Electricité

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5 février 2012, la vue du balcon de mon studio à Caen.

Si j'en juge par la vue de mon balcon ce matin à Caen, même des compatriotes de Dracula pourraient ne pas apprécier de travailler dehors dans les prochains jours.

Je réfléchis donc à d'autres tâches que je pourrais confier à Igor et Valentin, à l'abri de mes vieux murs.

Malgré les vives réticences de Carole et des enfants à ce que j'ouvre de nouveaux chantiers intérieurs avant d'en avoir mené à bien quelques-uns, je me dis que la dérestauration de la cage d'escalier du logis pourrait occuper mes employés pendant quelque temps. Il s'agirait d'abord pour eux de piqueter les murs afin d'éliminer l'horrible enduit au ciment apposé là et qui empêche la respiration des pierres, ce qui pose, tous les hivers, des problèmes de condensation ; en outre, la liaison entre les pierres et l'enduit est particulièrement hideuse :

8 janvier 2011, un travail à reprendre de A à Z.

Avant de réenduire ces murs de chaux, il faudrait faire disparaître les ferrures qui maintiennent certaines marches afin de reprendre les granits comme il convient, c'est-à-dire en les armant d'acier et en bouchant les trous à la résine :

28 juin 1997, quelques horreurs, dans la cage d'escalier du logis, consécutives à l'incendie du 19ème siècle.

Pour ce travail délicat, Eric AUBINAIS, mon tailleur de pierres, devait intervenir. Mais ce jeune artisan a mis la clé sous la porte ; il préfère une vie plus peinarde de concierge dans un château de la Manche et ne répond plus à mes coups de téléphone. Je vais donc devoir faire appel à une entreprise spécialisée dans la restauration de monuments historiques ; l'une d'elle viendra me voir dès ce mercredi pour préparer son devis ; il est plus que probable que, pour mener à bien cette tâche, j'aurai besoin de subventions.

Il faudrait également remplacer le revêtement du sol :

23 avril 2011, le sol de l'entrée du logis, encore une brillante réussite !

Bien entendu, avant de poser un nouveau revêtement du sol, il faudrait prévoir, à la bonne profondeur, toutes les réservations nécessaires pour les fluides (eau, électricité, chauffage...). Pour ce futur revêtement, j'ai déjà collationné de belles dalles anciennes de granit mais je ne dispose pas de la surface suffisante.

Carole est toujours très impatiente que je commence enfin sérieusement les travaux d'habitabilité dans le bâtiment Nord. J'ai tâché de lui expliquer que mon calendrier était commandé par (1) la limitation de mon épargne, (2) le fait que je dois supporter, en tout état de cause et en l'état du dossier, les salaires et charges d'Igor et Valentin, ce qui m'amène à privilégier la maçonnerie, (3) les contraintes administratives, notamment celles gérées par la D.R.A.C., les plus complexes assurément.

Je ne suis pas sûr qu'elle m'ait bien compris, notamment à cause de la troisième contrainte qu'elle ignore totalement et bien à tort. Elle pense en effet que c'est par pur caprice que j'en suis toujours à donner la priorité aux murs des douves.

Or, si j'arrive enfin à décrocher les subventions nécessaires, promises pour partie mais toujours attendues, je serais bien bête d'y renoncer en privilégiant le chauffage, la plomberie, l'électricité et que sais-je encore ? Pas facile de le faire admettre par ma chère et tendre. Mais, si je n'y arrive pas, je ne vois pas comment, de mon vivant, pourrait être menée à bien la fin de la restauration des extérieurs de la Chaslerie, celle qui conditionne la pérennité et la beauté des lieux.

Car j'ai dans l'idée que, si je réussis à mener à bien ce projet, c'est autant de moins qui incombera à mes fils et/ou successeurs, qui pourraient, eux, se borner à financer les travaux intérieurs, plus classiques sinon plus aisés.

Après vingt et un ans d'efforts continus et longtemps incompris, ce dernier pari, le plus important à mes yeux (et celui où ma valeur ajoutée me paraitrait la plus déterminante), n'est peut-être pas encore perdu.

C'est du moins mon espoir.

Lucyna GAUTIER n'est nullement affolée par l'état des planches découvertes hier. Nous allons cependant finir de retirer l'argile pour voir combien de celles-ci il y aurait lieu de changer. Pour la suite, Lucyna recommande qu'à défaut d'argile (qui aurait sa préférence), nous coulions sur ces planches un béton allégé contenant du chanvre qu'une toupie viendrait livrer. Pour le plafond, elle suggère de garder l'horrible canevas de sapin implanté par mes prédécesseurs mais de le dissimuler derrière un décor de style 17ème ; j'attends de voir ses dessins pour me prononcer à ce sujet. J'ai fait part de ma préférence pour que cette pièce d'environ 60 m2 ne soit pas divisée (ce qui n'est pas l'avis de Carole) et Lucyna va présenter un projet de compartimentage auquel elle a, paraît-il, déjà réfléchi.

