Florilèges

Sir Duncan Campbell of Glenorchy, 1545-1631. Highland improver
Dated 1601

The Campbells of Glenorchy were important Highland landowners whose principal residence was at Balloch (now Taymouth Castle), near Loch Tay. Known to his followers by the sinister nickname, 'Black Duncan of the Cowl', Campbell was an enthusiastic planter and improver of his estates.

Mary, Queen of Scots, 1542-1587.
Reigned 1542-1567
About 1610-1615

This image of Mary Queen of Scots dates from more than twenty years after her execution in 1587. The artist has based Mary's features on a miniature painted during her imprisonment in England. This type of portrait is associated with the efforts of Mary's son, James VI and I, to rehabilitate his mother's reputation. She wears a crucifix and a rosary hangs from her belt, decorated with a scene showing Susanna and the Elders. This Old Testament story tells how Susanna was condemned to death on false accusations but was found innocent and saved.

The Execution of Mary, Queen of Scots, 1542-1587
about 1613

Mary, Queen of Scots, was executed on 8 February 1587 at Fotheringhay Castle, in Northamptonshire. After nineteen years in captivity, she was found guilty of plotting the assassination of her cousin, Queen Elizabeth I. This watercolour was made for a Dutch magistrate who compiled an album of historical prints and drawings in 1613. Not surprisingly, the costume and architecture look very Dutch, but the picture does reflect eye witness accounts of the event. Mary's clothes were burnt to prevent supporters keeping them as relics, and this scene is shown on the far left.

N.D.L.R. : Contemporains de la Chaslerie.
There’s only one week left to see “Fifty Years of Collecting Islamic Art.” From ceramics, glass and metalwork to carpets and contemporary art, this exhibition celebrates the half-century anniversary of the Department of Islamic Art and its collections.

Tile | second half 16th century | Syria

"Rama Receives Sugriva and Jambavat, the Monkey and Bear Kings", Folio from a Ramayana

Object Name : Folio from an illustrated manuscript
Date : ca. 1605
Geography : India
Culture : Islamic
Medium : Ink, opaque watercolor, and gold on paper
Dimensions : Painting: H. 10 7/8 in. (27.6 cm) W. 7 1/2 in. (19.1 cm) Page: H. 10 7/8 in. (27.6 cm) W. 7 1/2 in. (19.1 cm) Mat: H. 19 1/4 in. (48.9 cm) W. 14 1/4 in. (36.2 cm)

N.D.L.R. : Contemporains de la Chaslerie.
Bonjour Pierre-Paul,

Une belle porte trouvée sur ce blog.

Porte d'entrée du manoir de Toulbodou.

Prenez le temps de lire l’histoire de notre chère administration fiscale.

Je trouve que cette porte siérait bien à la Chaslerie avec une copie du blason en façade.

Détail de la porte d'entrée du manoir de Toulbodou.

Bonne journée !

N.D.L.R. : Superbe porte en effet. Je la garde en mémoire.

Je pense néanmoins qu'à la Chaslerie, il n'y aurait pas lieu de sculpter l'écu dans le bois de la porte puisqu'il est déjà représenté dans le granit de son tympan.

Autre remarque : la porte d'entrée du logis de la Chaslerie a été agrandie au XVIIIème siècle. Jusqu'alors, le tympan devait être beaucoup plus bas, comme il l'est resté dans quelques manoirs voisins, comme la Bouëtte, Loraille ou la Servière. Il en résulte que les proportions actuelles de cette porte compliquent sans doute le dessin du châssis à prévoir.

Quant à la saga fiscale, j'y suis en plein. Car cela fait partie des plaisirs annexes d'un tel chantier.
Puisque nous en sommes à parler portes, je voudrais vous montrer les premières propositions de M. BRESSON et vous faire part des réactions qu'elles m'inspirent.

1 - Porte d'entrée du logis ; il s'agit de sa porte principale, sur cour :

Pour cette porte, M. BRESSON a voulu s'inspirer du modèle actuel qui a dû être mis là par le Tonton que l'on sait ; en tout cas, cette porte n'est pas assez épaisse à mon goût. Le modèle de M. BRESSON ne me convainc pas ; je trouve que son dessin accentue l'impression déjà produite par la hauteur de la porte ; il ne me semble pas certain que l'imposte ne doive pas être corrigée pour être davantage en phase avec le reste de la structure du châssis en question.

