Electricité

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 8 Juillet 2022
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Electricité - Bâtiment Nord
0
Igor le maçon et Julien l'électricien, on dirait que nous avons là une équipe digne du label "Qualité FOURCADE" :

8 juillet 2022.


Sur la terrasse de l'arrière-cuisine, Igor a continué à alléger le poids du regard vers une ancienne fosse :

8 juillet 2022.


Dans l'arrière-cuisine, Julien a poursuivi sa tâche :

8 juillet 2022.

8 juillet 2022.

Comme cela n'avance pas très vite, il devra néanmoins revenir lundi afin de la terminer.
Je suis actuellement absorbé par deux tâches :

1 - Réfléchir à l'enchaînement des travaux au cours des prochains mois :

Les deux derniers électriciens rencontrés m'ont convaincu que je dois, dès que possible, amener le triphasé dans le bâtiment Nord et, notamment, l'arrière-cuisine, et mettre à la terre, de façon coordonnée, l'ensemble de l'installation électrique.

La difficulté est de savoir comment a évolué l'installation électrique au cours des dernières années. Je n'avais pas d'électricien compétent ni fiable et nous n'avons fait que bricoler en permanence, sans documenter proprement les tubes et fils installés à la petite semaine. Il faut désormais remédier à cette absence criante de rigueur et de professionnalisme.

Je parcours donc sur mon ordi les photos que j'ai prises au cours des dernières années et je recherche si je peux trouver là quelque chose d'utile pour un technicien sérieux. C'est très long, très fastidieux, et je crains de ne pas trouver tout ce dont on aurait besoin.

En outre, amener comme il le faudra le triphasé du boîtier sous-dimensionné qui se trouve dans l'entrée du logis (dans l'embrasure d'une porte ancienne) vers l'arrière-cuisine va nécessiter l'ouverture du plancher provisoire récemment posé dans la salle-à-manger du logis et la cuisine du bâtiment Nord.

Je ne peux imposer ceci à ma famille en cette période estivale et les concerts d'octobre, sans parler de la disponibilité des artisans, obligent à se reporter à novembre au plus tôt.

D'ici là, on essayera néanmoins d'avancer dans l'arrière-cuisine. Parmi les tâches à programmer, je retiens :
- l'intervention du plombier pour coller au plafond un maximum de ses tuyaux ; ceci nécessitera un carottage préalable par Igor de la maçonnerie au-dessus du passage entre les deux parties de l'arrière-cuisine ;
- la pose d'un faux-plafond, au moins dans la première partie de l'arrière-cuisine, pour dissimuler les tripes de toutes ces tuyauteries et gaines techniques ;
- l'installation, dans la deuxième partie de l'arrière-cuisine et devant la chaudière du réfrigérateur qui nous reste sur les bras (et qui complète utilement celui de la cuisine, notamment quand nous recevons du monde) ;
- le changement de la porte entre l'arrière-cuisine et l'arrière-cour ; le projet d'Arnaud PAQUIN est prêt, on attend désormais que la D.R.A.C. le bénisse, y compris en l'incluant dans l'enveloppe de la "tranche A à substituer aux tranches 1 et 2 précédentes" (voir ci-dessous) ;
- l'installation d'une porte de séparation entre les deux parties de l'arrière-cuisine ; en effet, on ne sait toujours pas quand la D.R.A.C. pourra lever son veto, posé il y a trente mois désormais, empêchant de passer dans la cour, comme ce serait indispensable, les tuyaux de chauffage par aquathermie et les fils électriques, y compris la mise à la terre de l'ensemble des installations (ce veto non levé fait donc courir un risque important en termes de sécurité, risque dont je viens seulement de prendre conscience en discutant avec ces deux électriciens) ; tout ceci pour dire que, tant que je demeurerai obligé de prolonger la vieille chaudière au fioul, je devrai veiller à ce que ses inévitables fuites de fumée ne viennent pas souiller les murs et agencements de la première partie de l'arrière-cuisine (on a vu - encore récemment, juste avant l'intervention d'Igor - à quel point cet espace était devenu cradingue et repoussant alors qu'il abrite la buanderie, plus le cul d'un four intéressant et restauré il y a environ quatre ans) ;
- l'installation, dans la première partie de l'arrière-cuisine, d'un mobilier approprié, c'est-à-dire des rangements qui font tant défaut à ce jour ; mais, pour ceci, Sébastien LEBOISNE ne sera pas disponible avant un bon moment, surtout s'il doit, dans le même temps, commencer à réaliser la "tranche A".

