Economie

Point d’étape des avancées du projet touristique de la cité médiévale de Domfront en Poiraie au côté de notre président de la région Normandie, Hervé Morin, de ma collègue Marie-Agnès Poussier-Winsback, vice présidente en charge du tourisme, des élus et partenaires .
Un moment très attendu de la population, même si tous n’ont pu être conviés en raison de la période sanitaire, pour mettre en avant la stratégie des programmations retenues sur la ville haute, le château et la Halle gourmande .
De nombreuses études sont réalisées ou restent à terminer pour enrichir des choix à venir !
Une véritable dynamique engagée par les élus de la municipalité avec un engagement de la région qui ne faiblit pas !
L’investissement de la région est estimé sur les différents pôles entre 17 et 20 millions d’euros avec une mise en œuvre à court, moyen et long terme !
La région Normandie montre une nouvelle fois son engagement fort au plus près de tous les territoires, y compris les plus ruraux en faveur du tourisme, de la culture et de l’économie 😀

10 mai 2021.


N.D.L.R. : La S.V.A.A.D.E. suit tout ceci de près. Il est important de fédérer et d'encourager toutes les bonnes volontés, même hors les murs de la citadelle !

Pour ma part, j'ai pu échanger quelques mots de sympathie avec Arnaud DELALANDE, l'écrivain mandaté pour écrire un roman médiéval.

N.D.L.R. 2 (du 2 mai 2023 à 8 heures 30) : Il n'y a plus eu le moindre contact avec ce M. DELALANDE dont la sortie de l'ouvrage a récemment été annoncée comme imminente. On essayera de comprendre pourquoi mais on a quelques idées.
Alors que la réouverture des musées et des lieux de loisirs a été annoncée pour le 19 mai (sous certaines conditions et avec des protocoles sanitaires stricts) l’observatoire de Normandie Tourisme présente le bilan 2020 de la fréquentation de l’ensemble des sites et lieux de visite de la région.

5 366 509 visites ont été enregistrées dans les sites répondants aux enquêtes de fréquentation réalisées par les partenaires touristiques départementaux, en 2020.

Il s’agit évidemment de volumes historiquement bas, et si l’on compare les données 2020 à celles de 2019, cela représente une baisse de 63,2% du nombre de visites*.

Rappelons que le premier confinement a complètement anéanti le début de saison : aucun site couvert / en intérieur n’a pu accueillir de public avant la fin mai et les autorisations de réouverture progressive. L’été a apporté une bouffée d’air nécessaire aux acteurs touristiques qui ont su s’adapter aux différents et nouveaux protocoles sanitaires en vigueur dans les lieux clos, jusqu’au second confinement où l’ensemble des acteurs touristiques a du de nouveau fermer ses portes.

Lorsque les ouvertures étaient possibles et autorisées et notamment pendant l’été 2020, les sites ont dû s’adapter à de nouvelles contraintes liées à l’application de protocoles sanitaires stricts : jauge d’accueil limitée, réservation de billet à l’avance, visites de groupes limitées à 6 personnes etc.

Les sites religieux arrivent en tête mais soulignons que l’Abbaye du Mont-Saint-Michel est intégré à cette catégorie. Et bien que l’année 2020 ait été très mauvaise, l’Abbaye s’impose une nouvelle fois comme le 1er site payant de Normandie avec environ 458 000 visites en 2020 (contre 1,5 millions en 2019).

