Désultoirement vôtre !

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 8 Mars 2013
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Afin de ne pas risquer d'en perdre la trace, j'ai demandé à Thomas TALBOT d'intégrer à mon compte "Youtube" (accessible en y demandant penadomf) les deux autres reportages télévisés tournés à la Chaslerie :
- celui du 15 juillet 2010 au 20 heures de TF1,
- et celui du 13 septembre 2012 au 19/20 de FR3 Basse-Normandie.

P.S. (à 21 heures) : Voici qui est fait. Merci Tom !

A 200 mètres de chez moi à Paris, j'ai trouvé hier, en vitrine du plus proche libraire, "Les Mémoires de Michelot MOULIN : des guerres de Normandie aux Cents-Jours". J'en ai quasiment terminé la lecture. J'ai trouvé cet ouvrage passionnant. Ce Michelot MOULIN était, à l'évidence, un homme de grande qualité, intelligent, droit et courageux. Ses mémoires me transportent aux époques que nous étudions, au cours de ce second semestre, en "Histoire des institutions". En outre, ces récits de la chouannerie normande ont pour théâtre des endroits que je parcours souvent, d'Alençon à Pontorson, de Lessay à Montpinchon, Ger ou Torchamp à la recherche, non plus de "Patauds" (les "Bleus") mais, plus paisiblement, d'artisans.

Relatant un combat contre les "Patauds" de Domfront, emmenés par le général MIGNOTTE, Michelot écrit : "Ainsi, l'on vit 130 Royalistes faire face pendant assez longtemps à plus de 3000 Républicains. Enfin, accablé par le nombre et commençant à manquer de munitions, M. de Frotté effectua sa retraite avec un succès complet. Nous n'eûmes qu'un homme de tué et neuf ou dix blessés pendant tout ce combat, l'un des plus glorieux pour l'armée royale de Basse-Normandie". Suit un commentaire qui justifie que je cite ce passage : "Nous dûmes en partie notre salut à la connaissance parfaite que nous avions de tous les chemins, les issues, les faux-fuyans de la forêt de Saint-Jean, et à la hauteur des fossés couverts d'épais feuillages qui enclosent toutes les pièces de terre de cette partie du bocage, comme autant de palissades. Ce ne fut pas la seule fois que ces labyrinthes de chemins et de voies, qui se croisent de tous côtés dans la forêt et les environs, nous offrirent une dernière ressource en favorisant une retraite précipitée". Mais où sont passés ces chemins creux et ces talus ? Deux siècles plus tard, Michelot reconnaîtrait-il les lieux de ses exploits ?

Je prends connaissance d'un traquenard tendu au château de Torchamp par une Mme DOISNEL, pourtant épouse d'un émigré. Je découvre qu'à Saint-Mars-d'Egrenne, un chef chouan s'appelait GUESDON ou encore que le manoir de la Bérardière, à Saint-Bômer, a servi de havre aux Royalistes. Enfin, je retiens que les "Bleus" avaient des garnisons à Domfront et Lonlay, de sorte que les acheteurs de Biens Nationaux du secteur, notamment le rusé GOUPIL à la Chaslerie, devaient pouvoir y dormir sur leurs deux oreilles...
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 12 Mars 2013
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
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Je viens de terminer la lecture des mémoires de Michelot MOULIN : ouvrage passionnant de bout en bout. Je reprends celle, interrompue, des "Mathématiques du vivant" de Ian STEWART dont les 150 premières pages au moins ne m'ont pas appris grand chose mais dont la suite est beaucoup plus intéressante.

Igor EREMIA
rédigé le Mardi 12 Mars 2013
Journal du chantier - Désultoirement vôtre ! - Météo
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bonjour!
Je pensais que vous voudrez voir ces photos. Les photos ont été prises ce matin.

N.D.L.R. : Merci Igor. Il vaut mieux pour toi rester quelques jours encore bien au chaud auprès de Gina !

Christophe de BALORRE
rédigé le Mercredi 13 Mars 2013
Archives, histoire, documentation - Annonces - Dans l'Orne - Désultoirement vôtre !
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Connaissez-vous le « manoir de la Bonnerie » à Essay ?

Sophie de Mazenod, habitante de Boitron, vient de rédiger pour "l’essort de la gendarmerie" , N° 455 de mars 2013, un article très bien documenté sur le manoir de la Bonnerie appartenant à Sabine Dunais à Essay, manoir également connu sous le nom de … "gendarmerie".

Je vous laisse le plaisir d’en découvrir toute la saveur dans le lien ci dessous :

Le manoir de la Bonnerie

Michel BERA
rédigé le Jeudi 14 Mars 2013
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation
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Le choix du prénom du Pape François est tout sauf hasardeux, en ces temps d'inégalités de richesse devenues statistiquement extrêmes. La rencontre entre St François d'Assise et le sultan, en pleine croisade, est par ailleurs tout à fait extraordinaire.