2 - Définir les priorités en matière de restauration des menuiseries extérieures des bâtiments sur cour :

Je dispose enfin de premiers devis pertinents et à jour (avec la hausse des coûts que l'on peut imaginer) pour les menuiseries extérieures du logis, devis qui doivent encore être complétés car ils comportent certains oublis. Et il me faut encore préparer (avant le 14 juillet prochain sans faute) un courrier à la Région pour solliciter son aide. Et obtenir, parallèlement, tous les feux verts souhaités de la D.R.A.C. (autorisations et financements) et du conseil départemental (financements, alors que leur réglementation est particulièrement incommode).

Parmi ces travaux administratifs que je dois effectuer dans l'urgence, il y a le choix du contenu de la "tranche A des travaux de restauration des menuiseries extérieurs du logis", tranche A à substituer aux tranches 1 et 2 précédentes, ainsi que la D.R.A.C. en a reconnu l'utilité et me l'a demandé.

A cet égard, mes réflexions actuelles m'amènent à modifier les priorités précédemment définies. Je songe en effet, compte tenu de mon âge et du caractère de plus en plus réduit de mes moyens financiers, à privilégier la cage d'escalier du logis ainsi que la moitié Nord de ce bâtiment (soit la salle-à-manger, mon ancienne chambre à l'étage et la tour Nord-Est). Autrement dit, la deuxième "bulle" qui serait restaurée après le bâtiment Nord où nous devons nous terrer à la mauvaise saison.

Tout ceci en devant tenir compte, bien entendu, du veto de la D.R.A.C. sur la cour, c'est-à-dire sur l'installation du chauffage par le sol et aquathermie, tranche de travaux qui est, de plus et comme si ça ne suffisait pas, très fortement contrainte par mes moyens financiers.

Donc voilà, je rame sur des tâches et arbitrages difficiles et n'ai guère le temps, dans l'immédiat, de papillonner sur le site favori. On voudra bien le comprendre et m'en excuser.
Mon interlocuteur à la Région me dit qu'il est trop tard pour présenter un dossier de demande de subvention avant les vacances d'été. Il faudra en outre remplir des formulaires sur une "plateforme de dématérialisation" dont sa collaboratrice me transmettra le lien quand elle rentrera de congé.

Arnaud PAQUIN reviendra au manoir favori le 18 ou le 20 juillet prochain. Son niveau à laser lui permettra de préparer des plans très précis des bâtiments sur cour, préalables utiles au bureau d'études "Bee +".

Malgré des difficultés diverses et les casse-tête administratifs, on essaye donc d'avancer en bon ordre.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 11 Juillet 2022
Journal du chantier - Electricité - Bâtiment Nord
0
Dans l'arrière-cuisine, la première intervention de Julien l'électricien s'est achevée ce matin. Je suis très satisfait du résultat :

11 juillet 2022.

11 juillet 2022.

11 juillet 2022.

11 juillet 2022.


Prochaine étape : le carottage d'un muret par Igor en vue de préparer le retour de Régis le plombier.

Mais, afin que les vacanciers ne soient pas incommodés par le bruit, on attendra que la maison se vide, c'est-à-dire la semaine prochaine.
En codicille à la facture qu'il m'a apportée ce matin, voici ce que note Julien LEMAIRE :

Malheureusement, il ne serait pas disponible pour intervenir avant l'année prochaine...

Par ailleurs, voici les coordonnées du copain qu'il me recommande pour poser un faux-plafond, dans la première partie de l'arrière-cuisine pour commencer :

Comme il l'a encore démontré hier, Arnaud PAQUIN écoute ce que je lui dis et analyse finement les particularités du monument que je lui signale. Il est donc à même de préparer des documents que je pourrais signer sans réserves, tant ses contributions me paraissent susceptibles d'être dignes du label "qualité FOURCADE".

Pour autant, le principal problème pratique que nous rencontrons est celui des délais de préparation de ces documents. Ceci n'est pas une critique de ma part car je comprends bien qu'Arnaud PAQUIN a en portefeuille de magnifiques monuments, d'une autre taille que la Chaslerie, de sorte qu'il doit partager son temps au mieux possible entre ses divers clients, ce qui ne doit pas être aisé.

Tout ceci pour dire que je suis alléché par les premières contributions, encore partielles à mes yeux, d'Arnaud PAQUIN mais tiraillé par le souhait de pouvoir fournir en temps utile aux entités subventionneuses les dossiers qu'elles me réclament pour réamorcer la pompe. A ce sujet, je crains que les sources ne se tarissent, tant je vois poindre tous les périls de l'heure, à commencer par une récession ravageuse due à l'aveuglement (au mieux) de nos dirigeants, par exemple en matière de politique énergétique.

Donc, d'un côté, j'aimerais pouvoir dès que possible obtenir d'Arnaud PAQUIN un dossier complet et de "qualité FOURCADE" sur l'ensemble du programme de travaux envisagés en liaison avec "La SVAADE". Mais je sais que ce sera délicat. Et de l'autre, j'ai le souci de ne pas laisser une nouvelle fois passer le tour de la Chaslerie lors des distributions de la manne publique.

