Désultoirement vôtre !

La France est en cours de massacre par les éoliennes.

Photo réelle prise le 7 février 2014 du château de Malbrouck, un des plus beaux joyaux du patrimoine de la France, qui est en cours de massacre par la construction de 7 éoliennes de 230 mètres de haut à 1 km de l’autre côté de la Frontière Allemande. Ce site emblématique de Lorraine classé aux Monuments Historiques est condamné.

Toutes les régions de France vont être défigurées par plus de 10.000 nouvelles éoliennes géantes en projet ou en cours de construction.
Aidez nous à combattre ces monstres. Soutenez la Fédération Environnement Durable qui lutte .

N.D.L.R. : Nous soutenons !

Aux abords du Domfrontais, d'ores et déjà, nous dénonçons l'attitude particulièrement incorrecte de M. Yves GOASDOUE, député-maire de Flers, et nous nous interrogeons sur les finalités poursuivies par M. BECHET, maire de Saint-Georges-de-Rouelley.
Les encres de couleur de mon imprimante s'épuisent ; les tirages des cartes géologiques que j'ai ensuite scannées s'en ressentent. Voici, néanmoins, où se trouve la Chaslerie (marquée par un petit rond bleu), sur deux cartes précédemmment mises en ligne :

On voit que des failles ont fracturé le grès dans son proche voisinage. L'une d'elles (figurée en trait continu sur la première carte, ce qui signifie qu'elle affleure) se situe le long du coteau qui borde la Chaslerie au Nord-Est. Une autre (en pointillés sur la première carte mais à l'origine d'un cisaillement sur la seconde) a permis, semble-t-il, le passage de l'Egrenne à travers la barre de roches dures du fond du synclinal, désormais érodé au point de porter les points culminants du secteur. De même, une troisième aurait permis le passage de la Varenne au pied de l'éperon de Domfront.

A noter que ces cartes ont été dressées par M. Christian ENOUF qui avait souhaité me rencontrer et que je vais relancer afin d'en apprendre un peu plus sur ces questions de géologie. Celles-ci sont importantes en pratique. En effet, toutes les carrières du secteur ont fermé. Donc, pour me procurer les pierres nécessaires à la restauration de notre manoir favori (par exemple pour les mur d'escarpe qui nécessitera 500 m3 de matériaux), je suis obligé d'acheter des bâtiments en ruine. Encore faut-il qu'ils aient été construits avec les bons grès. Or, à l'époque où il n'y avait guère de routes, les constructeurs utilisaient les pierres trouvées sur place. Je dois donc parcourir les filons, orientés Est-Ouest, étant entendu que, dès que je m'éloigne de 500 mètres au Nord ou au Sud, je sors du bon secteur, alors que je peux y demeurer sur des dizaines de kilomètres vers l'Est ou vers l'Ouest.

P.S. (du 9 octobre 2021) : Les nombreuses failles relevées, même très sommairement, dans le secteur de la Chaslerie expliquent sans doute pourquoi, lors des forages effectués fin 2018, il a pu être trouvé, selon l'expression verbale du foreur, M. BREBANT, une "rivière souterraine" à soixante mètres sous la charretterie.
Pour comprendre l'histoire des constructions de la Chaslerie, il faut prolonger le propos géologique par des considérations sur l'histoire du Domfrontais et sur son économie. Ayant prêté à M. MAFFRE mon fond de bibliothèque sur ces questions, je me bornerai à évoquer ici les principaux faits que j'ai retenus et le ferai de façon qualitative.

Quant à l'histoire, il faudrait évoquer les voies romaines. Je crois me souvenir qu'il en passait une du côté de Lonlay, sans doute orientée Nord-Sud, donc qui devait tangenter la Chaslerie.

Bornons-nous, pour les temps les plus anciens, à évoquer la fondation de l'abbaye de Lonlay, au début du XIème siècle. Un gué devait permettre aux pélerins de traverser l'Egrenne. A l'évidence, ce gué était notre Guéviel. On peut imaginer qu'une famille de costauds s'était assuré le contrôle de ce passage obligé, de manière à prélever un péage sur les pélerins ; ceci devait se faire avec l'assentiment de l'abbé et selon une clé de répartition appropriée de la manne.

Quelle était cette famille ? On l'ignore. Peut-être s'appelait-elle CHASLES, comme le mathématicien ? A ma connaissance, rien ne l'atteste.

On sait qu'en termes de féodalité, la Chaslerie avait pour seigneur l'abbé de Lonlay. Sans doute est-ce là la raison pour laquelle on ne retrouve pas trace de la Chaslerie dans le grimoire recensant les propriétés nobles du secteur au Moyen-Âge. On n'a pas de mal à imaginer qu'il devait y avoir un recensement indépendant pour les biens de l'Eglise. Ceci d'autant plus que l'abbaye n'était pas une possession quelconque puisque, à sa fondation, elle avait été confiée à un cousin d'Hugues Capet.

