(Début de citation)
De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 28 novembre 2024 10:02
À : Guillaume BEESAU
Objet : RE: Prix de revient
Cher Guillaume,
Vous êtes trop modeste ou trop discret.
Du moins de mon point de vue, à moi qui ne le suis point. Par choix de mode d'existence, il est vrai.
Amicalement,
PPF
_____________________________________________________________________________
De : Guillaume BESSAU
Envoyé : jeudi 28 novembre 2024 10:00
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Re: Prix de revient
Cher Pierre-Paul,
je me garderai bien de soulever quelque débat que ce soit.
Amicalement.
Guillaume
_____________________________________________________________________________
De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : jeudi 28 novembre 2024 09:11
À : Guillaume BEESAU
Objet : Re: Prix de revient
Cher Guillaume,
Votre questionnement est le bienvenu.
Comme vous le savez, le site favori est un média d'une grande transparence.
De plus, à titre personnel, je répugne à toute hypocrisie dans le domaine économique, donc ne considère pas que le "bénéfice" soit en quoi que ce soit un terme honteux ni que l'évoquer ou le laisser entendre soit inconvenant.
De plus, dans le cas d'espèce, ce "bénéfice" n'aura été possible, s'il existe, c'est-à-dire si les ventes suivent, que parce que, d'une part, j'ai payé de ma poche l'"étude Paquin", 55 000 euros ou si l'on préfère, 30 000 après subventions (quand elles seront réglées) ; d'autre part, parce que, à leur habitude, les bénévoles très méritants de l'association n'ont pas ménagé leurs efforts pour donner à cet ouvrage la forme et la qualité que l'on sait. On peut même ajouter un troisième argument : si "bénéfice" il y a sur cette action, celui-ci serait vite englouti dans le compte d'exploitation d'une association connue tant pour ses "spectacles de qualité mais à bas coût pour le public", plus généralement pour son intérêt général, que pour le caractère structurellement déficitaire de ses spectacles, ce dernier parfaitement connu et documenté ; enfin par le fait que cette association est statutairement à la recherche de financements pour des travaux d'un montant très important, sa situation financière l'ayant empêchée à ce jour de contribuer à quoi que ce soit en la matière.
Mais, me direz-vous, à partir du moment où j'ai consenti tous les efforts personnels ou familiaux que vous savez pour fonder cette association et lui permettre d'exister depuis son origine, il serait normal et légitime que je la laisse déterminer à quel moment et par quel canal elle souhaite que ce "bénéfice " soit rendu public : par le site favori ou bien lors de sa prochaine A.G. ou bien jamais ?
Quant à moi, je me bornerai à ce stade à vous prier de prendre l'attache de ladite association pour inviter son bureau à débattre de cet intéressant sujet et à bien vouloir faire part de ses desiderata au propriétaire du site favori, à savoir l'association "Les amis de la Chaslerie" à qui je puis me charger de transmettre votre réponse si vous le souhaitez.
Amicalement,
PPF
Envoyé de mon mobile
Envoyé à partir de Outlook pour Android
_________________________________________________________________________________
From: Guillaume BEESAU
Sent: Thursday, November 28, 2024 8:34:50 AM
To: Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Subject: Prix de revient
Cher Pierre-Paul,
je me demande s'il est souhaitable de rendre public le prix de revient de l'ouvrage. Il me semble que, dans le commerce, c'est le genre d'information que l'on cache soigneusement, pour ne pas donner loisir au consommateur de s'étonner du bénéfice réalisé, ou d'une augmentation de prix...
Amicalement à vous.
Guillaume
(Fin de citation)
Désultoirement vôtre !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 28 Novembre 2024
Vie du site - Aspects juridiques - Désultoirement vôtre ! - Economie - Anecdotes
rédigé le Jeudi 28 Novembre 2024
Vie du site - Aspects juridiques - Désultoirement vôtre ! - Economie - Anecdotes
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 28 Novembre 2024
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Economie
rédigé le Jeudi 28 Novembre 2024
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Economie
Reçu un long appel téléphonique d'un docteur en histoire économique, M. Alain KASPEREIT (fils de l'ancien ministre). Il souhaitait m'interroger sur certains événements financiers de la période 1978 - 1992, notamment sur la part que j'ai prise à la réforme des marchés de capitaux en France.
