Échec des Éoliennes : L'Allemagne, la Grande-Bretagne et le Danemark en crise
Malgré des investissements colossaux de plus de 500 milliards d'euros, l'Allemagne se retrouve avec un réseau électrique au bord de la rupture et une dépendance accrue aux énergies fossiles.
En Grande Bretagne une situation météorologique similaire vient de conduire à des dépenses astronomiques pour l’arrêt des éoliennes, soulevant des questions sur l’efficacité de la transition énergétique britannique. Plus d’un milliard de livres sterling dépensé en " coûts de congestion" !
Au Danemark, les champs géants d’éoliennes en mer ne trouvent pas preneurs.
Economie
Fédération Environnement Durable
rédigé le Dimanche 8 Décembre 2024
Lobbying environnemental - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Désultoirement vôtre ! - A.D.D.O.O.E.
rédigé le Dimanche 8 Décembre 2024
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Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 13 Décembre 2024
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
rédigé le Vendredi 13 Décembre 2024
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
Raspoutitsa à la française.
La plupart des estimations tablent désormais sur un déficit supérieur à 6 % du PIB en 2025, soit environ 180 milliards d’euros.
Et on n'entrevoit pas encore le début du commencement de la fin de la dégringolade.
La plupart des estimations tablent désormais sur un déficit supérieur à 6 % du PIB en 2025, soit environ 180 milliards d’euros.
Et on n'entrevoit pas encore le début du commencement de la fin de la dégringolade.
lemonde.fr
rédigé le Samedi 14 Décembre 2024
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
rédigé le Samedi 14 Décembre 2024
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
Dérapage du déficit public : devant les députés, Bruno Le Maire hausse le ton
Entendu, jeudi 12 décembre, par la commission des finances, l’ancien ministre de l’économie s’en est pris à une Assemblée nationale « qui taxe, dépense et censure ». Sans admettre la moindre faute.
N.D.L.R. : Ce type, tout juste bon à trafiquer les comptes publics, démontre une fois de plus qu'il est une parfaite ordure.
Car que n'a-t-il fait le boulot quand une majorité le suivait encore ?
Entendu, jeudi 12 décembre, par la commission des finances, l’ancien ministre de l’économie s’en est pris à une Assemblée nationale « qui taxe, dépense et censure ». Sans admettre la moindre faute.
N.D.L.R. : Ce type, tout juste bon à trafiquer les comptes publics, démontre une fois de plus qu'il est une parfaite ordure.
Car que n'a-t-il fait le boulot quand une majorité le suivait encore ?
Transitions & Energies
rédigé le Mercredi 18 Décembre 2024
A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Vie des associations
rédigé le Mercredi 18 Décembre 2024
A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Vie des associations
La Commission européenne n’a pas renoncé à saboter la stratégie nucléaire française
C’est une constante depuis plus d’une décennie à Bruxelles. La tentative permanente de remettre en cause le modèle énergétique français construit sur le nucléaire par une alliance inédite d'eurocrates et de politiques « progressistes ». Leur ambition est d'imposer à tous et par tous les moyens le modèle allemand du tout renouvelables. Peu importe, s'il s'agit d'un échec cinglant qui s'est traduit par une envolée des prix de l’électricité, les plus élevés d’Europe, des performances médiocres de baisse des émissions et une menace grandissante de pénuries. Cela fait deux mois que faute de vent, l'Allemagne importe massivement l'électricité nucléaire française. Dernier épisode en date de la bataille souterraine à Bruxelles, une passe d’armes entre le tout nouveau Commissaire européen de l'énergie, le Danois Dan Jørgensen, adversaire historique du nucléaire, et la Française Agnès Pannier-Runacher, ministre démissionnaire de l'Écologie et de l'Énergie.
C’est un feuilleton qui se poursuit depuis des années à Bruxelles dans les couloirs de la Commission européenne et dans ceux du Parlement européen. Technocrates et politiques « progressistes » entendent par tous les moyens imposer leur stratégie de transition énergétique qui passe par le tout renouvelables. Peu importe que cette stratégie soit un échec comme le montre de façon éclatante l’exemple allemand de l’Energiewende. Après avoir investi 600 milliards d’euros dans les renouvelables, l’Allemagne se retrouve avec l’électricité la plus chère d’Europe et quand il y a peu de vent et de soleil, comme depuis plusieurs semaines, elle est contrainte d’importer massivement… l’électricité nucléaire française.
Mais à Bruxelles l’idéologie et les calculs politiques ont pris le pas depuis longtemps sur les réalités physiques et économiques. Ce qui explique d’ailleurs le rejet croissant des institutions européennes. Avec la stratégie qu’elles imposent depuis plus d’une décennie, les gains en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre ne sont pas au rendez-vous et l’intermittence des renouvelables éolien et solaire contraint à avoir des moyens de production d’électricité dits pilotables qui sont la plupart du temps fossile, au gaz ou au charbon.
La Commission ne reconnaît jamais ses errements
Cela se traduit par la nécessité d’avoir des capacités de production bien plus importantes que la demande, ce qui rend les investissements dans les équipements de substitution peu ou pas rentables et en outre, cela déstabilise les marchés de l’électricité. Car quand les conditions météorologiques sont favorables aux renouvelables intermittents, la production est trop importante et les prix s’effondrent et quand elle est insuffisante, en général en fin de journée quand la demande est la plus forte, les prix s’envolent…
Le nucléaire apporte une solution à ce problème, même si elle n’est pas techniquement optimale car le fonctionnement des réacteurs n’a pas la souplesse des turbines à gaz. Mais le nucléaire fournit une production dite de base, abondante, totalement décarbonée et non intermittente sur laquelle il est plus facile de construire un système électrique fiable et avec des prix prévisibles et à peu près maîtrisés.
Mais la Commission européenne persiste dans l’erreur. Nouvelle illustration, la passe d’armes qui n’augure rien de bon entre le tout nouveau commissaire européen de l’énergie, le Danois Dan Jørgensen, adversaire historique du nucléaire, et la Française Agnès Pannier-Runacher, ministre démissionnaire de l’Écologie et de l’Énergie.
La tentative de tromperie du nouveau Commissaire européen à l’énergie
Lors d’un Conseil des ministres européens de l’énergie, qui s’est tenu le 16 décembre, celle-ci a dû intervenir pour empêcher une modification importante d’un texte essentiel sur les objectifs énergétiques européens. Le diable se cache dans les détails. La lettre de mission de Dan Jørgensen, qui précise ses priorités politiques, avait été modifiée à la dernière minute lui demandant de « soumettre une initiative pour booster le déploiement du stockage de l’énergie et des énergies renouvelables, y compris en proposant un objectif pour les renouvelables en 2040 ». Cela ne figurait pas dans la version de la même lettre de mission soumise le 17 septembre lors des auditions des commissaires par le Parlement européen.
Agnès Pannier-Runacher a indiqué qu’il était hors de question que l’Union européenne impose un objectif précis de parts des énergies renouvelables dans la production électrique d’ici 2040. « Une telle cible semble contredire le principe de neutralité technologique […] et crée un risque de discrimination », a-t-elle fait valoir.
Deux mois sans vent en mer du nord
La France ne veut pas que l’objectif, déjà inatteignable et irréaliste, de 42,5% de renouvelables dans le mix énergétique en 2030 imposé aux Etats de l’Union soit encore augmenté… pour le seul bénéfice de la communication politique de la Commission et du Commissaire.
