Animation, fêtes, visites

Bonjour,

J’ai passé un excellent moment, félicitations, ces soirées artistiques sont vraiment intéressantes et préfigurent un festival (?)

N.D.L.R. : Très bonne question ! Nous avons commencé à en parler hier soir avec Claudine PLAS-ARBON qui trouve que les lieux s'y prêteraient. De mon côté, j'essaye de comprendre comment insérer la Chaslerie dans les réseaux utiles pour ce faire et je suis conscient d'avoir du professionnalisme à acquérir. Claudine, qui connaît le métier de l'intérieur, insiste notamment sur la nécessité de disposer d'appareils de sono dont la présence est indispensable pour conforter les artistes et bâtir la réputation d'un tel festival. J'ai beaucoup de choses à apprendre en ce domaine et j'espère qu'elle pourra m'y aider.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 24 Juin 2021
Vie des associations - La SVAADE - La SVAADE (anecdotes) - Animation, fêtes, visites
1
Jean THUAUDET fourmille d'idées à propos de l'animation de la Chaslerie.

Il vient de s'offrir une machine à plastifier le papier (12 € chez "Axion" me dit-il) ...

24 juin 2021.

... avec laquelle il a déjà confectionné des sets de table représentant la Chaslerie :

24 juin 2021.


Il m'approvisionne en "QR-Codes" à apposer en divers endroits aux abords du manoir favori de manière à permettre aux visiteurs, à partir de leurs "smartphones", d'accéder à des liens internet utiles pour eux :

24 juin 2021.


Sur son ordi, il continue à peaufiner le dessin des futurs coloriages :

24 juin 2021.


Enfin, il me montre qu'il maîtrise depuis longtemps les techniques de la "réalité augmentée" et se tient prêt à en faire bénéficier la Chaslerie.

Pour ma part, je lui ai apporté les deux imprimantes 3-D tchèques reçues cette après-midi :

24 juin 2021.

24 juin 2021.

Il m'indique qu'il entend profiter des prochains jours de pluie pour les monter. Donc elles ne devraient pas tarder à être opérationnelles.
Je retiens qu'hier soir, au concert d'ARBON, il y avait, parmi les spectateurs, Bruno de Sa Moreira qui aurait beaucoup à nous apprendre en matière de "réalité augmentée" puisqu'il applique cette famille de techniques à de grands monuments historiques, en sa qualité de fondateur et directeur général d'"Histovery".
Encore merci Pierre-Paul pour la délicieuse soirée d'hier et le dîner fort sympathique ! Laure et moi avons été ravis de faire votre connaissance et serons heureux de vous revoir cet été à Lingeard. Notez mon email bruno@(...) et mon 06 (...). Bravo pour la Chaslerie et votre programmation culturelle world class 😀

N.D.L.R. : Merci pour ce message, cher Bruno. Nous avons été très heureux de pouvoir, grâce à Jean-Pierre, faire connaissance avec vous, votre épouse et votre fils. Nous espérons garder le contact et pourrions même, si vous en étiez d'accord, dialoguer à propos d'une adaptation aux petits monuments historiques des activités de votre si intéressante entreprise.
Bien cordialement, PPF
Anecdote perdue
Publié le 25 juin 2021

Je ne peux plus faire confiance à ma mémoire. Avant-hier, comme on me racontait une anecdote amusante, j’ai dit à mon interlocuteur qu’avec sa permission, je la rapporterais volontiers sur ce blog. Et maintenant, au moment d’écrire, je la cherche. Avoir dit que c’était la matière d’un bon billet est tout ce dont je me souviens.

Voici deux heures que je fouille mon cerveau comme une vieille malle dont je déballe le contenu en quête d’un objet inconnu. Je sais qu’il s’y trouve mais je ne sais pas quel il est. J’espère juste le reconnaître si je mets la main dessus. Je revois très bien qui me l’a donné, le lieu, le moment, mais l’objet lui-même m’échappe.

