Animation, fêtes, visites

Roland BOUSSIN est revenu aujourd'hui à la Chaslerie pour compléter les échafaudages du fournil de la ferme, en compagnie de son gendre et bras droit, Franck LIEGEAS :

26 novembre 2010, pose des échafaudages sur le fournil de la ferme.

Nous avons discuté du calendrier de ses futures interventions. Son équipe devrait restaurer à l'atelier la charpente du fournil pendant les prochaines semaines. Il faudra qu'au préalable, il aille récupérer des poutres qui m'ont été vendues sur les conseils de Jean LEMARIE, mon ami antiquaire-brocanteur.

Roland me promet son retour à la Chaslerie pour la fin janvier, afin de commencer sur place les travaux de charpente et de couverture de ce fournil. Je lui ai demandé qu'à cette occasion, il découvre l'extension Sud de la ferme, afin que Pascal puisse ensuite restituer son aspect de longère. Dans cette perspective, il serait souhaitable que Lucyna GAUTIER, l'architecte, puisse dessiner les lucarnes destinées à remplacer les fenêtres du 1er étage de cette extension ; Roland BOUSSIN m'indique toutefois qu'elle a dû repartir en Pologne, pour y être au chevet de sa mère.

En discutant avec Roland, je me suis aperçu que la charpente du corps de la ferme avait bougé. Cela m'est apparu au niveau de la sablière Ouest :

26 novembre 2010, vue des sablières Ouest de la ferme.

Roland m'a expliqué que ce désordre était dû aux travaux réalisés à l'intérieur du bâtiment. Nous y avons en effet retiré des sommiers et deux cloisons intérieures, de sorte que le poids de la couverture a tendance à faire s'écarter les murs. En raison des délais courus entre cette modification, il y a quatre ans déjà (comme le temps passe vite, à la Chaslerie !), et la reprise qui n'est toujours pas intervenue, le désordre risquerait de se développer si nous n'y parions vite. Il va donc falloir remonter prioritairement l'une des cloisons intérieures. Voici donc une mauvaise nouvelle mais, heureusement, nous nous sommes aperçus du problème à temps.

Avec Roland, nous avons également programmé ses travaux sur les écuries du manoir avant la fin de 2011. A défaut de respecter cette échéance, je risquerais en effet de perdre le reliquat de la subvention accordée par le conseil général de l'Orne et ce serait stupide. Je vais cependant tâcher d'obtenir du conseil général qu'il relâche cette contrainte, assez gênante en l'état de mes autres priorités.

De son côté, Pascal a fini de remonter le jambage droit de la porte extérieure du bâtiment Nord :

26 novembre 2010 à 16 heures.

La photo suivante permet de mieux voir en quoi a consisté son intervention :

26 novembre 2010, vue de la porte extérieure du bâtiment Nord en cours de remontage, prise de l'intérieur du bâtiment.

L'embrasure de la porte a été nettement ouverte et ... nous avons pensé en temps utile à l'électricité !

Quant à Bernard, il a achevé de couper l'herbe devant le manoir :

26 novembre 2010, Bernard à la débroussailleuse et en tenue de combat !

Tout est donc en ordre pour dimanche prochain (après-demain) à 11 h 30 : il y aura alors messe en latin à la chapelle de la Chaslerie, qu'on se le dise !

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 28 Novembre 2010
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites
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La foule, ou presque, se presse ce matin à la chapelle Sainte Anne de la Chaslerie...

28 novembre 2010, à l'entrée de la chapelle.

...18 adultes et 16 enfants, dont 5 enfants de choeur qui servent la messe autour de l'abbé TALBOT.

Un quarteron de chantres, dûment entraînés, donne le la :

28 novembre 2010.

@ Brigitte BUCHOT :

Diable, c'est un véritable interrogatoire ! Merci en tout cas pour votre message, auquel je vais essayer de répondre.

