Electricité

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 29 Novembre 2012
Journal du chantier - Electricité - Ferme et son fournil
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Un jeune voisin, qui s'y connaît en électricité, m'a envoyé à l'instant un S.M.S. dont j'extrais le passage suivant : " j ai vu pour votre plancher flottant sur votre site de la chalerie (...) avec les tope sa le fera c et juste que la chaleur ora du mal a monter au debut me sa changera rien a la consomation".

Voici donc qui recoupe l'avis de Guy HEDOUIN et qui, de surplus, me confirme agréablement que les jeunes du pays ont d'excellentes lectures matinales.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 3 Décembre 2012
Journal du chantier - Electricité - Logis
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Atmosphère digne d'un LA TOUR sous les combles du logis...

1er décembre 2012, au-dessus de la cage d'escalier du logis.

... où le confort moderne est pourtant en train d'arriver :

1er décembre 2012, au-dessus de la

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 20 Décembre 2012
Journal du chantier - Electricité - Tour Louis XIII
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Dans la future chaufferie, Jonathan est en train de disposer des tubes destinés à recevoir des fils électriques. Ce sont là les derniers travaux avant le début effectif du pavage :

20 décembre 2012, menus travaux d'électricité.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 27 Décembre 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Plomberie-chauffage - Electricité - Bâtiment Nord
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Au premier étage du bâtiment Nord où Jonathan a fait hier le ménage, je m'efforce d'imaginer comment on va pouvoir poursuivre les travaux.

Voici en effet comment se présentent, en l'état du chantier, la future chambrette n°1 (celle située au-dessus de l'ancienne cuisine)...

27 décembre 2012, vue vers l'Est.

27 décembre 2012, vue vers l'Ouest.

... la future chambrette n°2 (celle située au-dessus de la future "chambre mortuaire")

27 décembre 2012, vue vers l'Ouest.

27 décembre 2012, vue vers l'Est.

27 décembre 2012, autre vue vers l'Est.

... ou la future passerelle :

27 décembre 2012, vue vers l'Est.

Il va falloir commencer par mettre de l'ordre dans les circuits du chauffage et de l'électricité. Puis on pensera à enduire les murs. Enfin, on terminera par les sols. C'est en tout cas ainsi que je vois les choses à ce jour...

Bonjour,

Concernant le problème du chauffage au sol, je vous confirme qu'il n'y aura aucun souci de diffusion avec vos tomettes.
Nos nombreuses expériences depuis 30 ans me permettent de vous l'assurer.
Vous aurez seulement une inertie plus importante
(lorsque vous rencontrerez Michel JARDIN, n'hésitez pas à lui poser la question...).

Sinon, concernant vos enduits naturels sur placo, il serait préférable d'utiliser du fermacell avec des enduits de finition en terre, en chaux (en pâte ou en poudre) ou en pâte à papier.

Cordialement

N.D.L.R. : Merci pour les conseils ! A bientôt !

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 4 Juillet 2013
Journal du chantier - Electricité - Ferronnerie - Logis - Bâtiment Nord - Ferme et son fournil
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Je viens de toper avec Roland FORNARI à propos de la fabrication et de la pose :
- d'un garde-corps pour l'escalier du bâtiment Nord ;
- de deux cache serrures pour la porte extérieure du fournil de la ferme ;
- de deux lanternes extérieures pour le logis ;
- d'une lanterne extérieure pour le bâtiment Nord.

Certes, il vaut mieux ne pas être pressé quand on discute avec Roland mais, pour ce qui concerne le garde-corps, il écrase la concurrence qui, je le pense, s'était bel et bien fichu de moi avec son devis stratosphérique, obtenu non sans mal. Je signale cependant que le garde-corps de Roland sera sans lisse basse, ce qui, m'assure-t-il sera à la fois plus solide et plus esthétique.

Roland m'annonce la livraison et la pose de ces ustensiles pour le mois d'août 2013...

