Message #48965

Cette plongée dans mes archives, pour rébarbative et chronophage qu'elle soit, montre quand même quelque utilité : si je me souvenais d'avoir planté l'étude préalable à la restauration du mur d'escarpe des douves, j'avais complètement oublié que Lucyna GAUTIER avait déjà livré une bonne base de départ pour les réflexions sur de tels travaux :


Comme l'on sait, il s'agit là d'un des deux projets pharaoniques qui me tiennent à cœur (l'autre étant le relèvement de 60 cm de la charpente du logis, afin de redonner à celui-ci ses dimensions d'origine), réalisations qui constitueraient le couronnement d'une restauration complète de la Chaslerie.

Toutefois et selon moi, la restauration des douves est conditionnée par deux préalables :
- disposer des pierres utiles ; à ce sujet, j'ai, tel l'écureuil avec ses noisettes, commencé une collection de pierres appropriées voici une vingtaine d'années ; à ce jour, il en manque encore une forte proportion pour arriver à ce qu'on ne voie pas de différence avec les pierres qui ont subsisté du mur d'origine ; mais j'ai dans le collimateur un important lot qui serait parfait à cette fin ;
- disposer de deux tâcherons qui permettraient d'abaisser le coût de cette restauration (à l'instar de ce que j'avais réussi pour le mur Ouest de la douve Nord).

Sauf miracle, je ne serai pas en mesure de financer ce second préalable, donc ne verrai pas ce mur restauré ni ce qu'il pourra advenir du Pournouët par voie de conséquence, avec des plantations à la CALLOT.

J'espère donc que mes successeurs auront la possibilité et le goût de mener cette œuvre à bien.

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