'une armoire de sa chambre d'enfant à Tarbes. J'ai également le vague souvenir qu'alors que j'avais moins de 10 ans, ma grand-mère m'avait fait lire le compte rendu de la mort de ma tante, "au milieu d'une pluie de pétales de roses".
A dire vrai, ce genre de lecture n'avait pas produit l'effet escompté sur le mécréant en herbe que ma grand-mère avait détecté.
Dans ses mémoires publiés il y a deux ou trois ans afin de servir à l'édification de ses propres petits-enfants, Jacques avait avoué avoir été, enfant, amoureux de ma tante, ce qui pourrait expliquer qu'il n'ait pas souhaité me confier ces reliques.
J'ai un peu discuté avec Claudine. Je lui ai appris la naissance de Paul chez mon aîné ; elle s'est déclarée tès sensible à ce choix du prénom et m'a demandé des nouvelles de ma mère. De son côté, elle m'a parlé de son petit-fils Hugo, qu'elle héberge depuis le décès d'Antoine ; ce jeune homme est scolarisé au lycée Louis-le-Gand et, du fait de l'expatriation de ses parents à Singapour, il parle chinois. J'ai appris à Claudine qu'il en allait de même chez d'autres petits cousins, des petits-neveux de François qui vivent avec leurs parents à Hong-Kong...... où leur père, à qui j'avais recommandé, il y a une quinzaine d'années, de s'inscrire à un master en finances à "London Business School", un conseil qu'il suivit, et qui est l'un de mes "amis Facebook", occupe une très brillante situation ("managing director" chez "Morgan Stanley").
Bien entendu, dès que Claudine m'aura transmis ces souvenirs, je les scannerai pour les mettre en ligne sur notre site favori.
P.S. (du 19 août 2019) : La vérité m'oblige à avouer que je n'ai toujours pas mis en ligne les documents relatifs à ma tante. Ces bondieuseries me tombent toujours des mains, je n'ai donc pas changé (au moins à ce sujet) depuis mes dix ans.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 29 Mai 2017
Journal du chantier - Administration - Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Pouvoirs publics, élus locaux
rédigé le Lundi 29 Mai 2017
Journal du chantier - Administration - Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Pouvoirs publics, élus locaux
La lecture du numéro du "Monde" daté de ce jour m'apprend que trois au moins des directeurs de cabinet des nouveaux ministres ne me sont pas inconnus.
Je les cite dans l'ordre protocolaire de leurs patrons. Il s'agit de Michèle PAPPALARDO (au ministère de la transition écologique et solidaire), Gilles de MARGERIE (au ministère des solidarités et de la santé) et Marc SCHWARTZ (au ministère de la culture).
Deux d'entre eux avaient cherché à me seconder lors d'une vie antérieure tandis que j'ai été, pendant 25 mois, le collaborateur du père du troisième.
Je vais leur adresser de ce pas (soyons "en marche" pour une fois) un mot de félicitations et d'encouragement !
Quant au directeur de cabinet du Premier Ministre, Benoît RIBADEAU-DUMAS, je ne crois pas avoir déjà rencontré ce double camarade mais l'un de ses parents était mon collègue au Trésor et prédécesseur à l'agence financière de l'ambassade de France à Londres (juste avant Elisabeth GUIGOU).
Ce monde est si petit...
Je les cite dans l'ordre protocolaire de leurs patrons. Il s'agit de Michèle PAPPALARDO (au ministère de la transition écologique et solidaire), Gilles de MARGERIE (au ministère des solidarités et de la santé) et Marc SCHWARTZ (au ministère de la culture).
Deux d'entre eux avaient cherché à me seconder lors d'une vie antérieure tandis que j'ai été, pendant 25 mois, le collaborateur du père du troisième.
Je vais leur adresser de ce pas (soyons "en marche" pour une fois) un mot de félicitations et d'encouragement !
Quant au directeur de cabinet du Premier Ministre, Benoît RIBADEAU-DUMAS, je ne crois pas avoir déjà rencontré ce double camarade mais l'un de ses parents était mon collègue au Trésor et prédécesseur à l'agence financière de l'ambassade de France à Londres (juste avant Elisabeth GUIGOU).
Ce monde est si petit...
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 9 Juin 2017
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Références culturelles
rédigé le Vendredi 9 Juin 2017
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Mon dernier "ami Facebook" en date est mon camarade de promotion à l'X Bernard LIROLA. Nous avions déjà, en 1968-1969, été condisciples à Louis-le-Grand, dans la terminale de Denis GERLL. Bernard vit depuis longtemps aux Etats-Unis et a fait toute sa carrière à Wall Street où je l'avais retrouvé vers 1980, alors que j'étais le rapporteur général de la "commission PEROUSE" ("sur la réforme des méthodes de cotation, d'échange et de conservation des valeurs mobilières"). Je l'avais croisé de nouveau en 2009, quelques mois avant le décès de notre vieux maître, alors que nous étions réunis pour fêter celui-ci.