2 - Porte du logis donnant sur la terrasse :

Mme CHEVILLON, à qui j'ai montré ce dessin lors de notre réunion de vendredi à Alençon, a regretté qu'on remplace la porte actuelle qui est très ancienne ; je lui ai expliqué que son bas était pourri, de sorte que j'y avais fait placer une rustine. Elle s'est ensuite demandé s'il était judicieux de doter cette porte de chevilles de bois taillées en pointe ; or, tel est le cas sur les nouvelles portes, approuvées par l'administration des affaires culturelles, de Notre-Dame-sur-l'Eau à Domfront, et l'on sait les liens historiques très forts entre cette église et la famille LEDIN, propriétaire de la Chaslerie avant la Révolution.

Mais je préférerais des clous de fer qui orneraient opportunément, selon moi, cette porte, tristounette sans ce décor.

3 - Porte sur cour du bâtiment Nord :

Sans avoir d'avis définitif, je m'interroge sur le montage en parquet de Versailles du bas de la porte ; n'est-il pas un peu trop précieux, compte tenu du caractère bricolé et du statut relativement secondaire de ce bâtiment ?

Les petits bois des fenêtres voisines, approuvés par un A.C.M.H. travaillant mal, sont trop épais. On n'est pas obligés de reproduire cette erreur sur la porte. Je propose de réduire de 20 % peut-être la largeur de ces petits bois sur cette porte.

4 - Les boiseries de la chambre mortuaire :

Leurs moulures commandent celles des portes voisines, y compris la porte d'entrée sur cour du bâtiment Nord.

Je suis incapable de formuler un avis sur ces moulures. Sur ce sujet, j'aurais tendance à faire confiance à l'homme de l'art qu'est M. BRESSON. En tout cas, son projet de boiseries pour cette pièce (dont je ne dévoile ici que 50 %) me plaît beaucoup dans ses grandes lignes ; il me semble très bien conçu.

5 - Porte intérieure de séparation entre l'entrée du bâtiment Nord et le dégagement donnant accès à la chambre mortuaire :

On retrouve sur ce dessin le type de vitrail des fenêtres de la Bézirie (c'est-à-dire chez Guy HEDOUIN).

Je me demande si, ici, il ne serait pas plus judicieux de conserver une simplicité analogue à celle de la partie vitrée de la porte voisine d'entrée du bâtiment Nord sur cour.

Comme on le constate, je ressens la nécessité de m'interroger sur certaines propositions de M. BRESSON. Mais je ne suis pas assez calé ni ne me sens assez de goût pour trancher seul sur tout.

C'est pourquoi, plus j'y pense, plus je me dis qu'une étude diagnostic confiée à un architecte de qualité serait opportune.

Resterait à se mettre d'accord sur le contenu et le coût d'une telle étude et sur la nécessité qu'elle tienne compte de mes urgences (à savoir la livraison rapide de la porte du logis sur terrasse et, dans le bâtiment sur cour, de la porte sur cour, des portes intérieures et des boiseries de la chambre mortuaire).
Le 29 janvier 1595, Shakespeare présentait « Roméo et Juliette » pour la première fois. Alors courez voir Niels Schneider et Ana Girardot à la Porte Saint-Martin, tous les deux parfaits. En attendant, revivez cette immense histoire d’amour sur Les Manufactures !

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
The Metropolitan Museum of Art, New York
rédigé le Vendredi 31 Janvier 2014
Florilège de faits ou d'œuvres contemporains de la Chaslerie - Désultoirement vôtre ! - Références culturelles - Florilèges
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This is the final weekend to see “Masterpieces of Tibetan and Nepalese Art: Recent Acquisitions,” closing Sunday. This exhibition features fourteen masterworks dating from the beginning of the eleventh century through the seventeenth century.

