Tu trouveras en pièce jointe quelques informations biographiques, la préface de Philippe Démeron à 'Courts poèmes long-courriers' (à toi de voir si tu en fais quelque chose), et le choix des poèmes que pourrait lire Maryvonne.

Avec mes excuses pour cet envoi tardif. Nous ne sommes revenus du midi que hier soir.

Amitiés

Dominique


Dominique Thiébaut Lemaire

Né à Thann (Haut-Rhin) en 1948

Ancien élève de l"ENS Ulm
Agrégé de lettres classiques
Ancien élève de l"ENA

Auteur de deux recueils de poésie :
- Aérogrammes (2010)
- Courts poèmes long-courriers (2011)


PREFACE DE 'COURTS POEMES LONG-COURRIERS' :

"En publiant après 'Aérogrammes' ce deuxième recueil illustré par Sergio Birga et consacré à des impressions de voyages aériens recueillies au long d'une carrière internationale bien remplie, Dominique Thiébaut Lemaire poursuit un travail séduisant qui, dans une langue superbe, confère des lettres de noblesse à ce genre inédit dans notre littérature.

Au début du XXe siècle, en effet, l"écrivain et poète-voyageur se déplace en train (Cendrars), en cargo marchand (Louis Brauquier), et ce n"est que peu à peu que l'avion, militaire d'abord, puis mythique (l'Aéropostale) – toujours héroïque – gagne en importance. Dans les cinquante dernières années du siècle, devenu moyen de transport de masse, pour hommes d'affaires, diplomates et bien sûr touristes, il n'est plus guère « chanté ». Cocteau aurait-il jeté un anathème sur ce vecteur moderne en se plaignant que les avions voyagent désormais plus vite que nos âmes ?

Dans le "parcours de mots" (IV) où s'engage ici le poète, est explicitement recherchée "la calligraphie d'une aérienne aisance", qui n'exclut pas le ton plaisant du conteur : "Si la terre soudain tournait sur un autre axe/ L'idiome des climats changerait de syntaxe" (LXX). Comme pour "Aérogrammes", ce parcours est balisé par un classement géographique. Rien n'interdit cependant au lecteur qui commence à rêver de composer son propre circuit, feuilletant le recueil au gré des impressions déclenchées par exemple par les toponymes parés des prestiges du voyage.

Quel que soit l'ordre de la lecture-découverte, le lecteur-voyageur ne sera pas déçu : sentiments, rencontres, paysages de différentes échelles, sensations physiologiques - bien-être ou angoisses du voyageur installé dans ce "tueur sauveur l'avion" (XXIII)... Sans bouder au passage le plaisir de nombreuses notations picturales et symboliques : "Dans la brousse non loin les baobabs s'attroupent/ Aérophages lourds à patte enracinée /Portant comme abdomen un grand ciel calciné" (XXIX).

Bien qu'il soit tout aussi à l"aise dans la ballade ou le rondeau, Dominique Thiébaut Lemaire utilise ici la forme du sonnet, parfaitement adaptée au propos. La jouissance sonore procurée par une maîtrise savante de l'alexandrin accompagne, sans jamais l'oblitérer, ce voyage qui, bien qu'international, est aussi – qu"on me pardonne ce jeu de mots – vol intérieur.

C"est que le recueil s'élargit, pour finir, et sans emphase, à des considérations plus générales. Ces visions, ces paysages, cette dynamique du voyage qui passent par le langage conduisent l'auteur à s'interroger : "Reste-t-il de l'inconnu digne qu'on l'explore… / Dans le grand jeu du langage" (LXV) ? et à suggérer une solution : "Que le secret n'est pas dans le fond des cieux vagues/ Mais dans le mot premier dans l'amorce de braise" (LXXV) – étant précisé que le mot premier n'est pas forcément celui par lequel débute le poème.

Que le lecteur n'hésite donc pas à explorer cet état du monde que l'auteur lui offre à partager dans un parcours de mots. Sachant que le plaisir de poésie n'est pas seulement de parcourir la réalité sensible, mais aussi d'approcher l'indicible: 'les mots parfois on en tire/ Le fil et l"on trouve encore un mystère' (LXXXV)."