19 mai 2012, Philippe JARRY (de passage pour nous prêter son niveau à laser), Lucyna et Mr T.

Puis Lucyna est entrée en conclave avec Carole et, surtout, Mr T., afin d'avoir une première discussion sérieuse sur les travaux envisagés dans l'"aile de la belle-mère". Comme je l'avais promis, je me suis alors retiré ; d'ailleurs, ainsi que je l'ai déjà expliqué sous cet onglet, je n'ai pas la moindre idée sur la meilleure façon de réparer les dégats occasionnés, dans ces volumes, par les initiatives aberrantes du père de mon vendeur.

19 mai 2012, conférence au sommet dans la cuisine provisoire, au rez-de-chaussée du colombier.

P.S. : En fait, Lucyna proposerait, si j'ai bien compris, d'implanter la cuisine et l'escalier de l'aile de la belle-mère dans l'écurie actuelle. Cela nécessiterait sans doute l'ouverture d'une fenêtre sur cour. Il s'agit là d'un parti auquel, de notre côté, nous n'avions pas réfléchi mais cela paraît astucieux. Par de telles suggestions, l'architecte démontre à mes yeux sa valeur ajoutée. Deux autres domaines où son expérience est précieuse sont le phasage des travaux et tout ce qui concerne les fluides (eau, électricité, chauffage), c'est-à-dire des questions pratiques qui m'ont toujours paru fastidieuses...

Mauvaise surprise, ce matin, en entrant dans la "chambre mortuaire" (c'est ainsi que j'appelle la chambre du rez-de-chaussée du bâtiment Nord, suscitant chaque fois l'indignation de Carole) : au pied du pignon Ouest, nombre de tomettes sont recouvertes de moisissures. L'hypothèse favorable est que la cire d'abeille, certes répandue là à profusion, est à l'origine de celles-ci, d'autant que, en l'état du chantier, la pièce n'est jamais aérée.

30 mai 2011, les moisissures au sol de la

Les compagnons de Sébastien LEBOISNE, le menuisier, ont commencé à poser les tasseaux nécessaires pour les boiseries de cette pièce. Ils doivent slalomer entre les fils électriques posés par deux artisans successifs, ce qui ne facilite pas les choses ; l'électricien E.J.S. est cependant passé ce matin pour leur expliquer l'écheveau :

30 mai 2012, les compagnons de Sébastien en train de poser les tasseaux dans la

De son côté, Sébastien a examiné les planches de la grande pièce du 1er étage du logis.

30 mai 2012, Sébastien LEBOISNE en train d'examiner les planches de la

Il préconise de changer toutes les planches que les vers ont touchées. Il est vrai qu'il dispose d'un stock de planches en chêne d'anciens wagons à bestiaux de la S.N.C.F. dans lequel il pourra piocher ; je suppose qu'il sera inutile de les imbiber d'ammoniac pour les patiner...

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 11 Juin 2012
Journal du chantier - Plomberie-chauffage - Electricité - Menuiserie - Logis - Ailleurs - Annonces
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Au sol de la nouvelle salle d'exposition de la ferme de Mondaye, j'ai remarqué un caillebotis qui dissimule tout en maintenant accessibles les différents tubes dont la vie moderne nous encombre. C'est un problème auquel se heurtent tous les restaurateurs de vieilles pierres. A la Chaslerie, le problème se pose dans l'immédiat pour la pièce dévastée du 1er étage du logis, là où Sébastien LEBOISNE peine, semble-t-il, à nous trouver 18 solives pour remplacer les anciennes vermoulues.

9 juin 2012, une solution astucieuse.

Je me demande cependant si cette rigole aménagée ne se transforme pas rapidement en nid à poussières et autres vermines...

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 11 Juillet 2012
Journal du chantier - Electricité - Logis - Tour Louis XIII
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Freddy JARDIN, l'électricien E.J.S., vient de passer à ma demande afin de voir ce qu'il aurait lieu de faire dans la future chaufferie (au rez-de-chaussée de la tour Louis XIII) et dans la "pièce dévastée" (au 1er étage du logis). Il s'agirait, pour l'essentiel et dans l'immédiat, de gainer des fils électriques avant la restauration des sols.

Freddy JARDIN va faire le maximum pour que son intervention ne retarde pas Igor et Jonathan (donc, en particulier, la possibilité pour Carole de recouvrer l'usage du salon et de la salle-à-manger au mois d'août) mais la perspective des congés des ouvriers d'E.J.S. complique la situation.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 25 Juillet 2012
Journal du chantier - Electricité - Logis
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Malgré 21 ans d'expérience locale, je n'ai toujours pas trouvé dans le secteur un électricien qui sache travailler correctement en respectant les calendriers.