Chakrasamvara and Vajravarahi | 1575–1600 | Nepal

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie. Tout un programme, également...
(Sir) Peter Paul Rubens (Flemish, 1577 - 1640)
Marchesa Brigida Spinola Doria, 1606
Oil on canvas
152 x 99 cm
National Gallery of Art, Washington DC

On his long stay in Italy (1600–09) Rubens worked in Genoa, a prosperous seaport. He painted this proud Genoese aristocrat in 1606. It is 1 of number of female portraits Rubens made in Genoa, a city renowned as a paradise of women. The Genoese republic, governed by a wealthy oligarchy, granted women unusual respect and constitutional freedoms. The marchesa's image conveys both lively humanity and dignity and commands real physical presence. Her gaze, as well as the angle of the architecture, indicates the painting was meant to be seen from below. The painting was much larger before the canvas was cut down in the 19 century. The marchesa's pose is far from static; it is activated by light, by the diagonal flow of a red curtain, and by Rubens' brushwork. The marchesa's satin dress is built up of layers of translucent glazes and highlighted with thick, freely painted strokes.
Rubens combined this bold style—which he learned from his study of Venetian artists like Veronese, Tintoretto, Titian with the tradition for detailed, carefully observed surfaces from his native Flanders.

N.D.L.R. : Contemporaine de la Chaslerie.
Michelangelo Merisi detto il Caravaggio, "I Bari", 1595-96 - Olio su tela, 91x128 cm, Kimbell Art Museum, Forth Worth -

Una delle composizioni di maggior successo di Caravaggio sin dalla sua creazione. L'opera, di evidente influenza veneta (già Bellori, biografo del Merisi e di altri artisti, ravvisava nel dipinto un esempio dei "primi tratti del pennello di Michele in quella schietta maniera di Giorgione"), pose le basi di un nuovo tipo di pittura di genere che divenne subito molto popolare e che i seguaci di Caravaggio adottarono in grande scala. La scena mostra due giocatori di carte intenti a truffare un giovane signorotto: l'ingenua vittima, rilassata, sta per giocare la sua carta senza essersi accorta dell'uomo che alla sue spalle avvisa il complice, pronto a scattare. A livello tematico, la raffigurazione si rifà al teatro e alla coeva commedia d'arte, e allo stesso tempo funge da monito morale nei confronti dell'osservatore. In primo piano, sulla sinistra, è collocato anche un gioco del "backgammon", cosicché il dipinto serve da monito non soltanto contro le carte, ma contro i pericoli del gioco in generale. (Luca)

Michelangelo Merisi detto il Caravaggio, "La Buona Ventura", 1595-96 - Olio su tela, 115x150 cm, Musei Capitolini, Roma -

Oggi questo dipinto di Caravaggio viene considerato quasi all'unanimità la prima versione del soggetto. Insieme ai Bari, anch'esso faceva parte della collezione Del Monte. La scena, rifacendosi alla commedia teatrale dell'epoca, mostra una giovane zingara che col pretesto di leggere la mano ad un giovane signorotto nel frattempo non esita a sfilargli l'anello dal dito, approfittando dell'infatuazione del ragazzo. Nel palazzo del Cardinal Del Monte l'opera venne esposta di fronte ai Bari, anche se non nacque per esserne il pendant. Così riuniti, insieme i due dipinti acquisirono una forte valenza simbolica. (Luca)

Michelangelo Merisi detto il Caravaggio, "Maddalena Penitente", 1595-96 - Olio su tela, 122,5 x 98,5 cm, Galleria Doria Pamphilj, Roma -

Un dipinto la cui origine è ancora molto discussa, dal momento che non esistono fonti certe che ne attestino la provenienza. Qui Caravaggio non rappresentò la Santa intenta ad espiare le proprie colpe (com'era consuetudine sin dal Rinascimento) ma fermò l'attimo della fase transitoria della sua conversione. Maddalena, seduta su di una sedia insolitamente bassa, si lascia totalmente andare, come si può notare dalle lacrime che scendono sul suo viso, totalmente sopraffatta dall'intensa esperienza spirituale. Ha già abbandonato i suoi classici attributi, ma indossa ancora la sua veste di broccato. Di primo impatto, comunque l'immagine potrebbe essere scambiata per una semplice scena di genere data la sua semplicità. Anche il punto di vista è abbastanza inusuale: è rialzato, quasi a volo di uccello. Della modella che impersonò Maddalena, Caravaggio se ne servì anche per il precedente o di poco successivo "Riposo durante la fuga in Egitto". (Luca)