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 11 Juillet 2013
Journal du chantier - Electricité - Menuiserie - Bâtiment Nord - Ferme et son fournil
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A l'issue des appels d'offres que j'avais lancés, je viens d'accepter deux devis :

- pour le chauffage électrique par le sol du fournil de la ferme, celui de Freddy JARDIN, de l'entreprise E.J.S. de Domfront ;

- pour le plancher de la chambrette en soupente du bâtiment Nord, celui de Michèle RENY, de la "Menuiserie artisanale du pays de Camembert", basée à Vimoutiers.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 13 Juillet 2013
Journal du chantier - Plomberie-chauffage - Electricité - Fournil du manoir
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Les vacances familiales à la Chaslerie se préparent. Carole ayant eu l'idée de donner satisfaction à l'une des grandes revendications de W.F., à savoir le loger dans le fournil du manoir quand il est de passage par ici, il ne me restait plus qu'à retrouver comment raccorder cet édicule à l'électricité. J'avais commencé à préparer la chose il y a une vingtaine d'années lorsque j'avais restauré le gros-œuvre de cette annexe mais je ne me rappelais plus en quoi consistait l'installation électrique et, surtout, ce qui restait à réaliser.

Ludovic PHILIPPE, petit-fils de ma voisine la plus proche et ancienne femme de ménage, a accepté de traverser le Beaudouët et de me donner rapidement un coup de main ; il a tout retrouvé :

- les fusibles :

13 juillet 2013, les fusibles dans le fournil du manoir.

- le regard enterré sous une plate-bande de capucines :

13 juillet 2013, le regard près de l'entrée du fournil du manoir.

- et le point de départ du branchement, à un coin du bâtiment Nord dissimulé derrière des hortensias :

13 juillet 2013, à l'angle Nord-Ouest du bâtiment Nord.

Ce petit local devrait donc être à même, d'ici quelques jours, de recevoir des hôtes plutôt exigeants en matière de confort.

Ou presque. Car il resterait à aménager un petit cabinet de toilettes au 1er étage de ce fournil. Les réservations existent là aussi. Donc il ne faut pas perdre espoir. Il suffit juste de gagner à la Loterie Nationale.

En attendant, la douve Nord est à côté.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 17 Juillet 2013
Journal du chantier - Plomberie-chauffage - Electricité - Ferme et son fournil
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Conférence au sommet dans le fournil de la ferme. De gauche à droite, Freddy JARDIN (l'électricien), M. DELTA (le plombier), Jo et un employé de Freddy :

17 juillet 2013, dans le fournil de la ferme.

L'une des questions était de savoir à quoi correspondent toutes les réservations pour les fluides qu'on observe à droite et à gauche. Le problème, bien connu de Jo, est que je définis le programme au fur et à mesure du chantier, en fonction de nos découvertes et sans plan "a priori" ni même "a posteriori".

C'est comme ça, faut s'y faire !

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 9 Septembre 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Plomberie-chauffage - Electricité - Fournil du manoir
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Pour l'aménagement du 1er étage du fournil du manoir, j'avais compris depuis quelque temps qu'il serait inutile que j'y installe une douche, les projets initiaux de piscine ou de court de tennis étant rapidement tombés à l'eau. La jeune classe thibalducienne nous a convaincus ce week-end qu'une cuvette de w.-c. à cet endroit serait plus encombrante qu'indispensable ; exit cette idée ; du cabinet de toilettes imaginé il y a 20 ans, il ne restera plus qu'un lavabo.

J'ai donc demandé ce matin à Jonathan de creuser le mur afin de faciliter la tâche du plombier et de l'électricien qui achèveront prochainement l'aménagement de cet espace sur ces nouvelles bases.

9 septembre 2013, au 1er étage du fournil du manoir.

9 septembre 2013, au 1er étage du fournil du manoir.

Ainsi, pour les grandes vacances de 2014, le fournil du manoir devrait enfin pouvoir servir de chambre d'amis.

Qu'on se le dise, où qu'ils se trouvent !

