Désultoirement vôtre !

Voici une chatière du modèle (mais pas de la couleur) qui pourrait être posé sur les écuries :

25 février 2014.

Je devrais alors en commander six à Mme Cécile DEIN, la potière d'Yvignac-la-tour (Ille-et-Vilaine) qui avait modelé les épis de faîtage de la Chaslerie.

Gian Lorenzo Bernini, "Busto di Scipione Borghese - I versione (particolare)", 1632 - Marmo di Carrara, grandezza al naturale, Galleria Borghese, Roma

Il ritratto dell'avido Scipione segnò il ritorno di Bernini alla scultura dopo qualche anno di inattività, essendo completamente assorbito dai lavori in San Pietro in Vaticano per conto di Papa Urbano VIII Barberini, grande amico del Cardinal Borghese.

Questo busto, nonostante la grandissima produzione ritrattistica dell'artista, rimane uno dei più grandi capolavori di questo genere di Gian Lorenzo: la soluzione compositiva e la scelta finale della posizione rendono Scipione più vivo che mai. Bernini decide di ritrarlo in un momento in cui il Cardinale si volge, sta per parlare; non a caso, per cogliere la spontaneità e l'essenza del soggetto da ritrarre, il grande scultore voleva che questo parlasse e si muovesse, senza stare in una posa vera e propria. Anche in quest'opera il virtuosismo di Bernini raggiunto tramite l'uso degli attrezzi è spettacolare: l'uso di raspe e scalpello, unito alla giusta levigatura e lucidatura permette all'artista di ottenere effetti mai raggiunti prima per rendere i vari tipi di incarnato- in moltissimi casi mai superati. Un'altra cosa degna di nota è sicuramente la lavorazione degli occhi, uno dei punti cruciali per l'efficacia del ritratto in generale.

Questo in particolare è la prima versione del busto: esiste una replica, pressoché identica, sempre alla Galleria Borghese. Bernini si trovò costretto a scolpire un altro ritratto (in tempo record, secondo il figlio Domenico in soli tre giorni, mentre per Filippo Baldinucci in quindici) a causa di un difetto del marmo comparso in corso d'opera, un cosiddetto "pelo", una fessurazione del marmo che rende il pezzo da lavorare molto fragile e decisamente antiestetico. Questo pelo, partendo dalla nuca del Cardinale, attraversa tutta la fronte rovinando così l'effetto finale del ritratto. Bernini in un primo momento decise di restaurare il pelo per cercare di salvare il busto, ma infine preferì scolpire una seconda versione per evitare di incappare nelle ire del committente, decisamente esigente.

In ogni caso, è nella prima versione - più rifinita - che possiamo cogliere tutta l'essenza dell'opera, un'esperienza unica per quanto riguarda la ritrattistica.

N.D.L.R. : Traduction automatique de ce texte, trouvée en ligne :

(début de citation)

Gian Lorenzo Bernini, « buste de Scipione Borghese-version (détail) », 1632-Carrare naturel en marbre, grandeur, Galleria Borghese, Rome le portrait de Scipion avare marquait le retour de la sculpture du Bernin après que quelques années d'inactivité, être complètement absorbé par les travaillent à St Peter au Vatican au nom du pape Urbain VIII Barberini, ami intime du Cardinal Borghèse.

Ce buste, en dépit de la production, le portrait de l'artiste de la grande demeure l'un des plus grands chefs-d'œuvre de ce genre de Gian Lorenzo : la composition et le choix final du poste faire Scipio plus vivant que jamais. Bernini décide à le représenter à la fois quand le Cardinal se transforme, sur le point de prendre la parole ; pas par hasard, pour capter la spontanéité et l'essence du sujet en peignant le grand sculpteur voulait cette parole et en mouvement, sans rester dans une installation réelle. Dans ce travail la virtuosité du Bernin, obtenue par l'utilisation d'outils est spectaculaire : l'utilisation de râpes et ciseau, combinée à l'adéquat de ponçage et de polissage permet à l'artiste à avoir jamais atteint avant les effets de faire diverses sortes de chair-dans bien des cas n'a jamais dépassés. Une autre chose de la note est sans aucun doute les yeux, l'un des points essentiels à l'efficacité de l'image en général.

C'est notamment la première version du buste : il y a une réplique, presque identique, toujours à la Galleria Borghese. Bernini a été obligé de se tailler un autre portrait (en un temps record, d'après son fils Domenico en seulement trois jours, tandis que pour Baldinucci en quinze ans) dû à un défaut du marbre est apparu au cours de la construction, une soi-disant "fourrure", un marbre qui rend la pièce très fragile et franchement inesthétique de fissuration. Ces cheveux, à partir de la nuque du Cardinal, traverse le front de ruiner l'effet final de l'image. Bernini dans un premier temps décidé de restaurer les cheveux pour tenter de sauver le buste, mais finalement choisi de se tailler une deuxième version, donc de ne pas se heurter à l'ire de l'orderer, très exigeant.