« Cela fait deux mois qu’il n’y a pas de vent en mer du Nord et que les éoliennes produisent peu, tous les pays du Nord importent massivement de l’électricité nucléaire française. Pourquoi se fixerait-on un objectif qui dépend de facteurs qu’on ne contrôle pas », souligne-t-on au cabinet de la ministre française. Et de mettre en avant l’échec allemand, ce qui est presque trop facile. En 2023, la France qui n’est pas sortie du nucléaire comme l’Allemagne était à 22,2% d’énergies renouvelables dans son mix énergétique, mieux que l’Allemagne avec 22%…
Après avoir tenté de faire modifier subrepticement sa lettre de mission, Dan Jørgensen a semblé faire machine arrière. « Nous devons évidemment formuler les politiques pour atteindre cet objectif [sur les renouvelables] d’une manière qui ne porte pas préjudice à la possibilité d’utiliser également d’autres technologies propres, des technologies neutres en carbone comme par exemple le nucléaire », a-t-il déclaré. Il doit tenir compte, à défaut de la réalité énergétique, des rapports de force politique. L’Alliance du nucléaire qui regroupe 12 pays européens (et 3 observateurs) et a été lancée en février 2023, notamment à l’initiative d’Agnès Pannier-Runacher, s’est réunie le 16 décembre, en marge du Conseil, en présence de Dan Jørgensen
C’est une constante depuis plus d’une décennie à Bruxelles. La tentative permanente de remettre en cause le modèle énergétique français construit sur le nucléaire par une alliance inédite d'eurocrates et de politiques « progressistes ». Leur ambition est d'imposer à tous et par tous les moyens le modèle allemand du tout renouvelables. Peu importe, s'il s'agit d'un échec cinglant qui s'est traduit par une envolée des prix de l’électricité, les plus élevés d’Europe, des performances médiocres de baisse des émissions et une menace grandissante de pénuries. Cela fait deux mois que faute de vent, l'Allemagne importe massivement l'électricité nucléaire française. Dernier épisode en date de la bataille souterraine à Bruxelles, une passe d’armes entre le tout nouveau Commissaire européen de l'énergie, le Danois Dan Jørgensen, adversaire historique du nucléaire, et la Française Agnès Pannier-Runacher, ministre démissionnaire de l'Écologie et de l'Énergie.
C’est un feuilleton qui se poursuit depuis des années à Bruxelles dans les couloirs de la Commission européenne et dans ceux du Parlement européen. Technocrates et politiques « progressistes » entendent par tous les moyens imposer leur stratégie de transition énergétique qui passe par le tout renouvelables. Peu importe que cette stratégie soit un échec comme le montre de façon éclatante l’exemple allemand de l’Energiewende. Après avoir investi 600 milliards d’euros dans les renouvelables, l’Allemagne se retrouve avec l’électricité la plus chère d’Europe et quand il y a peu de vent et de soleil, comme depuis plusieurs semaines, elle est contrainte d’importer massivement… l’électricité nucléaire française.
Mais à Bruxelles l’idéologie et les calculs politiques ont pris le pas depuis longtemps sur les réalités physiques et économiques. Ce qui explique d’ailleurs le rejet croissant des institutions européennes. Avec la stratégie qu’elles imposent depuis plus d’une décennie, les gains en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre ne sont pas au rendez-vous et l’intermittence des renouvelables éolien et solaire contraint à avoir des moyens de production d’électricité dits pilotables qui sont la plupart du temps fossile, au gaz ou au charbon.
La Commission ne reconnaît jamais ses errements
Cela se traduit par la nécessité d’avoir des capacités de production bien plus importantes que la demande, ce qui rend les investissements dans les équipements de substitution peu ou pas rentables et en outre, cela déstabilise les marchés de l’électricité. Car quand les conditions météorologiques sont favorables aux renouvelables intermittents, la production est trop importante et les prix s’effondrent et quand elle est insuffisante, en général en fin de journée quand la demande est la plus forte, les prix s’envolent…
Le nucléaire apporte une solution à ce problème, même si elle n’est pas techniquement optimale car le fonctionnement des réacteurs n’a pas la souplesse des turbines à gaz. Mais le nucléaire fournit une production dite de base, abondante, totalement décarbonée et non intermittente sur laquelle il est plus facile de construire un système électrique fiable et avec des prix prévisibles et à peu près maîtrisés.
Mais la Commission européenne persiste dans l’erreur. Nouvelle illustration, la passe d’armes qui n’augure rien de bon entre le tout nouveau commissaire européen de l’énergie, le Danois Dan Jørgensen, adversaire historique du nucléaire, et la Française Agnès Pannier-Runacher, ministre démissionnaire de l’Écologie et de l’Énergie.
La tentative de tromperie du nouveau Commissaire européen à l’énergie
Lors d’un Conseil des ministres européens de l’énergie, qui s’est tenu le 16 décembre, celle-ci a dû intervenir pour empêcher une modification importante d’un texte essentiel sur les objectifs énergétiques européens. Le diable se cache dans les détails. La lettre de mission de Dan Jørgensen, qui précise ses priorités politiques, avait été modifiée à la dernière minute lui demandant de « soumettre une initiative pour booster le déploiement du stockage de l’énergie et des énergies renouvelables, y compris en proposant un objectif pour les renouvelables en 2040 ». Cela ne figurait pas dans la version de la même lettre de mission soumise le 17 septembre lors des auditions des commissaires par le Parlement européen.
Agnès Pannier-Runacher a indiqué qu’il était hors de question que l’Union européenne impose un objectif précis de parts des énergies renouvelables dans la production électrique d’ici 2040. « Une telle cible semble contredire le principe de neutralité technologique […] et crée un risque de discrimination », a-t-elle fait valoir.
Deux mois sans vent en mer du nord
La France ne veut pas que l’objectif, déjà inatteignable et irréaliste, de 42,5% de renouvelables dans le mix énergétique en 2030 imposé aux Etats de l’Union soit encore augmenté… pour le seul bénéfice de la communication politique de la Commission et du Commissaire.
« Cela fait deux mois qu’il n’y a pas de vent en mer du Nord et que les éoliennes produisent peu, tous les pays du Nord importent massivement de l’électricité nucléaire française. Pourquoi se fixerait-on un objectif qui dépend de facteurs qu’on ne contrôle pas », souligne-t-on au cabinet de la ministre française. Et de mettre en avant l’échec allemand, ce qui est presque trop facile. En 2023, la France qui n’est pas sortie du nucléaire comme l’Allemagne était à 22,2% d’énergies renouvelables dans son mix énergétique, mieux que l’Allemagne avec 22%…
Après avoir tenté de faire modifier subrepticement sa lettre de mission, Dan Jørgensen a semblé faire machine arrière. « Nous devons évidemment formuler les politiques pour atteindre cet objectif [sur les renouvelables] d’une manière qui ne porte pas préjudice à la possibilité d’utiliser également d’autres technologies propres, des technologies neutres en carbone comme par exemple le nucléaire », a-t-il déclaré. Il doit tenir compte, à défaut de la réalité énergétique, des rapports de force politique. L’Alliance du nucléaire qui regroupe 12 pays européens (et 3 observateurs) et a été lancée en février 2023, notamment à l’initiative d’Agnès Pannier-Runacher, s’est réunie le 16 décembre, en marge du Conseil, en présence de Dan Jørgensen
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 20 Décembre 2024
A.D.D.O.O.E. - Sud Manche - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Vie des associations
rédigé le Vendredi 20 Décembre 2024
A.D.D.O.O.E. - Sud Manche - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Vie des associations
(Début de citation)
De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : samedi 21 décembre 2024 11:11
À : hervé texier <vdcenpb@yahoo.fr>
Objet : RE: Eoliennes de Ger et de Saint-Georges-de-Rouelley
Avec plaisir.
Tu peux y joindre mes vœux qu'ils ne désarment jamais devant la bêtise envahissante !
_____________________________________________________________________________________
De : hervé texier <vdcenpb@yahoo.fr>
Envoyé : samedi 21 décembre 2024 11:09
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Re: Eoliennes de Ger et de Saint-Georges-de-Rouelley
Serais tu d'accord pour que je diffuse ton mail aux adhérents de BNE ?
Hervé
_____________________________________________________________________________________
De : hervé texier <vdcenpb@yahoo.fr>
Envoyé : samedi 21 décembre 2024 11:07
À : 'Pierre-Paul Fourcade' <penadomf@msn.com>; (...)
Objet : Re: Eoliennes de Ger et de Saint-Georges-de-Rouelley
Un Très Grand Bravo. C'est un victoire mémorable qui mérite d'être connue.