Nous avons évoqué la "loi MONORY" sur la détaxation de l'épargne investie en actions (dont j'avais été l'homme de base), l'émission d'"obligations renouvelables du Trésor" (que j'avais rendue possible et même défendue, à tort, par voie de presse), le démembrement des emprunts d'Etat (que, face à Edouard STERN, pour sa propre banque, et Jean-Luc LEPINE, pour MM. WORMS, j'avais contribué à corseter étroitement sur le plan fiscal en liaison et bonne intelligence avec Patrice CAHART et Jean LEMIERRE), la politique d'émission d'emprunts d'Etat "à conversions diverses" (dont je m'étais fait la spécialité mais qui était en voie d'essoufflement), la réforme du marché monétaire (dont je fus le très actif rédacteur du premier "livre blanc" mais dont je fus dépossédé de fait, si l'on peut dire), enfin la mise au point des obligations assimilables du Trésor qui, pour des raisons à mes yeux évidentes, constituait le cœur des préoccupations de mon interlocuteur du jour.
J'ai parlé, en termes admiratifs, des pur-sang avec qui j'ai eu la très grande chance de collaborer en nos débuts de carrière respectifs (et relatifs), principalement Michel PEBEREAU (à mes yeux, "le petit Jésus en culotte de velours" ou, si l'on préfère, "une main de fer dans un gant de velours") et Philippe JAFFRE (une "main de fer dans un gant de fer" ou, d'après un jeune collègue, "Terminator") ainsi que, dans une moindre mesure, Jean-Charles NAOURI et Claude RUBINOWICZ. J'ai dit mon respect pour le classicisme parfait de Jacques de LAROSIERE. En sens inverse, je me suis montré très négatif à propos du caractère ou des œuvres de Daniel LEBEGUE, voire d'un ou deux autres anciens directeurs du Trésor, même l'un des plus illustres, hélas.
J'ai suggéré à titre anecdotique à mon interlocuteur de contacter Eric COELENBIER qui m'entraîna dans l'aventure de la création d'une banque anglaise à Paris, ou Sylvain de FORGES qui fut mon adjoint, mais surtout, à propos des fameuses "O.A.T.", Michel THEROND, alors mon supérieur hiérarchique immédiat. Cet homme curieux à plusieurs titres joua un rôle moteur, même si méconnu, dans ce dossier, moi freinant autant que je le pouvais (pour des raisons, à dire vrai, principalement formelles), mais sans succès.
Lors des grandes réformes de la période, j'étais le plus souvent le chef du bureau du mouvement des fonds à la direction du Trésor. Un bureau généralement considéré comme particulièrement noble. Et un chef de bureau vraisemblablement plus réputé pour sa créativité financière que pour son obéissance hiérarchique assurée quand ses chefs lui paraissaient médiocres, ce qui a pu arriver en diverses occasions, là ou ailleurs, tout au long de ma carrière.
Au moment où notre conversation téléphonique prenait fin, j'ai confié que je n'éprouve rétrospectivement aucune fierté d'avoir ainsi contribué activement à inventer et fournir à des acteurs irresponsables les clés d'un endettement public incontrôlé. Au passage, j'avais évoqué mon expérience des structures publiques de défaisance qui aurait suffi, à elle seule, à fonder mon rejet définitif d'un monde dont il m'a été donné de faire partie jusqu'à mes révocations de 1998.