En tout cas, c'est dans la première version-plus fini que nous pouvons saisir l'essence de le œuvre, une expérience unique au sujet de l'art du portrait.

(fin de citation)

Presque contemporain de la Chaslerie.
La première chatière posée passe bien selon moi :

27 février 2014.

Mais j'aimerais bien connaître l'avis de M. MAFFRE avant de lancer la fabrication de quelques unités.

27 février 2014.

En revanche, je demeure très réservé à propos des casts :

27 février 2014.

Il me paraît curieux que des engins pareils aient pu être préconisés.

27 février 2014.

Quand je vois ces articulations et ces reflets, je me dis qu'on a très bien fait de changer d'architecte. Ceci dit, avec la fermeture des ardoisières d'Angers, on devra s'habituer à ces horreurs faute de pouvoir corriger le tir.

P.S. (du 9 octobre 2021) : Il se trouve que je suis, depuis quelque temps, membre suppléant de la commission départementale des sites (C.D.N.P.S.) de l'Orne. A ce titre, j'ai récemment vu passer un dossier prévoyant l'introduction de "casts" sans susciter à ce titre la moindre réserve de l'A.B.F. de l'Orne. En séance, je lui ai demandé l'opinion sur ces trucs du ministère dont elle relève. Elle n'a émis aucun doute sur la qualité du produit.

Je trouve cela désespérant. J'appelle cela de la persistance dans l'erreur.
Cri du cœur de Carole apercevant les casts pour la première fois : "Que c'est moche !"

Le jeune homme dont je ne suis plus autorisé à citer ici le prénom (ni même l'initiale du prénom) a réagi à peu près de la même façon, ce qui me semble un très bon signe. Il s'étonne néanmoins qu'il y ait tant d'espace entre les dernières ardoises et chaque cast et trouve qu'il aurait sans doute été possible de mieux faire, notamment en anticipant convenablement la décroissance des pureaux. Je ne saurais lui donner tort sur cette dernière remarque.

Je demande donc à Roland BOUSSIN de suspendre les travaux sur le brisis Ouest et à Benoît MAFFRE de nous faire, dès que possible, des propositions de lucarnes appropriées, avec la même surface vitrée que ces affreux bidules orthopédiques qu'on envisage ainsi de remplacer.

P.S. (du 9 octobre 2021) : Sept ans plus tard, le temps n'a pas permis qu'on s'habitue à la laideur de ces "casts". Et on attend toujours qu'un architecte du patrimoine consente à régler la question...
J'ai omis de signaler que toute la famille venue me rendre visite ce dernier week-end apprécie beaucoup la couleur :
- des terrassons ; il faut dire que je leur en ai parlé en termes particulièrement lyriques et inspirés lorsqu'ils découvraient le spectacle ;
- des enduits de la cage d'escalier du bâtiment Nord, au point que Carole me demande de badigeonner dans les mêmes tons la grande chambre en soupente.

En revanche, tous demeurent réservés sur la couleur de ma chambrette en soupente et la jeune classe tord en outre le nez devant la forme et les emplacements des interrupteurs de la même pièce. Carole aimerait que j'en fasse peindre les aréoles de bois de la même couleur que les murs, ce qui, selon moi, n'est pas idiot.
Mais je fais le pari qu'ils s'habitueront et, comme à l'accoutumé, finiront par trouver bienvenues mes initiatives en question.

Château de La Barge, XIIe-XVIe-XVIIIe s., “le château que bordait la Dore” de la romance de Chateaubriand, Courpière, Puy-de-Dôme, Auvergne
"Ma sœur, te souvient-il encore
Du château que bordait la Dore ?
(...)
Mon pays sera mes amours,
Toujours !"

Manoir de La Tour, près du hameau de Carque, commune de Saint-Pierre-Laval, Allier, Bourbonnais, région “Auvergne"

N.D.L.R. : Contemporains de la Chaslerie.

Mais il me semble que la citation exacte est plutôt la suivante :

Combien j'ai douce souvenance
Du joli lieu de ma naissance !
Ma sœur, qu'ils étaient beaux les jours
De France !
O mon pays, sois mes amours
Toujours !

Te souvient-il que notre mère,
Au foyer de notre chaumière,
Nous pressait sur son cœur joyeux,
Ma chère ?
Et nous baisions ses blancs cheveux
Tous deux.

Ma sœur, te souvient-il encore
Du château que baignait la Dore ;
Et de cette tant vieille tour
Du Maure,
Où l'airain sonnait le retour
Du jour ?

Te souvient-il du lac tranquille
Qu'effleurait l'hirondelle agile,
Du vent qui courbait le roseau
Mobile,
Et du soleil couchant sur l'eau,
Si beau ?