Bref, que faut-il que je fasse ? Me cramponner à mon désir de pouvoir présenter un projet global suffisamment détaillé ? Ou bien, en rabattre dans mes ambitions méthodologiques, donc mettre dans les tuyaux un premier dossier, partiel et incomplet, qui m'obligerait à repasser plusieurs fois aux guichets pour solliciter les mêmes interlocuteurs, de façon itérative donc usante pour eux ?
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 18 Aout 2022
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Plomberie-chauffage - Electricité - Menuiserie - Bâtiment Nord
0
L'arrière-cuisine après l'intervention de Régis FOUILLEUL :

18 août 2022.

18 août 2022.

18 août 2022.

18 août 2022.

18 août 2022.

18 août 2022.

18 août 2022.

18 août 2022.

18 août 2022.

18 août 2022.

18 août 2022.

18 août 2022.


Ainsi :
- il reste quatre ou cinq fils électriques à déplacer, ce qui, je l'espère, pourra être fait très prochainement par "l'électricien au look maori", Julien LEMAIRE,
- il reste, dans la "seconde partie de l'arrière-cuisine", la chaudière au fuel et tous ses "impedimenta", jusqu'à ce qu'on arrive à les faire disparaître, l'une et les autres, c'est-à-dire à installer enfin le chauffage par le sol et par géothermie de mes rêves (il resterait toutefois un ballon d'eau chaude dans cet espace, sans doute orienté autrement pour être le moins visible possible) ;
- dans le coin Nord-Ouest de la "première partie de l'arrière-cuisine", il appartient désormais à Igor d'enduire le mur du fond avant que le plombier ne revienne finir son travail et, en particulier, installer un évier.

Enfin, pour ce qui concerne le sol, Régis insiste pour qu'on en fasse sauter le béton et y installe un plancher provisoire, comme dans la cuisine. Le risque serait en effet trop important, en procédant autrement, d'empêcher l'isolation thermique et la protection contre les chocs des tuyaux passant dans la saignée.

Soit, je me range à cet avis.

En fait, la principale prochaine difficulté sera donc de rouvrir ce plancher provisoire, partout où il a été ou sera posé, de manière à faire passer l'équipement électrique nécessaire pour le bon équilibrage des phases et la sécurité de l'installation.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 19 Aout 2022
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Plomberie-chauffage - Electricité - Menuiserie - Bâtiment Nord
0
Puisque nous allons casser le béton du sol de l'arrière-cuisine, il va d'abord falloir que je trouve une solution pour installer provisoirement le lave-linge et le sèche-linge dans la cuisine. Les différents corps de métier qui devront se succéder (Igor pour commencer, puis Sébastien LEBOISNE mais aussi l'électricien et le plombier qui devront revenir assez vite) pourront ainsi travailler sans être trop gênés par la présence de Carole.

Dès hier soir, j'ai mobilisé Sébastien pour qu'il vienne poser le plancher provisoire dès que possible. Hier matin, j'avais contacté l'électricien puis alerté l'artisan qui pourrait être chargé du faux-plafond.

A ce stade de mes réflexions, je pense qu'on gardera toutefois le béton sous la chaudière et son ballon rouge, ce serait trop compliqué de faire autrement.

Tout cela en attendant que le garrot posé sur le chantier il y a trente mois, dû au pavement-cailloutis de la cour, soit desserré...
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 19 Aout 2022
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Plomberie-chauffage - Electricité - Bâtiment Nord
0
Pour ce qui concerne l'arrière-cuisine, les choses ont bien progressé aujourd'hui :

- d'abord, nous avons dégagé la piste pour la semaine prochaine, en réinstallant provisoirement sèche-linge et lave-linge dans la cuisine :

19 août 2022.

A cette occasion, on s'est aperçus que le pan de mur contre lequel sont adossées ces machines fait plus de 1,80 mètre de longueur, ce qui donnera peut-être de nouvelles idées pour l'aménagement de la cuisine :

19 août 2022.


- Igor a calfeutré l'arrière-cuisine de manière à ce que, la semaine prochaine, la poussière du chantier ne pénètre pas dans la cuisine ; autant dire qu'il est fin prêt pour enduire de chaux les pans de mur à traiter ou encore pour casser le béton du sol :

19 août 2022.

19 août 2022.


- enfin, nous avons retrouvé un stock de carreaux vernissés, reliquat de mes anciens travaux à Paris, en nombre suffisant pour recouvrir les murs sur les machines ou l'évier :

19 août 2022.

19 août 2022.