N.D.L.R. : "Habemus papam" !
Voici en effet l'épisode avec le sultan Al-Malik al-Kâmil Nâsîr ad-Dîn (neveu d'Al-Malik an-Nâsir Salâh ad-Dîn Yûsuf, plus connu sous le nom de Saladin, que combattit un visiteur de Domfront dont la mère était châtelaine, à savoir Richard Cœur-de-Lion, ce qui démontre que Domfront est le centre du monde, CQFD)...

Cornelis Claesz van Wieringen : Navire brisant la chaîne de Damiette lors la cinquième croisade.

Dominique CHADAL
rédigé le Lundi 18 Mars 2013
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales
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Comme j'ai un penchant particulier pour cette paroisse de Notre-Dame-du-Touchet qui était celle de mes ancêtres du côté paternel…

N.D.L.R. : Une modeste paroisse, comme tu y vas ! Sache qu'il y a là un vitrail magnifique...

L'arbre de Jessé, vitrail du XVIè siècle de l'église de Notre-Dame-du-Touchet.

... et qu'une large partie de cette église est maçonnée "en grand appareil". Quant aux burettes qui te préoccupent, pourquoi n'interrogerais-tu pas le père de Jean LEMARIE qui fut, avant son fils, un très estimé antiquaire-brocanteur dans cette commune ?

J'ai reçu hier un courrier du S.T.A.P. d'Alençon me notifiant le "délai d'instruction de l'autorisation de travaux sur immeuble classé que (j'ai) déposée le 11 mars 2013".

Il est de six mois, donc court (si l'on peut dire) jusqu'au 11 septembre 2013. L'on m'avise en outre que "Cette date ne sera définitive qu'à l'issue du délai d'un mois dont l'administration dispose pour vérifier le caractère complet du dossier, si aucune pièce manquante n'est demandée dans ce délai" (sic).

Courriel adressé ce matin à M. Roger GRIPPON, maire de La Haute-Chapelle :

(début de citation)

Monsieur le Maire,

Mon terrassier, Philippe JARRY, me dit qu'il est passé vous voir ce matin pour évoquer "l"attestation de conformité du projet d'installation d'assainissement non collectif" que vous m'avez réclamée par courrier du 20 mars dernier où vous m'annonciez, par voie de conséquence, un très sensible allongement probable des délais d'instruction de la demande de permis de construire que j'ai déposée le 1er mars dernier à votre mairie.

D'après ce que Philippe me rapporte, le document que vous me réclamez ainsi :
- existe,
- a été signé par vous à l'époque des travaux,
- est disponible à la mairie de La Haute-Chapelle où je suis invité à venir le récupérer.

En clair, il m'est demandé ni plus ni moins que de rouler 3 heures pour aller mettre, sur votre bureau et sur la pile du courrier que vous avez reçu un document qui s'y trouve déjà, mais sur la pile du courrier au départ.

J'espère que ce n'est pas abuser de votre sollicitude que de vous prier de le faire vous-même.

Je profite de ce message pour vous prier également de ne pas faire traîner l'envoi du courriel demandé par le service de l'Equipement de Flers.

Je ne voudrais pas qu'avec toutes ces fantaisies, l'instruction du dossier de permis de construire en cause prenne davantage de retard. Je vous prie donc de faire le nécessaire dans les meilleurs délais et vous serais reconnaissant de bien vouloir me confirmer que tel est bien le cas.

Cordialement,

PPF

(fin de citation)

Voici le texte du courriel que j'ai reçu ce soir de Mme Diane de RUGY, directrice régionale adjointe des affaires culturelles de Basse-Normandie :

(début de citation)

Monsieur,

Suite à votre demande, je vous confirme que le solde de la subvention va vous être transmis prochainement suite à l'accord donné dernièrement sur ce point par le directeur régional des affaires culturelles.

J'attire votre attention sur le fait que le mode de réalisation des travaux, en régie directe, ne facilite pas le contrôle devant être exercé par des services de l'Etat et que ce dispositif nécessitera des améliorations pour les opérations ultérieures.

En tout état de cause, et notamment pour les travaux nécessitant une haute technicité, la maîtrise d'œuvre qualifiée, et plus particulièrement ses missions régies par les articles R.621-32 à 36 du code du patrimoine, devra être renforcée pour assurer le contrôle effectif qui lui incombe en propre.

Je vous invite à prendre l'attache de la conservation régionale des monuments historiques à ce sujet, pour les prochains dossiers que vous souhaiterez présenter.

Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'expression de ma considération distinguée.