La photo est sombre et c'est à dessein. Je voulais en effet montrer à quel point il faisait nuit, ce matin, à 7 h 30 à la Chaslerie. Si vous voulez bien y prêter attention, vous apercevrez toutefois, sur la gauche de la photo, l'ombre du logis, et au centre la porte cochère. Cette photo peut être rapprochée, notamment, de deux autres prises la semaine dernière, par temps de neige, du même endroit. Ceci dit, j'admets bien volontiers que cette photo quasiment noire n'est pas la meilleure que j'ai prise...

Oui, je vis en ce moment à temps plein à la Chaslerie. Vous avez compris qu'il faut être quelqu'un d'un peu spécial pour accepter, après dix-neuf ans de travaux, d'habiter dans un local encore dépourvu des agréments minimaux, comme on dit, du confort moderne. Question d'habitude, ou de tempérament. Nos ancêtres, dans les cavernes, devaient disposer d'encore moins de confort que moi, je pense. Cela ne les a pourtant pas empêchés d'engendrer les belles pousses que nous sommes, incontestablement.

La température est fraîche, à l'intérieur du logis, c'est indéniable. Or il faudrait brûler un stère de bois par journée et par cheminée, déménager les bûches salirait mes cachemires et mes mains et, en plus, 80 à 90 % de la chaleur partirait directement dans l'atmosphère. Donc j'y ai renoncé, du moins quand je suis seul. Mais on dit que le froid conserve...

Les conditions de visite sont explicitées en début de l'onglet "Visite" de ce site internet.

La nuit dernière, j'ai trouvé la température agréable, ainsi que je m'en suis rendu compte lorsque, lors de chacune de mes insomnies, j'ai traversé la cour pour me rendre à mon bureau et rédiger l'un de ces messages qui, à l'évidence, captivent les habitués, ce qui me réjouit toujours.

Le programme des travaux est modulable selon les conditions atmosphériques. La semaine dernière, j'ai néanmoins demandé à Pascal, le maçon, de s'abstenir de revenir car il faisait trop froid, même pour les travaux intérieurs dont je peux remonter le niveau de priorité. De façon générale, je sais que mon maçon a besoin de travailler pour nourrir sa famille et je veille à l'employer autant que faire se peut. Je suis d'avis que j'ai des responsabilités à son égard, et désireux de les assumer le moins mal possible.

J'espère vous avoir éclairée mieux que la photo qui vous a frappée, ce qui ne devait pas être trop difficile.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 7 Décembre 2010
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis - Bâtiment Nord - Animation, fêtes, visites - Vie des associations
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@ Guy HEDOUIN :

Je trouve votre ton badin et même un tantinet moqueur en cette fin de soirée. Que vous arrive-t-il, vous êtiez jusque là si sérieux dans vos interventions sur ce site ? Serait-ce d'avoir été libéré des glaces qui vous bloquaient ces derniers jours ?

Je voudrais vous rassurer.

D'abord, ce n'est pas moi qui ai bu seul les quatre bouteilles que vous voyez, sur la table des "routiers", en plus de la carafe. Chez Eric ANDRE (voir son adresse et ses coordonnées sous l'onglet "Liens"), on déjeune fort correctement pour 11 €Â€, boissons comprises servies sans compter. Mais quand même ! Les deux cadavres de bouteilles de gauche avaient été laissés là par d'autres clients qui nous avaient précédés. Quant aux deux nôtres, elles sont loin d'être vidées (au moins sur la photo), même à trois. Et, avec l'esprit d'observation qui vous caractérise, plus vos attaches vikings, vous comprendrez vite que, dans nos verres, il y avait du bon cidre du coin. Voici donc un premier mystère résolu, je l'espère. Mais c'est vrai, il me reste encore pas mal d'efforts à faire pour retrouver ma taille-mannequin...

Deuxièmement, les pierres. Là, je ne saisis pas bien ce que vous voulez dire sur la trop grande régularité que vous croyez déceler dans le travail de Pascal. Certes, votre photo est excellente et la lumière rasante permet de se faire une idée très précise du (ou plutôt des) type(s) d'appareillage des pierres sur les deux murs, celui Sud du bâtiment Nord et celui Ouest du logis. Je ne saurais donc trop vous conseiller de ne pas attendre davantage pour vous inscrire au concours-photo que nous organisons (voir le règlement du concours sous l'onglet "Vie de l'association"). C'est gratuit, vous me paraissez très doué, et vous auriez de grandes chances de le gagner, même s'il y a déjà plusieurs concurrents de qualité en lice.