Pour les joues du fenestrou, j'espère arriver à mobiliser la "Miroiterie flérienne", déjà intervenue dans le fournil de la ferme ou dans le cabinet de toilettes de l'étage du bâtiment Nord. Toutefois, la pose de miroirs nécessitera sans doute le remplacement de la menuiserie en bois du fenestrou par une menuiserie de fer, comme celle prévue pour les meurtrières des tours.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 2 Septembre 2022
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Electricité - Bâtiment Nord
0
Dans l'arrière-cuisine, grâce à l'intervention efficace ce matin de Teddy ROBBES, électricien basé près de Vire (07 66 89 45 68), ...

2 septembre 2022.

... et grâce à Igor...

2 septembre 2022.

2 septembre 2022.

... tout est désormais prêt...

2 septembre 2022.

2 septembre 2022.

2 septembre 2022.

2 septembre 2022.

2 septembre 2022.

2 septembre 2022.

2 septembre 2022.

... pour que, dès mardi prochain, Sébastien LEBOISNE puisse poser le plancher provisoire sur le sol :

2 septembre 2022.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 7 Septembre 2022
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Electricité - Menuiserie - Bâtiment Nord - Désultoirement vôtre ! - Anecdotes
0
De retour de Paris, Carole se déclare très satisfaite des travaux en cours dans l'arrière-cuisine.

Elle demande toutefois qu'on prévoie, soit sur un mur, soit au plafond, soit autrement (Sébastien LEBOISNE a des idées à ce sujet) un système d'étendoir à linge.

Par ailleurs, elle a constaté que le réfrigérateur-congélateur de la cuisine, bien que relativement récent, paraît en panne, sinon H.S.. En son absence, incapable de le rallumer (je ne trouvais même pas les boutons), j'ai dû jeter pas mal de trucs congelés dont, hélas, de la très bonne viande d'agneau... Il faut dire qu'en 31 ans au manoir favori, on n'a jamais été très doués pour faire fonctionner ce type d'engins, sans doute trop modernes pour nous.

P.S. (à 21 heures 20) : Apparemment, Carole a su appuyer sur le bouton qu'il fallait pour que le congélo redémarre. Contrairement à ce que je croyais, il n'était donc pas H.S.

Aux T.P., j'ai toujours préféré la théorie, et de très loin. Tempérament de mathématicien, beaucoup plus que de physicien, si l'on peut dire. Ce n'est plus à mon âge qu'on me changera, au moins sur ce point.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : vendredi 16 septembre 2022 16:36
À : udap.orne@culture.gouv.fr
Cc : Xavier MEYER ; Arnaud PAQUIN ; Arnaud TIERCELIN ; Vincent AUBIN ; C. F.
Objet : Manoir de la Chaslerie - Etude préalable d'ensemble

Message pour Mme CHEVILLON

Madame,

Comme vous le savez, le programme de travaux à venir à la Chaslerie est important et fait l'objet d'échanges fructueux entre les propriétaires et l'association "La SVAADE" qui loue les lieux et y organise des spectacles.

Pour nous aider à définir notre programme de travaux à venir, tant dans son contenu que ses priorités ou ses contraintes architecturales, nous souhaitons confier à M. PAQUIN la réalisation de ce que nous appelons une "étude préalable d'ensemble". J'interviens en qualité de payeur final mais mes moyens propres sont désormais limités, ce qui n'exclut pas que, pour les travaux, nous trouvions des mécènes. Et il y a toujours une possibilité que mon aîné se décide enfin à me relayer dans la maîtrise d'ouvrage, ce qui ouvrirait des perspectives.

Quoi qu'il en soit, pour bien caler le contenu de cette étude qui, pour une bonne part et en l'état du chantier, concernerait des parties inscrites (tous les intérieurs sont au moins inscrits), nous aurions besoin, "La SVAADE" et moi, de savoir ce qui, de cette étude, voire des travaux suivants, pourrait être subventionnable et à quel taux, sachant que la Région (M. AUBIN) m'indique entendre suivre la ligne qui sera retenue par l'Etat.

Pourriez-vous nous accorder un rendez-vous, à Me Xavier MEYER, vice-président de l'association où il est en charge des travaux et à moi, afin de nous éclairer sur ce qui vous semblerait possible ? Je comprends que le budget de cette étude, telle que de notre côté nous la souhaiterions, pourrait avoisiner la (...) de milliers d'euros T.T.C.

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 27 septembre 2022 07:28
À : Arnaud PAQUIN
Objet : RE: Chaslerie (Etude préalable d'ensemble)

Cher Monsieur,

La Région m'a dit s'en remettre à la D.R.A.C. pour les critères.

Donc, après une dernière tentative auprès de mes correspondants, je mettrai votre devis dans les tuyaux sur la base du "normalement"...

