Florilèges

Michelangelo Merisi "Morte della Vergine" 1604,
olio su tela; 369 cm × 245 cm; Musée du Louvre, Parigi.

Opera dipinta da Caravaggio per la chiesa di Santa Maria della Scala. L’opera fu respinta e finì nelle collezioni del Duca di Mantova, in seguito passò al museo Louvre. Si tratta di uno dei massimi capolavori di Caravaggio. La Vergine, attorniata dagli apostoli piangenti, sotto un grande drappo rosso che da respiro teatrale al cupo e umile ambiente invaso dall’ombra è distesa su uno spoglio catafalco; il volto è bello, ma disfatto dall’alito della morte, la mano sinistra ricade abbandonata verso lo spettatore mentre la destra poggia sul ventre che appare gonfio. Probabilmente tutto ciò intendeva velare una simbologia: la Vergine ritratta giovane e non vecchia come era in realtà quando morì, è una figura simbolica della Chiesa; il ventre gonfio allude invece a Maria “piena di Grazia”, sempre gravida nella divina Grazia ovvero del corpo del Cristo. Accanto a lei gli apostoli, sopraffatti dal dolore, ma illuminati dalla sua luce, si dispongono in modo da formare, con il braccio della Vergine, una croce. Da notare il rifiuto dello sfarzo che caratterizza i circoli religiosi cari al Caravaggio, ma se questo era il significato della rappresentazione, non fu capito o non si volle capirlo. (Melissa)

N.D.L.R. : Contemporaine de la Chaslerie.
A Amsterdam, j'ai aimé :

- les volets des anciens entrepôts :

2 février 2014.

- les convexités de certaines portes extérieures :

2 février 2014.

- l'évocation d'un célèbre tableau :

2 février 2014.

2 février 2014.

- notre visite au Rijksmuseum où j'ai retrouvé ledit tabeau (la photo est très mauvaise mais elle montre que, dans ce musée au moins, le public savait tenir ses distances) :

3 février 2014, "La ronde de nuit" de Rembrandt.

- dans le même musée, divers objets plus ou moins contemporains de notre manoir favori :

3 février 2014.

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3 février 2014, désolé pour l'image.

3 février 2014, bizarres tatanes.

3 février 2014, j'aime bien ces bedons.

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3 février 2014, pour un prochain réveillon chez Michel BERA ?

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3 février 2014, tout un programme !


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3 février 2014, bizarres tatanes (bis).

3 février 2014, bizarres tatanes (ter).

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3 février 2014.

3 février 2014.

Et on s'arrêtera là pour cette fois-ci, en attendant que les jeunes classes me communiquent leurs photos.
Né en Crète en 1541, Doménikos Theotokopoulos, dit Le Greco, s'est établi à Tolède après avoir peint des icônes dans son pays et s'être formé en Italie. C'est dans cette ville du centre de l'Espagne qu'il est mort le 7 avril 1614. Deux grandes expositions sont prévues à Madrid et à Tolède, la ville où son art s’est épanoui.

"La Vue de Tolède sous l'orage" est généralement considérée comme l’un des premiers paysages en tant que sujet unique de peinture et non décor. La Vue de Toléde était pour Ernest Hemingway « le meilleur tableau du Musée [le Metropolitan Museum, New York] et Dieu sait s'il y en a des bons ! »

En 2014, l'Espagne célèbre Le Greco

Ce portrait peint par El Greco est communément appelé « autoportrait ». Il n’y a pourtant aucune preuve historique qui vérifie cette dénomination, si ce n’est une légende poétique…

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
La nuit passée : mon nouveau tableau préféré le plus beau du monde...
(Je ne trouve malheureusement aucune reproduction rendant compte de la qualité de l'oeuvre)
Rubens, La fuite de Loth.

N.D.L.R. : Curieux, ce tableau me dit quelque chose, mais quoi ?
Ah oui, j'ai retrouvé : contemporain de la Chaslerie, ou presque !
Tenjin Crossing the Ocean to China (Tōtō Tenjin)
Konoe Nobutada (Japanese, 1565–1614)

Period : Momoyama period (1573–1615)
Date : 1609
Culture : Japan
Medium : Hanging scroll; ink on paper
Dimensions : Image: 42 5/8 × 18 3/4 in. (108.3 × 47.6 cm)
Overall with mounting : 73 7/8 × 19 1/2 in. (187.6 × 49.5 cm)
Overall with knobs : 73 7/8 × 21 1/2 in. (187.6 × 54.6 cm)
Classification : Calligraphy

