Désultoirement vôtre !

Pour Mr T. spécialement, alors que ses obligations professionnelles (et autres) le retiennent à Londres, voici une photo, prise hier, de "sa" fenêtre, après que les compagnons de Roland BOUSSIN ont enlevé la sablière :

23 octobre 2013,

Comme tu le vois, mon grand, on est obligés de placer le haut du linteau de pierre sous l'arête supérieure du mur qui portera la sablière, si l'on veut que cette fenêtre ne soit pas incongrue par rapport aux volumes de cette pièce de bois et de ce mur.

En d'autres termes, cette fenêtre perdra en hauteur, à ce titre, l'équivalent d'une vitre.

Vous connaissez bien, désormais, l'atmosphère de l'étage sous combles des écuries :

23 octobre 2013, à l'étage des écuries.

Je vais vous montrer aujourd'hui comment s'y prennent les compagnons de Roland BOUSSIN pour soulever la charpente de 15 cm, de manière à pouvoir dégager les tenons qui immobilisaient la charpente sur les blochets.

En fait, nous prenons le train en route, alors que la charpente a déjà été translatée comme ici, sous l'effet d'un vérin pneumatique. Notez que le vérin supporte un basting chargé de soulever une ferme ; parallèlement à ce basting, un tube métallique est en position de relayer l'effort :

23 octobre 2013, vérin, basting et tube métallique.

L'exercice va consister à dégager le vérin pour y substituer un support plus stable.

1ère étape, montrée ci-dessus, on agit sur un levier relié au vérin pour pousser encore plus haut le basting, donc la charpente.

2ème étape, on visse un dispositif sur le tube pour rallonger celui-ci :

23 octobre 2013, l'allongement du tube.

A ce stade, la charpente repose sur le tube métallique ainsi rallongé, et non plus sur le basting. On peut donc retirer le vérin qui ne supporte plus rien :

23 octobre 2013, le poids porte ici sur le tube métallique.

On place ensuite des pièces de bois sous le bastings jusqu'à la bonne hauteur (ici, quelques centimètres de plus que 15, puisque telle est la longueur des tenons qu'il s'agit de dégager des blochets) :

23 octobre 2013, le basting supporté par des pièces de bois ; à ce stade, le poids de la charpente repose sur le seul tube métallique.

Puis on s'assure de la verticalité du basting, après quoi on peut dévisser le dispositif du tube métallique, ce dernier n'ayant plus de rôle majeur à jouer :

23 octobre 2013, une installation qui pourra durer tant que les nouveaux sablières et blochets n'auront pas été installés.

Sur la vingtaine de blochets retirés de la charpente, il est probable que nous ne pourrons guère en sauver. La plupart sont trop abîmés. D'ailleurs, Roland BOUSSIN m'avait prévenu qu'ils seraient tous à changer. Pour vous en convaincre, en voici quelques échantillons...

23 octobre 2013.

23 octobre 2013.

23 octobre 2013.

... et voici celui dont le tenon de raccordement, pourri, a lâché :

23 octobre 2013.

Je suis étonné de la rapidité avec laquelle Igor et Jonathan restaurent le haut des murs des écuries. A ma demande, ils privilégient l'usage de la chaux. Déjà, les deux tiers du mur Est (celui sur cour) ont été traités :

26 octobre 2013, le Nord du mur Est des écuries.

Igor est venu me montrer comment ils procèdent :

26 octobre 2013, le Sud du mur Est des écuries.

Tout cela me convient.

Côté Ouest, nous décidons, avec l'accord téléphonique de Mr T., d'abaisser, de l'équivalent d'une hauteur de vitre, le linteau de la fameuse fenêtre (comprenez qu'à droite de la photo suivante, 3 pierres vont être enlevées - donc pierre rousse comprise - le linteau devant être surmonté d'un rang de pierres étroites dont le dessus sera aligné avec le dessous des sablières, c'est-à-dire la ligne marquée au crayon) :

26 octobre 2013,

Il reste encore du ménage à faire :

26 octobre 2013, le Nord du mur Ouest des écuries.

Surtout, à proximité de la tour Louis XIII, il est confirmé qu'il faudra couler de la chaux à la place de la terre qui avait servi à monter le mur mais qui a été lessivée, depuis des lustres, par les eaux de ruissellement, particulièrement abondantes à cet endroit :

26 octobre 2013, le Nord du mur Ouesst des écuries, à proximité de la tour Louis XIII.