Bonne journée et bien cordialement,

PPF

______________________________________________________________________________________

De : Arnaud PAQUIN
Envoyé : mardi 27 septembre 2022 07:25
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Re: Chaslerie (Etude préalable d'ensemble)

bonjour M. Fourcade,
normalement, toute l'étude présentée dans le devis, plans de relevés compris sont éligibles à cette prise en charge par la Drac. En ce qui concerne la région, je n'en ai aucune idée.

Bien à vous et bonne journée.

Arnaud Paquin

______________________________________________________________________________________

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : mardi 27 septembre 2022 03:31
À :Arnaud PAQUIN ; Aliaume LICARI-HERDIER
Cc : Hugues HOURDIN ; Xavier MEYER ; Philippe DURAND
Objet : Chaslerie (Etude préalable d'ensemble)

Chers Messieurs,

Après qu'A(...) m'a tenu des propos peu clairs sur le sujet, notamment lors de l'épisode G(...), je n'ai toujours pas le moindre écho de (...) pour qu'elle nous explique ce qui peut être subventionné en matière d'études de diagnostic.

Auriez-vous de la doc en la matière ? Je crois me souvenir que la phase A.P.S. ne serait pas prise en compte. Mais quid, par exemple, des plans réalisés avec votre laser de compétition ?

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 27 septembre 2022 13:55
À : Flavie TELLES
Cc : (...) ; Hugues HOURDIN ; Xavier MEYER ; Philippe DURAND ; C. F.; (...) ; Arnaud PAQUIN ; Aliaume LICARI-HERDIER
Objet : Chaslerie - "Etude préalable d'ensemble" - Demande de subvention de l'Etat

Madame,

Dans le prolongement de nos échanges, depuis un an, avec la conservation régionale des monuments historiques, nous avons l'honneur de vous soumettre le devis de M. Arnaud PAQUIN, architecte du patrimoine, en vue de la réalisation de ce que nous appelons une "étude préalable d'ensemble" relative au manoir de la Chaslerie, dépendances comprises.

Ce devis s'élève à (...) € T.T.C. et comporte les caractéristiques suivantes :

- il prévoit la réalisation de relevés des extérieurs et intérieurs en utilisant un appareillage destiné à fournir des résultats très précis, de qualité bien supérieure aux relevés traditionnels. Une telle précision est nécessaire dans le cas d'espèce puisqu'il s'agit, par exemple et entre autres :
. de réfléchir aux possibilités d'inclure un escalier ou des sorties de secours desservant des bâtiments dont les niveaux intérieurs ne sont pas en phase,
. de cerner les principales contraintes architecturales d'un chauffage par aquathermie tel qu'envisageable après la découverte fortuite, par un professionnel spécialisé, de ce qui serait une rivière souterraine ;
. de commencer à étudier la compatibilité avec le monument des modes d'isolation thermique prônés par exemple par l'ADEME, de manière à limiter les déperditions d'énergie et de moyens qu'entraînerait une insuffisance de méthode dans l'approche de cette question ô combien délicate ;
- il inclut la rédaction de synthèses inédites et importantes en pratique sur l'histoire et l'état des bâtiments ; en la matière et à ce jour, nous ne disposons d'une étude préalable qu'au titre des menuiseries extérieures des bâtiments sur cour ; cette étude ne contient que trop peu d'informations sur les matériaux de construction utilisés dès le XVIè siècle et l'incidence qu'ont pu avoir sur eux divers évènements, comme l'incendie de 1884. Plus généralement, il n'existe pas de synthèse réputée probante sur l'état sanitaire présent des bâtiments alors que, au pied des murs, nous ne manquons pas de sujets d'interrogation ;
- de manière très opérationnelle et d'une façon qui ne peut être que très précieuse pour toutes les parties intéressées (association, propriétaire, administrations mais aussi mécènes potentiels), il entend pousser la réflexion, sur la base d'un discours étayé professionnellement, jusqu'à certains éléments essentiels comme le chiffrage des grandes masses des coûts du chantier et la définition de priorités, donc la possibilité du calendrier raisonné d'interventions qui, sans que le point ne soit contestable ni contesté, a manqué à ce jour.

Une telle "étude préalable d'ensemble" serait donc, dans son extension comme dans son détail prévus par le devis, un élément central des réflexions et actions à venir.

Or, comme vous le savez, "La SVAADE" est locataire de la Chaslerie et étroitement associée à la définition et à la réalisation d'un important programme de travaux de nature à permettre, dans de bonnes conditions, la poursuite d'animations culturelles, de qualité et à bas prix pour les spectateurs. Quant au propriétaire, il souhaiterait pouvoir consacrer au mieux ses moyens financiers et humains au programme de travaux qui, toutes choses égales par ailleurs, permettraient de mener aussi loin que possible le chantier, "dans l'intérêt du monument et du projet porté par l'association".

