Economie

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 15 Juillet 2024
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(Début de citation)

De : (...) Jean-Pierre
Envoyé : lundi 15 juillet 2024 15:28
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Re: TR: Etat des lieux

En effet, c'est ce que je vous disais.

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Le lundi 15 juillet 2024 à 15:21:08 UTC+2, Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com> a écrit :

L'avis de mon aîné...

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De : T. F. <(...).fourcade@yahoo.fr>
Envoyé : lundi 15 juillet 2024 15:01
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Re: Etat des lieux

Cela va être le même mécanisme que pour la Grèce avec une troïka FMI / Commission qui définit les mesures d'économie à mettre en place (surtout le FMI qui dicte ses conditions en réalité) en échange d'accès à des fonds d'urgence... avec néanmoins une grosse incertitude sur la capacité de l'ESM à jouer son rôle de prêteur en dernier ressort côté UE compte tenu de ce que pourraient être les besoins de financement d'un aussi gros pays que la France.
Il me semble qu'en Grèce, le plan d'ajustement structurel avait notamment abouti à une perte de 25% du pouvoir d'achat de la population. Bref, ce n'est pas une perspective très joyeuse.

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From: Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Sent: Saturday, July 13, 2024 06:49
To: T. F.
Subject: TR: Etat des lieux

As-tu des idées à ce sujet qui va vite être d'actualité ?

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : vendredi 12 juillet 2024 17:28
À : (...) Jean-Pierre
Objet : Re: Etat des lieux

Cher Monsieur le député,
Et qu'implique l'intervention du FMI ? Quid des degrés de liberté des pouvoirs législatif et exécutif, quid des critères d'intervention, de la boîte à outils et de la durée des interventions ? Qui décide alors ?
Ce sont là des questions qui vont vite s'imposer à notre actualité et on ne sait pas grand chose à leur sujet.
Bien cordialement,
PPF

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From: (...) Jean-Pierre
Sent: Friday, July 12, 2024 10:38:00 AM
To: Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Subject: Re: Etat des lieux

Cher Monsieur,
La situation est, évidemment, désastreuse à maints égards...
Nous sommes très loin des situations politiques que j'ai connues....
Alors, comme beaucoup de nos concitoyens, je ne sais pas où nous allons.
Le pire serait la mise sous tutelle de l'Etat par le FMI à la fin de la présente année ou au début de l'année prochaine.
Espérons que nous l'éviterons. Ce serait vraiment la honte.
Sur le terrain politique, Emmanuel Macron récolte ce qu'il a semé. Mais c'est notre pays tout entier qui trinque.
Le problème est qu'aucune coalition tenable ne peut approcher une majorité. Même avec de pseudos soutiens sans participation durant un temps, celle-ci serait, en tout état de cause sous la menace permanente d'une motion de censure. Et cela sans dissolution possible avant un an, même avec un nouveau président....
A part expédier les affaires courantes, je ne vois pas comment on s'en sort.
Bien sûr, si nous allions à Domfront, je vous préviendrais à l'avance.
Partagez avec votre épouse l'expression de mon plus cordial souvenir.
(...)

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Le vendredi 12 juillet 2024 à 02:39:50 UTC+2, Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com> a écrit :

Cher Monsieur le député,

Comme je serais heureux de connaître votre avis sur ce qui nous pend au nez !

Repasserez-vous du côté de Domfront ?

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)

P.S. (du 19 juillet 2024 à 10 heures 30) : Renseignement pris indirectement auprès d'une de mes camarades de promotion à l'E.N.A. et ancienne collègue qui connaît bien le fonctionnement du F.M.I., la situation de la France n'est pas encore telle que la perspective d'une intervention du F.M.I. soit proche.