Les sites et lieux de visites ouverts / en extérieur tels que les parcs, les parcs animaliers et les jardins s’en sortent naturellement mieux en 2020 : considérés comme lieux de détente pour les visiteurs locaux quand les déplacements étaient limités et appréciés par les touristes en quête de grand air, ils s’imposent comme sortie plus sécurisée qu’un lieu fermé face au risque de transmission du virus. La catégorie des Parcs et Jardins est tirée vers le haut par un nombre important de visiteurs dans les parcs publics des métropoles normandes, comme la Colline aux Oiseaux et le Jardin des Plantes à Caen, ou encore les Jardins suspendus du Havre. La Maison et les Jardins de Monet à Giverny, dont les chiffres sont en forte baisse (-77%), vient aussi renforcer le poids de cette catégorie de sites car les visiteurs, lorsqu’ils y étaient autorisés, sont venus nombreux dans ce monument de l’impressionnisme, notamment dans le cadre de l’édition exceptionnelle du Festival Normandie Impressionniste qui a pu se tenir en 2020.

Enfin, les sites et lieux de mémoire qui relatent l’histoire du Débarquement et de la Bataille de Normandie enregistrent la plus forte baisse, parmi l’ensemble des thématiques de visites normandes : -83,9%. Rappelons que l’année 2019 avait permis à la filière d’atteindre des records historiques à l’occasion du 75ème Anniversaire du D-Day, avec plus de 6,2 millions de visites alors enregistrés. Le tourisme de mémoire, qui accueille habituellement près d’un visiteur sur 2 de nationalité étrangère, a grandement souffert de l’absence des marchés internationaux, notamment Américains, à cause des fermetures de frontières imposées par la crise sanitaire.


*-63,2% entre 2019 et 2020 : évolution calculée à champ constant, c’est-à-dire sur la base des sites ayant répondu aux enquêtes de fréquentation en 2019 et en 2020.
Taux de réponse à l’enquête : 33%

N.D.L.R. : Je crois avoir fait partie des 33 % qui ont répondu.
#pénurie #approvisionnement #matierespremieres #pénalités

Je remercie Bruno Le Maire d'avoir entendu mon appel, lors des questions au gouvernement du 4 mai dernier, sur ce sujet qui concerne la vie des entreprises.

MAIS il faut aller plus loin en interdisant les pénalités sur cette période de crise économique avec pénurie.


N.D.L.R. : Inquiétant, je trouve...

Sébastien LEBOISNE me l'avait déjà signalé pour le bois et, hier, Régis FOUILLEUL l'a confirmé à propos des matériaux de plomberie.

On est partis pour un retour de l'inflation, ça va tanguer !
Billet : Aqueducs et gazoducs
Posted on 24 mai 2021 par Libres Feuillets

Les Romains construisaient d’audacieux aqueducs
Mais ils ne savaient rien des présents gazoducs
S’étirant en longueur depuis les gisements
D’où jaillit le méthane au bout du continent
Tels des Pythons issus de la boue primordiale
Et dont la dimension devient enjeu mondial
Depuis la Sibérie au-delà des taïgas
Où le dégel profond ferait de gros dégâts
Jusqu’à la mer Baltique au nord de l’Allemagne
Où le tuyau « Nord Stream » sortant des eaux regagne
Une terre enfin ferme et peut vomir son feu
Inerte jusqu’alors léthargique et gazeux
Comme un monstre mythique à la fin se ranime

Ce dernier verbe attend de rimer avec Nîmes
Jadis pourvue en eau par l’ouvrage romain
Dénommé « Pont du Gard » un pont hors du commun
Dont l’utile beauté depuis deux millénaires
Soutient un aqueduc sur ses arches de pierre

L’Allemagne et Moscou ont presque rassemblé
Les ultimes tronçons permettant de doubler
Ce que peut transporter leur énorme pip(e)line
Mais les Etats-Unis craignent l’indiscipline
En cas de liens plus forts entre Europe et Russie
L’Amérique de plus aimerait vendre aussi
Par bateaux méthaniers sans visée philanthrope
Ses trop-pleins liquéfiés à ses alliés d’Europe
L’Allemagne – elle – attend l’afflux de gaz fluant
Afin de minorer ses rejets polluants
Et confirmer ainsi son refus de l’atome
Transformer son lignite en souvenir fantôme
La France en cette affaire entre l’écologie
et le proche voisin quelle est sa stratégie