Michelangelo Merisi detto il Caravaggio, "La Vocazione di San Matteo", 1599-1600 - Olio su tela, 322 x 340 cm, Cappella Contarelli, San Luigi dei Francesi, Roma -

I due quadri laterali della Cappella furono realizzati nell'arco di un anno, tra il Luglio del 1599 e quello del 1600. E' probabile che Caravaggio mise innanzitutto mano al Martirio, ma le difficoltà incontrate nella progettazione della sua prima opera di grande formato lo indussero a dedicarsi alla scena della Vocazione. Il pittore scelse di enfatizzare il momento del Vangelo in cui l'apostolo accoglie la chiamata di Cristo - mirabile il modo in cui Caravaggio traduce la composizione, assimilabile ad un rilievo antico. Levi (il nome con cui è introdotto Matteo nei Vangeli), il pubblicano dalla lunga barba, è raffigurato nella metà sinistra del dipinto seduto insieme ad altri suoi compagni, decisamente sorpreso della chiamata. Gesù, all'opposto, tende il braccio verso Levi ordinandogli di seguirlo. Ad oggi l'identificazione di Matteo rimane ancora controversa: alcuni sostengono sia effettivamente l'uomo dalla lunga barba o addirittura il capotavola chino a contare i soldi, avvolto nell'ombra. In ogni caso, la lettura convenzionale vede nel vecchio barbuto il personaggio di Levi. Bellissimo il modo in cui Caravaggio traspone il racconto, la scena sembra essere ambientata in una qualsiasi osteria della Roma di allora, con gli occupanti che potrebbero ricordare tranquillamente personaggi degni dei Bari o della Buona Ventura. Il significato dopotutto è chiaro: nell'oscurità di quel covo e delle persone che lo occupano, Cristo porta luce e spezza le tenebre. Il fascio che proviene da destra, una perfetta diagonale che cade direttamente sul futuro Matteo, è l'unica sorgente di luce del dipinto. Altri dettagli degni di nota sono Cristo (una sottile citazione dell'Adamo michelangiolesco della Cappella Sistina) e San Pietro (quest'ultimo aggiunto successivamente per bilanciare meglio la composizione): sono le uniche figure abbigliate secondo i costumi tradizionali - volutamente contrapposti a quelli secenteschi degli altri personaggi - dettaglio volto a rivendicare la sacralità e la misticità della scena.

Facendo naturalmente un sunto, spero di aver scritto una descrizione la più completa possibile di quella che per me è l'opera più bella in assoluto di Caravaggio (e scusate ancora per essermi dilungato)! (Luca)

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 18 Février 2014
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Menuiserie - Logis - Bâtiment Nord - Florilège de portes - Florilèges
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M. BRESSON m'a transmis hier soir ses nouveaux dessins et devis. Je l'en remercie. Je les ai communiqués à M. MAFFRE pour commentaires. Voici ce qui est ainsi envisagé :

- pour la délimitation du w.-c. sous l'escalier :

Je ne suis pas sûr que la cloison soit suffisamment épaisse pour supporter un lavabo ;

- pour la porte destinée à ménager un sas avec la porte donnant accès à la terrasse :

Il est en effet prévu que la porte d'accès à la terrasse soit restaurée et non remplacée ; comme elle ne comporte pas de dormant mais bute directement sur la pierre, il se pose un problème d'isolation thermique que ce sas doit régler ; s'agissant des ferronneries, je me demande si Roland FORNARI ne ferait pas mieux que ces produits industriels (j'aperçois une trace de moulage sur un gond) ;

- pour la porte sur cour du bâtiment Nord :

Il s'agit là non de deux projets distincts mais des deux faces de la même porte ;

- pour les boiseries de la chambre mortuaire :

La tête de lit.

