Florilèges

Afin d'en garder la trace et de pouvoir m'y référer si nécessaire, je mets en ligne les photos de quelques exemples de la production de Roland FORNARI, que j'ai photographiés hier dans son atelier et son magasin du Sap. Hélas, je ne connais pas le nom de tous ces objets ; certaines légendes resteront donc muettes, à moins que des visiteurs du site ne veuillent remédier à mes lacunes, ce dont je les remercie d'avance.

Voici un portillon de fer forgé en cours de fabrication, destiné à un portail créé par Roland FORNARI ; ce portillon sera flanqué d'un battant beaucoup plus large mais du même esprit, c'est-à-dire rustique, avec un plessis et de petits objets décoratifs comme quelques feuilles forgées et, peut-être, un oiseau :

18 mars 2011, un portillon en cours de fabrication chez Roland FORNARI.

Dans l'atelier, j'ai aussi remarqué cette grille à mystère, qui a la particularité de former volet :

18 mars 2011, une grille mobile.

C'est des grilles de ce modèle que Carole aurait préférées à la Chaslerie. J'ai reculé car la taille de mes fenêtres, notamment au salon, ne permettait pas cette fonctionnalité. Voici néanmoins le détail du verrou de cette grille mobile :

18 mars 2011, le verrou de la grille mobile.

Dans le bric-à-brac du magasin, j'ai remarqué divers objets de quincaillerie forgée :

18 mars 2011, targettes, loqueteaux et autres objets présentés dans le magasin de Roland FORNARI au Sap.

18 mars 2011, clenches à poucier présentées dans le magasin de Roland FORNARI au Sap.

18 mars 2011, verrous à queue présentés dans le magasin de Roland FORNARI au Sap.

18 mars 2011, targettes et loqueteaux présentées dans le magasin de Roland FORNARI au Sap.

18 mars 2011, pentures, targettes, loqueteaux et verrou présentés dans le magasin de Roland FORNARI au Sap.

18 mars 2011, support de tourne-broche présenté dans le magasin de Roland FORNARI au Sap.

18 mars 2011, support d'ustensiles de cuisine présenté dans le magasin de Roland FORNARI au Sap.

18 mars 2011, serrures présentées dans le magasin de Roland FORNARI au Sap.

18 mars 2011, serrure ancienne présentée dans le magasin de Roland FORNARI au Sap.

18 mars 2011, vitrine d'objets divers objets présentés dans le magasin de Roland FORNARI au Sap.

18 mars 2011, joug de boeufs restauré présenté dans le magasin de Roland FORNARI au Sap.

18 mars 2011, paire de landiers pour pavillon de chasse (on réchauffe les mains en les posant sur les boules supérieures et on met les bottes à sécher en les enfilant sur les protubérances en-dessous) présentée dans le magasin de Roland FORNARI au Sap.

Enfin, Roland m'a montré une ancienne porte de couvent qu'il désire voir inscrite à l'inventaire ; elle est remarquable en raison de ses barreaux (dont il manque la moitié dans sa moitié supérieure qui n'était pas vitrée) et, surtout, en raison du volet coulissant dont on aperçoit la poignée de bois au milieu de sa moitié basse :

18 mars 2011, face intérieure d'une ancienne porte en dépôt dans l'atelier de Roland FORNARI au Sap.

18 mars 2011, face extérieure de la porte ancienne en dépôt dans l'atelier de Roland FORNARI au Sap.

Bref, et on le comprendra, c'est toujours avec regret que je quitte la caverne d'Ali Baba de Roland...

P.S. (du 1er mai 2023 à 21 heures 20) : Pour la porte.
Bonsoir,

Comme promis quelques informations sur la quincaillerie, tout d'abord le site d'un concurrent de votre forgeron. Sur ce site il y a des panneaux avec différentes pièces forgées et leur nom.

Voir également l'excellent site de M. Tiercelin. Cette personne réalise un travail de vulgarisation formidable, il faut s'imaginer que la réalisation des croquis cotés se fait au Rotring, point de logiciel de CAD.