Calligraphy and Painting Table

Period : Ming dynasty (1368–1644)
Date : late 16th–early 17th century
Culture : China
Medium : Rosewood (huanghuali)
Dimensions : H. 31 1/2 in. (80 cm); W. 73 1/4 in. (186.1 cm); D. 29 7/8 in. (75.9 cm)
Classification : Furniture

Yokeback Armchair

Period : late Ming (1368–1644)–early Qing (1644–1911) dynasty
Date : 17th century
Culture : China
Medium : Rosewood (huanghuali
Dimensions : 48 x 23 x 18-3/4 in. (121.9 x 58.4 x 47.6 cm)
Classification : Furniture

N.D.L.R. : Contemporains de la Chaslerie. Quelle élégance, quels raffinements !
En vue d'illustrer mon dossier de candidature aux prix des "Vieilles Maisons Françaises", je suis en train de trier les photos du chantier de la Chaslerie que j'ai prises depuis qu'il y a 22 ans et demi, j'ai fait, avec Carole, l'acquisition de ce manoir.

Je conserve énormément de telles photos, et d'autres plus anciennes.

Afin de m'aider à faire le tri, je vais mettre en ligne les photos qui, à ce stade, me paraissent avoir le plus d'intérêt relatif. Les voyant ensuite sur écran (alors que, sauf pour les plus anciennes, je n'en détiens pas les tirages-papier), je pourrai progressivement élaguer.

Certaines de ces photos figurent déjà dans la photothèque de notre site favori. La plupart sont néanmoins inédites ici.

Mais, trêve de bavardage, au boulot ! Je vais scanner au fur et à mesure de la rédaction de ce message. Donc, amis visiteurs, ne soyez pas trop pressés. Et excusez le désordre plus ou moins net de ma mise en ligne ; on améliorera le classement petit à petit.

1 - Les photos les plus anciennes :

On termine cette première série par une photo, datant du milieu du siècle dernier, qui met en valeur l'apport incontestable du Tonton que l'on sait. Il est en effet juste de ne pas passer son intervention sous silence même si son usage abusif du ciment, son goût immodéré pour les fenêtres carrées et son sens regrettable du m'as-tu-vu ont provoqué des dégâts que, 50 ans plus tard, j'en suis encore à réparer :


2 - La Chaslerie en 1991, lorsque nous en avons fait l'acquisition :

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3 - La Chaslerie après les très vigoureux débroussaillages et les premiers terrassements de l'été 1991 :

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(A suivre.)
Nous allons poursuivre notre promenade au cours de ces 23 années de chantier.

Quant à la façon de procéder pour constituer le dossier destiné aux V.M.F., j'hésite entre deux présentations :
- soit chronologique, année après année ; mais, dans la mesure où, comme le dit ma famille, je ne termine jamais rien mais saute constamment d'un bâtiment ou d'un mur à l'autre, les tiers n'y comprendront rapidement plus rien ;
- soit par construction, en montrant chaque fois l'état avant travaux et l'état après ; on tombe alors sur un autre écueil puisqu'on perd la notion du temps nécessaire pour ces travaux.

Je vais donc faire un choix intermédiaire, combinant plus ou moins bien les partis précédents. Ma présentation sera ainsi chronologique, en rattachant chaque construction à l'année où, pour elle, le chantier a évolué de la façon la plus spectaculaire.

1 - En 1991, outre les terrassements déjà signalés, nous avons surtout travaillé sur la cave. Sur ce bâtiment, l'état avant travaux était, je le rappelle, le suivant...

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... et cet état est aujourd'hui :

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Entre temps, nous sommes passés par les étapes suivantes :

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... et, à l'intérieur du bâtiment dont la restauration demeure inachevée à ce jour, par :

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2 - En 1992, restauration du fournil du manoir.

Avant :

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Pendant :

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Et après :

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3 - En 1993, début de la dérestauration du bâtiment Nord qui se poursuit encore aujourd'hui, une seule chambrette chauffée ayant été livrée à ce jour.

Avant :

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Pendant :

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A ce stade :

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4 - Depuis 1993, restauration de la chapelle :

Avant :

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Pendant :

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Après :

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(A suivre)
Bien que l'exercice consistant à trier mes photos du chantier et à les retoucher quand je le peux soit très fastidieux, je dois en passer par là si je veux présenter une copie correcte aux V.M.F.

Donc courage, poursuivons !

En 1997, le dôme de la porte charretière a été restauré.