Ce poème confronte en quelque sorte le transport ancien de l’eau (H20) par aqueduc en France au temps de l’empire romain et le transport moderne du gaz méthane (CH4) par gazoduc entre la Russie et l’Allemagne aujourd’hui. Ce sont dans les deux cas des exploits technologiques, mais les ouvrages sont sans commune mesure du point de vue des dimensions et de l’art : d’une part un aqueduc d’environ 53 km passant sur un pont spectaculaire de 275 m de long, d’autre part un double tuyau sous pression de 1400 km, la plupart du temps invisible, enterré ou passant sous les eaux de la Baltique. Au sommet de l’OTAN du 11 juillet 2018 le président américain Donald Trump avait mis en cause l’Allemagne que ce projet rendrait « prisonnière de la Russie ». Depuis la défaite électorale de Donald Trump, l’opposition américaine à ce gazoduc s’est exprimée de manière moins frontale. Ce qui est en cause, c’est la politique énergétique de l’Allemagne, qui a voulu renoncer à l’énergie nucléaire depuis la catastrophe japonaise de Fukushima, mais qui n’a pas d’autre solution évidente que le gaz à l’état gazeux ou liquide pour la remplacer, sauf, à court terme, une utilisation accrue de son charbon ou lignite polluant, et à plus long terme un pari massif en faveur des énergies renouvelables telles que celle des éoliennes.

Dominique Thiébaut Lemaire

N.D.L.R. : Ne trouvant pas d'explications raisonnables à l'acharnement de MACRON à user de toutes les ficelles de son double langage bien connu (le trop fameux "en même temps") pour laisser se développer la filière éolienne dans le pays qui a eu la bêtise de l'élire, j'ai cru que la clé tenait au financement de sa prochaine (et déjà entamée) campagne des présidentielles.

Mais on comprend (ou croit comprendre) désormais que l'invraisemblable diktat éolien que nous subissons dans nos provinces nous est en effet imposé, l'Europe étant devenue ce que nous voyons, par les Allemands.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : vendredi 28 mai 2021 23:18
À : Patrice CAHART ; (...)
Objet : RE: suite à un article du "Monde", avec la pièce jointe

Cher Patrice,

J'avais remarqué cet article et y avais vu, bien évidemment, ni plus ni moins qu'une preuve supplémentaire de la malhonnêteté intellectuelle habituelle (...)

Amitiés,

PPF

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De : Patrice CAHART
Envoyé : vendredi 28 mai 2021 22:23
À : (...) ; Pierre-Paul Fourcade (penadomf@msn.com) <penadomf@msn.com>; (...)
Objet : suite à un article du "Monde"

Chers amis,

Craignant que la lecture du « Monde » (si vous lisez toujours ce quotidien) ne vous donne une mauvaise opinion de moi, je vous adresse ci-joint une copie du démenti que mon avocat, Me Hugues Hourdin, conseiller d’Etat honoraire, vient de lui adresser de ma part.

Bien à vous.

Patrice

(Fin de citation)

Tribune de Stephane Bern dans le Figaro. Normalement réservée aux abonnés, nous la mettons exceptionnellement a votre disposition. 😉

Stéphane Bern: «Madame Pompili, les éoliennes sont une négation de l’écologie!»

TRIBUNE - Alors que le gouvernement a annoncé une accélération de l’implantation des éoliennes, le journaliste, animateur de radio et de télévision et écrivain dénonce «ce diktat éolien qui brasse du vent et ancre dans nos sols un véritable mensonge».
Par Stéphane Bern

Depuis trop longtemps on oppose les défenseurs du patrimoine à ceux qui ont à cœur de protéger l’environnement et la nature. Ils devraient pourtant se retrouver autour d’un combat commun, contre la véritable calamité écologique que constitue l’implantation abusive et anarchique des éoliennes terrestres ou en mer.