Philippe Démeron
revue Les Citadelles

POESIES QUI SERONT LUES LE 23 JUILLET 2011 A LA CHASLERIE :

(I)

Malherbe aurait bien pu consacrer quelques vers
A ton manoir normand d'élégante structure
Il aimait les châteaux les parcs même en hiver
Les miracles de l'art y changeaient la nature

Il nous a dit sous Henri IV à cœur ouvert
Leur beauté le bonheur d'avoir dans la clôture
De leurs jardins en fleurs de leurs ombrages verts
L'être sans qui sont gris les tons de leur peinture

Ce qui rend après lui tant de passionnés tristes
Y compris comme toi tous ceux dont le plaisir
Est de redonner vie à des lieux habités

Par le temps c'est parfois l'absence de Caliste
Et ce sont les années menaçant le désir
D'inscrire dans la pierre un peu d"'éternité

(II)

C'est un manoir en grès ferrugineux
Beige bruni couvert d'ardoises bleues
Dont les pureaux font un dôme d'écailles
En double courbe au-dessus du portail

Le fer de roche en couleur au milieu
D'un vieux bocage et d'un domaine herbeux
Teinte la douve habitat des grenouilles
Et des rongeurs au mufle de gargouilles

Ces bâtiments n'ont rien qui se renfrogne
Un mouvement déplace un peu leurs lignes
Et donne un charme à la rigueur des lieux

Pourquoi bâtir des châteaux en Espagne
Ici dans une tour à la Montaigne
Tu es chez toi sans même y faire un feu

(III)

Une rivière est un chemin mobile
Et mystérieux voyons comment chemine
Au gré des jours sans trop de décibels
De Normandie l'Egrenne vers le Maine

Vers l'Atlantique elle va déambule
Depuis la Manche errance peu commune
Parfois l'hiver on dit qu'elle s'emballe
Sans pour autant grossir mégalomane

Au fil d'une eau qui suit un cours champêtre
Ou creuse un roc afin de passer outre
Et qui relie la mer à l'océan

Comme font lien d'un rivage à un autre
Un long Rhin-Rhône et ses lieux de rencontre
Où j'ai vécu lorsque j'étais enfant


Revue Les Citadelles 2009 :

Dans la forêt de Brocéliande
En route vers le Finistère
On voit des ajoncs des bruyères
A la lisière de la lande

Où le gui s'accroche en guirlande
A de grands chênes centenaires
Dans la forêt de Brocéliande
En route vers le Finistère

Ceux qui passent peut-être entendent
La fée chanter une légende
A l'enchanteur d'Apollinaire
Qu'elle a bloqué sous une pierre
Dans la forêt de Brocéliande


Revue Les Citadelles 2010 :

J'attends le chant de la mésange
Quand tous les oiseaux rivalisent
Chantres chanteurs ce sont mes anges
Nous aurait dit François d"Assise

Passent l'automne et la vendange
Après la saison des cerises
J'attends le chant de la mésange
Quand tous les oiseaux rivalisent

Ce n'est pas de cris qu'ils se grisent
Ni d'une ivresse de louange
C'est de fruits mûrs soûlant mélange
Mais au-delà des vocalises
J'attends le chant de la mésange


Revue Les Citadelles 2010 :

Avec le vent le jour se lève
Un homme marche au bord du quai
L'hydre de mer en lourds paquets
Lui jette un flot brisé sans trêve

Est-ce monsieur de Poulpiquet
Qui s'aventure au bout des grèves
Avec le vent le jour se lève
Un homme marche au bord du quai

Ainsi paré d'un sobriquet
Au bout du songe qui s'achève
L'endormi lutte freluquet
Contre un grand poulpe au bord du rêve
Avec le vent le jour se lève


Courts poèmes long-courriers (exergue) :

Il faut de tout pour faire un monde
Il faut d'abord l'idée du tout
Se dire aussi la terre est ronde
Mais on ne peut en voir le bout

Des hauts des bas du plein des trous
Des jours de joie des nuits profondes
Il faut de tout pour faire un monde
Il faut d'abord l'idée du tout

De la violence et des yeux doux
Sous un ciel qui s'ouvre en rotonde
Le bien qui donne un espoir fou
Le mal qui bruit avec faconde
Il faut de tout pour faire un monde


Courts poèmes long-courriers IV :