P.S. (du 29 novembre 2024 à 21 heures 30) : Je retire de cette conversation deux impressions principales :
- d'une part mon interlocuteur d'hier ne s'intéressait en fait qu'à la genèse des "O.A.T." et voulait, plus particulièrement, trouver qui aurait eu l'idée de départ ; apparemment, Christian NOYER lui avait répondu ne pas s'en souvenir ; d'autres avaient mis en avant leur participation (avec réunions le dimanche qui semblent les avoir marqués) à une étude dont les avait chargés Philippe JAFFRE lorsqu'il fut question de ranimer le "fonds de soutien des rentes" ; quelqu'un avait dû lui citer Eric COELENBIER, ce qui me semble excessif ; pour ma part, j'ai répondu en substance que la pratique des adjudications de titres d'Etat était déjà ancienne aux Etats-Unis, que nous le savions et que démarquer les techniques américaines était à la mode dans le secteur de la finance, notamment du temps où BEREGOVOY était en charge du ministère ;
- d'autre part, j'ai cru comprendre que plusieurs personnes avaient tenté de s'attribuer la paternité de cet instrument, certes promis en France à un grand succès comme on l'a vu ; si cela les amuse, tant mieux pour elles ; un nom m'a été cité, celui d'un de mes anciens adjoints, nom qui ressortait, paraît-il, d'un document administratif mais qui, dans mon souvenir, ne correspondait à strictement rien de tangible. En revanche, je me souviens très bien que, longtemps, Michel THEROND a ferraillé pour imposer son idée, notamment contre moi qui, en réalité, sabotais ses efforts dans un jeu de pouvoir assez ridicule mais habituel dans ce genre de cénacle. A mes yeux d'acteur très bien placé pour voir de quoi il retournait, le vrai père des "O.A.T." à la française, celui sans l'obstination de qui ce produit n'aurait pas existé avant longtemps en France est ce Michel THEROND sans l'ombre d'un doute. Qu'il ait de quoi en être fier est une autre question et l'on connaît ma réponse.
Quoi qu'il en soit et finalement, cela m'a fait plaisir de repenser hier et aujourd'hui à cette période de ma vie où j'étais encore jeune et beau et où, dans le domaine professionnel, j'ai sans doute pu donner le meilleur de moi-même. En tout cas rencontrer et côtoyer quotidiennement nombre de personnes des plus brillantes à maints égards, ainsi que la suite l'a montré.
Nous avons évoqué la "loi MONORY" sur la détaxation de l'épargne investie en actions (dont j'avais été l'homme de base), l'émission d'"obligations renouvelables du Trésor" (que j'avais rendue possible et même défendue, à tort, par voie de presse), le démembrement des emprunts d'Etat (que, face à Edouard STERN, pour sa propre banque, et Jean-Luc LEPINE, pour MM. WORMS, j'avais contribué à corseter étroitement sur le plan fiscal en liaison et bonne intelligence avec Patrice CAHART et Jean LEMIERRE), la politique d'émission d'emprunts d'Etat "à conversions diverses" (dont je m'étais fait la spécialité mais qui était en voie d'essoufflement), la réforme du marché monétaire (dont je fus le très actif rédacteur du premier "livre blanc" mais dont je fus dépossédé de fait, si l'on peut dire), enfin la mise au point des obligations assimilables du Trésor qui, pour des raisons à mes yeux évidentes, constituait le cœur des préoccupations de mon interlocuteur du jour.
J'ai parlé, en termes admiratifs, des pur-sang avec qui j'ai eu la très grande chance de collaborer en nos débuts de carrière respectifs (et relatifs), principalement Michel PEBEREAU (à mes yeux, "le petit Jésus en culotte de velours" ou, si l'on préfère, "une main de fer dans un gant de velours") et Philippe JAFFRE (une "main de fer dans un gant de fer" ou, d'après un jeune collègue, "Terminator") ainsi que, dans une moindre mesure, Jean-Charles NAOURI et Claude RUBINOWICZ. J'ai dit mon respect pour le classicisme parfait de Jacques de LAROSIERE. En sens inverse, je me suis montré très négatif à propos du caractère ou des œuvres de Daniel LEBEGUE, voire d'un ou deux autres anciens directeurs du Trésor, même l'un des plus illustres, hélas.
J'ai suggéré à titre anecdotique à mon interlocuteur de contacter Eric COELENBIER qui m'entraîna dans l'aventure de la création d'une banque anglaise à Paris, ou Sylvain de FORGES qui fut mon adjoint, mais surtout, à propos des fameuses "O.A.T.", Michel THEROND, alors mon supérieur hiérarchique immédiat. Cet homme curieux à plusieurs titres joua un rôle moteur, même si méconnu, dans ce dossier, moi freinant autant que je le pouvais (pour des raisons, à dire vrai, principalement formelles), mais sans succès.