N.D.L.R. : Patrice, tant de combats nous sont communs, certains depuis une quarantaine d'années, contre les turpitudes fiscales, pour les vieilles pierres, pour leur transmission à des personnes capables et méritantes, contre les éoliennes !
Jean-Pascal BEAUFRET (via "LinkedIn")
rédigé le Vendredi 2 Aout 2024
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Merci Régis, merci Didier, votre tribune définit exactement les lignes rouges d'une nouvelle réforme des retraites et notamment celle consistant à "démasquer" les 75 Md€ de subventions sur 378 Md€ de prestations, qui financent le déficit 2023 des retraites (au delà des ressources normales de cotisations et d'impôts transférés) , ces subventions ayant constitué près de la moitié du déficit public global des administrations en 2023. La nouvelle réforme des retraites qui sera rapidement nécessaire ne pourra plus faire l'impasse sur cette situation, que le dernier rapport du COR 2024 passe encore sous silence en nous expliquant que les retraites sont excédentaires en 2023 de 4 Md€ après 75 Md€ de subventions des autres administrations publiques. Comble du message trompeur d'un organisme public consultatif qui s'accroche depuis plus de 20 ans à une description fausse de la situation.

N.D.L.R. : Puisque le lien vers "Les Echos" est restreint, voici le message de notre jeune collègue au Trésor Régis qui faisait état de son article sur "LinkedIn" et auquel mon camarade de promo à l'E.N.A. a répondu :

(Début de citation)

Un futur débat sur les retraites est inévitable. Déjà il s’annonce pour cet automne. Pouvons-nous à la fois travailler moins, en réduisant l’âge de la retraite, et trouver le personnel soignant qui manque à l’hôpital et dans les déserts médicaux, les enseignants dans les écoles, les ouvriers et les ingénieurs pour la réindustrialisation et la décarbonation de notre économie, etc dans les nombreux secteurs en pénurie de main d’œuvre ?

Nous recommandons de focaliser le sujet en traçant deux lignes rouges :

La première ligne rouge est celle de l'objectivation et du plafonnement des financements par le déficit budgétaire ou les subventions, pratiqués de manière discrète au-delà des cotisations contributives.
Pour 340 milliards d'euros de prestations, environ 70 milliards proviennent de ces financements masqués. C'est près de 20 %. A due concurrence, ils apportent aux retraités un pouvoir d'achat additionnel à ce qui résulte des cotisations, ce qui augmente leur part dans la consommation totale, au détriment de celle des autres catégories de la population, et notamment des actifs : nous sommes le seul pays du monde dans lequel la rémunération des retraités est en moyenne supérieure à celle des actifs.

La deuxième ligne rouge est de ne pas défavoriser davantage le travail.
Nous sommes déjà l'un des pays de l'OCDE où les prélèvements obligatoires sont les plus élevés, et où la population, considérée dans son ensemble, travaille le moins : 630 heures par habitant et par an en 2021, à comparer à 704 pour l'Italie, 725 pour l'Allemagne et 805 pour la moyenne de l'OCDE.
Il est donc à nos yeux impérieux de ne pas augmenter les prélèvements sur le travail. Et pas davantage la fiscalité sociale sur les entreprises, qui doivent pouvoir investir pour soutenir l'innovation et la productivité du travail, financer la réindustrialisation et la décarbonation, augmenter les taux d'activité des jeunes et des seniors.
Cette augmentation attendue de l'activité apporte au demeurant une contribution essentielle au financement de nos régimes de retraite.

L'insuffisance résiduelle de financement des retraites, au-delà de ce que permettent la hausse de l'emploi et les progrès de la productivité, devrait alors trouver sa solution par un dosage des autres moyens disponibles, comme une revalorisation des retraites légèrement inférieure à l'inflation , une hausse de la CSG des retraités, une légère réduction des taux de remplacement des revenus d'activité, ou le maintien des revenus de la retraite mais en la prenant plus tard, etc.

Equité, pédagogie, dosage et lissage dans le temps seront clés pour l'acceptation de réformes indispensables au maintien sur la durée de notre précieux système de protection sociale.

Merci à Les Echos qui publient notre Tribune complète et à Bazzocchi Didier qui la co-signe

hashtag#retraite hashtag#actifs hashtag#emploi

(Fin de citation)

Tout ceci promet bien du plaisir aux Papinous (et Maminous, cela va sans dire) de ma génération... et des suivantes !
lefigaro.fr
rédigé le Mardi 20 Aout 2024
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Comment l’État pourrait laisser les Français flécher eux-mêmes l’argent de leurs impôts

Gabriel Attal ouvre la porte à une mesure qui permettrait au contribuable de choisir à quelle politique publique il souhaite contribuer.