(A préciser et à suivre ; je le ferai dans l'après-midi ; dans l'immédiat, je dois me rendre à Pontorson pour rencontrer 4 candidats-locataires ; envie de pousser jusqu'à Cancale pour y déguster quelques huîtres et un kouign amann de Roellinger ; mais, seul, ce n'est pas très rigolo...).

P.S. (du 9 octobre 2021) : Sur la voie romaine du secteur, je me rappelle un très intéressant exposé d'Eric de FRILEUZE lors d'une promenade du "Rallye Bellefontaine". La voie romaine passait, si mes souvenirs sont bons, du côté de la Guyardière, c'est-à-dire à environ deux kilomètres à l'Est de la Chaslerie, dont l'orientation était ainsi tournée vers cette voie, comme pour en entendre mieux les rumeurs.
Le premier cast a été installé sur le brisis Ouest.

Je trouve le résultat hideux ! On dirait une prothèse orthopédique. Et il doit y avoir 4 telles protubérances pustuleuses qui se verront comme le nez au milieu de la figure, de quoi gâcher toute la façade Ouest... C'est du boulot à la LEVÊQUE, parfaitement inacceptable !

10 février 2014.

Le compagnon de Roland BOUSSIN qui a réalisé cette horreur me dit avoir été entravé par le coyautage et la longueur des ardoises. Je pense qu'il aurait dû enfoncer davantage le cast dans le plan de bardage.

Il me paraît indispensable que Mr T. mandate sans délai M. MAFFRE pour suivre ce chantier qui partirait vite à vau-l'eau.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 10 Février 2014
Administration - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux
0
L'agent chargé du recensement à La Haute-Chapelle vient de me faire remplir son questionnaire. J'ai répondu que la Chaslerie était une résidence secondaire, d'une pièce habitable, chauffée au fioul, dotée d'un cabinet de toilettes avec douche ainsi que d'un emplacement de parking.

Qu'écrire d'autre ? Il m'a semblé que la grille du questionnaire ne me laissait pas le choix.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 11 Février 2014
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Références culturelles
0
Avec un couple d'amis, Paul et Babette, nous sommes allés voir dimanche "Philomena". Je n'ai pas été emballé car j'ai été freiné par les partis pris de ce film que je trouve caricaturalement anglo-saxons, comme la propension à bouffer du curé, en l'occurrence irlandais, ou la banalisation, voire l'apologie, de l'homosexualité. Ceci dit, j'ai trouvé que Judi DENCH était, comme toujours, remarquable de justesse et d'émotion.

En sortant du cinéma, Carole pleurait doucement.
Je m'en veux de n'avoir pas anticipé à quel point cette histoire de fille-mère, d'abandon et d'adoption la toucherait.
J'aurais dû m'en douter, je suis un sombre crétin.

Michel BERA
rédigé le Mardi 11 Février 2014
Journal du chantier - Désultoirement vôtre ! - Références culturelles
1
Les jolies citations :

"Cassandre : je ne vois rien, Andromaque. Je ne prévois rien. Je tiens seulement compte de deux bêtises : celle des hommes et celle des éléments."

Jean Giraudoux - La Guerre de Troie n'aura pas lieu

[cité dans Le jour le plus bas/François Camé et Frédéric Filloux - Ed JC Lattès 1988 p203]

N.D.L.R. : Applicable à la restauration des monuments historiques. Comme peut-être, dans une certaine mesure, celle-ci :

Bonjour, cher ami. Comme je reviens de Crète, je ne sais si votre attention a déjà été attirée par un article du Publicateur sur un projet d'éoliennes à Domfront, du côté de la déchetterie.

N.D.L.R. : Oui, bien sûr, je l'ai vu. Il est illustratif de la médiocrité bien connue d'un élu local qui n'a pas hésité - sous quelle pression ? - à bouleverser l'ordre du jour d'une séance de conseil municipal pour donner ainsi la parole, sans débat possible, à un promoteur venu vendre ses salades.

Que faire face à des procédés aussi indignes ? Se mobiliser et, dans un premier temps, rappeler tous les arguments inverses que ce promoteur et cet élu se sont bien gardés d'évoquer, bien entendu. On peut compter sur nous !