Avant :

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Pendant :

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Après :

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En 1997 également, le mur reliant le manoir à son fournil a retrouvé une nouvelle jeunesse.

Avant :

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Pendant :

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Après :

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(A suivre)
En 1998, début de la dérestauration de la ferme. A ce jour, l'ensemble du bâtiment demeure en chantier, les travaux y ayant été interrompus il y a deux ans.

Avant, avec une couverture en shingle fatigué et un appentis en parpaings :

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Pendant :

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Ici, il n'y aura pas d'après avant un moment, je le crains...

(A suivre)
A la Chaslerie comme à beaucoup d'endroits en France, 1999 restera dans les mémoires comme une année de grande tempête.

La meilleure illustration que je puisse en donner concerne une grange...

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... que j'avais restaurée à grands frais...

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... et où j'entreposais mes tracteurs et instruments de chantier...

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... non assurés !

Un autre exemple qui a marqué les esprits est relatif à la chapelle dont la couverture venait d'être restaurée :

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Mais je pourrais également citer, outre la ferme et le logis, le reste de l'ancien pressoir...

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... le fournil de la ferme...

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... la "maison de Toutou" (qui est une dépendance de la cave)...

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ou, de façon générale, les poiriers séculaires qui agrémentaient jusquà ce jour funeste l'arrivée sur la Chaslerie :

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A titre accessoire, l'année 1999 avait vu la restauration, après démontage complet, de l'escalier menant à mon bureau.

Avant :

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Pendant :

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Oublions vite cette année noire et poursuivons notre promenade dans le temps.

(A suivre)
De 1999 à 2004, j'ai traversé la période la plus sombre de mon existence. Le chantier a donc marqué le pas et j'ai pris très peu de photos.

Les choses ont redémarré en 2004-2005, grâce à une opération boursière réussie (on ne peut quand même pas perdre sa chemise à tous les coups, quoique...), avec la restauration de la couverture du logis et le rejointoiement de l'ensemble des parements extérieurs des bâtiments. Mais je crois qu'il ne me reste guère que les deux photos suivantes de cette période. Pour compenser, j'agrandis donc les images au maximum :

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Afin d'illustrer le redémarrage du chantier, le meilleur exemple est sans doute la réimplantation de dix épis de faîtage en 2006 :

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(A suivre)
Depuis 2006, le chantier s'est poursuivi à un rythme somme toute rapide, le recrutement de maçons comme salariés ayant permis, peu à peu, de donner un air beaucoup plus ordonné aux abords du manoir. Mais toujours jusqu'en 2013, la priorité a été mise de façon quasi-absolue sur les extérieurs. Il est vrai qu'il y avait fort à faire.

Prenons les exemples du muret de terrasse, restauré en 2007, ainsi que du mur entre la chapelle et le manoir, démonté puis remonté entièrement en 2008. Observez l'état de ces murs avant ces travaux...

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... et après :

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1 - Pour bien prendre conscience de ce que représentent de tels travaux, commençons par le muret de terrasse et plaçons-nous à proximité de la chapelle. Observons de cet endroit l'enchaînement des saisons :

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Pour mener à bien un tel chantier, il a fallu parfois réinventer un peu...

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... souvent, patauger dans la boue...

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... quelquefois, prendre un peu de hauteur...

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... mais aussi, acheter une carrière qui avait servi à bâtir le manoir il y a 4 siècles et la rouvrir pour se procurer des dalles nécessaires :

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Bref, remettre de l'ordre dans un dossier qui avait été malmené au fil des siècles :

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2 - Mêmes phénomènes avec le mur reliant la chapelle au manoir.

Avant :

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Pendant :

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Notons que ce chantier a ouvert, sur le manoir et pendant la période où le mur n'avait pas été remonté, des perspectives que l'on ne devrait plus revoir avant longtemps :

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Réapparition des meurtrières :

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Et après :

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(A suivre)
Ma grand-mère Julietotte le disait, "il n'y a rien de tel qu'un fainéant qui se réveille". Appliquons cette maxime et remettons-nous à l'ouvrage.

1 - Nous en étions rendus à 2008, année marquée, comme on l'a vu, par la restauration du mur de la chapelle au manoir. Cette année-là fut également restauré le mur de douve situé derrière ladite chapelle. A ce sujet, on ne va pas écrire un roman.

Avant :

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Pendant :

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Après :

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2 - En 2009, ce fut la résurrection de l'ancien pressoir, désormais transformé en charretterie.