C’est pénible, presque effrayant. Il y a dans ma tête une grosse mite qui dévore quelques-uns de mes souvenirs les plus frais.


N.D.L.R. : J'ai correspondu avec Jean-Pierre ARBON à propos de cette affaire. Je me rappelais sa remarque alors que notre conversation tournait, pour l'essentiel, autour de nos carrières respectives. Mais, comme pour lui, impossible de me remémorer à quel propos il avait souhaité relever l'anecdote.

Grâce à mes amis AUGEREAU, acteurs de la scène, à qui je viens de téléphoner, j'ai pu écrire à Jean-Pierre de quoi il s'agissait. Je crois que je ne l'aurais pas retrouvé tout seul.

Donc rendez-vous pour un prochain billet !
Pas facile à rédiger, d'après moi.
Bel exercice de style, je n'en dis pas plus...
Première PRUSA de la SVAADE assemblée, réglée, calibrée, en cours d'impression du manoir :[img:500],27 juin 2021.[/img]
N.D.L.R. : Impossible de charger de nouvelles photos sur le site favori. Panne signalée à "Cambérabéro".

N.D.L.R. 2 (à 15 heures 30) : Il semble que la panne ne concerne que mon ordi. Et, dans mon ordi, que le site favori et sa tour de contrôle. Et, là-dedans, que les photos et les vidéos, pas les laïus.

"Cambérabéro" est en train de se pencher sur le problème, à partir de captures de mon écran que je lui ai transmises à sa demande (après avoir appuyé sur le bouton "F12").

N.D.L.R. 3 (à 16 heures 40) : "Cambérabéro" est super-fort, il a réussi à comprendre d'où venait la panne (un bloqueur de publicités, va-t-en savoir pourquoi), puis à déboguer l'affaire. Voici donc la photo attendue de l'imprimante "PRUSA" en action :

27 juin 2021.


N.D.L.R. 4 (à 16 heures 45) : Via "WhatsApp", Jean THUAUDET me montre que la première impression est ratée ; il y aurait un problème de réglage à revoir. Voici le premier essai, qui a donc dû être interrompu...

27 juin 2021.

... mais qui nous montre les alvéoles fabriquées à l'intérieur de la maquette pour la consolider à moindre poids.

Pour Jean aussi, l'après-midi va être studieuse.
Du bon usage du sperme de frelon
Publié le 28 juin 2021

Certaines personnes refusent de croire qu’un être vivant puisse être entièrement mauvais. Même le frelon asiatique, ce Hun contemporain à l’égard duquel nous entonnons volontiers en France depuis quelques années une variante insecticide de la Marseillaise (« Entendez-vous dans nos campagnes bourdonner ces féroces hyménoptères qui viennent jusque dans nos ruches égorger les abeilles nos compagnes ? ») trouve grâce aux yeux de quelques-uns.

Une chercheuse s’est ainsi récemment persuadée, à ce qu’on m’a rapporté, que ledit frelon (Vespa velutina pour les intimes) sécrète des substances potentiellement utiles dans le traitement de certains cancers rares. Si elle était avérée, la nouvelle serait réjouissante. Le hic, cependant, est que d’après cette dame, ces substances se concentrent dans le sperme de l’insecte. Se pose donc le problème de récolter la précieuse semence, en quantité suffisante.

J’imagine que conduire un essaim de frelons mâles jusqu’à l’éjaculation sans se faire piquer est une opération singulièrement délicate. Elle doit consister — schématiquement — à manipuler l’un de leurs dards sans réveiller l’autre. Je ne sais quelle méthode est employée pour y parvenir, mais si ça se passe comme chez les humains, ça nécessite des doigts de fée.


Testicules de frelon


(C’est cette histoire de sperme de frelons qui, l’autre jour, m’échappait inexplicablement. À la lecture de mon dernier billet, l’ami qui me l’avait racontée a eu pitié de moi et m’a rafraîchi la mémoire.)