Lors de ma visite ce matin, j'ai oublié de compter les blochets que l'équipe de Roland BOUSSIN a laissés sur place, sans doute parce qu'ils seront réutilisables. Il m'a semblé en voir 3. Il faudra que je lui demande. J'en profiterai pour savoir quels sont les commentaires de Dominique RONSSERAY, A.C.M.H., étant entendu que mon emploi du temps beaucoup trop tendu ne devrait pas me permettre d'assister, comme je le souhaiterais, aux prochains rendez-vous de chantier.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 27 Octobre 2013
Journal du chantier - Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Désultoirement vôtre !
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J'ai reçu hier de Mme Odile NEOUZE, déléguée des "Vieilles Maisons Françaises" pour l'Orne, le message suivant :

(début de citation)

Chers amis,

J'ai annoncé à la sortie du 31 août la possibilité d'être candidat à l'attribution de 2 prix
- le prix VMF régional décerné par les 3 départements bas-normands (10 000 €) qui sera remis en 2014 à un candidat de l'Orne (après 2013 la Manche et 2012 le Calvados)
- le prix VMF-Caisse d'Epargne Normandie (8 000 €)
voir document joint.

Je compte sur vous pour le faire savoir autour de vous ; vous pouvez même être candidat. Les candidatures devront être présentés si possible avant la fin de l'année et au plus tard le 15 février 2014.

Bien amicalement.

(fin de citation)

Le problème est que je n'ai guère le temps de constituer le dossier, d'autant que je ne sais pas de quoi il se compose (le "document joint" était oublié). Pourtant je pense que la Chaslerie serait un concurrent sérieux et qu'une reconnaissance officielle d'amateurs de qualité serait la bienvenue.

Je tâcherai de reprendre le dossier début janvier, après les partiels. Avec un peu de chance, je devrais alors avoir une semaine de battement.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 28 Octobre 2013
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Géologie
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Jeu des 7 erreurs

Je vous présente un trilobite ("Colpocoryphe rouaulti") - 60 x 40 mm - Il date de l'Ordovicien , donc a 445 millions d'années et provient d'Ille-et-Villaine.

Je vous indique que tels étaient les habitants de La Haute-Chapelle à l'époque où furent agglomérées les pierres de la Chaslerie.

Ne trouvez-vous pas une ressemblance avec certains actuels ?

Roland BOUSSIN avait omis de noter où se trouvait exactement la sablière gravée par Jean MIDY.

Grâce à mes photos de chantier...

19 octobre 2013, la sablière gravée avant son démontage.

... il m'est possible de lui répondre :

30 octobre 2013, les mêmes pierres.

On est ici au niveau de la 4ème ferme en partant de la tour Louis XIII, c'est-à-dire celle qui supportait la poutre qui a été retirée ou, si vous préférez, sensiblement à la verticale du chambranle gauche de la porte d'accès aux écuries.

Au niveau des sablières des écuries, Igor et Jonathan ont apporté la correction que je leur avais demandée :

30 octobre 2013, en haut du mur Est des écuries.

Je voulais éviter un joint trop épais.

Jonathan a démonté la fenêtre qui clochait sur le mur Ouest...

30 octobre 2013, le châssis enlevé, le haut des chambranles arasé.

... mais le linteau de pierre qu'il a sélectionné ne m'emballe pas :

30 octobre 2013, le linteau proposé par Jonathan.

J'en trouve la surface trop accidentée. On va tâcher de trouver mieux dans les parages.

La reprise des maçonneries du mur Ouest n'en est qu'à son début...

30 octobre 2013, en haut du mur Ouest des écuries.

... mais il semble d'ores et déjà acquis que Mr T. ne pourra que difficilement accéder ce week-end à sa chambre, au deuxième étage du colombier (il lui faudra commencer par gravir une échelle puis traverser le chantier du 1er étage des écuries ; autant dire que se rendre aux toilettes relèvera du parcours du combattant, surtout de nuit).

Quant à la future salle de bains, au Nord-Ouest des écuries, Igor a commencé à y faire le ménage :

30 octobre 2013, un mur lessivé à consolider et, peut-être à diminuer d'épaisseur pour élargir la future salle de bains.