Ainsi que nous le demandons parallèlement à la Région Normandie, nous sollicitons donc de la D.R.A.C. une subvention pour la réalisation d'une telle étude, étant rappelé que le conseil départemental de l'Orne n'a pas actuellement pour politique d'aider en la matière. Puisque les moyens de l'association et du propriétaire sont limités alors que les travaux nécessaires à venir sont très importants à leur échelle, nous sollicitons de l'Etat, comme nous le ferons parallèlement de la Région, le taux maximal de subvention permis par ses textes.

A ce sujet, nous rappelons que tout, à la Chaslerie, intérieurs comme extérieurs, est au moins inscrit à l'I.S.M.H. sinon classé parmi les monuments historiques. Le champ de l'étude, porterait sur l'ensemble des bâtiments sur cour (hormis le bâtiment Nord, sauf marginalement) et l'ensemble des dépendances (principalement la "cave" et la "ferme" mais aussi la chapelle et la charretterie ; dans cette dernière, pourrait en effet être installée la chaufferie centrale par aquathermie envisageable après sondages). Nous signalons que la réception du public obligera, en l'état des textes et en tout état de cause, à certains aménagements qui affecteront des parties classées, notamment en matière de sécurité (par exemple pour faciliter la sortie du public en cas d'incendie). La "problématique du pavement/cailloutis de la cour", vestige en mauvais état mais réputé classé, serait également traitée, d'autant qu'elle commande de fait la poursuite de pans critiques du chantier.

Quant à la désignation du maître d'ouvrage, elle dépendra de la position que voudra bien adopter enfin la Région sur le principal, ainsi que nous vous en avons informées, D.R.A.C. et Région.

Sans attendre cette clarification, nous souhaiterions que la réalisation de l'étude préalable en question puisse être lancée dans les meilleurs délais. Nous vous prions de bien vouloir nous indiquer si ceci vous paraît acceptable.

Nous nous tenons à votre disposition, en étroite relation avec M. PAQUIN que nous informons de ce courriel, pour préciser tout point de cette demande qui vous paraîtrait le nécessiter.

Nous vous prions d'agréer, Madame, l'expression de notre considération distinguée.

Signé : Pierre-Paul FOURCADE (propriétaire du manoir),
      Hugues HOURDIN (Conseiller d'Etat honoraire et avocat, président de "La SVAADE"),
      Xavier MEYER (notaire honoraire, vice-président de "La SVAADE", en charge des travaux et des animations)

(Fin de citation)

P.S. (à 17 heures 45) : Le pendant de cette demande, adressé cette fois au conseil régional de Normandie, vient de partir.
Avant d'en finir avec l'envoi de notre train de demandes de subventions (pour les menuiseries extérieures du logis et l'"étude préalable d'ensemble"), nous attendons de recevoir communication du dernier état de la réglementation du conseil départemental de l'Orne en la matière.

La vérité m'oblige à dire que nous ne sommes sans doute pas assez "geeks" pour savoir ouvrir complètement le lien qui nous a été indiqué.
(Début de citation)

De : AUBIN Vincent
Envoyé : mercredi 28 septembre 2022 17:3
5À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Cc : (...) ; Hugues HOURDIN ; Xavier MEYER ; Philippe DURAND ; Jean THUAUDET ; C. F. ; (...) ; royer christine PREF61 <christine.royer@orne.gouv.fr> ; Jérôme nury Wanadoo <jerome.nury@wanadoo.fr>; DE PRADEL DE LAMAZE Edouard <edelamaze@carlara.com>; MEUNIER Catherine <Catherine.MEUNIER@normandie.fr>; Bernard Soul <bernard.soul@orange.fr> ; Davy Bernard <b.davy@villededomfront.fr> ; arnaudpaquin architecte <arnaudpaquin.architecte@gmail.com> ; Aliaume Licari-Herdier <aherdier.apaquinarchitecte@gmail.com>; (...)
Objet : RE: Chaslerie - "Etude préalable d'ensemble" - Demande de subvention à la Région Normandie

Bonjour Monsieur FOURCADE,

Je vais répondre clairement à votre demande légitime auprès de la Région Normandie.

Le sujet central dans un premier temps est de trancher côté Région la faisabilité ou pas de financer un propriétaire privé MH dans un projet de restauration.

Certes le dispositif actuel de la Région prévoit l’hypothèse du financement d’une personne physique qui confie son bien à une association à but non lucratif via un bail.

Comme je vous l’ai déjà dit vous êtes le premier propriétaire privé MH en Normandie à nous formuler cette demande en ce sens.