Comme dans l'article unilatéral que vous citez, les promoteurs d'aérogénérateurs, ces engins à taille inhumaine mais au nom fallacieusement poétique d'éoliennes, font miroiter des rentes pour les propriétaires et exploitants des terrains d'implantation de ces engins, plus des rentrées fiscales supplémentaires pour les élus du mille-feuilles des collectivités territoriales, que pourtant l'on a toute raison, à Domfront notamment, de considérer comme inefficace et déjà trop coûteux ; bien évidemment, ces promoteurs ne pipent mot d'autres avantages plus directs au bénéfice de quelques ripoux. En contrepartie, ces vendeurs redoutables polluent des paysages naturels d'une façon très durable et, en se gardant bien de l'ébruiter, font donc baisser les prix des habitations riveraines, parfois dans des proportions très importantes. Comme si cela ne suffisait pas, tout le lobby de ces affairistes repose sur des ponctions illégales effectuées à leur bénéfice exclusif sur tous les abonnés d'EdF, mais combien de ces derniers en sont-ils conscients comme vous et moi ? Car, de cela, personne d'audible ne dit rien ou si peu ; pas le "Publimenteur" en tout cas, qui croit même intelligent et moderne d'offrir sa une à de tels charlatans.
En l'absence de toute réaction de Mr T. (je crois me souvenir qu'il est en voyage d'affaires à l'étranger cette semaine), j'ai demandé à Manu de modifier l'implantation du cast :

12 février 2014.

Le cast a ainsi été enfoncé de quelques centimètres dans le plan du bardage et la jupe de plomb a pu être raccourcie. Il me semble que c'est déjà nettement moins laid. J'en remercie Manu.

Je pense toutefois qu'il y a moyen de faire mieux encore, en enfonçant un peu plus le cast dans le plan du bardage, de manière à dissimuler au maximum toute cette mécanique. Je demande donc à Manu de remettre l'ouvrage sur le métier.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 12 Février 2014
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis - Aile "de la belle-mère" - Désultoirement vôtre ! - Géologie
0
Où il se vérifie que les leçons de géologie les plus rébarbatives servent parfois à quelque chose...

On vient en effet de me proposer un lot de dalles anciennes. Elles sont exactement de la bonne qualité de granit pour notre manoir favori, y compris ces inclusions noires que les professionnels nomment des crapauds.

12 février 2014.

12 février 2014.

Elles étaient précédemment la propriété d'un agriculteur de La Motte-Fouquet, commune située à une trentaine de kilomètres à l'Est de La Haute-Chapelle. Cet homme de goût les avait recouvertes d'une fine couche de ciment mais, las de constater que cette pellicule s'écaillait, il a eu la brillante idée de les remplacer par un carrelage moderne...

12 février 2014.

Inutile de vous dire que j'ai tout de suite topé. Elles me seront livrées après-demain.
La journée n'est donc pas totalement perdue !

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 13 Février 2014
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
1
Le "Publicateur" fait sa une, cette semaine, sur le projet de vente du manoir de la Saucerie, avec, en gros titre : "Une vente scandaleuse ?" et en phrase d'accroche : "Restauré en partie grâce à des fonds soulevés par une association, le Manoir de la Saucerie, à La Haute Chapelle, vient d'être mis en vente. Scandaleux ou pas ? A vous de juger."

Cet appel au peuple souverain est en réalité lancé par un individu en mal de notoriété depuis toujours et dont on a pu mesurer ici l'inefficacité et la propension à multiplier les leçons de morale, comme s'il avait encore la moindre légitimité en la matière. Le "président DESGRIPPES", puisque c'est ainsi que le canard l'appelle, voudrait passer pour un "historien local" mais n'est qu'un vulgaire plagiaire des cancans colportés depuis CAILLEBOTTE, qu'il se borne pour l'essentiel à assortir de photos dans l'ouvrage sur les manoirs du Domfrontais qu'il a signé sans faire état de son pompage manifeste. A propos de la Saucerie, le "président DESGRIPPES" se dit "amer" et met en avant son prétendu "boulot de fou", "des heures et des jours de travail qui ne sont aujourd'hui pas récompensés", "même pas pour couvrir (ses) frais de route". Il ose traiter les vendeurs de capitulards et affirme que "C'est en partie le travail de (son) association qui permet de mettre le bien en vente à un tel prix" (636 700 €, paraît-il).

Cette prétendue enquête de moralité qui occupe une pleine page du journal, avec 4 photos à l'appui, se poursuit par un interrogatoire du propriétaire actuel, réduit à reconnaître qu'il n'a pas les moyens de poursuivre la restauration d'une demeure qui était dans sa belle-famille depuis 1450. Le journal ose imprimer cet aveu en gras.

Ô combien je trouve méprisable l'attitude de Bernard DESGRIPPES, même si elle ne me surprend pas, venant de sa part ! Et combien je regrette qu'au lieu d'appeler le public à prononcer une condamnation, l'hebdomadaire en question ne lance pas une souscription pour sauver ce manoir, qui est de loin le plus pittoresque et le plus emblématique du Domfrontais !

Là, ils auraient pu être utiles, enfin.
Là, ils sont absents, hélas.