Mais je cesse de persifler (même si j'aime assez ça...). Plus sérieusement, vous voyez bien sur votre photo qu'il y a au moins deux appareillages des grès des murs, et deux autres des granites des ouvertures :

- Sur la partie du logis que vous apercevez sur votre photo, les fenêtres ont été percées vers le milieu du XVIIIème siècle. C'est à cette époque que le mur Ouest du logis a été bouché à cet endroit pour masquer la cicatrice occasionnée par la disparition d'un bâtiment qui avait été construit en deça et le long du mur d'enceinte Nord de la cour. On voit que les grès sont assez régulièrement posés et que les granites le sont très régulièrement, c'était le tout début de l'industrialisation des carriers. Ce faisant, la facture de cette partie de mur est quelque peu plus sèche que celle des autres parties des murailles du logis, que l'on n'aperçoit pas sur votre photo.

- Quant au bâtiment Nord, je vous rappelle, puisqu'apparemment la photo vous en avait échappé, à quel point les percements d'ouverture opérés par mes prédécesseurs il y a moins de cinquante ans étaient moches et ratés, comme hélas un peu trop de leurs interventions, à mon goût, du moins. Regardez donc ces fenêtres carrées. N'est-ce pas littéralement abominable ? On se croirait presqu'en face d'un mas provençal, ce qui n'a rien à faire ici...

La façade sur cour du bâtiment Nord lors des travaux de restauration de sa couverture en 1993.

Quant au grès, comme ce mur est très ancien, il est posé très irrégulièrement. Depuis que Pascal a commencé à réduire la largeur de ces ouvertures, je lui donné instruction d'atténuer la sécheresse des granites qu'avaient employés mes prédécesseurs et qui n'étaient, du moins pour toutes les fenêtres, rien d'autre que du réemploi sec de pierres tombales du secteur, ne l'oublions pas. Je remontre la photo qui en témoigne :

2 avril 2008, inscription sur un granite de la fenêtre Est du 1er étage du bâtiment Nord.

Si vous fréquentez des ayants-droit d'une famille CHEMINEAU de Domfront, vous pourrez toujours leur demander s'ils reconnaissent cette inscription.

Voici très exactement la porte (et la fenêtre au-dessus) avant mes travaux :

Etat de deux ouvertures du bâtiment Nord en septembre 1993.

Alors, cher M. HEDOUIN, pourriez-vous me préciser, à ce stade de mes explications, quelles pierres de Pascal vous paraissent encore trop grosses ou trop régulièrement posées ? Ceci, étant entendu que je ne démolis pas mais que je me borne à corriger des horreurs ou à remédier à une trop longue incurie.

Vous avez parfaitement répondu à mes interrogations, mais des pierres plus petite sous le linteau ne seraient pas mal.

Je trouve l'appareillage du logis très joli, que l'éclairage rasant met bien en valeur.

19 septembre 2010, photo du logis par M. HEDOUIN.

19 septembre 2010, photo de la porte du logis par M. HEDOUIN.

Vous semblez utiliser du ciment, la chaux naturelle ne vous dit rien ?

Pour pouvoir participer au concours-photo, il faudrait que j'habite plus prés de vous, car en une journée on n'aura pas tous les éclairages nécessaires.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 9 Décembre 2010
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites
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Elles étaient trois participantes au concours-photos. Elles sont passées dans l'après-midi pour profiter d'une jolie lumière. Elles n'ont pas voulu que "j'immortalise" leur passage. J'ai désobéi une fois que j'ai été sûr que personne ne les reconnaîtrait :

8 décembre 2010, trois artistes s'enfuient à tire d'aile.

Constatant mon intérêt pour BRASSENS et pour la messe en latin, un visiteur me met au défi de mettre en ligne la chanson que lui a consacré ce moine paillard.