N.D.L.R. : Cher Jean-Pierre, à 24 heures près, c'était un billet parfait pour fêter dignement la Saint Pierre et Saint Paul. Belle performance quand même ! Chapeau l'artiste !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 28 Juin 2021
Vie des associations - La SVAADE - La SVAADE (anecdotes) - Animation, fêtes, visites
0
Jean THUAUDET m'a communiqué la photo de la première maquette de la Chaslerie réalisée avec l'une des deux imprimantes "PRUSA" achetées par la SVAADE. Elle est de couleur grise, a nécessité 17 heures d'impression et a consommé un tiers de la bobine de fil en résine, d'une longueur d'une centaine de mètres, fournie avec le kit :

28 juin 2021.


Il y a toutefois un problème apparu, pour une raison inconnue, cinq minutes à peine avant la fin de l'impression. Ce n'est pas visible sur cette photo, mais le haut de la couverture de la tour Louis XIII et de la verge de cheminée attenante présente un défaut qui oblige, une nouvelle fois, à la mise au rebut d'un prototype sorti de cette imprimante.

Lorsque nous nous sommes parlés, dans le courant de l'après-midi, Jean essayait de comprendre la cause de la panne et avait par ailleurs lancé l'impression d'un troisième essai de cette imprimante-ci qui devrait aboutir à la fabrication de la maquette la plus grande de la Chaslerie que l'on puisse obtenir, d'une seule pièce, avec ce modèle d'imprimante.

Je précise "d'une seule pièce" car nous avons déjà envisagé de tronçonner la fabrication en plusieurs pièces complémentaires, comme dans un puzzle, de manière à disposer de maquettes à plus grande échelle.
Nouvelle série d'œuvres, à découvrir aussi en entier sur mon site internet.
-
Les paradis artificiels et leurs lots d’utopies colorées sont sources d’avancées dans le domaine pictural. À en croire ceux qui reviennent de ces voyages féériques, les couleurs ne sont pas seulement claires ou foncées, chaudes ou froides, elles peuvent aussi être acides. Il existerait donc des dimensions de la couleur encore ignorées par la terminologie commune, comme l’acidité, et c’est sur cette question que j’ai travaillé lors de la réalisation de ces œuvres.
Les couleurs acides ne sont pas à proprement parler des couleurs « vives ». Elles ne se situent pas sur l’axe de la saturation, mais sur un autre qu’elles font apparaître en entrant dans notre champ de conscience : les couleurs secondaires passent au premier plan et deviennent prépondérantes, le jaune s’insinue partout et se mélange aux autres couleurs, les bleus deviennent verdâtres, les ocres trop clairs, donnant à l’ensemble une impression artificielle. Pour les peintres, cela revient généralement à un emploi de teintes sensiblement éloignées des couleurs primaires, et à un travail des couches picturales dans lequel, à l’inverse de la peinture classique, les teintes les plus vives sont appliquées en premier, puis recouvertes de tons neutres qui viennent les éteindre, jamais complètement.
De ces nouveaux procédés émergent des fruits empoisonnés, des nuances qui paraissent d’abord banales mais dans lesquelles se distinguent une lumière particulière, une sous-couche étrange. Des champignons magiques ou hallucinogènes. L’acidité ne semble ni naturelle (ce qui serait un retour aux codes académiques), ni uniforme (ce qui serait un retour à l’aplat industriel du pop art). Elle mêle plutôt l’artificiel au naturel comme le ferait un filtre Instagram, ajoutant à la réalité une transformation légère. On se situe bien souvent à la limite du réalisme, dans des tons qui pourraient presque passer pour véritables. Presque.
L’utopie devient alors cette transformation artificielle de l’instant présent, propre aux jeunes générations pour qui l’avenir semble incertain.
Il est frappant de constater à quel point, dans les années 2010, cette nouvelle dimension de la couleur est soudainement apparue dans le travail de nombreux jeunes peintres. Une telle concordance, simultanée chez un nombre important d’artistes, ne peut correspondre qu’à un de ces moments fascinants et mystérieux de l’histoire de l’art où « il se passe quelque chose en peinture ». Une cohabitation entre le synthétique et l’organique, une exploration de la marge qui les sépare, qui semble se réduire dans l’imaginaire collectif. Et pour moi une façon de dépasser la simple évocation du monde naturel.
-
Ma connaissance de la peinture à l’huile avance très progressivement. Comme dans l’exploration d’un lieu inconnu, je prends le temps d’ouvrir les différentes portes que comporte cette nouvelle technique picturale, et d’en explorer chacune des pièces en profondeur. Lors de mes premières recherches, j’ai commencé par utiliser le potentiel du noir (série précédente : Compositions). Gouffres, abysses et cosmos sont apparus. Je recherche désormais l’intensité autrement : non plus dans la densité du pigment mais au contraire dans son infime légèreté. Comme j’ai appris à travailler les textures par la quasi absence de matière, je me demande dans quelle mesure je pourrais travailler la peinture à l’huile par la quasi absence de pigments.
Pour cela, j’utilise des lavis, ces teintes acides et utopiques, que je répands en couches infimes sur mes œuvres, façon Olivier Debré. Mon exposition Debré – Jarrosson : rencontre à la Galerie Faidherbe en juin 2021 accompagne cette évolution de mon travail. Les lavis ne suivent pas le tracé des formes préalablement peintes à la peinture acrylique. Elles s’en émancipent, parfois pacifiquement, parfois aussi en attaquant chimiquement la couche picturale qu’elles dégradent. Pour cette raison, utiliser des lavis de couleurs sur des fonds acryliques moins colorés revient à dé-corréler la forme de la couleur. Les couleurs ne rentrent plus dans les formes, ni les formes ne répondent aux couleurs.
De fait, la couleur échappe, au moins en partie, à mon travail sur le geste. Ceci pourrait être une façon de la définir : la couleur, c’est ce qui échappe au mouvement. En séparant, par le lavis, la couleur de la forme, je souhaite approfondir un travail de la couleur émancipé du geste, et m’extraire moi-même, pour un temps, de mes recherches sur la mise en mouvement de la peinture. Tourner une page dans mon travail, en me séparant, au moins temporairement, de la seule analyse chorégraphique.
-