Il faudra que Mr T. nous dise si on doit en profiter pour désépaissir son mur Ouest.

Enfin, j'observe que les compagnons de Roland BOUSSIN ont mis de côté la plupart des blochets démontés (on en voit un sur cette dernière photo). J'imagine qu'ils pourront toujours servir, par exemple, de pieds de lampes rustiques.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 31 Octobre 2013
Journal du chantier - Maçonnerie-carrelage - Logis - Références culturelles - Désultoirement vôtre !
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Mon escalier, mon escalier outragé, mon escalier brisé, mon escalier martyrisé, mais mon escalier restauré, restauré par Sébastien, restauré par l'entreprise BODIN avec le concours de la D.R.A.C., avec l'appui et le concours de la France tout entière, c'est-à-dire de la France qui se bat, c'est-à-dire de la seule France, de la vraie France, de la France éternelle !
(Applaudissements nourris)

Ainsi s'écrit (aussi) l'histoire...

J'ai fait confiance à Jonathan pour sélectionner une bonne pierre et voici ce qu'il a rapporté :

2 novembre 2013, le second linteau choisi par Jonathan.

Et en plus, vous n'apercevez sans doute pas les fissures qui affaiblissent nécessairement ce linteau.

Conclusions :
1 - J'interromps ce travail de maçonnerie.
2 - Jonathan va, dès lundi matin, passer ce linteau au kärcher puis repartir tailler les arbres au Tertre Linot car je n'ai pas d'autre travail à lui confier.
3 - Quant à la pierre, je tâcherai d'aller rapidement en chercher d'autres moi-même et on avisera.

Peut-on désépaissir le mur Ouest des écuries au niveau d'une future salle de bains, sachant que ce mur a 70 cm de largeur et que, dès qu'il pleut, il coule beaucoup d'eau de ruissellement sous l'angle entre les écuries et la tour Louis XIII, c'est-à-dire de l'autre côté de ce mur à cet endroit ?

2 novembre 2013, l'emplacement de la future salle de bains, entre la tour Louis XIII et la première ferme.

Roland BOUSSIN, interrogé, ne voit aucun inconvénient à ce qu'on grignote 20 cm, dès lors qu'on lui ménage un coin où poser son premier blochet.

Mr T. demande que les sablières intérieures débordent de 12 cm de l'aplomb du mur, de manière à lui permettre, le moment venu, d'isoler le mur thermiquement. Roland BOUSSIN répond qu'il a réservé des pièces de bois de 20 cm de large pour confectionner les sablières intérieures, de sorte que le souhait de Mr T. ne lui pose aucun problème.

Je m'enquiers de l'isolation sur les jouées des lucarnes, à proximité de certains blochets. Roland BOUSSIN me dit que cela ne pose pas non plus de problème ; il me scannera sa proposition.

Tout cela me convient, sous réserve de l'accord de Dominique RONSSERAY, A.C.M.H.

Dominique CHADAL
rédigé le Lundi 4 Novembre 2013
Administration - Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales
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Les risques du métier

En ces temps de contestation fiscale, je vous propose aujourd'hui deux documents relevés dans le registre paroissial de Notre-Dame-du-Touchet. Ils tendraient à prouver que le métier de collecteur d'impôts n'a jamais été de tout repos.

Je feuilletais virtuellement le registre lorsque, au détour d'une page, un acte de sépulture anormalement long a attiré mon attention. Jugez plutôt :

Source AD Manche 5Mi 2034 1776-1780.

"Le corps de François Fouqué originaire de la paroisse de chansegré près domfront, et demeurant en cette paroisse en qualité d'emploïé dans les fermes du roi, decedé d'hier chez jacques osouf cabartier où il s'était retiré avant hier après avoir été battu et maltraité de maniere qu'il est mort de ses blessures suivant qu'il la été atesté par les chirugiens Roïaux de Mortain suivant le proces verbal qu'ils en ont dressés aujourdhui en visitant le cadavre dudit Fouqué, qui est mort muni des sacrements de penitence et d'extrême onction, agé d'environ trente six ans ; a été inhumé dans le cimtiere de cette paroisse par la permission du sieur Loüis L'evêque conseiller du roi president en l'élection de Mortain, et du consentement de Me Mathurin boursin avocat au bailliage de Mortain representant le procureur du roi de laditte election, en datte de ce jour et signé L'eveque, boursin, lecomte greffier tous avec paraphe, par moy jean-baptiste Morel prêtre de la paroisse de Vilchien, aux présences de maîtres guillaume Mauduit curé de ce lieu, de pierre yver vicaire, René Millet prêtre et autres le quatriême jour de decembre janvier mil sept cent soixante dix neuf. Un mot bifé nul."