Enfin, pour le plaisir des yeux, voir le catalogue de la vente de la collection RULLIER. Pour l'achat, il faut vendre rapidement des "junk bonds".

Je vous remercie d'avoir fait ces photos et de les mettre à notre disposition. Je vous reparlerai des coyaux un autre jour.

Bonne soirée !
Je reviens sur la question des pavés estampés, à décor à l'engobe, que j'ai découverts chez FAUVEL.

Voici, en vrac, d'autres photos que j'ai prises de cette production contemporaine si onéreuse mais, à mes yeux, si belle :

23 avril 2011, pavés estampés à décor à l'engobe.

23 avril 2011, pavés estampés à décor à l'engobe.

23 avril 2011, pavés estampés à décor à l'engobe.

23 avril 2011, pavés estampés à décor à l'engobe.

23 avril 2011, pavés estampés à décor à l'engobe.

23 avril 2011, pavés estampés à décor à l'engobe.

23 avril 2011, pavés estampés à décor à l'engobe.

23 avril 2011, pavés estampés à décor à l'engobe.

23 avril 2011, pavés estampés à décor à l'engobe.

23 avril 2011, pavés estampés à décor à l'engobe.

Ces photos ne rendent pas bien compte des reflets de la glaçure mais, au moins, elles permettent de continuer de rêver un peu...
Pour le sol de l'entrée du bâtiment Nord, il me semble que les pavés Louis XIII de FAUVEL seraient d'un très bon effet. Selon moi, leur décor contrasté équivaudrait au tapis dont nous privera le chauffage par le sol. Je pense aussi qu'ils permettraient, par la force de leur présence, de limiter le nombre de meubles dans cette entrée, ce qui me paraît bienvenu pour un tel lieu de passage.

Voici à quoi ils ressemblent :

23 avril 2011, pavés Louis XIII de FAUVEL.

En fait, la taille des carreaux de la photo précédente me paraît beaucoup trop importante. Voici un modèle de dimensions deux fois moindres :

23 avril 2011, autres pavés Louis XIII de FAUVEL.

Il faut imaginer que les pavés roses seraient cirés, donc brillants et que ces tomettes seraient encore plus petites, comme à Canisy...

Mais Carole n'aime pas ce choix. Elle a d'ailleurs un argument pertinent quand elle se demande quelles tomettes seraient compatibles avec ces pavés dans les pièces voisines de l'entrée. J'avoue que, là, elle me colle. Au moins pour le moment...
Si je comprends bien, les préférences de Carole en matière de tomettes vont à des modèles classiques...

23 avril 2011, tomettes de FAUVEL.

(l'échelle est fournie par le bout de mes chaussures, en bas de certaines photos)

23 avril 2011, tomettes de FAUVEL.

23 avril 2011, tomettes de FAUVEL.

23 avril 2011, tomettes de FAUVEL.

Sur le nombre, Carole préfère les tomettes les plus claires.

M. ROBERT nous a également montré le modèle de pavés relativement multicolores dont il doit bientôt livrer 400 m2 pour le château d'Angers :

23 avril 2011, pavés pour Angers de FAUVEL.

Mais Carole n'en aime pas l'usure artificielle.

Laissons donc le sujet décanter et poursuivons nos investigations...
Chez FAUVEL, j'ai pris connaissance de panneaux didactiques sur les terres cuites :

Quelques définitions, chez FAUVEL.

Les pavés du Pays d'Auge expliqués par FAUVEL.

Il faudra donc que je retourne au musée de la poterie à Ger pour observer ces fameux pavés...

J'ai également regardé les photos de quelques réalisations en pavés de FAUVEL :

Le grand réfectoire du Mont Saint-Michel.

Autres références de FAUVEL.

En fait, tant de grandeur me laisse un peu perplexe...

Au grand réfectoire du Mont Saint-Michel.

@ Mr T. :

Je reviens sur mon message du 27 avril dernier (sous cet onglet) à propos du mauvais assemblage des poutres et solives au rez-de-chaussée du colombier.