P.S. : Par l'intermédiaire de leur "page Facebook", je suis entré en discussion avec la rédaction de cet hebdomadaire pour définir ce que pourraient être les contours d'une telle souscription. Pour qu'il n'y ait pas d'ambiguïté sur ma démarche, je leur ai précisé que ni moi, ni personne de mon entourage, n'était candidat au rachat de la Saucerie ni n'en avait les moyens.

P.S. 2 (du 26 juin 2020 à 3 heures) : Relisant ce message, je trouve qu'il donne une image trop négative de Bernard DESGRIPPES, sympathique animateur de la vie culturelle locale et excellent connaisseur de l'histoire du bocage et de sa parlure.

Pour autant, je persiste à considérer qu'il avait franchement déconné en suscitant cet article de presse. La question de la transmission du patrimoine est - je crois être assez bien placé pour le dire - très délicate à beaucoup d'égards. Il est malvenu qu'interfèrent des personnes extérieures au dossier, qui ne peuvent donc pas en connaître toutes les dimensions.

Je persiste non moins à considérer que la valeur marchande d'un monument historique peut se révéler très inférieure à son prix de revient, c'est-à-dire au total, même non actualisé, des factures réglées pour sa restauration.

A ce titre, le prix initial de mise sur le marché de la Saucerie, en 2014 donc, m'était apparu excessif, même si je ne l'avais jamais exprimé aussi nettement qu'ici.

Au-delà de ces péripéties et épiphénomènes, je souhaite très sincèrement que le châtelet d'entrée de la Saucerie, symbole emblématique de la Normandie, ait la chance de retrouver bientôt un maître d'ouvrage sensible à son charme exceptionnel et soucieux de lui faire passer sur cette Terre encore quelques siècles de bonheur.
Malgré les chutes fréquentes de grêle, l'équipe de Roland BOUSSIN avance rapidement sur deux fronts, le terrasson Ouest...

13 février 2014.

13 février 2014, Régis.

... et le brisis Ouest où les casts ont été effacés autant que faire se pouvait, ce qui me satisfait tout à fait :

13 février 2014.

13 février 2014.

13 février 2014.

Voici d'ailleurs, pour Guy HEDOUIN qui me demandait comment on pouvait laver les verres des casts puisqu'ils s'ouvrent vers l'extérieur, l'indication qu'ils sont "autonettoyants" :

13 février 2014.

Enfin voici, pour montrer la rapidité de cette phase du chantier, deux photos de la façade Ouest, à deux moments de l'après-midi :

13 février 2014.

13 février 2014.

A noter que Benoît MAFFRE et Roland BOUSSIN ont pu s'entretenir longuement par téléphone pour décider de partis à adopter pour la fin des travaux de couverture. M. MAFFRE devrait tenir sa 1ère réunion de chantier vendredi dans 8 jours, ce qui me semble une excellente nouvelle.

On a compris que je ne suis pas fanatique du système de casts retenu pour éclairer le 1er étage des écuries. Je trouve toutefois que Manu fait du très bon travail pour limiter les dégâts. On voit ici les plombs disposés pour assurer l'étanchéité du dispositif et la façon de les dissimuler au maximum sous les ardoises...

14 février 2014.

Voici d'ailleurs Manu au travail, très concentré :

14 février 2014, Manu.

... et voici les outils qu'il utilise pour couper les ardoises :

14 février 2014.

Du côté des tuiles, la journée m'a semblé assez calme. N'est-ce pas, Hervé ? On veut garder la forme pour fêter dignement la Saint-Valentin ?

14 février 2014, Hervé.

Je tarde à écrire l'histoire architecturale de la Chaslerie parce que je ne sais comment exprimer les réserves méthodologiques que m'inspirent les travaux des érudits locaux auto-proclamés qui, depuis deux siècles, ont monopolisé le débat sur l'histoire du Domfrontais en général et de la Chaslerie en particulier.

Le premier dans le temps de ces prétendus hommes de savoir était CAILLEBOTTE. Ses opinions politiques l'inclinaient à prendre le parti des acheteurs de Biens Nationaux. Cet individu avait payé au poids le chartrier de la Chaslerie. Il a pu à loisir le maquiller ou en faire disparaître des pièces importantes. Plus tard, certaines ont été dispersées par un marchand de vieux papiers, DURAND de SAINT-FRONT. Pourtant la valeur scientifique des publications du premier ou des contributions du second n'a jamais, à ma connaissance, été discutée. Les suiveurs, jusqu'à nos jours, y compris hélas au sein de l'Université, ont trouvé plus commode et moins fatiguant de pomper ce que ces filtres orientés avaient laisser passer.

J'entends ramener, disons-le clairement, un peu d'honnêteté intellectuelle dans un débat si longtemps dévoyé.

(A suivre)