Il est grand temps de dénoncer cette supercherie. L’énergie éolienne n’est en rien écologique et renouvelable. Elle pollue gravement la nature et détruit le patrimoine naturel et bâti de la France, ces sites remarquables de beauté et ces joyaux architecturaux dont nous sommes collectivement dépositaires et que les éoliennes défigurent.

Au-delà de la question esthétique, le développement de l’énergie éolienne est soutenu à coups de subventions européennes et de puissants lobbys industriels et financiers. Il faut bien comprendre que les éoliennes sont une négation de l’écologie.

Mme Barbara Pompili pourra bien en faire une question politique, nous accuser de défendre la France des châteaux et des abbayes contre une modernité triomphante, elle tente maladroitement de nier des réalités que même son ministère ne peut occulter. En d’autres termes, Mme Pompili contrevient à la loi écocide qu’elle fait voter en se rendant coupable de destruction d’un patrimoine naturel, d’atteintes à la biodiversité, d’artificialisation des sols et de soutien aux énergies fossiles… car, en fin de compte, les éoliennes fonctionnent seulement 25 % du temps et nécessitent l’aide de centrales à charbon, qui rouvrent notamment en Allemagne. Quelle belle victoire!

Certes, c’est le combat de David contre Goliath. Les défenseurs du patrimoine historique contre les tenants de la «modernité». Les ruraux contre les citadins bobos qui considèrent qu’«il n’y a qu’à installer des éoliennes à la campagne». Il serait pourtant si simple d’en installer une ou deux sur la butte Montmartre ou la colline de Fourvière, voire près de Notre-Dame-de-la-Garde, puisque les éoliennes sont si sûres et sans danger!

Non, Madame Pompili, les opposants aux éoliennes ne sont pas des châtelains accrochés à leurs vieilles pierres qui refusent le «progrès», comme vous aimez le faire croire. L’immense majorité des ruraux refusent de voir leur environnement pollué par cette énergie inutile, coûteuse, non recyclable, dont les nuisances sont visuelles et sonores, qui ruine la valeur de leur maison, sans qu’ils puissent jamais rien dire, pour la simple et unique raison qu’ils n’ont plus voix au chapitre.

Las, Madame Pompili, vous avez en partie gagné la bataille de l’image, car depuis des années les éoliennes sont le symbole de la transition écologique et de la lutte contre le réchauffement climatique. En prenant pour exemple l’Allemagne, qui pourtant mesure maintenant les conséquences désastreuses de ses propres choix en la matière, la France a déjà investi plus de 9 milliards d’euros d’aides directes à la filière éolienne sur les vingt dernières années.

Et vous ne comptez pas vous arrêter en si bon chemin. Contre vents et marées, et surtout contre l’avis des populations concernées, votre projet de programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) ambitionne de porter à 15 % la part de l’énergie éolienne dans la production d’électricité française en 2028. Cet objectif impliquerait l’augmentation du nombre d’éoliennes terrestres, passant de plus de 8000 éoliennes en 2019 à près de 15.000 en 2028.

Cet accroissement spectaculaire fait réagir de plus en plus d’élus et de citoyens dans les territoires, et l’acceptabilité sociale du déploiement de l’éolien se retrouve aujourd’hui fortement fragilisée. Vous n’entendez donc pas cette colère qui monte dans nos campagnes? Les gens sont vent debout, comme d’ailleurs quelque 500 maires réunis dans un collectif, Vent des maires, qui s’indignent du déni de démocratie. Au fil des consultations populaires et des avis défavorables de la population, les préfets ont des consignes pour imposer les champs d’éoliennes coûte que coûte, et, d’ailleurs, les procédures de recours ont été largement décapitées… comme les oiseaux migrateurs dans les pales de vos machines infernales. (Les recours contre les parcs éoliens sont désormais jugés en premier et dernier ressort: il n’est plus possible de faire appel ; de surcroît, des mesures visant à limiter le droit des requérants d’invoquer des arguments nouveaux au cours de la procédure ont été adoptées, NDLR.)