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 11 Septembre 2013
Journal du chantier - Plomberie-chauffage - Electricité - Menuiserie - Bâtiment Nord
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Nous progressons ! Je disposerai bientôt d'une chambre où passer l'hiver à la Chaslerie !

Dans la chambrette en soupente, au 1er étage du bâtiment Nord, mon lit est en effet arrivé mais pas encore la couette :

10 septembre 2013, la chambrette en soupente.

Dans cette pièce, il reste encore à :
- installer le radiateur ; le plombier devrait le faire mardi prochain ;
- terminer l'installation électrique ; j'attends toujours les pièces demandées au "Bazar de l'électricité" à Paris ; on peut dire qu'ils ne se dépêchent guère ;
- fabriquer et poser la marche d'accès au dressing ; j'ai passé commande à Sébastien LEBOISNE, nettement moins cher que son concurrent que j'ai également interrogé.

Ultérieurement, il faudra fabriquer et poser un cache-radiateur et des étagères. Mais nous n'en sommes pas là.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 5 Octobre 2013
Journal du chantier - Electricité - Bâtiment Nord
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Dans ma cellule monastique, j'en suis à faire des essais de boutons électriques. Près de la porte, deux ronds : il s'agit de boutons de la marque italienne "Fontini" et du modèle "Garby colonial" :

5 octobre 2013, la

Je me demandais si la porcelaine blanche ne jurerait pas sur le mur mais il me semble que ça ne passe pas trop mal.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 6 Novembre 2013
Journal du chantier - Electricité - Menuiserie - Ferme et son fournil
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J'ai fait un tour au fournil de la ferme cet après-midi pour inspecter les lieux.

Bonne nouvelle, la pièce ne semble pas humide. Si cela se confirme, on pourra poser au printemps le chauffage électrique par le sol.

En revanche, les menuiseries extérieures réalisées par un "meilleur ouvrier de France" se comportent mal : la porte a gonflé et ne ferme plus du tout ; les fenêtres fonctionnent grâce à l'intervention de Sébastien LEBOISNE qui a su limiter les dégâts et réparer, sur ces châssis, les erreurs manifestes de son prédécesseur qu'on ne reverra plus à la Chaslerie.

Voici mon historique des constructions de la Chaslerie :

(début de citation)