Lors des grandes réformes de la période, j'étais le plus souvent le chef du bureau du mouvement des fonds à la direction du Trésor. Un bureau généralement considéré comme particulièrement noble. Et un chef de bureau vraisemblablement plus réputé pour sa créativité financière que pour son obéissance hiérarchique assurée quand ses chefs lui paraissaient médiocres, ce qui a pu arriver en diverses occasions, là ou ailleurs, tout au long de ma carrière.
Au moment où notre conversation téléphonique prenait fin, j'ai confié que je n'éprouve rétrospectivement aucune fierté d'avoir ainsi contribué activement à inventer et fournir à des acteurs irresponsables les clés d'un endettement public incontrôlé. Au passage, j'avais évoqué mon expérience des structures publiques de défaisance qui aurait suffi, à elle seule, à fonder mon rejet définitif d'un monde dont il m'a été donné de faire partie jusqu'à mes révocations de 1998.
P.S. (du 29 novembre 2024 à 21 heures 30) : Je retire de cette conversation deux impressions principales :
- d'une part mon interlocuteur d'hier ne s'intéressait en fait qu'à la genèse des "O.A.T." et voulait, plus particulièrement, trouver qui aurait eu l'idée de départ ; apparemment, Christian NOYER lui avait répondu ne pas s'en souvenir ; d'autres avaient mis en avant leur participation (avec réunions le dimanche qui semblent les avoir marqués) à une étude dont les avait chargés Philippe JAFFRE lorsqu'il fut question de ranimer le "fonds de soutien des rentes" ; quelqu'un avait dû lui citer Eric COELENBIER, ce qui me semble excessif ; pour ma part, j'ai répondu en substance que la pratique des adjudications de titres d'Etat était déjà ancienne aux Etats-Unis, que nous le savions et que démarquer les techniques américaines était à la mode dans le secteur de la finance, notamment du temps où BEREGOVOY était en charge du ministère ;
- d'autre part, j'ai cru comprendre que plusieurs personnes avaient tenté de s'attribuer la paternité de cet instrument, certes promis en France à un grand succès comme on l'a vu ; si cela les amuse, tant mieux pour elles ; un nom m'a été cité, celui d'un de mes anciens adjoints, nom qui ressortait, paraît-il, d'un document administratif mais qui, dans mon souvenir, ne correspondait à strictement rien de tangible. En revanche, je me souviens très bien que, longtemps, Michel THEROND a ferraillé pour imposer son idée, notamment contre moi qui, en réalité, sabotais ses efforts dans un jeu de pouvoir assez ridicule mais habituel dans ce genre de cénacle. A mes yeux d'acteur très bien placé pour voir de quoi il retournait, le vrai père des "O.A.T." à la française, celui sans l'obstination de qui ce produit n'aurait pas existé avant longtemps en France est ce Michel THEROND sans l'ombre d'un doute. Qu'il ait de quoi en être fier est une autre question et l'on connaît ma réponse.
Quoi qu'il en soit et finalement, cela m'a fait plaisir de repenser hier et aujourd'hui à cette période de ma vie où j'étais encore jeune et beau et où, dans le domaine professionnel, j'ai sans doute pu donner le meilleur de moi-même. En tout cas rencontrer et côtoyer quotidiennement nombre de personnes des plus brillantes à maints égards, ainsi que la suite l'a montré.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 29 Novembre 2024
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Anecdotes
rédigé le Vendredi 29 Novembre 2024
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Anecdotes
On nous saoule sur toutes les chaînes d'info en continu avec la visite de MICRON et de sa momie des sables à Notre-Dame :
J'observe que des pièces métalliques servent à rigidifier une charpente neuve en chêne. Idem pour l'escalier, par ailleurs bien dessiné.
Donc trop d'interventions qui me semblent hautement contestables, du moins pour ce que je vois sur cette photo. En tout cas, assurément pas de la "qualité Fourcade".
J'attends qu'on me démontre le contraire.
P.S. (du 29 novembre 2024 à 22 heures) : Les commentaires que m'ont inspirés cette photo sont le prolongement de constats qui sont les miens, d'une déperdition désolante de savoir-faire séculaires. Et qu'un président comme celui dont on sait ce que je pense vienne cirer les pompes de corps de métier dont le déclin me semble évident ne fait qu'ajouter à mon exaspération, habituelle pour ce qui concerne ce fou furieux.