Oh ! qui me rendra mon Hélène,
Et ma montagne et le grand chêne ?
Leur souvenir fait tous les jours
Ma peine :
Mon pays sera mes amours
Toujours !
Frans Hals (Dutch, 1582/83–1666) | Merrymakers at Shrovetide | ca. 1616–17

The loud style of this early work by Hals suits its subject, which is Vastenavond (Shrovetide or Mardi Gras), a pre-Lenten carnival featuring bad food and worse behavior. Two characters from the comic stage, Peeckelhaering (Pickled Herring) and Hans Wurst (John Wiener?), cozy up to a young "lady" with a Dutch boy haircut and a bull neck. Hans's gesture, the deflated bagpipe, and other motifs comprise a chorus of sexual commentary. The picture looks surprisingly Flemish in its vivid coloring, loose brushwork, and crowded composition, which suggests that it may date from slightly after Hals's three months in Antwerp during 1616. In that mecca for Netherlandish artists he could have seen great works by Rubens and the early paintings of his own Flemish counterpart, Jacob Jordaens (1593–1678).

N.D.L.R. : Presque contemporain de la Chaslerie.
Dominique CHADAL
rédigé le Lundi 10 Mars 2014
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales
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Connaissez-vous Lucien Bodard ?

Je m'interroge encore sur mes objectifs généalogiques, après cinq années de pratique intensive : rechercher mes racines ? redonner chair aux ombres captées par le photographe ? détricoter quelques légendes familiales ? mesurer l'impact de l'histoire sur la vie quotidienne de mes ancêtres ?

Je ne cherche nullement à remonter jusqu'à quelque roi mérovingien oublié ou quelque improbable guerrier viking. Je reste dubitative sur l'intérêt de révéler des liens de lointaine parenté entre adversaires politiques d'aujourd'hui. Je ne fais pas davantage partie de ces généalogistes qui recherchent activement un cousinage avec telle ou telle célébrité. En principe… et, d'ailleurs, comment s'y prendre ?

Je suis par ailleurs persuadée que mes ancêtres appartenaient à l'écrasante majorité des agriculteurs, des artisans et des soldats anonymes qui, nous disent les historiens, ont au fil des siècles formé le peuple de France. Si ceux qui m'ont précédée ont parfois gravi quelques échelons de l'échelle sociale, ils n'ont, à ma connaissance, laissé aucune trace dans la mémoire collective.

Mais la curiosité est l'une des qualités du généalogiste, qu'il soit amateur ou professionnel. Aussi ai-je craqué, lorsque j'ai découvert l'option proposée par Geneanet ; je l'avoue volontiers. Sur la page d'accueil, j'ai cliqué sur "Comparer l'arbre" et j'ai coché la case "Cousinages célèbres (Geneastar)". Ma foi, qui ne risque rien…

La réponse est tombée au bout de quelques minutes : trois cousinages, rien que ça, avec trois écrivains, dont deux ne m'étaient pas tout à fait inconnus. J'ai choisi de vous parler aujourd'hui de celui qui m'est le plus familier, Lucien Bodard, journaliste et écrivain, né à Chongqing (Chine) en 1914 et décédé à Paris en 1998.

Portrait de Lucien Bodard, Source kmalden.centerblog.net

J'ai découvert Lucien Bodard d'une façon plutôt inattendue. J'étais encore étudiante et j'effectuais un stage au siège d'une société internationale, dans les beaux quartiers de Paris. Je faisais office d'assistante auprès d'un cadre aux attributions mal définies. Je ne me rappelle plus à quoi il occupait ses matinées, mais je me souviens parfaitement qu'il consacrait la moitié de ses après-midi à la lecture du Monde. À mon avis, l'entreprise l'avait recruté moins pour ses compétences intrinsèques que pour son carnet d'adresses auprès d'une haute administration qu'il avait quittée pour "pantoufler" dans le civil.

Un matin, un homme a fait une entrée fracassante dans le bureau. Il estimait que son père était mis en cause d'une façon déshonorante par Lucien Bodard, dans le livre que ce dernier venait de publier sur la guerre d'Indochine.

Le fils en question passa les deux journées suivantes à rédiger une lettre de protestation dont il venait, à intervalles réguliers, soumettre les versions successives à l'ancien fonctionnaire. L'occasion pour moi de constater que l'entreprise, qui mettait tout en œuvre pour contrôler la présence de son personnel dans les bureaux (horloge pointeuse, appariteurs bloquant les escaliers quinze minutes avant l'heure de sortie…) ne semblait guère se soucier de la productivité de ses employés et de ses cadres durant les heures ouvrables ! Passons…

Cet incident aiguisa ma curiosité, vous vous en doutez, et je m'empressai d'acheter le livre en question. C'est sans doute de cette époque que date mon intérêt pour le continent asiatique. Le torrent verbal, le style foisonnant, les multiples anecdotes et digressions de ce conteur génial y sont sûrement pour quelque chose.