Ouvrez les yeux sur la réalité du bilan environnemental des éoliennes, qui n’est pas aussi formidable que les promoteurs veulent le faire croire. L’image associant transition écologique et éolienne est un faux-semblant. Quelques exemples peuvent vous éclairer. Les pales des éoliennes sont fabriquées à partir de matériaux composites, mélanges de fibre de verre, de fibre de carbone, de résine polyester ou de résine époxy. Cette composition fait que ces pales ne sont pas recyclables, contraignant ainsi les exploitants à les enfouir lors du renouvellement ou du démantèlement d’éoliennes. C’est un cadeau empoisonné laissé aux générations futures.

Les matériaux qui composent la turbine des éoliennes viennent de Chine. Le socle, lui, est en béton armé pour maintenir le mât et assurer sa stabilité. L’enfouissement de ces socles se fait à 3 mètres ou 4 mètres sous terre, parfois plus, avec un diamètre d’environ 15 mètres. Le volume de béton coulé est d’environ 500 m3, parfois plus pour les nouvelles éoliennes de très grande taille.

L’énergie éolienne terrestre a une faible productivité, du fait de son intermittence. Le fonctionnement d’une éolienne à pleine puissance est effectif sur seulement 21 % du temps en moyenne et de façon non prédictive et non pilotable.

Les éoliennes terrestres ou maritimes sont responsables d’un drame écologique en ruinant la biodiversité. La semaine dernière, un gypaète barbu, Angèle, réintroduit dans la Drôme, a été tué par une éolienne à Villeperdrix, sans que les écologistes ne s’en émeuvent.

Les paysages protégés et les sites remarquables, comme la montagne Sainte-Victoire peinte par Cézanne, les beautés touristiques de notre pays, sans parler des trésors architecturaux bâtis, tout ce qui fait la richesse de notre patrimoine est attaqué ou menacé par cette invasion d’éoliennes qui portent atteinte à notre environnement. Croyez-vous que les touristes du monde entier viendront visiter nos champs d’éoliennes comme l’alignement de Carnac? Et quand on parle de créations d’emplois à la clé des éoliennes, que fait-on des 500.000 emplois directement impactés par le tourisme culturel et patrimonial?

Il est temps d’ouvrir les yeux et de cesser de se mentir. L’énergie éolienne n’a rien de renouvelable ou de vert. Elle nourrit des promoteurs puissants qui se parent des habits de l’écologie pour faire de l’argent facilement sur le dos de nos concitoyens ruraux, souvent victimes de chantages odieux et de pressions intolérables. Dans ces circonstances, il n’est pas étonnant qu’un rapport du ministère de la Transition écologique pointe «des oppositions fortes à l’implantation des parcs éoliens dans tous les territoires»: 70 % des autorisations délivrées pour l’implantation d’éoliennes font l’objet de recours devant les tribunaux administratifs.

Parce que les Français sont soucieux du devenir de la planète, qui passe aussi par la protection de leur environnement naturel, et parce qu’ils sont tout autant attachés à la sauvegarde du patrimoine national, ils ne pourront accepter longtemps ce diktat éolien qui brasse du vent et ancre dans nos sols un véritable mensonge, heureusement dénoncé ce 1er juin par un film, Éoliennes: du rêve aux réalités par Documentaire et Vérité, qui fait suite au documentaire d’Arte La Face cachée des énergies vertes.

Les défenseurs du patrimoine et les amoureux de la nature se retrouveront ensemble dans ce combat contre ces éoliennes qui polluent la vie de nos concitoyens sur terre et près de nos côtes maritimes. Faute de les écouter, le vent de l’Histoire risque de tourner dangereusement.