En parallèle les groupes de travail vont démarrer après les vacances de la Toussaint pour traiter les réponses que la Région va apporter aux propriétaires privés suites aux annonces du Président MORIN le 17 mars dernier aux assises du Patrimoine. Je vous remercie d’avoir accepté de participer à nos futures réunions.

Pour permettre un arbitrage rapide sur votre demande nous finalisons une note qui sera soumise à la validation de notre direction générale et nos élus référents au titre de la politique du patrimoine.

Vous aurez donc un retour en novembre au plus tard positif ou négatif sur la maîtrise d’ouvrage soit en votre nom propre soit au nom de l’association dans l’attente du positionnement politique global de la Région quant au financement de la restauration du patrimoine privé.

La problématique est la même pour votre demande de financement d’un diagnostic sanitaire.

Merci de votre compréhension.

Cordialement.

Vincent AUBIN
Chef du service Patrimoine et Inventaire
Direction de la Culture et du Patrimoine (DCP)
Région Normandie (site de Caen)
02 31 06 98 59
06 08 34 21 17
vincent.aubin@normandie.fr

(Fin de citation)
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : vendredi 30 septembre 2022 11:13
À : AUBIN Vincent <vincent.aubin@normandie.fr>
Cc : (...) ; Hugues HOURDIN ; Xavier MEYER ; Philippe DURAND ; Jean THUAUDET ; C. F. ; (...) ; ROYER christine PREF61 ; Jérôme NURY ; DE PRADEL DE LAMAZE Edouard ; MEUNIER Catherine ; Bernard SOUL ; Bernard DAVY ; arnaudpaquin architecte <arnaudpaquin.architecte@gmail.com> <arnaudpaquin.architecte@gmail.com>; Aliaume Licari-Herdier <aherdier.apaquinarchitecte@gmail.com>; (...)
Objet : RE: Chaslerie - "Etude préalable d'ensemble" - Demande de subvention à la Région Normandie

Monsieur,

Le contenu de votre courriel du 28 septembre dernier vient après une quinzaine de mois d'échanges oraux entre nous, allant dans le même sens.

Nous vous remercions d'avoir pris le soin d'écrire "clairement" que notre demande est "légitime" et que "le dispositif actuel de la Région prévoit l’hypothèse du financement d’une personne physique qui confie son bien à une association à but non lucratif via un bail", ainsi que tel est bien le cas en l'espèce, en l'état du dossier.

Ceci nous permet de considérer que la Région devrait être en position de subventionner ce chantier et ladite "étude préalable d'ensemble" aux taux habituels en ces matières.

Nous nous tenons à votre disposition pour répondre à vos questions éventuelles et vous prions d'agréer, Monsieur, l'expression de notre considération distinguée.

Signé : Pierre-Paul FOURCADE (propriétaire du manoir),
      Hugues HOURDIN (Conseiller d'Etat honoraire et avocat, président de "La SVAADE"),
      Xavier MEYER (notaire honoraire, vice-président de "La SVAADE", en charge des travaux et des animations)

(Fin de citation)
Carole, qui doit prévoir de passer cet hiver au manoir favori un peu plus de temps que d'habitude (sans doute en conséquence du fait que son mari a failli claquer il y a deux mois), me réclame un chauffage électrique "efficace et performant" pour la cuisine.

La pièce ayant 30 m2 de surface au sol, il faut, paraît-il, y prévoir un dispositif d'une puissance de 3 000 W. Avec les aléas et risques de panne connus, dus au non-équilibrage actuel des phases de l'installation, vétuste et constamment bidouillée à la marge.

Donc encore des surcoûts à provisionner, que me vaut, ici comme ailleurs, la prétendue "problématique du pavement-cailloutis de la cour", cette farce hénaurme qui paralyse le chantier depuis trente-deux mois désormais, et à l'évidence sans la moindre valeur ajoutée autre que purement formelle.
Chouettes ces trous mais pourquoi les faire rouvrir ? Vous construisez ou vous faites de l'archéologie ? Ça n'avance pas, y a toujours que des pierres, des pierres, des pierres. Et des planchers ou plafonds provisoires qu'il va falloir enlever, c'est exaspérant. Y a des amorces dans tous les coins et rien n'est jamais achevé !
Et pourquoi ne pas avancer dans des pièces comme le salon, c'est important quand même !

N.D.L.R. : Excellent résumé, bravo !

Le chantier est bloqué de fait depuis février 2020 (soit depuis 32 mois, une paille) par la "prétendue problématique du pavement-cailloutis de la cour" que l'on sait. Dès lors que nous ne sommes pas autorisés à faire passer les tuyaux d'eau chauffée et autres fluides dans la cour, nous ne pouvons installer le chauffage, ni dans le logis, ni dans l'aile Ouest, c'est-à-dire rien de moins que les bâtiments principaux. Et si nous ne pouvons y installer le chauffage, nous y sommes également bloqués pour restaurer les sols (donc les plafonds), donc, par voie de conséquence, les murs. Bref, nous nous trouvons sur-contraints par un véritable chef-d’œuvre de blocage administratif de chantier.
Je vous laisse vous demander pour quelle valeur ajoutée.