"Utopies" de Silvère JARROSSON.

"Utopies" de Silvère JARROSSON.

"Utopies" de Silvère JARROSSON.

"Utopies" de Silvère JARROSSON.

"Utopies" de Silvère JARROSSON.

"Utopies" de Silvère JARROSSON.


N.D.L.R. : Silvère et moi avons conversé via "Facebook" et sa messagerie :


Peut-être me suis-je mal exprimé et a-t-il cru que je lui demandais de déplacer toute cette série ?
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 30 juin 2021 03:29
À : Bruno DE SA MOREIRA <bruno@histovery.com>
Objet : RE: Suivi HistoPad

Cher Bruno,

Merci pour ces superbes infos.

A cet été donc.

Bien à toi,

PPF

______________________________________________________________________________________________

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 30 juin 2021 03:24
À : Jean Thuaudet
Cc : C. F. ; T. F.
Objet : TR: Suivi HistoPad

Cher Jean,

Pour info.

Amicalement,

PPF

______________________________________________________________________________________________

De : Bruno DE SA MOREIRA <bruno@histovery.com>
Envoyé : mardi 29 juin 2021 23:45
À : penadomf@msn.com <penadomf@msn.com>
Objet : Suivi HistoPad

Cher Pierre-Paul,

Encore une fois merci pour la super soirée Arbon chez toi, et le sympathique diner improvisé.

Je t’envoie plus d’infos sur Histovery et on pourra en reparler au profit de la Chaslerie cet été quand vous viendrez trinquer à Lingeard.

Bien à toi,

Bruno

Histovery Press review

Discover HistoPad :

First HistoPad in Germany, the Albrechtsburg in Meissen.