N.D.L.R. : S'il continue comme ça, je pourrais finir par le trouver bien, ce garçon.
(...)
0
Des nouvelles de notre second pourvoi en cassation dans l'affaire des éoliennes de Ger et de Saint-Georges-de-Rouelley (Manche) ; ce second pourvoi est relatif aux autorisations environnementales dites "ICPE". Affaire à suivre.

(Début de citation)

De : Denis de la Burgade <d.delaburgade@scp-mdlb.fr>
Envoyé : mardi 1 juin 2021 18:50
À : (...)
Cc : (...) ; monamy Monamy <f.monamy@monamy-avocats.fr>
Objet : Dossier SPPEF & Autres c/ Préfet de la Manche - demande n° 442953 - 015490 - DLB / TT

Chers Messieurs,

Dans l’affaire citée en objet, je vous informe que le Conseil d’État a finalement pris, ce jour, la décision d’admettre le pourvoi, plutôt que de l’audiencer.

Cette admission signifie que le pourvoi contient au moins un moyen sérieux, ce qui est un signe encourageant. Mais il convient de rester vigilants car un moyen sérieux n’est pas nécessairement fondé. Le moyen en question ne m’a pas été précisé.

L’affaire est donc mise à l’instruction contradictoire. Je ne manquerai pas de vous communiquer les mémoires adverses dès qu’ils me seront transmis.

Votre bien dévoué,

Denis DE LA BURGADE
Docteur en droit
Avocat associé auprès du Conseil d’Etat et de la Cour de cassation
d.delaburgade@scp-mdlb.fr
SCP MARLANGE-DE LA BURGADE
Avocat au Conseil d’Etat et à la Cour de cassation
5, rue Daunou / 75002 Paris
T : 01 53 63 33 10 / F : 01 45 48 90 09
E : contact@scp-mdlb.fr / W : https://www.scp-mdlb.fr

(Fin de citation)
Éoliennes: la circulaire qui presse les préfets d'accélérer leur déploiement attaquée en justice

Cinq associations ont déposé ce lundi un recours devant le conseil d'État pour demander aux Sages son annulation.

N.D.L.R. : Battons-nous sans cesse contre le racket éolien et ses complices, en commençant par les élus, quels qu'ils soient, qui osent défendre de telles aberrations !
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 9 juin 2021 18:12
À : Grégory Vannobel Bee+ <gregory@beeplus.fr>
Cc : Hugues Hourdin
Objet : RE: Chaslerie - Aides publiques à un chauffage par aquathermie - Association SVAADE

Bonsoir !

Je précise ma question. D'après ce que me dit mon plombier, l'ADEME ne fournit d'aides que si des critères d'isolation thermique sont respectés. Charmant pour les monuments historiques...

Ceci dit, sur le colombier et les écuries (et ce sera bientôt le cas sur la cave), on a posé du "SkyTech".

Pouvez-vous me dire si, là où ledit revêtement a été ou sera posé, et compte tenu du fait que les vitrages seront doubles, l'association serait éligible à ces subventions ?

D'avance merci !

PPF

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De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : lundi 7 juin 2021 16:46
À : Grégory Vannobel Bee+ <gregory@beeplus.fr>
Cc : Hugues Hourdin
Objet : Chaslerie - Aides publiques à un chauffage par aquathermie - Association SVAADE

Cher Monsieur,

J'essaye vainement, par courriels ou appels téléphoniques à leur antenne normande, d'entrer en contact avec l'ADEME pour me faire expliquer les aides accessibles pour "notre" installation (dossier ID201906-0185 de votre bureau d'études "Bee +").

(...) je suis en train de monter le dossier en faisant intervenir une association active sur le site objet de votre étude. Cette association (la SVAADE, statuts joints) bénéficierait d'un bail (voire d'un bail emphytéotique) couvrant l'ensemble du manoir, de manière à pouvoir y développer en toutes saisons ses activités d'ores et déjà lancées avec un grand succès (organisation de spectacles et d'expositions). Dans ce cas, j'aimerais, en ma qualité de trésorier de cette association (le président est un Conseiller d'Etat honoraire, Hugues HOURDIN), savoir quelles aides seraient accessibles, de manière à pouvoir présenter utilement le dossier aux instances de celle-ci, notamment en assemblée générale.