. J'ignore s'il n'y avait qu'une ferme à l'origine ; mon hypothèse est qu'il y avait un manoir détruit par les Anglais au début de la guerre de 100 ans, qui avait permis à une famille de costauds de contrôler le gué voisin (le Guéviel, au confluent du Beaudouët ou Choisel et de l'Egrenne, distant d'environ 500 mètres du manoir actuel), point de passage obligé pour se rendre à l'abbaye de Lonlay en venant du Sud. Mon hypothèse est que l'ancien manoir était bâti sur la terrasse actuelle, terrasse dont le mur Ouest est percé de meurtrières orientées vers l'Ouest ; la chapelle, dont les fenêtres sont ogivales avait été bâtie du même côté de ce mur que cet ancien manoir. La question se pose de savoir si les deux tours rondes du logis, percées de meurtrières diverses, ne sont pas antérieures au corps principal du logis actuel. Sur le tympan de sa porte sur cour, le logis actuel porte la date 1598. Ce tympan est manifestement dû au même ciseau que ceux des manoirs de Loraille et de La Bouëtte (sur la commune actuelle de St-Roch-sur-Egrenne) et de La Servière (sur la commune actuelle de Céaucé) (voir le bouquin de DESGRIPPES).
. L'ancienneté de la noblesse des LEDIN fait l'objet de deux thèses : (1) les LEDIN prétendaient descendre d'une famille du Nord de la France et qu'un des leurs, Pierre LEDIN, avait rendu, en 1382, de tels services au suzerain de Domfront, le comte d'Alençon, qu'il avait été autorisé à apposer ses armes sur celles de la ville ; (2) des érudits locaux auto-proclamés, sans doute désireux d'abaisser les LEDIN pour complaire aux descendants d'acheteurs de Biens Nationaux, ont interprété de prétendues annotations de d'HOZIER comme réfutant cette théorie ; le fait est qu'est déposé aux archives de l'Orne un exemplaire du document au timbre du cabinet d'HOZIER, qui ne comporte aucune remarque négative de ce prétendu type. Il existe d'autres sources à la contestation, se fondant sur d'anciens procès intentés sous l'Ancien Régime par certains nobles voisins jaloux des LEDIN. Le fait est que les LEDIN semblent s'être élevés au sein de la noblesse essentiellement par des alliances de plus en plus prestigieuses, jusquà VASSY, gendre du dernier LEDIN et émigré à la Révolution. En tout état de cause, affirmer comme vous le faites que la noblesse des LEDIN ne date que d'Henri IV semble aller un peu trop vite en besogne.
. Le logis reconstruit en 1598 devait comporter une aile en retour qui a dû brûler avant le début du XVIIIème siècle ; c'est alors que la partie gauche de la façade du logis sur cour a été modifiée (percement de 4 fenêtres ; apposition d'un écu daté de 1598 au milieu de ces 4 fenêtres nouvelles). Le logis a brûlé en 1884 (foudre + 1 nuit sans secours). A la suite de cet incendie, les murs ont été arasés d'une soixantaine de centimètres (cf jet d'eau de la cheminée centrale) ; les linteaux des fenêtres du 1er étage sont désormais en bois ; les lucarnes ont disparu ; la charpente a été refaite à l'économie. Dans les années 1950, Henri LEVÊQUE a sévi dans le logis (ciment, matériaux bas de gamme, cheminée de Mebzon à Sept-Forges au 1er, cheminée de la Jarrière à Torchamp au RC, toutes deux maçonnées au ciment ; dans le salon, boiseries IIIème République mal coupées et ornées de plâtre ; etc.).
. La tour Louis XIII était accessible par une échauguette dont il reste la trace dans l'arrière-cour, au niveau du 1er étage ; l'escalier actuel est postérieur (il bouche d'ailleurs une ancienne ouverture, encore visible à mi-hauteur). Au 1er étage de la tour Louis XIII était logé le chapelain attaché à la chapelle du manoir.
. Le colombier devait comporter à l'origine un millier de trous ; il n'en reste qu'une centaine, visibles au 2ème étage actuel. Il est possible qu'à l'origine, le colombier ait eu une couverture analogue à celle de la tour Louis XIII. L'équivalent de 2 étages a été rendu habitable au XVIIIè siècle (cf linteaux des fenêtres). Vers 1950, Henri LEVÊQUE a fait percer 4 fenêtres au 2ème étage du colombier.
. Les écuries mansardées sont datées de 1764, charpente due à Jean MIDY, déjà intervenu 2 ans plus tôt sur la cave (ses spécialités : croix de Saint-André ; belles sablières extérieures ; signature).
. Le dôme à impériale date de Louis XIV ; il surplombe un mur percé de 4 meurtrières, sans doute d'apparat (pour signifier l'ancienneté de la noblesse).
. Le bâtiment Nord, construit au début du XIXème siècle, était à usage agricole ; il bouchait le flanquement réciproque de meurtrières de la tour Nord-Est et la tour Louis XIII. Il a été rendu habitable après 1950. Ces travaux étaient tellement ratés qu'une dérestauration s'imposait dès lors que le parti avait été retenu de ne pas raser ce bâtiment.
. La cour n'était donc pas fermée à l'origine. Elle l'a été progressivement.

(fin de citation)

P.S. (du 9 octobre 2021) : Plus de sept ans après avoir écrit ce texte, je n'aurais rien à y changer (sauf un ou deux termes trop familiers).

Je regrette d'autant plus qu'après que M. MAFFRE a refusé de tenir compte de ces remarques (pas seulement sur l'incendie de 1884), les contre-vérités ou insuffisances du diagnostic qu'il a assénées sous son timbre d'architecte du patrimoine continuent à "dire le droit" auprès de son fan-club administratif.