Lucien Bodard, nous dit un article de l'Encyclopædia Universalis abondamment repris par Wikipédia, était le fils d'un diplomate en poste en Chine au moment de sa naissance, en janvier 1914. Le jeune Lucien y passera les dix premières années de sa vie, avant de rentrer en France poursuivre ses études. Trois de ses romans, Monsieur le Consul (Prix Interallié 1973), Le Fils du Consul (1975) et Anne Marie (Prix Goncourt 1981), largement autobiographiques, retracent de façon magistrale cette période.

On le retrouve journaliste, grand reporter pour le compte de France-Soir, correspondant de guerre en Indochine jusqu'à la chute de Dien Bien Phu. Voici le portrait que trace de lui Jacques Chancel(1), lors de leur première rencontre à l'hôtel Continental, à Saigon :
"Bodard nous attendait, enfoncé dans un fauteuil d'osier. J'observais ses yeux de Chinois, son corps lourd, ses vêtements fripés. La non-élégance lui était un luxe. Je découvrais sa gueule, je connaissais sa plume remuante d'adjectifs et d'envolées lyriques. Le grand journaliste de France-Soir, visage froid, regard perdu, cigarette aux lèvres sur laquelle il tirait à petits coups, semblait me deviner."

La scène se passait en 1948. Cinquante-trois ans plus tard, je suis allée boire un thé dans le jardin de cet hôtel mythique. L'atmosphère y était redevenue nonchalante, à l'écart de la circulation de l'ex-avenue Catinat, rebaptisée Dong Khoi.

Lucien Bodard quitta Saigon peu de temps après le désastre subi par l'armée française dans la cuvette de Dien Bien Phu, en mai 1954. Événement d'actualité qui constitue par ailleurs mon premier souvenir radiophonique : je revois le petit poste dans son coffre en bois verni noir, posé sur un meuble bas dans la salle à manger, mes parents et ma grand-mère assis en rond, tendus dans leurs fauteuils, à l'écoute des nouvelles alarmantes diffusées par son haut-parleur, et j'ai encore dans l'oreille la voix tremblante du speaker (comme on disait alors).

Lucien Bodard poursuivit sa carrière de journaliste et d'écrivain, à jamais fasciné par l'Extrême-Orient. En attestent d'autres livres qui figurent sur les rayonnages de ma bibliothèque : La Vallée des roses, La Duchesse, Les Grandes Murailles… Il fit également des apparitions dans plusieurs films, incarnant par exemple le cardinal Bertrand dans le film de Jean-Jacques Annaud, Au nom de la rose.

Il avait ce qu'il est convenu d'appeler "une gueule" et me faisait penser à ces bouddhas chinois, les yeux mi-clos, double bedaine et triple menton, auxquels, par un étrange mimétisme, il ressemblait de plus en plus, vers la fin de sa vie. Il est décédé à Paris en mars 1998, à l'âge de 84 ans.

Nos ancêtres communs, le couple formé par René Hallet et Louise Vaillant, s'étaient mariés dans l'église Saint-Aubin, au Louroux-Béconnais (dans l'actuel département du Maine-et-Loire), le 27 novembre 1683. La mère de Lucien Bodard, Anne Marie Greffier, la fameuse Anne Marie du roman éponyme, descend à la sixième génération de leur fils Jean.

Finalement, j'ai peut-être trouvé un début de réponse à ma question initiale : la généalogie ne fournit-elle pas l'occasion de mêler récits et souvenirs personnels, dans de courts billets comme celui-ci ?

(1) Jacques Chancel, La nuit attendra, Flammarion, 2013, page 58

N.D.L.R. : Les cousins de ma cousine sont au moins mes cousins. Fort honoré de cette parentèle !

Aujourd'hui, le chantier est calme. Sébastien est reparti après avoir fini d'enlever la barbotine des dalles ; il devra cependant revenir pour parfaire le traitement, par exemple estomper ses coups de burin. L'entreprise BOUSSIN et Jonathan sont en vacances, la première jusqu'à lundi prochain, le second jusqu'à demain. Igor a pris la suite de Jonathan qui, hier après-midi, a procédé à la première coupe d'herbe de l'année aux abords de la Chaslerie.

Il reste encore du travail de terrassement et de maçonnerie à effectuer dans l'entrée du logis. De même, j'ai montré à Igor les rectifications à apporter aux placos du dégagement de la chambre mortuaire : le plafond n'est pas horizontal et il manque deux bouts de placo là où sera installé le rangement à fabriquer.

Enfin, je contacte des bureaux d'études pour définir le programme de plomberie, chauffage et électricité à mettre en œuvre dans l'ensemble des bâtiments.