Dans le «pacte d’action» envoyé aux présidents de groupes des partis représentés à l’Assemblée (hors Rassemblement), le nouveau chef de file des députés Ensemble Gabriel Attal propose deux mesures pour une «démocratie revitalisée et une plus grande souveraineté populaire». L’une d’entre elles, est une proposition fiscale qui ouvre la porte à la «possibilité de flécher une partie de son impôt sur le revenu ou une contribution additionnelle sur une mission du budget de l'État librement choisie.» Un souci du «consentement à l’impôt» qui s’inscrit dans la ligne politique de Gabriel Attal.

N.D.L.R. : Je me déclare estomaqué par cette nouvelle lubie qui, dans son principe et sa généralité supposée, me paraît constituer une négation de la notion-même de budget de l'Etat, donc tout à fait irresponsable et démagogique.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 24 Septembre 2024
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Dans "Le Figaro" daté d'hier, je lis le portrait du nouveau ministre du budget, Laurent SAINT-MARTIN. Même pas capable d'être réélu député, au contraire d'une Véronique LOUWAGIE, bien connue des Ornais... Tout cela me paraît extrêmement léger à tous égards. Il y a là, je l'espère du moins, quelque chose qui m'échappe. Je me demande quoi...

Comme s'il n'y avait pas eu beaucoup de candidats pour un tel poste, dans l'état où sept ans de macronisme délirant l'ont laissé.

A force d'envoyer la poussière sous le tapis, la situation serait devenue bien pire qu'imaginé... Dans quelle galère ce fou furieux nous aura-t-il embarqués ?

On me dira qu'il n'est pas le premier à avoir déraillé. Certes. Mais, cette fois, tout donne à penser que le mur approche de plus en plus vite et que le choc sera violent.
Serais-je incorrigible ?
Il faudrait qu'un jour je prenne le temps de compter le nombre de "suggestions de corrections" que je me serai permises.
Pauvre Lucile !

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 26 septembre 2024 19:22
À : Lucile Bourdin <lbourdin.apaquinarchitecte@gmail.com>
Cc : Xavier MEYER ; Jean THUAUDET
Objet : La Chaslerie - Etude de diagnostic d'ensemble - Page 148

Chère Lucile,

Idéalement, il faudrait que le bas de la porte sur terrasse (bois et granits pour le 1er rang de pierres) soit en jaune...

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)
lefigaro.fr
rédigé le Samedi 28 Septembre 2024
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Barnier promet de protéger «de toute augmentation fiscale» ceux «qui travaillent, qui produisent»

À une semaine de la présentation du budget 2025, le premier ministre évoque une contribution «exceptionnelle et temporaire» de «ceux qui peuvent contribuer» à l'effort de redressement des finances publiques.

N.D.L.R. : Le foutage de gueules commence ! Ou plutôt il continue de plus belle ! Et personne ne mettrait en cause la responsabilité de ceux qui nous ont mis dans une telle panade ??? Une "contribution exceptionnelle et temporaire" ? Ils nous prennent vraiment pour des cons.


Et ils n'ont pas tort, du moins pour ce qui concerne au premier chef les électeurs qu'il leur reste (de complets abrutis).


Toujours plus d'impôts, toujours plus d'endettement public et toujours moins d'efficacité, notamment dans les domaines réputés régaliens.


Tout cela ne peut que très mal finir, et bien plus tôt qu'on ne l'imagine !

lefigaro.fr
rédigé le Jeudi 3 Octobre 2024
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Les hausses d’impôts concerneront les ménages gagnant «plus de 500.000 euros» par an, annonce le ministre du Budget

La mesure touchera 0,3% des contribuables français, soit environ 75.000 ménages, a précisé Laurent Saint-Martin ce jeudi matin.

N.D.L.R. : Un vrai charlot, ce type, comme on l'avait immédiatement compris.

Qui croit encore de telles calembredaines sortant de tels bonimenteurs (ou menteurs tout court, d'ailleurs) ?
"Le Figaro"
rédigé le Jeudi 17 Octobre 2024
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N.D.L.R. : Mystère de la technique, mes machines refusent de digérer cet article convenablement.