HistoPad Royal Castle of Amboise: https://vimeo.com/314512921

HistoPad Paris City Tour: https://vimeo.com/376864700

Découvrir tous nos projets.


(Fin de citation)
(Début de citation)

De : AUMAND William
Envoyé : mercredi 30 juin 2021 15:48
À : Jean Thuaudet
Cc : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>; T.F.
Objet : Re: Message pour M. William AUMAND"

Bonjour M. Thuaudet,

Pour la marque de filament sans erreur je dirai le Prusament de la marque Prusa justement. Le Prusament est un PLA abordable tout en restant qualitatif.
Autre marque recommandée : le Fillamentum.

Une couleur claire est ce qui vous donnera le meilleur rendu, attention à ne pas partir sur un blanc trop clair pour autant car le risque est de perdre de profondeur. De même pour le noir, trop de noir = pas assez de relief visible.
Une couleur crème ou jaune est donc pas mal pour limiter l’aspect visuel des couches. En maquette, le gris-bleu est pas trop mal aussi comme compromis car de la couleur apporte de la chaleur au visuel.

Pour augmenter un cran la qualité il faudrait partir sur du filament PS (polystyrène) qui serait plus fin dans sa couleur blanche mais ce filament sera un peu plus technique mais également moins écologique que du PLA.

Bonne fin de journée,

William Aumand, fabmanager au FougèresLab
2 Esplanade Chaussonnières - 35300 Fougères
www.fougereslab.fr - ‭02.57.70.00.83‬

_______________________________________________________________________________________________

Le 24 juin 2021 à 14:23, Jean Thuaudet a écrit :

Bonjour,

M. Fourcade et moi même sommes dans l'attente des imprimantes commandées, que j'assemblerai .
Pour ce qui concerne le filament, ce sera du PLA en 1,75, mais auriez-vous une marque et/ou un site à me conseiller svp pour cet achat ? Et en fonction de votre expérience, quelle couleur rendrait le mieux selon vous pour la maquette du manoir ?
Merci d'avance.
Bien cordialement,
Jean Thuaudet

(Fin de citation)
J'ai pu joindre hier, au téléphone, Mme Dominique DELAUTRE, propriétaire avec son époux Jean-Luc du magnifique château de Fénelon :

Fénelon.

Elle m'a communiqué les coordonnées de l'artisan qui a confectionné la maquette de son château :

Fénelon.


Il s'agit de Jacques HENNEQUIN, qui travaille sous l'enseigne "JH3D".

P.S. (du 2 juillet 2021 à 18 heures): Jacques HENNEQUIN vient de m'appeler. Je lui ai demandé de préparer des devis pour :
- une maquette incluant le "Pournouët" supposé restauré selon les plans que Marc LECHIEN, paysagiste, avait préparés dès l'été 1991 ; il était intervenu sur la recommandation de Nicolas GAUTIER, A.B.F. ; c'était certes quelque peu prématuré mais voici une occasion que ce travail serve enfin ; cette maquette engloberait ainsi les douves ;
- une maquette limitée aux bâtiments sur cour ;
- le couvercle en plexiglas à prévoir, pour protéger la maquette qui serait retenue, étant entendu que sa largeur ne saurait être supérieure à un mètre, de manière à ce que l'objet puisse être déposé sur la grande table de mon ancien bureau, au premier étage du colombier.

S'agissant des douves et du logis, j'ai demandé que leur représentation intègre :
- le mur d'escarpe des douves, à l'Est du Pournouët, supposé restauré ;
- le relèvement de la couverture du logis d'une soixantaine de centimètres, pour lui redonner ses proportions d'origine telles qu'elles nous sont connues d'après une gravure antérieure à l'incendie de 1884

Le logis de la Chaslerie en 1852.


A une époque où, depuis dix-huit mois, mon chantier favori a été de fait bloqué, j'ai en effet besoin de rêver à ce à quoi il pourrait aboutir.