Le document de 20 pages mis en ligne par l'ADEME est trop compliqué pour moi. Le voici : https://agirpourlatransition.ademe.fr/entreprises/sites/default/files/2021-01/condition-eligibilite-financement-installation-geothermie-surface-2021.pdf

Puis-je vous prier de me le traduire dans le cas d'espèce ?
Votre aide nous serait très précieuse.

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)
Bernard Accoyer : "La France manque de courage politique pour défendre le nucléaire"

En compagnie de Louis Gallois ou encore Jean-Pierre Chevènement, l'ex-président de l'Asssemblée nationale milite dans une nouvelle association pour le maintien d'une forte industrie nucléaire en France.

N.D.L.R. : Il est heureux qu'il reste des gens comme ceux-ci ! Je soutiens !
Communiqué de presse
15 juin 2021

Les éoliennes se mettent en grève le jour de «La journée du vent»

Aujourd’hui 15 juin 2021 à 11h, les 9.000 éoliennes terrestres sont à l'arrêt total par manque de vent.

D'après les chiffres officiels du Réseau de Transport de l’électricité, la puissance instantanée fournie par ces machines est tombée à 625 MW représentant 1,0% de la production totale d’électricité de la France.


Cela tombe vraiment mal pour les industriels de la filière le jour de la fête annuelle de l’éolien organisée par l'EWEA (Association Européenne de l'Énergie Éolienne) qui anime la journée du vent en organisant des manifestations à grand renfort de publicité à travers les villes et régions afin de célébrer le "pouvoir du vent" et «promouvoir le potentiel et l'efficacité du vent en tant que source d'énergie».

C’est une démonstration par l’absurde de l’inutilité de ces machines et un camouflet pour tous les bardes officiels qui inondent depuis des années les medias de «Fake news» pour justifier les mérites supposés de cette filière incapable de fournir une électricité fiable quand les consommateurs en ont besoin.

Contact presse : Fédération Environnement Durable
Jean-Louis Butré
contact@environnementdurable.net

N.D.L.R. : (...)
Régionales - Position des listes sur la pétition citoyenne pour un moratoire immédiat sur les projets d'éoliennes industrielles

Vincent Hartz est l'auteur d'une pétition citoyenne, qui a recueilli 56 409 signatures, demandant un moratoire immédiat sur les projets d’éoliennes industrielles

Il a récemment questionné les candidats aux régionales par rapport à ce moratoire
Voici leurs réponses qu'il vient de communiquer à la FED

Cordialement
Jean-Louis Butré Président
Fédération Environnement Durable
contact@environnementdurable.net
tel 06 80 99 38 08
_____________________________________________________________________
Réponses reçues des têtes de listes
A l’occasion des élections régionales, j'ai sollicité toutes les listes de toute la France pour leur demander leur position par rapport à cette proposition citoyenne de moratoire immédiat sur les projets d’éoliennes industrielles.
Merci à beaucoup à celles qui ont accepté de répondre
C’est un carton plein pour les réponses de la région Nouvelle Aquitaine !
Pour chaque liste ayant répondu j’ai fait un lien hypertexte vers le ou les documents qu’ils ont transmis. C’est un « copier-coller » direct de leur texte.
vincent.hartz@sfr.fr

(...)

NORMANDIE

Liste Les Centristes – H. MORIN

Liste dissidente LREM – S. KERBARH

Liste Lutte Ouvrière – P. LE MANACH

Liste Sans étiquette soutenu par LREM – L. BONNATERRE

Liste PS et EELV – M. BOULANGER

Liste PC et LFI – S. JUMEL

Liste Rassemblement National – N. BAY

(...)

N.D.L.R. : Dont acte !