Aurais-je été injuste avec le combattant suprême des prairies, cher à notre neveu favori ?

Le fait est que je trouve dans "La maison ancienne, construction, diagnostic, interventions" par Jean et Laurent COIGNET chez Eyrolles de quoi préciser mes appréciations sur les "plafonds à la française" :

Extrait de la page 61 de l'ouvrage en question.

On voit ainsi qu'au rez-de-chaussée du colombier, nous avons une mauvaise "juxtaposition des solives en appui direct" (schéma 1 D) là où je recommanderais plutôt un "appui sur des lambourdes en moises liaisonnées à la poutre" (schéma 2 B), voire encore mieux, un "appui par tenons et mortaises sur des lambourdes liaisonnées à la poutre" (schéma 2 A).

Qu'en dis-tu, Môssieu Bibo ? (bis)
@ Mr T. :

Je rentre de chez mon ami Marc CHALUFOUR, à Chênedouit, et j'ai photographié pour toi deux exemples de pose de solives sur lambourdes du type traditionnel par ici.

Voici un premier exemple, brut, dans un local en cours de restauration chez Marc. Observe bien l'assemblage :

7 mai 2011, plafond traditionnel dans une dépendance de Marc CHALUFOUR.

Et, pour te prouver le charme de tels plafonds, voici celui de la cuisine - salle à manger dans le logis de Marc, peint en bleu charron pâle :

7 mai 2011, un plafond du logis de Marc CHALUFOUR.

Je signale au passage que les murs sont enduits intérieurement de chaux et qu'à vue de nez, il ne doit pas y avoir plus de 2,10 mètres entre le sol de la pièce et le bas de cette poutre.
Je suis repassé aujourd'hui rendre visite à mes amis LEMARIE, antiquaires-brocanteurs à Notre-Dame-du-Touchet.

J'en ai profité pour prendre en photo diverses portes intérieures de leur logis qui pourraient m'inspirer pour de nouveaux travaux à la Chaslerie...

1er juin 2011, première porte chez les LEMARIE.

1er juin 2011, deuxième porte chez les LEMARIE.

1er juin 2011, troisième porte chez les LEMARIE.

1er juin 2011, quatrième porte chez les LEMARIE.

... si ce n'est déjà fait :

1er juin 2011, porte chez les LEMARIE ayant déjà servi de modèle pour le dressing du 1er étage du bâtiment Nord.

Alain RUAULT du PLESSIS VAIDIERE, que j'en remercie, vient de me faire parvenir une photocopie de la couverture et des pages 143 à 149 du numéro 450 de "La revue du Touring Club de France" daté de mai 1932. J'en extrais les documents suivants :

- une description de la Chaslerie qui nous apprend que la toiture de la tour Louis XIII s'était effondrée "au cours de l'été 1931" (on pourra se reporter à l'onglet "Travaux" pour avoir une idée du résultat) ; on lira avec intérêt le rendu de l'ambiance de l'époque ; on notera l'expression de "litre" dans la chapelle :

Extrait de la page 149 du numéro de mai 1932 de la revue du T.C.F.

- une vue inédite de la Chaslerie, en 1932 donc, laissant apercevoir, derrière la mare qui se trouvait dans l'avant-cour, le Pournouët alors planté de poiriers ; au bord de la mare, à la bordure droite de la photo, on aperçoit un angle d'un édicule en colombage, aujourd'hui disparu, qui abritait là, m'a-t-on dit, une forge (pour plus de détails, voir la "Photothèque" du site) :

Extrait de la page 149 du numéro de mai 1932 de la revue du T.C.F.

- une vue du manoir de Chaponnais, à l'évidence contemporain de la Chaslerie mais détruit lors des bombardements américains de la gare de Domfront à la Libération, qui nous montre ce que pouvaient être la forme et le volume d'anciennes lucarnes du logis de la Chaslerie :

Extrait de la page 149 du numéro de mai 1932 de la revue du T.C.F.

- une vue de l'ancien pigeonnier de Chaponnais, disparu lors des mêmes bombardements :

Extrait de la page 149 du numéro de mai 1932 de la revue du T.C.F.