Dans un parcours de mots qui vont de Terre Neuve
Au socle immémorial des forêts scandinaves
Des plus vieux souvenirs des ruines de Ninive
Aux côtes rebattues que l'océan rénove

Des rivages mousseux que l'océan savonne
Aux contrées adoucies de douceur angevine
Du nouveau monde indien caraïbe et havane
Aux mosaïques d'or des tombeaux à Ravenne

Le voyageur léger qui porte en sa besace
Les sons les tours les voix de la langue française
Pour jalonner sa route au long cours indécise

Au loin ne cherche pas la plus belle oasis
L'illusion de l'ivresse et les magies qui s'usent
Mais la calligraphie d'une aérienne aisance


Aérogrammes XLIV :

Quelques maisons de bois mangées de chèvrefeuille
C'était là notre hôtel au bas d'un contrefort
Epaule de secours où s'appuie sans orgueil
Sainte Sophie plus haute en dedans qu'au dehors

Bien qu'au mur de palais sans dorure un décor
De céramique en fleurs qu'à plaisir les yeux cueillent
Œillet tulipe rose où manquent des bouvreuils
Ait supplanté partout les mosaïques d'or

L'apparence pourtant semble comme indécise
Et comme impressionnée par des rayons fantômes
Car Byzance irradie à travers Istanbul

Surmonte les mosquées de coupoles d'églises
Surimpose aux jardins des courbes d'hippodrome
Et change en Esprit Saint le ramier qui roucoule


Aérogrammes XIII :

Heureux qui sans se perdre au bout de ses voyages
Comme s'égare au loin le chasseur de toisons
D'or le collectionneur d'amours ou de raisons
Heureux qui s'en revient libre même de l'âge

Où s'égarer d'ailleurs la terre est un village
Qui pour chemin de ronde a le tour des saisons
Bouclant sans fin leur cycle au-dessus des maisons
Entre deux ouragans qui tournent davantage

Quand la France apparaît jardin de tant d'aïeux
Sous le pencher de l'aile et sous l'angle audacieux
De l'avion qui descend vers des couleurs plus fines

Du Bellay j'imagine y perdrait son latin
S'il rentrait de plus loin qu'un exil palatin
Cherchant son toit des yeux son ardoise angevine


Aérogrammes LXXX :

Je parle d'une terre habitation de l'homme
Sans chercher dans le feu dans l'eau mère ou l'air pâle
Comme une éternité qui cacherait de l'âme
Loin de la foule humaine et loin des acropoles

Je parle d'une terre où l'esprit se révèle
Non dans le vent qui mime un discours sur les cimes
Des monts et des forêts mais dans le bruit des villes
Rumeur pleine de voix que l'éphémère sème

Le poète aimerait prêter aux mots la force
Que la nature donne à la flamme à la source
De sorte que le temps jamais ne les disperse

Mais peuvent-ils durer plus longtemps que les torches
De cités si perdues que nul ne les recherche
Au bord de fleuves secs dont les ponts n'ont plus d'arches


Revue Les Citadelles 2011 :

N'espérons plus me dis-je aux promesses du monde
Leur brillance est de verre où le reflet d'une onde
Fluctue au gré du vent sans jamais se calmer
Laissons leurs vanités lassons-nous de les suivre
Ambitionnons d'aimer
D'autres raisons de vivre

A quoi bon pour nous plaire à de vaines envies
Passer près des puissants le temps de notre vie
A quérir leur faveur et plier le genou
Que peuvent-ils mortels ils sont ce que nous sommes
Ni plus ni moins que nous
Dans la condition d'homme

Et n'aspirons pas plus à des hauteurs lointaines
Au bout d'un horizon dont la ligne incertaine
A comme l'océan son flux et son reflux
Qu'il nous suffise enfin de trouver en nous-mêmes
En guise de salut
Le psaume ou le poème

@ Dominique LEMAIRE :

Merci beaucoup, Domino, c'est magnifique de bout en bout et tu places la barre très haut !

Marquons la pause et profitons-en pour comprendre les mouvements des cordes d'un luth... filmées à l'iPhone.

Je vous envoie ce message pour confirmer le samedi 23 juillet. Je serai seul de l'OPL à venir au manoir de la Chaslerie. Je vous appellerai demain en cours d'après-midi pour savoir l'heure de rendez-vous.

Mes sincères salutations et à bientôt !