Il faudrait qu'un autre architecte du patrimoine, auréolé d'un prestige au moins égal parmi les instances administratives, accepte de détordre les erreurs en question.

Après mes plus de trente ans d'essais de dialogue plus ou moins facile avec lesdits types d'interlocuteurs, je ne suis pas persuadé que, le système étant ce qu'il est, ce puisse être demain la veille.
La réunion de chantier hier a été perturbée par le grand retard de Roland BOUSSIN, de sorte que, commencée dès 9 heures du matin, elle a duré jusqu'à 14 heures.

Assisté de Florianne GRIPPON, Benoît MAFFRE a tout passé en revue, complétant son dossier de présentation du programme 2014 de travaux...

21 février 2014.

... ou allant vérifier si les travaux en cours progressaient dans de bonnes conditions :

21 février 2014.

A propos du programme 2014, j'ai demandé qu'il inclue également la restauration du seuil de la porte piétonnière et de l'auge au milieu de la cour (elle est fissurée côté logis et comporte un trou d'évacuation grossier côté écuries).

Dans la cage d'escalier du logis, M. MAFFRE préconise notamment que :
- on prévoie un dallage de granit y compris dans les toilettes sous l'escalier ; que ce volume soit divisé en deux de manière à disposer d'un grand placard à balais et produits d'entretien sous la partie la plus basse de l'escalier ; que le cabinet de toilettes contienne un vide-seau permettant l'arrosage sur la terrasse ;
- on pense à installer un jeu de fusibles et disjoncteur par bâtiment ;
- on maintienne à la cage d'escalier un aspect austère ; donc, pas de rampe mais des torchères (électriques).

Pour ce qui concerne la couverture des écuries, M. MAFFRE demande que soient éliminées les ardoises présentant des traces significatives de pyrite puisqu'en rouillant, celle-ci pourrait lentement détériorer prématurément certaines ardoises.

21 février 2014, traces de pyrite sur les ardoises d'Angers.

Il a observé, autant que l'état d'avancement du chantier le permet, l'état de la sablière Nord du colombier ; il pense qu'il n'y a pas lieu de la changer mais seulement de la greffer là où elle a été affaiblie par une ancienne fuite de noue. Il s'est mis d'accord avec M. BOUSSIN sur la patine à prévoir sur les plombs des casts, sur le revêtement des lucarnes (sur cour) et sur la façon de terminer le dernier rang d'ardoises sous les premières tuiles.

Dans le bâtiment Nord, M. MAFFRE est d'avis qu'il y a lieu de limiter les surfaces de miroir dans le dégagement de la chambre mortuaire ; donc, pas de miroir au plafond (la morale est - provisoirement - sauve...) et pas de miroir non plus face au placard. Il ne me restera donc plus qu'à me rattraper...

... comme je le pourrai.

P.S. : Pour qu'il n'y ait pas de confusion, ceci est de l'humour (à je ne sais trop quel degré...).

J'ai omis de signaler que toute la famille venue me rendre visite ce dernier week-end apprécie beaucoup la couleur :
- des terrassons ; il faut dire que je leur en ai parlé en termes particulièrement lyriques et inspirés lorsqu'ils découvraient le spectacle ;
- des enduits de la cage d'escalier du bâtiment Nord, au point que Carole me demande de badigeonner dans les mêmes tons la grande chambre en soupente.

En revanche, tous demeurent réservés sur la couleur de ma chambrette en soupente et la jeune classe tord en outre le nez devant la forme et les emplacements des interrupteurs de la même pièce. Carole aimerait que j'en fasse peindre les aréoles de bois de la même couleur que les murs, ce qui, selon moi, n'est pas idiot.
Mais je fais le pari qu'ils s'habitueront et, comme à l'accoutumé, finiront par trouver bienvenues mes initiatives en question.