Suivent les signatures. J'ai respecté l'orthographe du texte, ainsi que l'usage ou l'absence de majuscules, même si je déconseille fortement à mes petits-enfants d'en faire autant !

La paroisse citée au début de l'acte de sépulture est vraisemblablement celle de Champsecret, à une dizaine de kilomètres à l'est de Domfront, dans l'actuel département de l'Orne, et à une quarantaine de kilomètres donc de Notre-Dame-du-Touchet.

Le permis d'inhumer est inséré entre les pages du registre paroissial :

Source AD Manche 5Mi 2034 1776-1780.

"Nous Loüis Levesque Conseiller du Roy President en Lélection de Mortain Et Subdelegué De la Commission Royale Et Souveraine Etablie A Caën Vu ce qui Resulte De notre procès verbal Ensemble de Celui Des Sieurs thomas henry Leverdays Et charles robbes Chirurgïens de la ville De Mortain amenés Exprès avec nous, Du Consentement De Me Mathurin boursin avocat au Bailliage de Mortain faisant les fonctions De procureur Du Roy pour Labsence De Lordinaire, nous avons Permis au Sieur Mauduit curé de la paroisse de Touchet De faire L Inhumation du Cadavre de françois fouqué Les ceremonies De Leglise observées Donné au Bourg de Touchet ce quatre Janvier mil sept cent soixante dix neuf"

Même remarque pour l'orthographe, même si le sieur Levesque est nettement moins avare en termes de majuscules.

Mais revenons au fond de l'affaire. Comme vous le savez peut-être, les Fermes du roi étaient des compagnies financières chargées de la levée de l'impôt, moyennant le versement d'un montant forfaitaire au Trésor : un tel système avait toutes les chances d'engendrer des abus et, quelles que fussent les circonstances, les collecteurs de l'impôt n'étaient certainement pas accueillis à bras ouverts. J'ajouterai qu'en 1779, nous sommes à dix ans du grand bouleversement qui va secouer tout le royaume et mettre fin à l'Ancien Régime.

Bref, les Normands, comme les Bretons, ne sont pas gens à se laisser plumer facilement. Le malheureux Fouqué l'a appris à ses dépens !

N.D.L.R. : "Grand L petit e Grand V", comme disait l'autre !

J'ai voulu régler ce matin cette histoire de linteau qui me turlupinait.

D'abord, j'ai constaté qu'une fois passé au kärcher, il avait moins mauvaise mine :

6 novembre 2013, le linteau récuré.

Je me suis ensuite rendu à l'endroit où je savais pouvoir en trouver d'autres. Mais je n'en ai vu aucun qui, du fait de sa couleur ou de sa surface, soit manifestement plus approprié.

Restait à traiter la question des trois fissures mal placées :

6 novembre 2013, les deux fissures de droite.

6 novembre 2013, la fissure du centre.

A ce sujet, Sébastien a pu m'apporter tous apaisements. Il confirme que ces fissures sont superficielles. Surtout, il va enseigner à Jonathan comment les combler avec de la chaux teintée ; il paraît que la réparation sera très solide.

Donc basta, on garde ce linteau et on poursuit !

Dans les écuries, Igor a terminé (à une pierre près) de remonter la portion de mur désépaissie à l'angle Nord-Ouest :

9 novembre 2013, le coin d'Igor.

Dans l'angle Sud-Ouest du même bâtiment, on aura bientôt oublié le fil à retordre que nous a donné le linteau :

9 novembre 2013, le coin de Jonathan.

Entre les deux, la restauration du haut des murs est achevée sur la moitié exactement de la longueur :

9 novembre 2013, le haut de la moitié Nord du mur Ouest.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 9 Novembre 2013
Journal du chantier - Vie des associations - Les amis de la Chaslerie - Désultoirement vôtre !
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Le 26 octobre dernier, j'ai reçu de la déléguée pour l'Orne des V.M.F. un courriel incomplet, m'invitant en quelque sorte à participer à deux concours, ainsi que j'en avais rendu compte ici.