Silence dans les rangs, un message de la présidente !

Je rappelle quelques détails pratiques :

- la date : samedi 23 juillet 2011, à 17 h 30 pour les enfants sages et 19 h pour les adultes ;

- le lieu : au manoir de la Chaslerie, 5 km au Nord de Domfront, sur la route de Domfront à Tinchebray ;

- le programme :
. 17 h 30 : "chasse au trésor", pour les enfants, par équipes (les équipes seront constituées au départ par les organisateurs) ;
. 19 h : début du spectacle, première "mi-temps" (récitals de luth et de clavecin, lecture de poèmes) ;
. 20 h : entracte et pique-nique (chacun apportant son panier) ; remise des prix aux vainqueurs de la "chasse au trésor" ;
. 21 h : suite et fin du spectacle, seconde "mi-temps" ;
. 22 h : initiation à l'astronomie.

- le prix des billets : gratuit pour les enfants ; payant pour les adultes (à la discrétion de chacun) ;

- PRIERE DE LAISSER UN MESSAGE AU 02 33 37 08 10 POUR RESERVER LES PLACES (indiquer son numéro de téléphone et le nombre de places souhaitées ; on ne peut assurer que des places seront disponibles pour ceux qui n'auront pas reçu confirmation ; la priorité sera donnée aux membres de l'association dont on rappelle que la cotisation annuelle est de 5 €, à verser à la présidente si ce n'est déjà fait) ;

- Compte tenu de la météo incertaine, il est vivement recommandé de venir chaudement vêtu ; en cas de pluie, le spectacle se tiendra à l'intérieur (d'où la nécessité d'avoir réservé et obtenu confirmation), le pique-nique sera transformé en vin d'honneur et l'initiation à l'astronomie sera reportée à des jours meilleurs.

Réveil en douceur ce matin...

Mais, très vite, les choses se compliquent...

Pas facile de s'organiser ici, avec cette météo à la noix. Que fait donc Sarko ?

Pour notre "chasse au trésor", j'avais besoin de conseils techniques éclairés.

J'ai donc interrogé deux spécialistes de mes amies, Claire et Anne-Marie.

Rien de ce qui touche aux jeux d'enfants ne leur est étranger puisque Claire est la mère de Laure (12 ans), Louis-Marie (10 ans), Aude (8 ans), Paul (6 ans), Alexis (3 ans) et Sixte (1 an), et Anne-Marie celle de Marie-Cécile (14 ans), Jehanne (13 ans), Blanche (11 ans), Sophie-Charlotte (10 ans), Pierre-Louis (6 ans), Paul-Etienne (5 ans), Jean-Benoît (3 ans) et Marc-Antoine (1 an).

Nul doute qu'avec de telles expertes, le relais de la course en sac et le tir à la corde seront bien organisés (ainsi, accessoirement, que le financement de quelques retraites) !

Très bon article du "Publicateur Libre" ce matin...

Certes, le lecteur peut s'y perdre un peu entre les horaires annoncés. Mais, en l'état des prévisions météo, il n'est sans doute pas indispensable de déchaîner les foules...

Alors, surtout pas de mousseux samedi !!!

@ Hélène LEROY-PEETERS :

Ne vous inquiétez pas, Madame, nous essayons de penser à tout. Pour vous, ce sera donc du jus de pomme ! Comme pour la jeunesse !

Le programme a été tiré en 80 exemplaires. Chacun comporte 20 pages que j'ai déjà brochées. Sachant qu'il faut 15 secondes par page à mon imprimante, vous avez une idée du temps nécessaire pour arriver à ce résultat.

Je reçois cependant ce soir, après la bataille donc, quelques aquarelles de Marion PEETERS. Voici les couvertures de programme auxquelles vous avez échappé :

Chacune de ces aquarelles a été inspirée par une photo de ce site internet.

Mais vous, laquelle de ces illustrations auriez-vous préférée ?