Sans nouvelle d'E.J.S. alors que son intervention était programmée pour cette semaine afin de gainer des fils électriques dans la "pièce dévastée", je viens de réussir à apprendre de Freddy JARDIN qu'il essayerait de passer la semaine prochaine ; il doute cependant de pouvoir intervenir avant le retour des congés, soit le 20 août prochain. En d'autres termes, le coulage du béton serait renvoyé après les vacances de Carole et juste avant le départ en congés d'Igor et ceci si on a de la chance.

Or je me vois mal supporter une nouvelle fois les protestations prévisibles de mes proches au motif que "mes" travaux attentent à l'habitabilité des lieux. Le fait est qu'en l'état du chantier, ma famille, quand elle me rend visite, doit camper dans trois chambres non restaurées, se satisfaire d'une cuisine provisoire et se contenter d'une seule douche pour l'ensemble des bâtiments.

Donc, si un visiteur du site connaît un électricien compétent et prêt à intervenir rapidement à la Chaslerie, qu'il veuille bien m'en communiquer les coordonnées.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 27 Juillet 2012
Journal du chantier - Electricité - Logis
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Un nouvel électricien interviendra mardi prochain pour gainer les fils électriques de la "pièce dévastée". Et voici comment E.J.S. vient de perdre un marché.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 31 Juillet 2012
Journal du chantier - Plomberie-chauffage - Electricité - Menuiserie - Logis
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Le plombier a passé hier des tubes de réservation pour les futurs radiateurs de la "salle dévastée". On voit aussi, sur la photo suivante, que le châssis de fenêtre est complètement H.S. (à ce sujet, j'attends toujours le devis et les recommandations de M. PEROTTE) :

31 juillet 2012, les tuyaux pour le futur radiateur de la fenêtre Sud.

Aujourd'hui, le nouvel électricien a gaîné les fils électriques existants et en a passé de nouveaux.

31 juillet 2012, le chantier en fin d'après-midi.

Son ouvrier s'est présenté à moi, il se dénomme Ludovic PHILIPPE et c'est un petit-fils de Mme PHILIPPE, notre plus proche voisine dans ce bocage et première femme de ménage ici, dès l'été 1991 donc :

31 juillet 2012, Ludovic PHILIPPE.

Enfin, je me suis renseigné au sujet de la pose de béton allégé. Compte tenu de la période des congés, je vois mal comment nous arriverons à nous en faire livrer avant la fin-août au plus tôt. Je crains fort que nous n'échappions pas à la nécessité (?) de remettre provisoirement le salon en état pour les vacances de Carole, ce qui nécessitera d'importants efforts dont je me passerais volontiers en l'état du chantier...

J'aime beaucoup la nouvelle cloison en torchis du fournil de la ferme. Elle est loin d'être banale et a déjà beaucoup de "vécu" (on dirait qu'elle est là depuis au moins deux siècles).

3 août 2012, dans le fournil de la ferme.

Je pressens que toute ma petite famille va se battre pour occuper cette dépendance de préférence à tout autre local de la Chaslerie. Moi aussi, j'avoue caresser l'idée d'y passer quelques-uns des prochains hivers.

Je rappelle toutefois qu'il reste encore à :
- en drainer le sol puis le recouvrir de tomettes ;
- y effectuer tous les branchements électriques ;
- concevoir et y aménager tout le circuit de l'eau ;
- concevoir et aménager un coin-cuisine et un coin-toilettes, sans oublier le plafond correspondant ni la V.M.C. ; d'abord, décider où l'on implante ces deux "coins" ;
- prévoir une penderie suffisante et pratique ;
- faire fabriquer la porte extérieure et la (ou les) porte(s) intérieure(s) ainsi qu'un coffret pour les fusibles ;
- décider quel revêtement on prévoie pour les murs (je serais assez tenté de les laisser en l'état, c'est-à-dire juste jointoyés) ;
- le meubler ;
- et j'en oublie sans doute...

Donc, au mieux et au rythme où vont les choses, ce palace tant attendu pourrait être livrable pour l'hiver 2013-2014.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 30 Septembre 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Charpente-couverture - Electricité - Cave - Ferme et son fournil
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Le chantier pâtit déjà de mon absence : dans le fournil de la ferme, les rejingots ne sont pas tous refaits comme je l'avais demandé et les reprises de joints autour des prises électriques sont ratées ; dans le cagibi de mon bureau comme dans la cave, aucune précaution n'a été prise pour préserver la propreté du chantier. Je n'aime pas du tout ces preuves d'une insuffisante conscience professionnelle que je découvre ce week-end ; il va me falloir rapidement resserrer les boulons avec le fautif.