Je me souviens du départ quand nous avons commencé à démarcher les premiers foyers qui risquaient d'être impactés et des premières réunions à la Chaslerie.
Mais tu as raison, restons vigilants. BNE sera là pour défendre notre environnement
Bonnes fêtes de fin d'année
Hervé Texier
Président BNE
_____________________________________________________________________________________
De : Patrice CAHART
Envoyé : samedi 21 décembre 2024 09:18
À : 'Pierre-Paul Fourcade' <penadomf@msn.com>; (...)
Objet : RE: Eoliennes de Ger et de Saint-Georges-de-Rouelley
Bravo cher Pierre-Paul. Ta ténacité et ta vigueur, tout au long de ces neuf années, sont pour beaucoup dans ce succès.
Je suis heureux de constater que l’éolien n’est pas gagnant à tous les coups.
Patrice
_____________________________________________________________________________________
De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : vendredi 20 décembre 2024 22:33
À : (...)
Cc : Cabinet d'avocats Monamy ; Denis de la BURGADE
Objet : Eoliennes de Ger et de Saint-Georges-de-Rouelley
Chers amis,
De mémoire, Xavier de THIEULLOY m'a signalé le 22 avril 2015 que le préfet de la Manche avait, le 12 mars précédent, autorisé l'extension du parc éolien de Ger à 6 nouveaux aérogénérateurs électriques industriels de 152 m de haut. Le projet devait être installé sur les territoires de Ger et Saint-Georges-de-Rouelley.
Depuis cette époque, nous avons formé une équipe qui a tenu et nous sommes battus avec résolution. Certains d'entre nous, (...), ont recherché des moyens à faire valoir et cette quête aura été très fructueuse.
Sachez que nous avons gagné : j'ai reçu aujourd'hui le courrier joint du Conseil d'Etat nous annonçant que le pourvoi de notre adversaire vient d'être rejeté.
C'en est donc fini pour cette vague de huit procès (de mémoire) à laquelle nous avons dû faire face.
Voici une bonne nouvelle dans un monde qui en manque et à la veille de Noël de surcroît.
Ceci dit, ne nous trompons pas : notre adversaire est énorme puisque c'est le groupe Total, la politique énergétique des pouvoirs publics est toujours aussi lamentablement absurde et les possibilités de nous défendre à l'avenir ont été fortement réduites à la suite des manœuvres incessantes du lobby éolien.
Fort des enseignements de la première vague de procès, notre adversaire a désormais tout loisir de monter un nouveau dossier qui parerait à nos ripostes de la première vague.
Donc restons mobilisés et, en particulier, à l'affût de tout nouveau projet dont il pourrait être question dans notre secteur.
Je compte sur vous pour ne jamais relâcher la veille !
Sur ce, joyeux Noël et bonne année !
Bien cordialement,
PPF
(Fin de citation)
De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : samedi 21 décembre 2024 11:11
À : hervé texier <vdcenpb@yahoo.fr>
Objet : RE: Eoliennes de Ger et de Saint-Georges-de-Rouelley
Avec plaisir.
Tu peux y joindre mes vœux qu'ils ne désarment jamais devant la bêtise envahissante !
_____________________________________________________________________________________
De : hervé texier <vdcenpb@yahoo.fr>
Envoyé : samedi 21 décembre 2024 11:09
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Re: Eoliennes de Ger et de Saint-Georges-de-Rouelley
Serais tu d'accord pour que je diffuse ton mail aux adhérents de BNE ?
Hervé
_____________________________________________________________________________________
De : hervé texier <vdcenpb@yahoo.fr>
Envoyé : samedi 21 décembre 2024 11:07
À : 'Pierre-Paul Fourcade' <penadomf@msn.com>; (...)
Objet : Re: Eoliennes de Ger et de Saint-Georges-de-Rouelley
Un Très Grand Bravo. C'est un victoire mémorable qui mérite d'être connue.
Je me souviens du départ quand nous avons commencé à démarcher les premiers foyers qui risquaient d'être impactés et des premières réunions à la Chaslerie.
Mais tu as raison, restons vigilants. BNE sera là pour défendre notre environnement
Bonnes fêtes de fin d'année
Hervé Texier
Président BNE
_____________________________________________________________________________________
De : Patrice CAHART
Envoyé : samedi 21 décembre 2024 09:18
À : 'Pierre-Paul Fourcade' <penadomf@msn.com>; (...)
Objet : RE: Eoliennes de Ger et de Saint-Georges-de-Rouelley
Bravo cher Pierre-Paul. Ta ténacité et ta vigueur, tout au long de ces neuf années, sont pour beaucoup dans ce succès.
Je suis heureux de constater que l’éolien n’est pas gagnant à tous les coups.
Patrice
_____________________________________________________________________________________
De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : vendredi 20 décembre 2024 22:33
À : (...)
Cc : Cabinet d'avocats Monamy ; Denis de la BURGADE
Objet : Eoliennes de Ger et de Saint-Georges-de-Rouelley
Chers amis,
De mémoire, Xavier de THIEULLOY m'a signalé le 22 avril 2015 que le préfet de la Manche avait, le 12 mars précédent, autorisé l'extension du parc éolien de Ger à 6 nouveaux aérogénérateurs électriques industriels de 152 m de haut. Le projet devait être installé sur les territoires de Ger et Saint-Georges-de-Rouelley.
Depuis cette époque, nous avons formé une équipe qui a tenu et nous sommes battus avec résolution. Certains d'entre nous, (...), ont recherché des moyens à faire valoir et cette quête aura été très fructueuse.
Sachez que nous avons gagné : j'ai reçu aujourd'hui le courrier joint du Conseil d'Etat nous annonçant que le pourvoi de notre adversaire vient d'être rejeté.
C'en est donc fini pour cette vague de huit procès (de mémoire) à laquelle nous avons dû faire face.
Voici une bonne nouvelle dans un monde qui en manque et à la veille de Noël de surcroît.
Ceci dit, ne nous trompons pas : notre adversaire est énorme puisque c'est le groupe Total, la politique énergétique des pouvoirs publics est toujours aussi lamentablement absurde et les possibilités de nous défendre à l'avenir ont été fortement réduites à la suite des manœuvres incessantes du lobby éolien.
Fort des enseignements de la première vague de procès, notre adversaire a désormais tout loisir de monter un nouveau dossier qui parerait à nos ripostes de la première vague.
Donc restons mobilisés et, en particulier, à l'affût de tout nouveau projet dont il pourrait être question dans notre secteur.
Je compte sur vous pour ne jamais relâcher la veille !
Sur ce, joyeux Noël et bonne année !
Bien cordialement,
PPF
(Fin de citation)
Les Echos
rédigé le Mercredi 25 Décembre 2024
A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Vie des associations - Désultoirement vôtre !
rédigé le Mercredi 25 Décembre 2024
A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Vie des associations - Désultoirement vôtre !
Prix négatifs de l’électricité : la France veut mettre au pas les centrales solaires et éoliennes
Alors que le phénomène prend de l'ampleur en France, le régulateur de l'énergie propose de limiter les heures à prix négatif en amendant les contrats historiques conclus entre l'Etat et les producteurs solaires et éoliens.
Ils sont devenus la bête noire du marché de l'énergie. Encore rarissimes il y a quelques années, les épisodes de prix négatifs de l'électricité se multiplient dans l'Hexagone. Au point que les autorités souhaitent endiguer le phénomène, provoqué principalement par un surplus de production d'énergie solaire.
Gendarme du secteur, la Commission de régulation de l’énergie (CRE) mène la charge, dans une série de recommandations publiées fin novembre. Elles suivent la tentative de régulation du précédent gouvernement, dans son projet de budget 2025, et les préconisations faites l'été dernier par RTRE, le gestionnaire des lignes à haute tension.
10 % d'heures négatives au deuxième trimestre
Les heures négatives sur le marché spot (pour livraison le lendemain, donc distinct des contrats à prix fixe des particuliers et de la majorité des contrats des entreprises) ont pris de l'ampleur cette année en raison d'un effet ciseau défavorable. La consommation d’électricité reste inférieure au niveau d'avant-Covid en France, alors que l'offre d'énergies renouvelables est toujours plus abondante et la production des centrales nucléaires quasiment revenue à la normale.