Et pourquoi pas ? Je crois avoir montré que j'étais ouvert à toutes les contributions. Et d'ailleurs, je ne vois là rien de fondamentalement différent de mes opinions (bien entendu, cet avis m'est purement personnel).

Mais, tant qu'à citer BRASSENS, j'aimerais aussi chantonner "la chasse aux papillons", "pauvre Martin" ou la "supplique pour être enterré sur la plage de Sète".

Et puisqu'on évoque la chapelle de la Chaslerie et ses usages, je me permets de rappeler, à toutes fins utiles, que je souhaite, lorsque le temps sera venu, y être enterré sous une des dalles d'ardoise prévues à cet effet ; je regretterai seulement de ne pouvoir, au terme de mon âge, m'y rendre en "sleeping du Paris-Méditerranée, terminus en gare de Sète" ni davantage y jouer des effets d'ombrage sur quelque ondine de passage.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 20 Décembre 2010
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites
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Vous vous souvenez peut-être qu'à l'occasion de la Sainte Anne, j'avais lancé un appel pour que me soient adressées les photos que les uns et les autres aviez prises.

Il aura donc fallu cinq mois pour que le premier d'entre vous réagisse ; il s'agit du frère cadet de Carole, Denis CHASTEL-SAUZET, que voici dans la charretterie, à côté de sa fille Pauline :

25 juillet 2010, Denis et Pauline.

Grâce à lui, je nous vois enfin ! D'abord Carole avec les danseurs du "Trou Normand" et Stefan JAKUBOWSKI, notre Ecossais préféré :

25 juillet 2010, Carole au milieu des artistes.

et encore :

25 juillet 2010.

puis moi, un peu lessivé, en fin de journée :

25 juillet 2010, avec Pascal.

Puis, exceptionnellement, nous deux ensemble !

25 juillet 2010, avec le conteur Ozegan.

Voici notre Katangais favori en plein show :

25 juillet 2010, Roland FORNARI, forgeron d'art, présente ses productions.

et voici Roland BOUSSIN en train d'expliquer, notamment à Pascal POIRIER, comment découper les épaisses ardoises Armen :

25 juillet 2010, Roland BOUSSIN et Pascal POIRIER.

Voici quelques autres photos de la fête, prises en fin de journée ; les danseurs du "Trou Normand" en train de se produire dans l'arrière-cour :

25 juillet 2010.

OZEGAN, à l'angle Nord-Est du Pournouët (j'ai inclus cette photo dans cette sélection car elle me semble bien mettre les arbres en valeur) :

25 juillet 2010.

OZEGAN en train de charmer petits et grands (n'est-ce pas, Mme ZANDRONIS ?) :

25 juillet 2010, OZEGAN, héros des jeunes de 7 à 77 ans.

Pour conclure, une photo prise par Denis sous un angle inédit pour moi :

25 juillet 2010, la cave, vue de la ferme.

Enfin, un bouquet de roses pour nous rappeler longtemps cette fête de la Sainte Anne 2010 à la Chaslerie...

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 29 Décembre 2010
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M. MORICEAU, journaliste au "Publicateur Libre" est venu nous interviewer, Marie-Annick de SAINT MELOIR et moi, à propos de notre concours-photos.

Comme il rentre lui-même d'un stage photographique à Rennes où il a appris à cadrer ses vues de façon très originale, il nous a demandé, à notre présidente unique et préférée et à moi, de nous livrer à quelques acrobaties et contorsions sur l'herbe humide de la Chaslerie.

Si vous voulez en savoir plus, ne manquez donc pas le numéro du "Publicateur" qui paraîtra dans huit jours !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 8 Janvier 2011
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L'article de M. MORICEAU est en effet paru dans le "Publicateur libre", désormais vecteur domfrontais du groupe "Ouest-France" :

6 janvier 2011, article du "Publicateur libre".