Ceci étant, je suis d'accord pour critiquer les deux individus cités en titre pour l'extrême fausseté de leur caractère, ce qui n'aurait évidemment pas grand chose à voir avec leurs diplômes. Seuls des imbéciles ou des démagogues eussent prétendu le contraire.
Olivier LEPICK (via "Facebook")
rédigé le Dimanche 20 Octobre 2024
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Il est patent que, ni les Français, ni leurs représentants politiques n’ont pris conscience de la gravité de la situation financière et économique du pays. Force est d’ailleurs de constater que la culture économique de la classe politique française est tout simplement d’une ignorance crasse. Le budget sur lequel planche aujourd’hui l’Assemblée Nationale non seulement ne réglera pas le problème de la dette et des dépenses publiques insoutenables mais va finir d’achever l’économie de notre pays, tuer dans l’œuf les timides initiatives de réindustrialisation, paupériser la population française, accélérer les délocalisations et provoquer une fuite massive des capitaux et des contribuables les plus importants. Nos députés ont ils réalisé que nous nous mouvons et luttons dans une économie mondiale globalisée au sein de laquelle les compétences et les capitaux sont fluides et mobiles, les arbitrages instantanés ? On peut le déplorer certes mais c’est une réalité dont on ne peut s’extraire. La politique « vénézuélienne » dans laquelle les responsables politiques, de droite comme de gauche, nous entraîne est une erreur monumentale dont nous allons payer très cher les errements et qui va entériner le déclassement définitif du pays. On ne guérit pas l’obésité en reprenant deux fois du cassoulet et en renonçant aux mignardises. C’est pourtant le régime auquel va nous soumettre la loi de finances 2025, loi qui prévoit d’ailleurs de manière totalement surréaliste une augmentation des budgets de l’Assemblée Nationale, du Sénat et de l’Élysée. Reposez en paix, économie française et finances publiques nationales, le bateau coule et nos députés festoient dans la cale !
"Front Populaire"
rédigé le Lundi 21 Octobre 2024
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Vendre des actions de l’État, l’idée « absurde » qui séduit le gouvernement

Gérald Darmanin, Olivia Grégoire et d’autres députés Renaissance proposent que l’État cède une partie de ses participations dans des entreprises privées pour redresser les comptes publics. L'idée a beau résonner dans les oreilles du ministre du Budget, elle est à rebours de tout bon sens comptable, fustige l'économiste David Cayla.

N.D.L.R. : Il est clair que vendre les bijoux de famille pour subvenir aux dépenses courantes est d'une connerie et d'une irresponsabilité sans nom, particulièrement quand on ose prétendre être capable de diriger un Etat.

Tous ces voyous, MICRON en tête, n'ont qu'une crainte : qu'apparaisse trop vite qu'ils ont bel et bien "cramé la caisse" avec leur lamentable politique du "Tout par la com' = tout pour les cons !".
Fédération Environnement Durable
rédigé le Mercredi 23 Octobre 2024
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
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Communiqué de Presse - Réaction à la prise de position de l’UFC-Que Choisir sur la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité (TICFE)

Paris, le 21 octobre 2024

Nous saluons l’initiative de l’UFC-Que Choisir qui dénonce avec virulence l’augmentation de la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité (TICFE) prévue dans le projet de loi de finances pour 2025. Cette augmentation, qui s’ajoute à un contexte économique déjà tendu pour les ménages, mérite en effet d’être combattue.

Toutefois, il est regrettable que l’UFC-Que Choisir ne dévoile pas la véritable raison de cette hausse. Contrairement à ce que laissent penser les discours officiels trompeurs, cette augmentation de la TICFE est principalement due aux besoins de financement liés à la construction d’un réseau électrique gigantesque. Ce réseau doit couvrir l’ensemble du territoire français et relier les parcs éoliens terrestres et offshore ainsi que les champs de panneaux solaires, dispersés aux quatre coins du pays.