Et il y a un autre menu problème désormais, celui des "phynances du Bon-Papa"...

... qui nous oblige, "La SVAADE" et moi, à battre la campagne à la recherche d'entités subventionneuses ou de mécènes, quand on veut bien nous éclairer dans le brouillard.
Les mécènes, on n'en a pas encore trouvés !
Quant aux entités subventionneuses, à commencer - à tout seigneur, tout honneur - par la D.R.A.C. - en fait la conservation régionale des monuments historiques qui semble jouir d'une grande latitude pour opérer des choix d'opportunité -, il convient de se souvenir que, voici sept ans, j'ai payé un architecte du patrimoine (comme tel, titulaire d'un "monopole légal" souvent mal contrôlé, du moins selon mon expérience) qui s'est goinfré avant de déchirer son contrat, non sans avoir préalablement pompé les lignes de crédit disponibles pour ses honoraires, sans jamais avoir pour autant rien fourni à ce titre d'autre qu'une vaine paperasse, de surcroît incomplète par refus aussi obtus qu'obstiné de la documenter convenablement (pour lever toute ambiguïté, je souligne qu'il ne s'agit en rien ici d'une allusion à l'excellent Arnaud PAQUIN à qui nous sommes heureux d'avoir enfin confié la maîtrise d’œuvre du chantier favori après sept précédents en trente ans, parfois manifestement inaptes au service, notamment parmi les plus "gradés"). Ceci a obligé (entre autres raisons, mais celle-ci est la principale selon moi) la D.R.A.C. - ou son bras armé, la C.R.M.H. - à nous demander de "substituer une tranche A aux tranches 1 et 2 précédentes" devenues particulièrement inapplicables.
En outre, depuis plus de quinze mois, "La SVAADE" et moi avons dû mettre au point une invraisemblable et inédite "usine à gaz" pour essayer de satisfaire aux réglementations mal coordonnées des trois strates du mille-feuilles administratif que l'on sait. Après tous ces efforts menés en pleine transparence avec ces "strates" (et en particulier celle dont la réglementation serait d'une forme perfectible), nous nous sommes vu écrire par notre "officier traitant" chez cette dernière que notre lecture de sa réglementation est la bonne (merci !) mais qu'il faut laisser aux élus en question le temps de la restreindre avant qu'il puisse nous être enfin répondu officiellement sur le point de savoir qui peut être le maître d'ouvrage...
Donc du grand n'importe quoi : et vive l'Etat de droit !!!


Ainsi, comme vous l'avez si bien compris, il pourrait bien y avoir quelques raisons à de petites et ô combien fugaces traces d'exaspération de notre part. Et, plus généralement, des acteurs de terrain. Ou, plus généralement encore, de quelques observateurs de bon sens.

Heureusement pour tous nos "interlocuteurs obligés", nous sommes, "La SVAADE" et moi, particulièrement tolérants à propos des faiblesses, même manifestes, d'autrui et, surtout, toujours zen face aux procédures tatillonnes qui pullulent sur de tels sujets (qui n'en ont certes pas le monopole dans ce pays), à leur amoncellement incessant, y compris par suite d'ineptes effets de mode, voire à un discernement perfectible dans leur application.

C'est d'ailleurs ce qui fait tout notre charme, bien connu dans les chaumières et autres lieux de France et de Navarre, y compris les lieux de pouvoir, qu'on se le dise !

N.D.L.R. 2 (à 3 heures 30) : Carole me dit que ce n'est pas le veto de la C.R.M.H. qui bloque le chantier mais mon manque de moyens financiers pour payer la chaudière. Pas faux, même s'il serait toujours possible d'installer l'aval quand l'amont resterait à l'état de vœu. A ce sujet, le contact n'a toujours pas pu être établi avec l'ADEME, on aurait besoin pour ceci, d'abord, d'une "étude préalable d'ensemble" qui soit utile, vaste programme...
Là aussi, après avoir exposé la situation dans toute sa curieuse complexité et obtenu comme première réponse que notre demande est "légitime", on attend les subventions et, pour pouvoir amorcer celles-ci, que le flou autour du choix du maître d'ouvrage soit enfin levé !

N.D.L.R. 3 (à 16 heures 30) : A toutes fins utiles, je prends l'initiative de préciser que je n'ai pas fait relire cette réponse, rédigée par moi seul, par les membres du bureau de "La SVAADE" en vue de la leur faire endosser ou avaliser d'une quelconque façon.