Jamais supérieur à 102 heures par an jusqu'en 2022, le phénomène d'heures négatives a duré 147 heures en 2023, avant de bondir à 235 heures sur le seul premier semestre 2024, selon la CRE. Cela signifie qu'à fin juin, l'offre d'électricité a dépassé la demande durant 5,4 % du temps. La proportion a même grimpé à 10,2 % du temps au deuxième trimestre.
Ces épisodes se situent majoritairement entre 12 heures et 16 heures, période de fort ensoleillement où les besoins des ménages sont au plus bas, et le week-end, lorsque beaucoup d'entreprises sont à l'arrêt.
Un coût de 30 millions d'euros pour l'Etat en 2024
Ce déséquilibre ne traduit pas « un dysfonctionnement du système électrique ou du marché » mais « une utilisation sous-optimale du parc de production installé, engendrant une perte économique pour la collectivité », explique le régulateur. Pour l'Etat, la facture atteint « 30 millions d'euros » en 2024, indiquait le gouvernement Barnier, dans un amendement au projet de Budget 2025 qui extrapolait les données semestrielles sur une année entière.
En cas de prix négatif, l'Etat compense en effet le manque à gagner pour les centrales qui bénéficient de contrats avec obligation d'achat. Celles-ci représentent une grosse moitié des 69 GW de capacités solaires et éoliennes en France. La CRE propose d'amender donc une partie des contrats historiques, afin d'inciter ces installations à interrompre leur production lors des heures à prix négatif. Elle vise en priorité les premières grandes fermes éoliennes en mer installées en face de Saint-Nazaire, Yeu-Noirmoutier, Fécamp ou Saint Brieuc.
A priori, les producteurs ne sont pas contre faire bouger les lignes mais ils veulent le faire sur la base du volontariat, sans toucher aux contrats déjà signés avec l'Etat. « La filière des énergies renouvelables doit faire des efforts pour éviter les prix négatifs, concède Jules Nyssen, président du Syndicat des énergies renouvelables. Nous ne sommes pas opposés à une déconnexion des centrales qui bénéficient quoi qu'il arrive, d'un tarif d'achat. Mais il faut éviter de revenir sur les contrats déjà signés car cela pose un problème de confiance. Pour ce type de contrats historiques, cela ne peut marcher que sur la base du volontariat ».
Décaler les heures creuses
Au-delà du cas des centrales avec obligation d'achat, le régulateur souhaite renforcer les dispositifs d'incitation à couper la production et corriger des biais, pour le quart du parc solaire et éolien qui bénéficie d'un mécanisme de complément de rémunération (le quart restant ne profitant pas de mesures de soutien).
Pour mieux équilibrer l'offre et la demande électrique, la CRE propose aussi que les énergies renouvelables contribuent plus à la programmation de la production, en concertation avec RTE. Encore faut-il que les installations soient équipées d'outils permettant de piloter la production à distance. Autre piste, le stockage d’énergie sur batteries, encore balbutiant.
En parallèle des réflexions sont en cours pour mieux piloter la consommation d'électricité. La CRE travaille avec Enedis à une nouvelle répartition entre heures pleines et heures creuses. Ces dernières se situent majoritairement la nuit, quand les centrales solaires ne tournent pas. Les décaler en partie en journée permettrait de profiter de cette énergie bas carbone pour recharger les voitures électriques ou pour alimenter les chauffe-eau, traditionnellement programmés la nuit.
N.D.L.R. : C'est vrai ça ! A une époque où l'Etat cherche frénétiquement des moyens de colmater les trous béants des finances publiques, pourquoi continue-t-il à engraisser toujours davantage les promoteurs éoliens, et ceci sans le moindre intérêt - bien au contraire - pour la collectivité ?
Ne serait-il pas enfin temps pour les brillants esprits qui nous gouvernent d'avoir deux sous de bon sens ?
Alors que le phénomène prend de l'ampleur en France, le régulateur de l'énergie propose de limiter les heures à prix négatif en amendant les contrats historiques conclus entre l'Etat et les producteurs solaires et éoliens.
Ils sont devenus la bête noire du marché de l'énergie. Encore rarissimes il y a quelques années, les épisodes de prix négatifs de l'électricité se multiplient dans l'Hexagone. Au point que les autorités souhaitent endiguer le phénomène, provoqué principalement par un surplus de production d'énergie solaire.
Gendarme du secteur, la Commission de régulation de l’énergie (CRE) mène la charge, dans une série de recommandations publiées fin novembre. Elles suivent la tentative de régulation du précédent gouvernement, dans son projet de budget 2025, et les préconisations faites l'été dernier par RTRE, le gestionnaire des lignes à haute tension.
10 % d'heures négatives au deuxième trimestre
Les heures négatives sur le marché spot (pour livraison le lendemain, donc distinct des contrats à prix fixe des particuliers et de la majorité des contrats des entreprises) ont pris de l'ampleur cette année en raison d'un effet ciseau défavorable. La consommation d’électricité reste inférieure au niveau d'avant-Covid en France, alors que l'offre d'énergies renouvelables est toujours plus abondante et la production des centrales nucléaires quasiment revenue à la normale.
Jamais supérieur à 102 heures par an jusqu'en 2022, le phénomène d'heures négatives a duré 147 heures en 2023, avant de bondir à 235 heures sur le seul premier semestre 2024, selon la CRE. Cela signifie qu'à fin juin, l'offre d'électricité a dépassé la demande durant 5,4 % du temps. La proportion a même grimpé à 10,2 % du temps au deuxième trimestre.
Ces épisodes se situent majoritairement entre 12 heures et 16 heures, période de fort ensoleillement où les besoins des ménages sont au plus bas, et le week-end, lorsque beaucoup d'entreprises sont à l'arrêt.
Un coût de 30 millions d'euros pour l'Etat en 2024
Ce déséquilibre ne traduit pas « un dysfonctionnement du système électrique ou du marché » mais « une utilisation sous-optimale du parc de production installé, engendrant une perte économique pour la collectivité », explique le régulateur. Pour l'Etat, la facture atteint « 30 millions d'euros » en 2024, indiquait le gouvernement Barnier, dans un amendement au projet de Budget 2025 qui extrapolait les données semestrielles sur une année entière.
En cas de prix négatif, l'Etat compense en effet le manque à gagner pour les centrales qui bénéficient de contrats avec obligation d'achat. Celles-ci représentent une grosse moitié des 69 GW de capacités solaires et éoliennes en France. La CRE propose d'amender donc une partie des contrats historiques, afin d'inciter ces installations à interrompre leur production lors des heures à prix négatif. Elle vise en priorité les premières grandes fermes éoliennes en mer installées en face de Saint-Nazaire, Yeu-Noirmoutier, Fécamp ou Saint Brieuc.
A priori, les producteurs ne sont pas contre faire bouger les lignes mais ils veulent le faire sur la base du volontariat, sans toucher aux contrats déjà signés avec l'Etat. « La filière des énergies renouvelables doit faire des efforts pour éviter les prix négatifs, concède Jules Nyssen, président du Syndicat des énergies renouvelables. Nous ne sommes pas opposés à une déconnexion des centrales qui bénéficient quoi qu'il arrive, d'un tarif d'achat. Mais il faut éviter de revenir sur les contrats déjà signés car cela pose un problème de confiance. Pour ce type de contrats historiques, cela ne peut marcher que sur la base du volontariat ».
Décaler les heures creuses
Au-delà du cas des centrales avec obligation d'achat, le régulateur souhaite renforcer les dispositifs d'incitation à couper la production et corriger des biais, pour le quart du parc solaire et éolien qui bénéficie d'un mécanisme de complément de rémunération (le quart restant ne profitant pas de mesures de soutien).
Pour mieux équilibrer l'offre et la demande électrique, la CRE propose aussi que les énergies renouvelables contribuent plus à la programmation de la production, en concertation avec RTE. Encore faut-il que les installations soient équipées d'outils permettant de piloter la production à distance. Autre piste, le stockage d’énergie sur batteries, encore balbutiant.