Le coût de cette infrastructure, estimé par le ministère de l’Économie et confirmé par plusieurs experts indépendants, pourrait dépasser les 200 milliards d’euros. Ce montant représente un fardeau financier insoutenable pour les consommateurs, surtout en cette période de restrictions budgétaires et de difficultés économiques. Il est essentiel que les citoyens soient informés des véritables raisons qui expliquent cette pression fiscale accrue, au lieu de se contenter d’analyses partielles.

La réalité est claire : c'est le financement d’un réseau destiné à compenser la dispersion des installations de production d’énergie renouvelable intermittente. Cette politique de développement décentralisé a un coût, et ce sont les consommateurs qui en font les frais insupportables à travers des hausses de la TICFE.

Nous appelons l’UFC-Que Choisir à une transparence totale sur ces enjeux, pour que les Français puissent juger en connaissance de cause les décisions qui impactent directement leur quotidien. Il est de la responsabilité de tous les acteurs de ne pas dissimuler les véritables coûts et conséquences des politiques énergétiques en cours.
lefigaro.fr
rédigé le Jeudi 24 Octobre 2024
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Notre-Dame de Paris : le diocèse rappelle le principe de «gratuité du droit dans les églises»

Ce rappel intervient après la proposition faite par Rachida Dati dans Le Figaro de faire payer l’entrée de Notre-Dame de Paris aux touristes.

N.D.L.R. : Je suis d'avis que le diocèse devrait avoir bien d'autres priorités, à commencer, par exemple, par faire le ménage devant sa porte.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 28 Octobre 2024
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Economie - Météo
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Visite d'une sœur de Carole, Eliane, accompagnée de ses deux petites-filles CHEVROLLIER.

Cette épouse d'un agriculteur me parle des difficultés du monde paysan, notamment les éleveurs de bétail et les producteurs de maïs. J'avais remarqué que la récolte tardait dans certains champs de maïs et attribuais cela à la météo pourrie.
"Front Populaire"
rédigé le Lundi 28 Octobre 2024
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie - Références culturelles
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L’UE contre l’interdiction de la viande cultivée en laboratoire demandée par la Hongrie

La Hongrie entendait dans un projet de loi défendre les « traditions culinaires de l’Europe contre les nouveaux aliments », c'est-à-dire la viande artificielle cultivée en laboratoire. Mais pour Bruxelles, les traités ne prévoient aucune base juridique pour restreindre la sacro-sainte libre circulation des biens, quand bien même il s'agirait de protéger la production nationale.

N.D.L.R. : Des cinglés, juste des cinglés !
lefigaro.fr
rédigé le Mercredi 6 Novembre 2024
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«Au début, on pense que c'est un passe-temps mais cela devient vite une obsession»: le jardin, une passion ruineuse et dévorante

ENQUÊTE - Ceux que l’on appelle les «parcomanes», les fous de jardins, n’ont qu’une seule idée en tête : fabriquer des chefs-d’œuvre de verdure. Ils sont prêts à en payer le prix.

Il y a plusieurs façons de se ruiner. La voile, les jeux, les chevaux, les femmes bien sûr, sans oublier la dévorante et insidieuse passion des jardins. « Voilà pourquoi, à 78 ans, je continue de travailler, soupire l’architecte décorateur Jacques Garcia, créateur à Champ-de-Bataille du plus grand jardin privé d’Europe. C’est pour financer le château et ses 35 hectares de parc à la française afin de transmettre l’ensemble à l’équilibre à la fondation que j’ai créée et qui sera chargée d’assurer la pérennité des lieux. »

(c) Arnaud Chicurel


N.D.L.R. : Quant à moi, pour me ruiner, la restauration des bâtiments y suffit amplement.

Pour ce qui est des jardins, les successeurs aviseront, même si j'aurais quelques idées, notamment sur le "Pournouët" (et une fois les douves elles-mêmes restaurées).
lefigaro.fr
rédigé le Jeudi 7 Novembre 2024
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
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Le déficit public à 6,1% du PIB en 2024 est «le choix du gouvernement actuel», se défausse Bruno Le Maire

L’ancien ministre de l’Économie a également réfuté toute «tromperie» ou «faute» sur l’évaluation des recettes et invoqué une «grave erreur technique» de l’administration.

N.D.L.R. : Être faux-jeton à un tel degré, pas de doute c'est du grand art !