Comme toujours depuis qu'une nouvelle équipe est en charge de ce journal, je trouve cet article bien fait et, surtout, d'un bon état d'esprit. C'est agréable, quand je feuillette cet hebdomadaire le samedi matin en dégustant un "grand chocolat chaud" au café à Domfront, de ne plus redouter les éclaboussures d'un nouveau pavé lancé dans la mare par un chenapan non repenti et bien connu localement.
Suite à notre dernier échange, je ne suis pas surpris que M. Bidard ne vous ait pas informé qu'une partie du bâtiment était située sur l'emprise communale.

J'ai eu un entretien téléphonique avec lui où il m'a été trés désagréable. Je crois qu'il aurait pu avoir la délicatesse de m'informer qu'il avait changé d'avis et négocié le bâtiment.

Je suis satisfait que ces pierres puissent être utilisées à la restauration du manoir de la Chaslerie, et vous remercie pour le déblaiement de la partie communale qui facilite la circulation sur ce chemin. En contrepartie vous avez récupéré la pierre située sur la partie communale.

Heureux d'apprendre qu'un article du code de l'urbanisme peut nous simplifier la vie.

En ce qui concerne "l'effervescence" de nos lotissements, celle-ci n'est pas très importante en comparaison de nos communes voisines (Lonlay L'Abbaye, St Bômer les Forges). Ainsi nous pouvons accueillir des familles bénéficiant d'un logement confortable afin d'élever leurs enfants dans de bonnes conditions et donc accéder à la propriété. Il faut reconnaître que le marché sur le bâti ancien et sa restauration étaient devenus inabordables pour de nouveaux foyers accentués par la clientèle anglaise.

En tant que maire, j'ai des retours positifs sur les lotissements créés.

Concernant les panneaux de signalisation du manoir, aprés renseignements différents éléments sont pris en compte qui vont définir le modèle de panneaux règlementaire à implanter et donc le coût ; dont le nombre de visiteurs annuels, vous voudrez bien me communiquer ce chiffre pour suite à donner.

@ Roger GRIPPON :

Merci pour votre dernier message. Le nombre de visiteurs "réels" de la Chaslerie est d'environ 2 000 par an, à quoi peuvent s'ajouter, en extrapolant les statistiques récentes, 14 000 visites "virtuelles" annuelles.

Je suis heureux de vous avoir rassuré sur un point de réglementation, certes dissimulé dans un recoin d'un code bien rébarbatif en effet. Comme vous, je déplore le foisonnement excessif, et souvent la complexité, de tous les textes législatifs, réglementaires et autres que les élus de ce pays sont obligés de connaître et d'appliquer. Ils consacrent à la collectivité beaucoup de leur temps libre et de leur énergie et nous devrions tous leur en être sincèrement reconnaissants car cette tâche peut parfois sembler bien ingrate.

Enfin, s'agissant des disparités constatées en matière immobilière au niveau de la communauté de communes, je comprends fort bien que l'on ne puisse donner satisfaction à tout le monde en même temps. Mais l'on peut se demander s'il ne serait pas judicieux que les équilibres à respecter fassent l'objet d'une coordination effective au niveau du bassin d'emploi. C'est là un vaste débat et nous pourrions échanger à ce sujet des arguments contrastés pendant un bon moment. Cela amènerait d'ailleurs à se demander si, telle qu'elle est actuellement dirigée, la communauté de communes du Domfrontais utilise au mieux les compétences et les moyens de son conseil.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 30 Janvier 2011
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Depuis un message laissé sous cet onglet le 2 décembre 2009, on sait qu'un important groupe de cyclotouristes passera à la Chaslerie le 4 août prochain, dans le cadre de la Semaine Fédérale de Cyclotourisme qui doit se dérouler à Flers du 31 juillet au 7 août 2011.

Les festivités de l'été prochain dans le secteur ne s'arrêteront pas là, comme nous le rappellent plusieurs articles parus cette semaine dans le "Publicateur Libre".

Le 2 juillet, il y aura rendez-vous à Domfont pour le comice agricole cantonal.

Extrait du numéro du 27 janvier 2011 du "Publicateur libre".

Le maire de La Haute Chapelle nous invite à y participer et nous le ferons bien volontiers : il faut encourager les éleveurs du canton, d'autant que la conjoncture est très dure pour eux en ce moment.