En parallèle des réflexions sont en cours pour mieux piloter la consommation d'électricité. La CRE travaille avec Enedis à une nouvelle répartition entre heures pleines et heures creuses. Ces dernières se situent majoritairement la nuit, quand les centrales solaires ne tournent pas. Les décaler en partie en journée permettrait de profiter de cette énergie bas carbone pour recharger les voitures électriques ou pour alimenter les chauffe-eau, traditionnellement programmés la nuit.
N.D.L.R. : C'est vrai ça ! A une époque où l'Etat cherche frénétiquement des moyens de colmater les trous béants des finances publiques, pourquoi continue-t-il à engraisser toujours davantage les promoteurs éoliens, et ceci sans le moindre intérêt - bien au contraire - pour la collectivité ?
Ne serait-il pas enfin temps pour les brillants esprits qui nous gouvernent d'avoir deux sous de bon sens ?
François ASSELINEAU (via "X")
rédigé le Dimanche 29 Décembre 2024
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
rédigé le Dimanche 29 Décembre 2024
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
😲 MACRON ANNONCE LA CRÉATION D’UN "HAUT-COMMISSARIAT À L’ENFANCE".
🤡 C'EST ENCORE UNE DÉCISION IMBÉCILE, INUTILE ET COÛTEUSE !
Cette décision se veut un correctif à l'absence d’un ministère délegué dans le gouvernement Bayrou.
🚨Mais ce n'est pas parce qu'il n'existe pas de politicard incompétent intitulé "ministre délegué à l'enfance" que la question n'est pas ARCHI-TRAITÉE PAR DES DIZAINES D'ACTEURS PUBLICS CHARGÉS DE L'ENFANCE DEPUIS DES DÉCENNIES !
⚠️ Il y a d'abord les services de l'État
1️⃣ Depuis plus d'un siècle, c'est l'État qui définit la politique de protection de l'enfance et le ministère des Affaires sociales (dont le nom varie) qui la coordonne.
S'y ajoutent d'autres ministères en tant que de besoin, notamment celui de la Justice.
⚠️ Puis les Départements
2️⃣ Depuis les lois de décentralisation de 1983, ce sont les Conseils départementaux qui sont chargés de mettre en œuvre cette politique de protection de l'enfance définie par l'État.
Dans chaque Département ont été créés
▪️une "Cellule départementale de recueil des informations préoccupantes" (CRIP)
▪️3 services départementaux, qui mènent cette politique avec le concours des Attachés territoriaux chargés de la protection de l'enfance
3️⃣ le Service de l'aide sociale à l'enfance (ASE)
4️⃣ le Service de la protection maternelle et infantile (PMI)
5️⃣ le Service social départemental
⚠️ Il s'y ajoute des dispositifs nationaux
6️⃣ Création du "Défenseur des enfants" en 2000, fusionné avec le Défenseur des Droits en 2001
7️⃣ Fonds National de Financement de la Protection de l'Enfance (FNFPE) créé en 2015
8️⃣ N°appel 119 "SOS Enfance en danger" créé par le Service national d'accueil téléphonique de l'enfance en danger (SNATED)
9️⃣ Agence Française de l'Adoption (AFA)
1️⃣0️⃣ Observatoire National de la Protection de l’Enfance (ONPE)
1️⃣1️⃣ Conseil National de la Protection de l'Enfance (CNPE)
1️⃣2️⃣ Conseil National de l'Adoption (CNA)
1️⃣3️⃣ Conseil National Pour l’Accès aux Origines Personnelles (CNAOP)
1️⃣4️⃣ Groupement d’Intérêt Public (GIP) France Enfance Protégée (FEP), créé le 5/1/2023 pour coordonner les structures 9 à 13 ci-dessus
1️⃣5️⃣ la loi du 5/3/2007 a créé les Observatoires Départementaux de la Protection de l’Enfance
⚠️ Il s'y ajoute de nombreux acteurs de terrain :
1️⃣6️⃣ les Juges des enfants
1️⃣7️⃣ les Directeurs de foyer de l'enfance
1️⃣8️⃣ les Directeurs de Maison d'Enfants à Caractère Social (MECS)
1️⃣9️⃣ les Directeurs de prévention spécialisée
2️⃣0️⃣ les Directeurs de service d'aide éducative en milieu ouvert
⚠️ Il s'y ajoute de très nombreuses associations, parfois confessionnelles, souvent subventionnées par fonds publics.
Par exemple :
2️⃣1️⃣ l’Union Française pour le Sauvetage de l’Enfance, créée en 1887
2️⃣2️⃣ le Comité Français du Secours aux Enfants
2️⃣3️⃣ À chacun son Everest !
2️⃣4️⃣ Association Père Guy Gilbert
2️⃣5️⃣ Nos Petits Frères et Sœurs
2️⃣6️⃣ Partage avec les Enfants du Monde
2️⃣7️⃣ Bureau International Catholique de l'Enfance
2️⃣8️⃣ Fondation Lenval
2️⃣9️⃣ Fédération Française Sésame Autisme
3️⃣0️⃣ Orphéopolis, orphelins de la Police nationale
3️⃣1️⃣ Œuvre des Pupilles Orphelins des Sapeurs-pompiers de France
3️⃣2️⃣ SOS Villages d'Enfants
3️⃣3️⃣ Solidarité Enfants Sida
3️⃣4️⃣ Apprentis d'Auteuil
3️⃣5️⃣ Œuvre des Orphelins des Douanes
3️⃣6️⃣ Fondation Don Bosco
3️⃣7️⃣ Association Sœur Emmanuelle
3️⃣8️⃣ Fondation Notre-Dame
3️⃣9️⃣ Fondation FALRET
4️⃣0️⃣ Fondation de France
4️⃣1️⃣ Fondation du Judaïsme Français
4️⃣2️⃣ Secours Catholique - Caritas France
4️⃣3️⃣ Orphelinat de la RATP
4️⃣4️⃣ Association Petits Princes
4️⃣5️⃣ Adepape 63
4️⃣6️⃣ UNICEF FRANCE
4️⃣7️⃣ La Chaîne de l'Espoir
4️⃣8️⃣ Croix-Rouge Française
4️⃣9️⃣ Fondation Action Enfance
5️⃣0️⃣ Fondation Cognacq-Jay
5️⃣1️⃣ L'Enfant Bleu - Enfance maltraitée
5️⃣2️⃣ Compagnie des Filles de la Charité de Saint-Vincent-de-Paul
Etc.
En bref, Macron créé un nouveau gouffre financier superflu pour y recaser un copain, ce qui va encore complexifier les choses.
--
N.D.L.R. : Certes. Mais que peut-on attendre de bon de la part d'un fou furieux ?
Plus que jamais, "gouvernement par la com' = gouvernement pour les cons."
Je crois que nous n'en sortirons jamais.
🤡 C'EST ENCORE UNE DÉCISION IMBÉCILE, INUTILE ET COÛTEUSE !
Cette décision se veut un correctif à l'absence d’un ministère délegué dans le gouvernement Bayrou.
🚨Mais ce n'est pas parce qu'il n'existe pas de politicard incompétent intitulé "ministre délegué à l'enfance" que la question n'est pas ARCHI-TRAITÉE PAR DES DIZAINES D'ACTEURS PUBLICS CHARGÉS DE L'ENFANCE DEPUIS DES DÉCENNIES !
⚠️ Il y a d'abord les services de l'État
1️⃣ Depuis plus d'un siècle, c'est l'État qui définit la politique de protection de l'enfance et le ministère des Affaires sociales (dont le nom varie) qui la coordonne.
S'y ajoutent d'autres ministères en tant que de besoin, notamment celui de la Justice.
⚠️ Puis les Départements
2️⃣ Depuis les lois de décentralisation de 1983, ce sont les Conseils départementaux qui sont chargés de mettre en œuvre cette politique de protection de l'enfance définie par l'État.