(fin de citation)

Et voici le texte du courriel que j'ai adressé en réponse, dès ce soir, à Mme Diane de RUGY :

(début de citation)

Madame,

Merci beaucoup pour votre réponse. Je l'ai étudiée en me plongeant dans le code du patrimoine, notamment les articles que vous citez, bien que je n'aie jamais été très chanceux, semble-t-il, à ce stade dans mes divers essais de coopération avec des architectes (aussi bien pour mes travaux dans l'Orne qu'à Paris) : je les trouve toujours trop coûteux au regard de la réalité et de la qualité de leur intervention, donc serais volontiers enclin à m'en passer aussi souvent que je le puis.

Pour autant, je suis évidemment d'accord avec l'esprit de votre réponse, dont le caractère positif et de bon sens ne m'échappe nullement.

Dans le même esprit, je voudrais ajouter trois remarques :
- j'avais présenté, il y a quelques semaines, des propositions concrètes, que je crois pertinentes et faciles à mettre en œuvre, pour que des travaux significatifs puissent continuer à être confiés à ma régie, dont j'ai tout lieu d'être satisfait, sans que votre nécessaire contrôle se transforme pour vous en casse-tête chinois ; je pense que ces propositions mériteront, le moment venu, qu'on les examine posément ;
- sur le fond, les opportunités de mettre en œuvre de si bonnes idées vont peut-être se tarir à la Chaslerie, du moins pour ce qui me concerne personnellement ; en effet, mes moyens financiers sont loin d'être illimités et je dois enfin songer à donner, dans les prochaines années, la priorité aux travaux intérieurs, faute de quoi je risquerais d'ailleurs, en l'état du chantier, une émeute familiale ; autrement dit, la restauration du mur d'escarpe des douves qui serait une excellente occasion de mettre ces idées en pratique n'est peut-être pas pour tout de suite, même si je ne renonce pas à ce projet, incontestablement pharaonique à mon échelle mais qui couronnerait magistralement la restauration de cet ensemble manorial si attachant ;
- je "porte" à bout de bras le chantier de la Chaslerie depuis 22 ans déjà ; beaucoup a été fait pour remettre le navire à flot, ce qui ne fut pas toujours aisé ; il est temps pour moi de passer le relais à la jeune classe ; à cet égard, je suis très heureux que mon fils aîné paraisse désireux et capable de s'investir dans la restauration de l'aile dite "de la belle-mère" pour laquelle un aménagement intérieur sensé a pu être défini (ce qui était loin d'être évident au départ et que je n'aurais su surmonter tout seul) ; à cette occasion, j'initie ce jeune homme aux peines et joies, grandeurs et servitudes de la restauration des vieilles pierres ; il apprend vite ; ce pourrait être bientôt, plutôt que moi, conscient d'être vieillissant, votre interlocuteur à la Chaslerie.

Je vous prie d'agréer, Madame, l'expression de mes respectueuses salutations.

(fin de citation)

Voici ce que j'appelle un dialogue constructif.

La relation avec la D.R.A.C. repart sur de bonnes bases. Voici en effet ce que m'écrit ce matin Mme de RUGY :

(début de citation)

Monsieur,

Je vous remercie pour ces éléments et vous invite à reprendre contact avec la conservation régionale des monuments historiques, afin qu'un dialogue fructueux puisse s'établir rapidement, en amont des travaux à venir.
Nous avons parfaitement conscience des contraintes liées à l'entretien du patrimoine classé. Je puis vous assurer que le rôle des représentants de l'Etat, chargés du contrôle scientifique et technique pour l'ensemble du patrimoine de la région , est également loin d'être aisé.
N'hésitez pas à associer votre fils aux rendez-vous à venir, il y sera bien entendu le bienvenu.

Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'expression de ma considération distinguée.

(fin de citation)

Et voici ma réponse :

(début de citation)

Madame,

Je n'ai jamais eu le moindre doute sur le fait que la tâche des services de l'Etat est loin d'être facile, surtout en ces temps de difficultés budgétaires.

Je vous remercie de votre offre. Je n'hésiterai pas à y répondre favorablement dès qu'un projet supplémentaire utile commencera à mûrir. Dans l'immédiat, nous avons de quoi nous occuper un moment à la Chaslerie avec les deux chantiers subventionnés que vous savez, celui de la cage d'escalier du logis qui est en cours, et celui de la restauration de la charpente et de la couverture des écuries qui est imminent.