A l'occasion des sondages récemment effectués au pied du mur d'escarpe, j'ai cru remarquer que la fondation était moins profonde au niveau du 1er sondage, celui du 12 juin dernier, qu'au niveau des suivants, ceux du 26 juin. J'ai voulu en avoir le coeur net. J'ai donc prié Philippe JARRY de m'aider à mesurer ce phénomène à l'aide de son niveau à laser. Il est passé ce matin :

4 juillet 2012, Philippe JARRY en train de mesurer la profondeur de la fondation du mur d'escarpe au laser.

Pour qu'on puisse suivre mes explications, j'ai reporté les mesures sur un graphique qui montre, avec une échelle 20 fois plus ramassée sur l'horizontale que sur la verticale, le profil précis du mur ainsi que le profil du lit de la douve. Voici ce que ceci donne :

Profil du mur d'escarpe.

Ce schéma confirme que mon impression initiale, au pied du mur, était fondée (c'est le cas de le dire) : le bas de la fondation au sondage 1 est plus élevé (par rapport au niveau de la mer) qu'il ne l'est au sondage 2 ou au sondage 3. Or le mur ne présente pas, pour autant que l'on puisse en juger en l'état de ce qui en reste, de désordre apparent qui expliquerait cette curiosité ; en particulier, il ne porte aucune trace sensible d'affaissement de sa partie centrale, pas plus que le Pournouët qui le surplombe. Pour autant, il "manque" 20 cm de maçonnerie au pied du mur, à la hauteur du sondage 1. Il me semble que la principale explication devrait en être recherchée soit parmi les aléas du chantier d'il y a environ 500 ans (ce qui est impossible à savoir), soit par l'hypothèse qu'une racine d'arbre aujourd'hui disparu ou bien un remblayeur de chemins ait retiré quelques pierres à cet endroit. J'estime que l'on peut conclure de toutes ces observations et mesures que le niveau supérieur des fondations des douves restaurées devra se trouver calé là où se trouvent les fondations anciennes, telles qu'on les a retrouvées lors des sondages 2 et 3.

P.S. du 5 juillet 2012 : Il n'est peut-être pas inutile que je rappelle ici que l'escarpe de la douve Est a 136 m de long (à quoi il convient d'ajouter deux retours de 15 m sur les douves Nord et Sud pour avoir la longueur qu'aura la maçonnerie restaurée). Un sondage du 12 juin dernier a montré que la maçonnerie résiduelle avait 80 à 85 cm d'épaisseur (mesure effectuée au niveau du sondage 1). La hauteur de la maçonnerie résiduelle a été précisée, sous cet onglet, dans un message du 27 juin dernier ; elle varie entre 1,75 m au niveau du sondage 1 et 2,50 m au niveau du sondage 5. Compte tenu de l'ensemble de ces éléments, j'ai calculé que nous devrions pouvoir récupérer 236 m3 de pierres, soit les deux tiers environ de ce dont nous aurions besoin pour ce chantier. Enfin, le croquis que je viens de mettre en ligne démontre que 20 cm de maçonnerie "manquent" au niveau de la fondation 1 ; ces 20 cm de hauteur doivent toutefois être comparés aux 136 m de longueur du mur ; ils peuvent donc être qualifiés d'infimes à tous égards par rapport aux masses en cause.
Suivez le guide ! Je vous emmène au château de Beauregard, à côté de Blois !

11 mai 2013, au château de Beauregard.

J'ai vu là des plafonds à la française qui m'ont fait rêver...

Dans la "galerie des portraits", longue de 26 mètres et large de 6, Paul ARDIER, ancien trésorier de l'Epargne (c'est-à-dire ministre des finances) de trois rois dont Henri IV, a fait peindre le plafond avec de la poudre de lapis-lazuli (qui valait à l'époque 7 fois le prix de l'or). On connaît les noms des peintres, Jean MOSNIER et son fils Pierre, artistes blésois alors renommés et dont on retrouve les œuvres à Cheverny (plafond de la salle des gardes) et à Paris, à la chapelle du Val-de-Grâce et au Palais du Luxembourg :

11 mai 2013, dans la "galerie des portraits" de Beauregard.