Dans chaque Département ont été créés
▪️une "Cellule départementale de recueil des informations préoccupantes" (CRIP)
▪️3 services départementaux, qui mènent cette politique avec le concours des Attachés territoriaux chargés de la protection de l'enfance
3️⃣ le Service de l'aide sociale à l'enfance (ASE)
4️⃣ le Service de la protection maternelle et infantile (PMI)
5️⃣ le Service social départemental
⚠️ Il s'y ajoute des dispositifs nationaux
6️⃣ Création du "Défenseur des enfants" en 2000, fusionné avec le Défenseur des Droits en 2001
7️⃣ Fonds National de Financement de la Protection de l'Enfance (FNFPE) créé en 2015
8️⃣ N°appel 119 "SOS Enfance en danger" créé par le Service national d'accueil téléphonique de l'enfance en danger (SNATED)
9️⃣ Agence Française de l'Adoption (AFA)
1️⃣0️⃣ Observatoire National de la Protection de l’Enfance (ONPE)
1️⃣1️⃣ Conseil National de la Protection de l'Enfance (CNPE)
1️⃣2️⃣ Conseil National de l'Adoption (CNA)
1️⃣3️⃣ Conseil National Pour l’Accès aux Origines Personnelles (CNAOP)
1️⃣4️⃣ Groupement d’Intérêt Public (GIP) France Enfance Protégée (FEP), créé le 5/1/2023 pour coordonner les structures 9 à 13 ci-dessus
1️⃣5️⃣ la loi du 5/3/2007 a créé les Observatoires Départementaux de la Protection de l’Enfance
⚠️ Il s'y ajoute de nombreux acteurs de terrain :
1️⃣6️⃣ les Juges des enfants
1️⃣7️⃣ les Directeurs de foyer de l'enfance
1️⃣8️⃣ les Directeurs de Maison d'Enfants à Caractère Social (MECS)
1️⃣9️⃣ les Directeurs de prévention spécialisée
2️⃣0️⃣ les Directeurs de service d'aide éducative en milieu ouvert
⚠️ Il s'y ajoute de très nombreuses associations, parfois confessionnelles, souvent subventionnées par fonds publics.
Par exemple :
2️⃣1️⃣ l’Union Française pour le Sauvetage de l’Enfance, créée en 1887
2️⃣2️⃣ le Comité Français du Secours aux Enfants
2️⃣3️⃣ À chacun son Everest !
2️⃣4️⃣ Association Père Guy Gilbert
2️⃣5️⃣ Nos Petits Frères et Sœurs
2️⃣6️⃣ Partage avec les Enfants du Monde
2️⃣7️⃣ Bureau International Catholique de l'Enfance
2️⃣8️⃣ Fondation Lenval
2️⃣9️⃣ Fédération Française Sésame Autisme
3️⃣0️⃣ Orphéopolis, orphelins de la Police nationale
3️⃣1️⃣ Œuvre des Pupilles Orphelins des Sapeurs-pompiers de France
3️⃣2️⃣ SOS Villages d'Enfants
3️⃣3️⃣ Solidarité Enfants Sida
3️⃣4️⃣ Apprentis d'Auteuil
3️⃣5️⃣ Œuvre des Orphelins des Douanes
3️⃣6️⃣ Fondation Don Bosco
3️⃣7️⃣ Association Sœur Emmanuelle
3️⃣8️⃣ Fondation Notre-Dame
3️⃣9️⃣ Fondation FALRET
4️⃣0️⃣ Fondation de France
4️⃣1️⃣ Fondation du Judaïsme Français
4️⃣2️⃣ Secours Catholique - Caritas France
4️⃣3️⃣ Orphelinat de la RATP
4️⃣4️⃣ Association Petits Princes
4️⃣5️⃣ Adepape 63
4️⃣6️⃣ UNICEF FRANCE
4️⃣7️⃣ La Chaîne de l'Espoir
4️⃣8️⃣ Croix-Rouge Française
4️⃣9️⃣ Fondation Action Enfance
5️⃣0️⃣ Fondation Cognacq-Jay
5️⃣1️⃣ L'Enfant Bleu - Enfance maltraitée
5️⃣2️⃣ Compagnie des Filles de la Charité de Saint-Vincent-de-Paul
Etc.
En bref, Macron créé un nouveau gouffre financier superflu pour y recaser un copain, ce qui va encore complexifier les choses.
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N.D.L.R. : Certes. Mais que peut-on attendre de bon de la part d'un fou furieux ?
Plus que jamais, "gouvernement par la com' = gouvernement pour les cons."
Je crois que nous n'en sortirons jamais.
CNews
rédigé le Mercredi 1er Janvier 2025
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
rédigé le Mercredi 1er Janvier 2025
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
Amaury Brelet : «En réalité, l'arnaque, c'est la macronie en tant que telle. C'est le principe même de penser qu'on peut créer un parti qui est capable de réunir la droite et la gauche»
N.D.L.R. : Comme on peut le vérifier sur ce blog, je partage 100 % de ce point de vue, et ceci depuis le début de cette aventure ô combien funeste et qui n'a hélas pas fini de précipiter l'effondrement du pays.
Pour autant, je vois par ailleurs que ce journaliste soutient la proportionnelle, un choix qui me paraît parfaitement contradictoire avec cette première affirmation et, surtout, complètement inepte.
Dans le "gouvernement par la com' = gouvernement pour les cons" hélas en vigueur dans notre pays sous le contrôle des quelques ploutocrates propriétaires des principaux médias, il me semble probable que le fou furieux que nous savons tentera, et devrait pouvoir réussir, une entourloupe supplémentaire, celle de faire adopter par un peuple de veaux l'instauration de la proportionnelle.
N.D.L.R. : Comme on peut le vérifier sur ce blog, je partage 100 % de ce point de vue, et ceci depuis le début de cette aventure ô combien funeste et qui n'a hélas pas fini de précipiter l'effondrement du pays.
Pour autant, je vois par ailleurs que ce journaliste soutient la proportionnelle, un choix qui me paraît parfaitement contradictoire avec cette première affirmation et, surtout, complètement inepte.
Dans le "gouvernement par la com' = gouvernement pour les cons" hélas en vigueur dans notre pays sous le contrôle des quelques ploutocrates propriétaires des principaux médias, il me semble probable que le fou furieux que nous savons tentera, et devrait pouvoir réussir, une entourloupe supplémentaire, celle de faire adopter par un peuple de veaux l'instauration de la proportionnelle.
lexpress.fr
rédigé le Jeudi 2 Janvier 2025
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Références culturelles
rédigé le Jeudi 2 Janvier 2025
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Références culturelles
Elon Musk alias "Kekius Maximus" : que peut signifier son mystérieux changement de pseudo sur X ?
N.D.L.R. : "Kéké le Plus Grand", ça me paraît évident.
Ah, si les kékés qui nous gouvernent pouvaient avoir le dixième seulement de ses meilleures idées !
N.D.L.R. : "Kéké le Plus Grand", ça me paraît évident.
Ah, si les kékés qui nous gouvernent pouvaient avoir le dixième seulement de ses meilleures idées !
lepoint.fr
rédigé le Samedi 4 Janvier 2025
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Anecdotes - Références culturelles
rédigé le Samedi 4 Janvier 2025
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Anecdotes - Références culturelles
Qui est Éric Lombard, ce ministre qui se voit en « Spider-Man » de Bercy ?
N.D.L.R. : ???
Je dirais même plus : ??????
Ou, si l'on préfère, en latin s'il vous plaît : "Quo non descendemus ?"
(c'est-à-dire, en traduction libre : Où ne descendrons-nous pas avec le fou furieux que l'on sait ?)
Voir ici une fine allusion au prédécesseur FOUQUET à qui l'on ne peut pas dire que sa devise, "Quo non ascendet", ait finalement porté chance.
N.D.L.R. : ???
Je dirais même plus : ??????
Ou, si l'on préfère, en latin s'il vous plaît : "Quo non descendemus ?"
(c'est-à-dire, en traduction libre : Où ne descendrons-nous pas avec le fou furieux que l'on sait ?)