Quelques photos du chantier néanmoins, où deux autres corps de métier viennent également d'intervenir :

- dans la cave :

29 septembre 2012, travaux d'électricité en cours dans la future cuisine.

29 septembre 2012, vue perspective sur le futur w.-c. (au premier plan) et le futur cabinet de toilettes du rez-de-chaussée de la cave.

29 septembre 2012, rempannage en cours dans la future chambre du rez-de-chaussée de la cave.

- dans le fournil de la ferme :

29 septembre 2012, les solives au plafond du futur cabinet de toilettes et du futur débarras du fournil de la cave.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 3 Octobre 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Electricité - Peinture - Cave - Ferme et son fournil
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Dans la cave, Jonathan poursuit le rampannage :

2 octobre 2012, dans le futur cabinet de toilettes et le futur w.-c. du rez-de-chaussée de la cave.

A la maison de Toutou et au fournil de la ferme, la première couche de peinture (ou de lasure) a été passée. La photo suivante montre que le chêne (colombage) et le châtaignier (haut de la porte et barreaux des fenêtres) ne réagissent pas de la même façon sous la lasure :

2 octobre 2012, la maison de Toutou où arrivera bientôt l'électricité.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 14 Novembre 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Electricité - Ferme et son fournil
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Les travaux dans le fournil de la ferme sont interrompus car nous ne savons pas quelles épaisseurs réserver pour disposer un système de chauffage électrique sous des tomettes anciennes :

14 novembre 2012, dans le fournil de la ferme.

Guy HEDOUIN saurait-il nous éclairer sur cette question ?

Guy HEDOUIN
rédigé le Mercredi 14 Novembre 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Electricité - Ferme et son fournil
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Lorsque j'ai réalisé mon chauffage par le sol, il n'existait à cette époque que du câble chauffant.

Voici ce que j'ai fait, une couche de cailloux de 20cm, un film isolant, une chape de béton, un stirodur sur lequel on pose le cable, une petite chape de 5cm, puis pose des carreaux .

Maintenant, il y a pléthore de solutions de chauffage, voir ici. Moi, je demanderais plusieurs devis à plusieurs installateurs et avec différentes solutions.

Bonne soirée !

N.D.L.R. : Merci pour les... tuyaux !

Je saute du coq à l'âne : quand se tient le salon des producteurs de vins où vous vous procurez d'aussi bonnes bouteilles que celles qu'on déguste chez vous ?

N.D.L.R. 2 : A ma dernière question, l'expert de notre site favori a répondu par ceci. On va tâcher de se coordonner pour y passer une tête.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 17 Novembre 2012
Journal du chantier - Electricité - Ferme et son fournil
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Un premier électricien, consulté ce matin, considère que le chauffage électrique par le sol, envisagé pour le fournil de la ferme, ne serait guère compatible avec des tomettes anciennes, jugées trop épaisses. Embêtant. A suivre.

Guy HEDOUIN
rédigé le Dimanche 18 Novembre 2012
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Electricité - Ferme et son fournil
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Bonsoir,

Mon câble chauffant basse température est fabriqué par la société Déléage à St Malo.

L'épaisseur de mes carreaux est de 10 mm, je ne pense pas que la vôtre soit un obstacle, le temps de montée en température sera un peu plus long. Voyez d'autres installateurs, afin de bien comparer.

Bonne soirée !

N.D.L.R. : Je viens d'interroger votre fournisseur par courriel.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 28 Novembre 2012
Journal du chantier - Electricité - Ferme et son fournil
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Un électricien est venu ce matin me montrer en quoi consiste un chauffage électrique par le sol. Comme on le voit sur son échantillon, le carrelage y est très peu épais :

28 novembre 2012, la coupe d'un chauffage électrique par le sol.

Il va se renseigner pour savoir si ce mode de chauffage est compatible avec des tomettes de 1,5 cm d'épaisseur. A suivre...

Guy HEDOUIN
rédigé le Mercredi 28 Novembre 2012
Journal du chantier - Electricité - Ferme et son fournil
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Bonsoir,

Avez vous eu une réponse de la société Deleage ?

Je trouve surprenant de la part d'un pro, le besoin de se renseigner.

Le plancher chauffant avec un carrelage épais mettra plus de temps à monter en température, mais vous gagnerez en inertie. Il est conseillé de chauffer la nuit pour bénéficier du tarif réduit.

Si vous avez des questions, écrivez-moi.

Bonne soirée !

N.D.L.R. : Non, aucune réponse. Mais c'est grâce à la page de Google que vous m'aviez communiquée le 14 novembre dernier que j'avais trouvé l'électricien de ce matin.