Là, je me demande si la relative simplification des moulures ne justifierait pas une certaine réduction du devis ; je prie M. MAFFRE de me donner son avis à ce sujet. Par ailleurs, n'était-il pas prévu de modifier le panneau au-dessus de la porte vers le dégagement ?
Hendrick ter Brugghen
La Vocation de saint Matthieu, huile sur toile, 152 × 195 - 1620 (Musée des Beaux-Arts, Le Havre).

Hendrick ter Brugghen
Le Duo, huile sur toile, 106 × 82 - 1628 (Musée du Louvre, Paris)

Hendrick ter Brugghen
Le Concert, huile sur toile, 99,1 × 116,8 - 1626-1627 (ca.) (National Gallery, Londres)

N.D.L.R. : Presque contemporain de la Chaslerie.
Gian Lorenzo Bernini, "Busto di Scipione Borghese - I versione (particolare)", 1632 - Marmo di Carrara, grandezza al naturale, Galleria Borghese, Roma

Il ritratto dell'avido Scipione segnò il ritorno di Bernini alla scultura dopo qualche anno di inattività, essendo completamente assorbito dai lavori in San Pietro in Vaticano per conto di Papa Urbano VIII Barberini, grande amico del Cardinal Borghese.

Questo busto, nonostante la grandissima produzione ritrattistica dell'artista, rimane uno dei più grandi capolavori di questo genere di Gian Lorenzo: la soluzione compositiva e la scelta finale della posizione rendono Scipione più vivo che mai. Bernini decide di ritrarlo in un momento in cui il Cardinale si volge, sta per parlare; non a caso, per cogliere la spontaneità e l'essenza del soggetto da ritrarre, il grande scultore voleva che questo parlasse e si muovesse, senza stare in una posa vera e propria. Anche in quest'opera il virtuosismo di Bernini raggiunto tramite l'uso degli attrezzi è spettacolare: l'uso di raspe e scalpello, unito alla giusta levigatura e lucidatura permette all'artista di ottenere effetti mai raggiunti prima per rendere i vari tipi di incarnato- in moltissimi casi mai superati. Un'altra cosa degna di nota è sicuramente la lavorazione degli occhi, uno dei punti cruciali per l'efficacia del ritratto in generale.

Questo in particolare è la prima versione del busto: esiste una replica, pressoché identica, sempre alla Galleria Borghese. Bernini si trovò costretto a scolpire un altro ritratto (in tempo record, secondo il figlio Domenico in soli tre giorni, mentre per Filippo Baldinucci in quindici) a causa di un difetto del marmo comparso in corso d'opera, un cosiddetto "pelo", una fessurazione del marmo che rende il pezzo da lavorare molto fragile e decisamente antiestetico. Questo pelo, partendo dalla nuca del Cardinale, attraversa tutta la fronte rovinando così l'effetto finale del ritratto. Bernini in un primo momento decise di restaurare il pelo per cercare di salvare il busto, ma infine preferì scolpire una seconda versione per evitare di incappare nelle ire del committente, decisamente esigente.

In ogni caso, è nella prima versione - più rifinita - che possiamo cogliere tutta l'essenza dell'opera, un'esperienza unica per quanto riguarda la ritrattistica.

N.D.L.R. : Traduction automatique de ce texte, trouvée en ligne :

(début de citation)

Gian Lorenzo Bernini, « buste de Scipione Borghese-version (détail) », 1632-Carrare naturel en marbre, grandeur, Galleria Borghese, Rome le portrait de Scipion avare marquait le retour de la sculpture du Bernin après que quelques années d'inactivité, être complètement absorbé par les travaillent à St Peter au Vatican au nom du pape Urbain VIII Barberini, ami intime du Cardinal Borghèse.