2ème extrait du numéro du 27 janvier 2011 du "Publicateur libre".

Les 5, 6 et 7 août, ce seront les Médiévales de Domfront, un festival bisannuel devenu une tradition courue.

3ème extrait du numéro du 27 janvier 2011 du "Publicateur libre".

Ce sont là autant de (très) bonnes occasions de (re)découvrir le Domfrontais. A marquer sur nos tablettes !
Marie-Thérèse ROBILLARD
rédigé le Mardi 8 Février 2011
Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Animation, fêtes, visites - A la Chaslerie - Annonces
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Dans le cadre de la semaine fédérale de cyclotourisme, une cyclo-découverte (sortie vélo encadrée) fera une petite pause-étape à la Chaslerie le jeudi 4 août prochain, dans la matinée, afin d'admirer les extérieurs de ce très beau manoir. Il y aura, au maximum, 4 groupes de 20 personnes qui s'y attarderont donc un peu. Merci de bien vouloir accepter notre passage.

Cordialement.

M.Thérèse ROBILLARD, secrétaire de la Commission cyclo-découvertes du COSFIC de FLERS
Le malheureux est actuellement en dépôt à Notre-Dame-sur-l'Eau, à Domfront.

Il serait beaucoup mieux dans la chapelle de la Chaslerie où il pourrait être restauré à mes frais, continuer à être montré au public et, surtout, être mis hors d'atteinte des vandales qui le détériorent beaucoup trop souvent.

Quel élu aura l'intelligence de décider ce transfert ?

Bonsoir,

Vu de loin cela en jette, mais alors les soirées vont être animées à La Chalerie, si Madame n'a pas donné son feu vert, je vous plains.......

Il ne perd pas son temps votre ferronnier, il sympathise vite.

Si je regarde attentivement le gros plan de votre grille, la disposition des trous renflés me surprend.
Une fois ils sont sur la barre verticale et une autre fois sur l'horizontale, est ce volontaire?

Je pense que les VMF de La Manche vont apprécier, en souhaitant que vous soyez présent.

Bonne soirée

@ Brigitte BUCHOT :

Votre réaction au sujet des grilles rejoint les points de vue de Thibaud et de Carole, même si cette dernière a sensiblement réduit la vigueur de ses critiques.

Cela démontre, selon moi, que les travaux consentis pour restaurer un monument historique ne sont pas toujours compris par - excusez-moi de vous traiter ainsi - les profanes.

En d'autres termes, la "plus-value latente", comme disent les gens des impôts, apportée par de tels travaux sur un monument est vraisemblablement une moins-value. C'est donc là un exemple que je pourrais produire au fisc si jamais le funeste projet d'"I.R.F." en cours de mise au point venait à voir le jour.

Je pense cependant avoir bien agi, dans l'intérêt du bâtiment et en respectant l'"esprit des lieux". Il me semble, d'après leurs réactions, que des observateurs avertis comme Guy HEDOUIN et les professionnels de la restauration de monuments comme Nicolas et Lucyna GAUTIER ainsi que Marie FRULEUX, partagent mon point de vue.

Donc, j'écouterai attentivement toutes autres réactions à venir à propos de ces grilles. D'autant, on l'a compris, que j'ai bien l'intention d'en rétablir d'autres et de ne plus laisser orphelins tous ces œillets plantés il y a des siècles dans les joints des chambranles des fenêtres.

P.S. : Le débat sur les grilles se développe. A propos du "papier" de Roland FORNARI, une autre visiteuse du site m'écrit :

"Je vois :
- de la mauvaise foi, toute de gauche ;
- que, malgré ses lectures si nombreuses, Monsieur n'a pas appris à écrire de façon moins prétentieuse et à ne pas user d'artifices pour camoufler des maladresses... et "essayer de faire croire ce qui n'est pas "!"

Moi, je persiste à trouver de la noblesse et une grande humanité dans le point de vue de Roland et, au moins à ce sujet, je partage pleinement sa façon de voir, de penser et de s'exprimer.