Voir ici une fine allusion au prédécesseur FOUQUET à qui l'on ne peut pas dire que sa devise, "Quo non ascendet", ait finalement porté chance.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 6 Janvier 2025
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
rédigé le Lundi 6 Janvier 2025
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 7 Janvier 2025
Vie des associations - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - A.D.D.O.O.E.
rédigé le Mardi 7 Janvier 2025
Vie des associations - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - A.D.D.O.O.E.
On sait que je réside à temps complet à la Chaslerie, très souvent seul, à mi-temps (ou quelque chose comme ça) avec Carole, et que nous y disposons, sur la base des relevés effectués par Arnaud PAQUIN à l'aide de son laser 3-D de compétition (précis au millimètre près) de moins de 100 m2 de surface habitable.
J'ai reçu hier la facture suivante d'EdF correspondant à ce volume et à ce mode d'occupation pendant les deux derniers mois :
Le montant m'en a paru très élevé. Je l'ai donc rapprochée de la facture analogue d'il y a un an :
Ce rapprochement montre que la douloureuse a cru, toutes choses égales par ailleurs (du moins le croyais-je au départ et en première approche) de rien moins que 64,2 % !
Les assureurs rapaces auraient-ils trouvé leur maître ?
J'observe que le taux moyen de T.V.A. qui m'est appliqué est passé de 18,5 à 19,1 %. Ce nouveau glissement des prélèvements fiscaux explique donc 6,1 % de ces 64,2 %.
Une analyse plus fine me montre cependant que les taux de T.V.A. n'ont pas changé, contrairement au rapport, dans mon cas, entre le coût de l'abonnement et celui de la consommation, les deux étant affectés de taux de T.V.A. différents, 5,5 % pour le premier et 20 % pour le second (et vive la simplification administrative !).
Regardons les quantités d'électricité consommées : 1947 kWh en 2023 et 3009 en 2024, soit + 54,5 %.
Voici donc le principal facteur explicatif ici. Évolution curieuse toutefois, même si j'ai cru bien faire en ne lançant la vieille chaudière à fuel que tardivement. Il est également vrai que, juste avant le début de cet hiver, cette chaudière est tombée plusieurs fois en panne, ce qui a obligé à rebrancher des radiateurs électriques. Troisième argument : le Speedy Gonzales est moins rustique que le Guguss-Gros-Cochon de fameuse mémoire : encore plus que son prédécesseur, il aime se blottir contre l'un de ces radiateurs que j'allume donc pour lui ; surtout, son collègue nous avait déjà quittés l'an dernier à la même époque.
Les graphiques en bâtons verts permettraient de préciser l'analyse mais, rassurez-vous, je vous en fais grâce pour cette fois-ci.
Bref j'espérais trouver là une preuve supplémentaire de l'absurdité manifeste et éclatante de la politique énergétique des pouvoirs publics mais, au moins sur ces bases, c'est râpé pour aujourd'hui.
Toutefois, je lis que la "CSPE (Contribution au Service Public d'Electricité)" est, flanquée de ses zakouskis, passée pour moi de 9,95 € à 70,80 €, soit + 611,6 %.
Carrément, faut surtout pas se gêner !
La voici donc l'arnaque immédiate, à l'évidence due à cette politique énergétique à la con qui vérole tout le système électrique du pays avec ces ô combien absurdes éoliennes !
J'ai reçu hier la facture suivante d'EdF correspondant à ce volume et à ce mode d'occupation pendant les deux derniers mois :
Le montant m'en a paru très élevé. Je l'ai donc rapprochée de la facture analogue d'il y a un an :
Ce rapprochement montre que la douloureuse a cru, toutes choses égales par ailleurs (du moins le croyais-je au départ et en première approche) de rien moins que 64,2 % !
Les assureurs rapaces auraient-ils trouvé leur maître ?
J'observe que le taux moyen de T.V.A. qui m'est appliqué est passé de 18,5 à 19,1 %. Ce nouveau glissement des prélèvements fiscaux explique donc 6,1 % de ces 64,2 %.
Une analyse plus fine me montre cependant que les taux de T.V.A. n'ont pas changé, contrairement au rapport, dans mon cas, entre le coût de l'abonnement et celui de la consommation, les deux étant affectés de taux de T.V.A. différents, 5,5 % pour le premier et 20 % pour le second (et vive la simplification administrative !).
Regardons les quantités d'électricité consommées : 1947 kWh en 2023 et 3009 en 2024, soit + 54,5 %.
Voici donc le principal facteur explicatif ici. Évolution curieuse toutefois, même si j'ai cru bien faire en ne lançant la vieille chaudière à fuel que tardivement. Il est également vrai que, juste avant le début de cet hiver, cette chaudière est tombée plusieurs fois en panne, ce qui a obligé à rebrancher des radiateurs électriques. Troisième argument : le Speedy Gonzales est moins rustique que le Guguss-Gros-Cochon de fameuse mémoire : encore plus que son prédécesseur, il aime se blottir contre l'un de ces radiateurs que j'allume donc pour lui ; surtout, son collègue nous avait déjà quittés l'an dernier à la même époque.
Les graphiques en bâtons verts permettraient de préciser l'analyse mais, rassurez-vous, je vous en fais grâce pour cette fois-ci.
Bref j'espérais trouver là une preuve supplémentaire de l'absurdité manifeste et éclatante de la politique énergétique des pouvoirs publics mais, au moins sur ces bases, c'est râpé pour aujourd'hui.
Toutefois, je lis que la "CSPE (Contribution au Service Public d'Electricité)" est, flanquée de ses zakouskis, passée pour moi de 9,95 € à 70,80 €, soit + 611,6 %.
Carrément, faut surtout pas se gêner !
La voici donc l'arnaque immédiate, à l'évidence due à cette politique énergétique à la con qui vérole tout le système électrique du pays avec ces ô combien absurdes éoliennes !
Fédération Environnement Durable
rédigé le Jeudi 9 Janvier 2025
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
rédigé le Jeudi 9 Janvier 2025
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
Mécanisme de Dépense Publique pour l'Énergie en France :
Les milliards d'euros gaspillés au nom du Service Public de l'Energie.
Un récent rapport publié par Jean-Louis Rémouit et Michel Faure sur le mécanisme de dépense publique pour lutter contre les émissions de gaz à effet de serre (GES) en France révèle des failles alarmantes. Ce mécanisme, principalement identifié dans le programme "Service Public de l’Énergie" (SPE), est intégré au budget "Écologie, développement et mobilité durables". Cependant, il est urgent de souligner les graves erreurs et les incohérences de ce dispositif.
Les milliards d'euros gaspillés au nom du Service Public de l'Energie.
Un récent rapport publié par Jean-Louis Rémouit et Michel Faure sur le mécanisme de dépense publique pour lutter contre les émissions de gaz à effet de serre (GES) en France révèle des failles alarmantes. Ce mécanisme, principalement identifié dans le programme "Service Public de l’Énergie" (SPE), est intégré au budget "Écologie, développement et mobilité durables". Cependant, il est urgent de souligner les graves erreurs et les incohérences de ce dispositif.
Eric KLEIN (via "X")
rédigé le Lundi 13 Janvier 2025
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
rédigé le Lundi 13 Janvier 2025
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
Depuis la dissolution catastrophique décidée par Macron sur un coup de tête, les investisseurs fuient la France. Suez et ses 2 partenaires, le canadien Loop et le sud-coréen SKGC, ont abandonné leur projet à 700 millions d’euros d’implantation en Moselle d’une usine de recyclage chimique des plastiques. 200 emplois perdus. Et ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres : 49% des entreprises étrangères ont revu à la baisse leur plan d’investissement en France.
En 2022 les Etats-Unis ont enregistré 22 fois plus d'investissements en capital-risque que la France, où ils ont baissé de 38,5 % entre 2022 et 2023. La start-up nation d’Emmanuel Macron est morte, distancée par les États-Unis, Israël et la Corée du Sud, qui eux ont su maintenir un environnement propice à l’innovation dans la tech, avec une fiscalité qui n’est pas confiscatoire, moins de règles et d’entraves administratives à la con, un marché du travail flexible qui favorise la prise de risque (en France c’est quasi impossible de se débarrasser d’un boulet dès lors qu’il est en CDI). La France préfère le livret A plutôt que de récompenser le risque.