Ce buste, en dépit de la production, le portrait de l'artiste de la grande demeure l'un des plus grands chefs-d'œuvre de ce genre de Gian Lorenzo : la composition et le choix final du poste faire Scipio plus vivant que jamais. Bernini décide à le représenter à la fois quand le Cardinal se transforme, sur le point de prendre la parole ; pas par hasard, pour capter la spontanéité et l'essence du sujet en peignant le grand sculpteur voulait cette parole et en mouvement, sans rester dans une installation réelle. Dans ce travail la virtuosité du Bernin, obtenue par l'utilisation d'outils est spectaculaire : l'utilisation de râpes et ciseau, combinée à l'adéquat de ponçage et de polissage permet à l'artiste à avoir jamais atteint avant les effets de faire diverses sortes de chair-dans bien des cas n'a jamais dépassés. Une autre chose de la note est sans aucun doute les yeux, l'un des points essentiels à l'efficacité de l'image en général.

C'est notamment la première version du buste : il y a une réplique, presque identique, toujours à la Galleria Borghese. Bernini a été obligé de se tailler un autre portrait (en un temps record, d'après son fils Domenico en seulement trois jours, tandis que pour Baldinucci en quinze ans) dû à un défaut du marbre est apparu au cours de la construction, une soi-disant "fourrure", un marbre qui rend la pièce très fragile et franchement inesthétique de fissuration. Ces cheveux, à partir de la nuque du Cardinal, traverse le front de ruiner l'effet final de l'image. Bernini dans un premier temps décidé de restaurer les cheveux pour tenter de sauver le buste, mais finalement choisi de se tailler une deuxième version, donc de ne pas se heurter à l'ire de l'orderer, très exigeant.

En tout cas, c'est dans la première version-plus fini que nous pouvons saisir l'essence de le œuvre, une expérience unique au sujet de l'art du portrait.

(fin de citation)

Presque contemporain de la Chaslerie.
Château de La Barge, XIIe-XVIe-XVIIIe s., “le château que bordait la Dore” de la romance de Chateaubriand, Courpière, Puy-de-Dôme, Auvergne
"Ma sœur, te souvient-il encore
Du château que bordait la Dore ?
(...)
Mon pays sera mes amours,
Toujours !"

Manoir de La Tour, près du hameau de Carque, commune de Saint-Pierre-Laval, Allier, Bourbonnais, région “Auvergne"

N.D.L.R. : Contemporains de la Chaslerie.

Mais il me semble que la citation exacte est plutôt la suivante :

Combien j'ai douce souvenance
Du joli lieu de ma naissance !
Ma sœur, qu'ils étaient beaux les jours
De France !
O mon pays, sois mes amours
Toujours !

Te souvient-il que notre mère,
Au foyer de notre chaumière,
Nous pressait sur son cœur joyeux,
Ma chère ?
Et nous baisions ses blancs cheveux
Tous deux.

Ma sœur, te souvient-il encore
Du château que baignait la Dore ;
Et de cette tant vieille tour
Du Maure,
Où l'airain sonnait le retour
Du jour ?

Te souvient-il du lac tranquille
Qu'effleurait l'hirondelle agile,
Du vent qui courbait le roseau
Mobile,
Et du soleil couchant sur l'eau,
Si beau ?

Oh ! qui me rendra mon Hélène,
Et ma montagne et le grand chêne ?
Leur souvenir fait tous les jours
Ma peine :
Mon pays sera mes amours
Toujours !
Frans Hals (Dutch, 1582/83–1666) | Merrymakers at Shrovetide | ca. 1616–17

The loud style of this early work by Hals suits its subject, which is Vastenavond (Shrovetide or Mardi Gras), a pre-Lenten carnival featuring bad food and worse behavior. Two characters from the comic stage, Peeckelhaering (Pickled Herring) and Hans Wurst (John Wiener?), cozy up to a young "lady" with a Dutch boy haircut and a bull neck. Hans's gesture, the deflated bagpipe, and other motifs comprise a chorus of sexual commentary. The picture looks surprisingly Flemish in its vivid coloring, loose brushwork, and crowded composition, which suggests that it may date from slightly after Hals's three months in Antwerp during 1616. In that mecca for Netherlandish artists he could have seen great works by Rubens and the early paintings of his own Flemish counterpart, Jacob Jordaens (1593–1678).

N.D.L.R. : Presque contemporain de la Chaslerie.