Avant :

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Pendant :

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Après :

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(A suivre)
A partir de l'été 2009, notre site favori donne tous les détails sur l'évolution du chantier. Pensez donc, il y a là, sous l'onglet "Journal du chantier", plus de 1 600 messages, pratiquement un par jour en moyenne, qui relatent par le menu tous les projets, les difficultés, les réalisations et, même, les erreurs. Depuis l'été 2010, le reportage est agrémenté de photos. Je me bornerai donc ici à récapituler l'essentiel.

1 - En 2010, le fournil de la ferme a retrouvé une nouvelle jeunesse. Il est vrai qu'il n'était pas beau à voir, avec ses briques creuses au Sud, son torchis cimenté à l'Est, ses pierres montées à la terre, qui n'avaient jamais été entretenues convenablement, et, pour couronner le tout, sa charpente en coma dépassé. Il fallait une intervention forte, mon but étant de disposer enfin, dans l'ensemble constitué par le manoir et ses dépendances, d'un local chauffé et confortable où pouvoir passer l'hiver et me préparer un minimum de tambouille ou prendre une douche. Comme vous le savez puisque vous faites partie du fan-club, ce but est encore aujourd'hui très loin d'être atteint. En effet, je n'ai toujours pas résolu le problème de remontée des eaux capillaires qui bloque la poursuite des opérations dans cet édicule. Donc voici ce qu'il en est advenu :

Avant :

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Pendant :

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Après :

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2 - En 2010 également, j'ai entrepris un important programme de réinstallation progressive de grilles aux fenêtres du manoir dont vous trouverez ici une petite idée :

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3 - L'année 2011 aura été marquée par les travaux sur le mur Ouest de la douve Nord. Rappelons que nous risquions de voir le fournil du manoir glisser vers le fond de la douve. Il a fallu y parer d'urgence. Et aux grands maux, les grands remèdes !

Avant :

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Pendant :

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Et après, ou presque :

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4 - En 2012, je me suis attaché à commencer à réorienter le chantier vers les travaux intérieurs. Fini le remontage de murs ou le rejointoiement, il fallait désormais former mes salariés à leurs nouvelles tâches. Je les ai ainsi entraînés :
- à la réalisation de murs en torchis, comme sur la "maison de Toutou" que nous avions laissée dans un bien triste état après la tempête de 1999. La voici donc avant cette cure de jouvence...

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... et après, avec ses trous pour abriter les oiseaux (qui sont donc désormais mieux lotis que moi ici...) :

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- à enduire les murs intérieurs de chaux, en commençant par un grenier :

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- à la restauration d'une première pièce, la future (?) chaufferie qu'ils ont dotée d'un dallage tellement réussi (même s'il demeure inachevé, par manque de dalles adéquates ; il reste 3 m2 à trouver, mais où ?) que je me demande si on ne devrait pas rechercher un usage plus prestigieux pour ce volume :

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5 - Enfin, en 2013, il y aura eu deux grands chantiers :

- la restauration des marches de l'escalier du logis, très gravement endommagées par un incendie survenu en 1884 :

Avant :

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Pendant :

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Et après (alors que les joints ne sont pas encore secs à ce jour) :

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- la restauration de la charpente des écuries. Les photos suivantes sont prises à peu près du même endroit et témoignent de l'avancement du chantier :

Avant :

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Pendant :

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(A suivre)
Bien faire et se tenir en joie

« Bien faire, et se tenir en joie ». C'est une maxime de Spinoza. Comme « se tenir en joie » me plaît ! J'y entends quelque chose d'aussi simple que se tenir au chaud. Et c'est sans doute du même ordre. La joie est une flamme, il faut l'entretenir. Elle est le fruit d'un travail, et d'une volonté. Il faut choisir le bois, le tailler, ne pas mettre n'importe quoi dans le feu. La joie s'alimente d'une vision amicale du monde où, précise Spinoza, « l'on ne trouvera certes rien qui soit digne de haine, de raillerie ou de mépris ».

Ni haine, ni raillerie, ni mépris. Judicieux conseil. Atteindre la joie suppose qu'on commence par faire le ménage dans ses émotions. Pas d'impulsion, pas de stigmatisation, pas de commisération. En ces temps où, partout, et notamment sur les réseaux, la parole privée se déchaîne, amplifiée, sans retenue et sans contrainte, le rappel est utile. Les sentiments négatifs nuisent d'abord à soi.

N.D.L.R. : Il y a quand même, en ce moment et sur les réseaux, des sujets plus réjouissants que d'autres, comme ce "Bouffon au luth" (1623-24) de Franz HALS, contemporain de la Chaslerie...