11 mai 2013, dans la "galerie des portraits" de Beauregard.

11 mai 2013, dans la "galerie des portraits" de Beauregard.

Ce serait là un modèle beaucoup trop somptueux pour la restauration des plafonds du rez-de-chaussée de la Chaslerie. Mais l'époque est la bonne. Donc allons voir dans les pièces voisines...

Dans la bibliothèque, qui a remplacé au XIXè siècle un jeu de paume, je ne suis pas sûr que les peintures des plafonds soient très anciennes :

11 mai 2013, dans la bibliothèque de Beauregard.

Mais, dans le "cabinet des grelots" qui jouxte la bibliothèque dans une tour, les boiseries furent commandées par Jean du THIER, secrétaire d'Etat du roi Henri II, à Scibec de Carpi, ébéniste du roi qui réalisa également les lambris de la galerie François 1er à Fontainebleau et le plafond de la chambre d'apparat d'Henri II au Louvre. Hélas, son plafond de Beauregard fut décapé au XIXè siècle :

11 mai 2013, le plafond du "cabinet des grelots" de Beauregard.

La peinture du plafond de la "salle Louis XIV" fut également réalisée pour Jean du THIER, mais pas en lapis-lazuli cette fois :

11 mai 2013, plafond de la "salle Louis XIV" de Beauregard.

Observons également les portes de cette salle Louis XIV, le recto...

11 mai 2013, une porte de la "salle Louis XIV" de Beauregard.

... et le verso, beaucoup plus simple :

11 mai 2013.

Enfin, terminons notre visite par un tour à la cuisine où l'on remarque une batterie de cuisine du XIXè siècle...

11 mai 2013, dans la cuisine de Beauregard.

... et un très beau mobilier massif :

11 mai 2013, dans la cuisine de Beauregard.

Cette année, le "rallye Bellefontaine" nous a fait visiter Vitré et ses environs. Compte tenu des interrogations soulevées actuellement par la restauration de la Chaslerie, j'en ai profité pour faire un peu d'espionnage industriel.

Ainsi, j'ai relevé :
- dans une cave ancienne, un type de drainage original, en pourtour d'un sol en béton :

7 août 2013, exemple de drainage d'une cave voûtée à Vitré.

- différents types de balustres qui pourraient inspirer la jeune classe thibalducienne pour l'"aile de la belle-mère" :

7 août 2013, un escalier extérieur à Vitré.

7 août 2013, Carole s'entretenant avec Marie-Annick de SAINT-MELOIR.

7 août 2013.

7 août 2013.

7 août 2013.

- une boiserie très bien sculptée mais mal peinte :

7 août 2013, au fond, Pol LE BIGOT, qui coordonne le "rallye Bellefontaine".

7 août 2013.

7 août 2013.

- une boiserie beaucoup plus simple mais bien peinte (pour ma future "chambre mortuaire" ?) :

7 août 2013, Patrice FORGET, notre guide, dans le salon de l'ancienne sous-préfecture.

7 août 2013.

7 août 2013.

- une grille d'entrée de parc, chez Madame de SEVIGNE aux Rochers, qui pourrait servir de modèle à la grille à installer sur le mur entre le manoir et la chapelle :

7 août 2013, grille aux Rochers.

Michelangelo Merisi "Maddalena" 1599 ;
Galleria Doria Pamphilj, Roma.

La salvifica luce in alto scende sulla peccatrice pentita e la redime. Ai suoi piedi giacciono i monili e le perle ormai abbandonati, accanto al vasetto d’unguento con cui ristorò l’amato Signore. La figura è rapita in uno scivolante gioco di linee che ha i dolci sbandamenti del sonno, mentre il suo volto è ancora rigato da una lacrima ti pentimento. (Melissa)

N.D.L.R. : A un an près, elle est contemporaine de la Chaslerie.
Je note en particulier le motif du velours...