N.D.L.R. : Tiens, "à la con", je ne suis le seul à faire usage de cette expression.
En 2022 les Etats-Unis ont enregistré 22 fois plus d'investissements en capital-risque que la France, où ils ont baissé de 38,5 % entre 2022 et 2023. La start-up nation d’Emmanuel Macron est morte, distancée par les États-Unis, Israël et la Corée du Sud, qui eux ont su maintenir un environnement propice à l’innovation dans la tech, avec une fiscalité qui n’est pas confiscatoire, moins de règles et d’entraves administratives à la con, un marché du travail flexible qui favorise la prise de risque (en France c’est quasi impossible de se débarrasser d’un boulet dès lors qu’il est en CDI). La France préfère le livret A plutôt que de récompenser le risque.
N.D.L.R. : Tiens, "à la con", je ne suis le seul à faire usage de cette expression.
lefigaro.fr
rédigé le Mercredi 15 Janvier 2025
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
rédigé le Mercredi 15 Janvier 2025
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
États-Unis : Donald Trump promet de bloquer tout nouveau projet d'éolien
Pour Donald Trump, l’éolien est «l’énergie la plus chère» et «ne fonctionne qu’avec des subventions massives, que nous allons arrêter de verser!».
Le président élu Donald Trump a promis mercredi de bloquer tout nouveau projet éolien aux États-Unis durant son futur mandat, se refusant à subventionner davantage le secteur. «Les éoliennes sont un désastre économique et environnemental», a clamé le milliardaire républicain sur son réseau Truth Social. «Je ne veux pas en voir ne serait-ce qu'une construite sous ma présidence.» Selon le ministère américain de l'Énergie, il y avait, en 2023, plus de 90.000 éoliennes sur le territoire américain.
N.D.L.R. : Une excellente décision, parfaitement motivée sans l'ombre d'un doute.
Sur ce sujet également, on attend que nos dirigeants se réveillent enfin.
Pour Donald Trump, l’éolien est «l’énergie la plus chère» et «ne fonctionne qu’avec des subventions massives, que nous allons arrêter de verser!».
Le président élu Donald Trump a promis mercredi de bloquer tout nouveau projet éolien aux États-Unis durant son futur mandat, se refusant à subventionner davantage le secteur. «Les éoliennes sont un désastre économique et environnemental», a clamé le milliardaire républicain sur son réseau Truth Social. «Je ne veux pas en voir ne serait-ce qu'une construite sous ma présidence.» Selon le ministère américain de l'Énergie, il y avait, en 2023, plus de 90.000 éoliennes sur le territoire américain.
N.D.L.R. : Une excellente décision, parfaitement motivée sans l'ombre d'un doute.
Sur ce sujet également, on attend que nos dirigeants se réveillent enfin.
lemonde.fr
rédigé le Jeudi 16 Janvier 2025
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Références culturelles
rédigé le Jeudi 16 Janvier 2025
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Références culturelles
Etienne-Emile Baulieu, l’infatigable père de la pilule abortive : « Le droit des femmes à un avortement en toute sécurité est irréversible »
En 1982, le chercheur découvrait la molécule RU 486, solution médicamenteuse à l’avortement chirurgical. Alors que la France s’apprête à célébrer les 50 ans de la loi Veil légalisant l’IVG, le professeur de 98 ans se souvient des virulentes pressions contre la commercialisation de son invention.
N.D.L.R. : En France, on rembourse l'avortement, on le panthéonise, on le constitutionnalise.
Les résultats sont merveilleux.
En 1982, le chercheur découvrait la molécule RU 486, solution médicamenteuse à l’avortement chirurgical. Alors que la France s’apprête à célébrer les 50 ans de la loi Veil légalisant l’IVG, le professeur de 98 ans se souvient des virulentes pressions contre la commercialisation de son invention.
N.D.L.R. : En France, on rembourse l'avortement, on le panthéonise, on le constitutionnalise.
Les résultats sont merveilleux.
lexpress.fr
rédigé le Vendredi 17 Janvier 2025
A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Vie des associations
rédigé le Vendredi 17 Janvier 2025
A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Vie des associations
Éric Lombard : Vers une « Radicalité » verte et 100 Milliards d'Euros pour la Transition Écologique.
Supplément partenaire. La lutte contre le dérèglement climatique nécessite un investissement de 'radicalité verte' selon le Directeur Général de la Caisse des Dépôts.
Publié le 03/07/2023 à 11:35
N.D.L.R. : Bon, je sais que cet article commence à dater. Mais il est permis de se demander si ce petit-fils de milliardaire et néanmoins "homme de gauche" ne serait pas également fou à lier.
Supplément partenaire. La lutte contre le dérèglement climatique nécessite un investissement de 'radicalité verte' selon le Directeur Général de la Caisse des Dépôts.
Publié le 03/07/2023 à 11:35
N.D.L.R. : Bon, je sais que cet article commence à dater. Mais il est permis de se demander si ce petit-fils de milliardaire et néanmoins "homme de gauche" ne serait pas également fou à lier.
Hausse de la fiscalité, sous-indexation des pensions... Mettre à contribution les retraités, un «tabou qui est en train de sauter»
Pour le moment, le gouvernement Bayrou n’a pas voulu franchir le pas. Mais des voix s’élèvent pour davantage solliciter cette population.
Taxer «les retraités qui peuvent se le permettre.» La petite phrase lancée par la ministre du Travail, Astrid Panosyan-Bouvet, a rapidement déclenché une secousse médiatique. Au point d’obliger son cabinet à nuancer dans la foulée la portée de la déclaration. Il s’agit «d’une position personnelle» que la locataire de la rue Grenelle «met sur la table», tempère son entourage. Les retraités peuvent dormir tranquille, la menace n’est pas pour tout de suite en somme.
N.D.L.R. : Taxer, toujours taxer davantage, ces bons apôtres ne savent faire que cela (et aussi fuir leurs responsabilités) ! Depuis trop longtemps, la gestion publique telle que pratiquée en France est une catastrophe.
Taxer, c'est quand même moins pire qu'envoyer les p'tits vieux à l'abattoir. Même si l'on y pense aussi.
Pour le moment, le gouvernement Bayrou n’a pas voulu franchir le pas. Mais des voix s’élèvent pour davantage solliciter cette population.
Taxer «les retraités qui peuvent se le permettre.» La petite phrase lancée par la ministre du Travail, Astrid Panosyan-Bouvet, a rapidement déclenché une secousse médiatique. Au point d’obliger son cabinet à nuancer dans la foulée la portée de la déclaration. Il s’agit «d’une position personnelle» que la locataire de la rue Grenelle «met sur la table», tempère son entourage. Les retraités peuvent dormir tranquille, la menace n’est pas pour tout de suite en somme.
N.D.L.R. : Taxer, toujours taxer davantage, ces bons apôtres ne savent faire que cela (et aussi fuir leurs responsabilités) ! Depuis trop longtemps, la gestion publique telle que pratiquée en France est une catastrophe.
Taxer, c'est quand même moins pire qu'envoyer les p'tits vieux à l'abattoir. Même si l'on y pense aussi.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé hier
Journal du chantier - Arboriculture-horticulture - Abords, Avenue, terrasse - Désultoirement vôtre ! - Economie - Anecdotes
rédigé hier
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Vente aujourd'hui des deux dernières stères de bûches de chêne de la récolte d'il y a deux ans.
J'avais donc mis et trop longtemps maintenu le prix trop bas, vu la qualité. Il est depuis peu de 65 €/stère de bûches de 1 mètre de longueur à emporter et il y a encore de la demande.
J'avais donc mis et trop longtemps maintenu le prix trop bas, vu la qualité. Il est depuis peu de 65 €/stère de bûches de 1 mètre de longueur à emporter et il y a encore de la demande.