Ma première tentative pour obtenir communication du règlement de ces concours étant restée sans suite de la part de cette correspondante, je viens de lui écrire de nouveau.

(début de citation)

Madame,

Un ami m'a communiqué le règlement du concours VMF-Caisses d'Epargne.

Puis-je vous redemander celui du concours VMF régional ?

Je vous prie d'agréer, Madame, l'expression de mes respectueux hommages.

Pierre-Paul FOURCADE
06 12 96 01 34

From: penadomf@msn.com
To: oneouze@yahoo.fr
Subject: RE: Tr : attribution de prix
Date: Sat, 26 Oct 2013 13:22:23 +0200

Chère Madame,

J'ai l'esprit d'escalier donc je vous recontacte après mon coup de fil de ce matin.
Je n'arrive pas à trouver le lien annoncé dans votre courriel.
Par ailleurs, y a-t-il un règlement pour ces prix et des indications sur la façon de constituer éventuellement un dossier, voire des exemples ?

Je vous prie d'agréer, Chère Madame, l'expression de mes respectueux hommages.

Pierre-Paul FOURCADE

(fin de citation)

On va bien voir si j'obtiens plus de réponse en dupliquant ces courriels sur notre site favori.

Le fait est que la déléguée V.M.F. de l'Orne était déjà restée silencieuse, étrangement à mes yeux (ou plutôt à mes oreilles), lorsque j'avais tenté, l'an dernier, d'appeler son attention sur le projet de "Schéma régional éolien". Au cours de la visite, fin août de cette année, de divers manoirs de la Manche organisée par la déléguée V.M.F. de ce département limitrophe, Mme NEOUZE m'avait abordé pour me reprocher de ne plus faire transiter ma cotisation aux V.M.F. par elle mais par sa collègue. Il est vrai que je trouve Sinikka GALLOIS toujours parfaite dans son rôle, c'est-à-dire réactive, compétente et efficace ; et, mieux encore, indépendante d'esprits rancis (je vise très précisément un quarteron du secteur), ce qui me la rend particulièrement sympathique.
La prochaine visite de chantier organisée par Dominique RONSSERAY à la Chaslerie devrait avoir lieu le 20 novembre prochain de 10 à 12 heures, en présence de Roland BOUSSIN et d'Igor. Malheureusement, je ne pourrai en être en raison de la vague de contrôles continus que j'affronte, comme mes petits camarades de la fac de Caen. J'ai donc demandé à Mr T. de me remplacer ; manque de chance, il sera à Londres ce mercredi-là mais pourrait se libérer pour le samedi 23.
A suivre...

Si j'ai bien compris, les compagnons de Roland BOUSSIN devraient réapparaître lundi prochain sur le chantier, afin de poser les nouvelles sablières.

D'ici là, les deux derniers mètres qui restent à traiter par Igor et Jonathan auront reçu leur couronnement de chaux :

13 novembre 2013, à l'angle Sud-Ouest des écuries.

Je demande cependant à Jonathan d'attendre les recommandations de Dominique RONSSERAY et de Roland BOUSSIN avant de terminer la maçonnerie intérieure du linteau de la fameuse fenêtre.

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Bonjour,

J'ai le plaisir de vous adresser en pièce jointe le communiqué de presse annonçant la première intervention proposée dans le cadre du cycle des conférences d'histoire locale du Pays d'art et d'histoire du Clos du Cotentin, consacré cette année à "Gilles de Gouberville et l'art de la Renaissance en Cotentin".

Ci-joints également le programme complet du cycle d'interventions et une illustration.

Me tenant à votre disposition pour tout complément éventuel d'information, je vous prie de recevoir l'assurance de mes salutations dévouées,

L'animateur de l'architecture et du patrimoine,
J. Deshayes

Pays d'art et d'histoire du Clos du Cotentin
21, rue du Grand-moulin, 50 700 Valognes,
tel. 02 33 95 01 26
pah.clos.cotentin@wanadoo.fr

N.D.L.R. : Je serais volontiers venu si mon emploi du temps me le permettait. J'affiche néanmoins afin que nul n'en ignore !