Sans attendre vos réponses, je réfléchis à qui je pourrais faire cadeau de ces oeuvres mémorables. Pour certaines, le destinataire semble évident :
- "Entends la voie divine", l'abbé Jean-Philippe TALBOT, qui devrait être des nôtres samedi ;
- "Ecu de Lonlay", Marie-Françoise LAURENSOU, afin d'encourager dans ses recherches généalogiques cette mère d'un autre abbé ;
- "Belle marquise, beau marquis", Carole, bien sûr ;
- "Les armes des LEDIN", un preux chevalier, W.F. ;
- "Epis de faîtage et girouettes", Mr T., en lui souhaitant de trouver bientôt des vents favorables ;
- "Poésie d'arrière-cour", une amatrice, ai-je cru comprendre, de hamac, Melle A M ;
- "Ford au repos", mon fermier, Hervé LEMOINE, qui collectionne ces engins ;
- enfin, "Claudine et Marguerite", ma mère, grande amie et admiratrice des vaches, que son état de santé empêchera d'être samedi avec nous.

Quant aux autres me demanderez-vous, le délibéré se poursuit...

J'aime bien les aquarelles de Marion Peeters que je viens de voir sur ton site internet. Plusieurs sont humoristiques, mais gentiment, et bien vues.

Au-delà de la fête de demain, tu aurais de quoi faire une plaquette intéressante sur la Chaslerie.

Amitiés

D

Deux bonnes nouvelles ce soir. D'une part, le temps a l'air de s'améliorer enfin. D'autre part, j'ai réussi à intégrer, à de nombreux programmes, des tirages des aquarelles de Marion PEETERS ; le résultat n'est sans doute pas aussi beau que si les originaux avaient pu être inclus dans ces programmes (mon travail conserve un certain côté administratif, difficile de se refaire !) mais cela donne une petite idée de ce dont nous aurions pu disposer.

En cette fin d'après-midi de veille de fête, je n'ai reçu aucun appel téléphonique de personnes qui ne me soient pas déjà connues. Il semble donc que nous serons suffisamment peu nombreux pour que le concert se tienne dans le salon du manoir. Il devrait même rester des places assises pour les amateurs ou les curieux qui hésiteraient encore.

Pour les enfants les plus jeunes, il est prévu, pendant le concert, une projection de films vidéo de nature à les captiver davantage, du genre "Ivanhoé". Mais, à dire vrai, j'escompte que la "chasse au trésor" les aura bien fait courir aux abords du manoir...

Bonsoir,

Je vois que les préparatifs vont bon train et, miracle, on aura un rayon de soleil demain.
Comme quoi, il ne faut jamais désespérer.

Peut-on vous apporter encore une salade ?

Bonne soirée à vous.

@ Guy HEDOUIN :

Oui, bien sûr, avec plaisir.

Qui a jamais douté qu'il faisait beau en Normandie ?

A 22 h ce vendredi soir, il fait très beau mais frisquet, nous sommes sûrs de la présence demain d'une bonne cinquantaine d'adultes et d'une bonne vingtaine d'enfants.

A ce stade, le concert pourrait ne se tenir que dans le salon, tandis que les plus jeunes pourraient regarder un film vidéo à l'étage. Mais on ne peut exclure la venue de personnes non inscrites. Restons donc très flexibles pour l'organisation.

Le ciel dégagé augure bien de la fin de soirée "astronomie".

Merci à vous pour l'insertion de notre "Nuit des étoiles" dans la rubrique "Annonces" de votre site. Je vous ai mis un lien sur notre blog internet.

Bonne soirée d'observation également. Théoriquement le temps sera clément (si Météo-France ne se trompe pas !).

Bien à vous,

David MARQUET
Responsable du club d'astronomie d'Hesloup (Orne).

Je tiens à vous remercier d'avoir mis à l'honneur mes aquarelles sur votre site. Les commentaires et réactions qu'elles suscitent me vont droit au coeur...

Pour compléter la série, je vous envoie une poire, symbole du Domfrontais !

Bien cordialement,

@ Marion PEETERS :

Vous avez réalisé un vrai travail d'artiste. C'est d'autant plus méritoire que le client n'était sans doute pas des plus faciles (d'autres que moi pourraient vous le confirmer), tendu qu'il était par ses échéances.

Et maintenant, que diriez-vous d'illustrer la (ou les) poésie(s) de Dominique, du moins celles à notre programme, qui vous inspire(nt) le plus ? Voilà, je pense, un nouveau "challenge" tout à fait à votre portée...

La veille de notre "Sainte-Anne à la Chaslerie", Eléonore LEBOUTEILLER est repassée nous voir à la Chaslerie :