A ce jour, je pense que la restauration de la charpente et de la couverture du colombier pourrait être le prochain dossier nous donnant l'occasion de coopérer. Ce dossier a déjà fait l'objet d'une étude préalable. C'est mon fils aîné qui en sera le maître d'ouvrage dès que je lui aurai vendu, par le biais d'une S.C.I. familiale, la nue-propriété de l'aile "de la belle-mère" (c'est-à-dire des écuries et du colombier), ce qui devrait intervenir dès que la restauration de la couverture et de la charpente des écuries sera achevée, c'est-à-dire, je l'espère, avant le fin de 2013. C'est alors que nous nous permettrons de reprendre contact avec la conservation régionale des monuments historiques afin de bien caler ce dossier (et de solliciter des subventions de l'Etat et du département de l'Orne).

Je vous prie d'agréer, Madame, l'expression de mes respectueuses salutations.

(fin de citation)

La mairie de La Haute-Chapelle vient de me faire savoir qu'il n'y a pas de problème pour qu'ils envoient au service de l'Equipement de Flers le courriel suggéré.

Pour ce qui concerne l'installation d'assainissement non collectif, la compétence relève désormais de la communauté de communes du Domfrontais. Il faut donc, paraît-il, que je remplisse pour ce nouvel intervenant un document supplémentaire de 5 pages, intitulé "Formulaire de contrôle de conception & d'implantation des ouvrages d'assainissement non collectif", auquel je devrais joindre :
- un plan de situation,
- un plan cadastral de la (ou des) parcelle(s),
- une étude de filière comportant une description de la nature du sol,
- un plan de masse de l'habitation et de sa future installation d'assainissement,
- un plan en coupe de la filière d'assainissement,
- pour les dispositifs avec rejet, une autorisation de rejet des effluents traités.

Il m'est aussi demandé de m'engager "à ne réaliser mon installation qu'après réception de l'avis favorable du SPANC et conformément au projet accepté", plus trois autres engagements dont je vous fais grâce, plus celui de "m'acquitter de la redevance relative au contrôle de conception et d'implantation" qui est, paraît-il, de 49 €.

J'imagine que le fait que les travaux d'assainissement en question sont achevés depuis cinq ans ne manquera pas de simplifier cet intéressant dossier. Je tâcherai de m'occuper de ce bazar demain.

P.S. : SPANC = "Service Public d'Assainissement Non Collectif" comme personne ne l'ignore...

Les informations données avant-hier par la secrétaire de mairie de La Haute-Chapelle (sur la nécessité de remplir un nouveau formulaire) lui sont apparues inexactes. Elle m'a dit hier que je devrais contacter directement le "SPANC" de la communauté de communes du Domfrontais et que je ferais ainsi l'économie de 49 €.

Au SPANC, mon interlocutrice, Mme LEROY (à ma connaissanvce sans lien avec notre star favorite), me donne ce matin la marche à suivre. J'économise en effet 49 € au titre de la formalité dorénavant estimée inutile mais j'en devrai 54 au titre d'une nouvelle que l'on m'annonce et que je dois réclamer par écrit. Voici donc ma prose en ce sens :

(début de citation)

Monsieur le président,

J'ai déposé en mairie de La Haute Chapelle, le 1er mars dernier, un dossier de demande de permis de construire n° PC 061 201 13 F0183 pour l'aménagement de l'aile Ouest du manoir de la Chaslerie.

Dans le cadre de l'instruction de ce dossier, on me réclame « L'attestation de conformité du projet d'installation d'assainissement non collectif ». En fait, ce projet, tel qu'il avait été défini par EF Etudes en 2007 (dossier n° 8443 suivi par M. BADET), a été réalisé à l'époque par Philippe JARRY, terrassier à Domfront, et avait donné lieu, une fois achevé, à un certificat de conformité signé par le maire de La Haute Chapelle. Je précise que le projet en question avait été conçu largement, notamment pour couvrir la tranche de travaux d'aménagement que je m'apprête à réaliser sur l'aile Ouest.

Toutefois, afin de me permettre de compléter mon dernier dossier dans les meilleurs délais, je vous prie de bien vouloir réaliser le contrôle de mon installation afin de me communiquer un document confirmant que l'installation en place ne pose aucun problème en termes de réglementation, y compris dans l'hypothèse de la réalisation des travaux d'aménagement envisagés sur l'aile Ouest.

Mme LEROY m'ayant précisé qu'un contrôleur serait mandaté par vous, je vous prie de m'indiquer quand il passerait. J'aurais besoin que ce soit dans les meilleurs délais, étant signalé qu'il y a toujours quelqu'un sur place en semaine aux heures de travail.

Je vous prie d'agréer, Monsieur le président, l'expression de ma considération distinguée.

(fin de citation)

J'espère simplement qu'on ne m'apprendra pas dans quelques jours que je devrais m'adresser à l'étage suivant du mille-feuilles administratif...

... car l'indigestion me guette vraiment et je voudrais éviter de saturer rapidement les capacités d'absorption d'un si chouette système d'assainissement !