En sens inverse, j'ai apprécié les commentaires inspirés d'un Philippe de VILLIERS que j'ai entendus ce soir à la télé sur la chaîne réac ("C" quelque chose) dont le nom m'échappe puisque je n'ai acheté une téloche que très récemment.
J'observe que des pièces métalliques servent à rigidifier une charpente neuve en chêne. Idem pour l'escalier, par ailleurs bien dessiné.
Donc trop d'interventions qui me semblent hautement contestables, du moins pour ce que je vois sur cette photo. En tout cas, assurément pas de la "qualité Fourcade".
J'attends qu'on me démontre le contraire.
P.S. (du 29 novembre 2024 à 22 heures) : Les commentaires que m'ont inspirés cette photo sont le prolongement de constats qui sont les miens, d'une déperdition désolante de savoir-faire séculaires. Et qu'un président comme celui dont on sait ce que je pense vienne cirer les pompes de corps de métier dont le déclin me semble évident ne fait qu'ajouter à mon exaspération, habituelle pour ce qui concerne ce fou furieux.
En sens inverse, j'ai apprécié les commentaires inspirés d'un Philippe de VILLIERS que j'ai entendus ce soir à la télé sur la chaîne réac ("C" quelque chose) dont le nom m'échappe puisque je n'ai acheté une téloche que très récemment.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 29 Novembre 2024
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Annonces - Ailleurs
rédigé le Vendredi 29 Novembre 2024
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales - Annonces - Ailleurs
A paraître dans "Le Figaro" :
(Début de citation)
Pascale et Claude Pencalet,
Eliane et Dominique Bove,
Carole et Pierre-Paul Fourcade,
Béryl Chastel et Iwona Wilinska
Denis et Danielle Chastel-Sauzet,
Ségolène et Nicolas Belin,
ses enfants,
ses 15 petits-enfants et ses 19 arrière-petits-enfants,
font part, avec une profonde émotion, du rappel à Dieu de
Mme Marc Chastel
née Muriel Ravina
le 26 novembre 2024 dans sa 94è année.
La cérémonie religieuse sera célébrée le mercredi 4 décembre 2024 à 14h30 en l’église Saint-Nicolas de Maisons-Laffitte (Yvelines) et sera suivie de l’inhumation dans le caveau familial au cimetière.
(Fin de citation)
(Début de citation)
Pascale et Claude Pencalet,
Eliane et Dominique Bove,
Carole et Pierre-Paul Fourcade,
Béryl Chastel et Iwona Wilinska
Denis et Danielle Chastel-Sauzet,
Ségolène et Nicolas Belin,
ses enfants,
ses 15 petits-enfants et ses 19 arrière-petits-enfants,
font part, avec une profonde émotion, du rappel à Dieu de
Mme Marc Chastel
née Muriel Ravina
le 26 novembre 2024 dans sa 94è année.
La cérémonie religieuse sera célébrée le mercredi 4 décembre 2024 à 14h30 en l’église Saint-Nicolas de Maisons-Laffitte (Yvelines) et sera suivie de l’inhumation dans le caveau familial au cimetière.
(Fin de citation)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 30 Novembre 2024
Désultoirement vôtre ! - Nature (hors géologie) - Références culturelles
rédigé le Samedi 30 Novembre 2024
Désultoirement vôtre ! - Nature (hors géologie) - Références culturelles
Un chasseur de bécasses a déposé ceci à mon intention...
... avec ce message : "Donc terrine de bécasse :
Bécasse, gorge de porc, poitrine, foie et cœur de bécasse, ail, échalote, persil, sel, poivre, calvados, et une crépine de porc. Cuisson 1h00 au bain marie. En espérant que cela vous plaise.
Cdlt,"
Je l'en remercie vivement.
On va étudier le dossier...
... avec ce message : "Donc terrine de bécasse :
Bécasse, gorge de porc, poitrine, foie et cœur de bécasse, ail, échalote, persil, sel, poivre, calvados, et une crépine de porc. Cuisson 1h00 au bain marie. En espérant que cela vous plaise.
Cdlt,"
Je l'en remercie vivement.
On va étudier le dossier...
lepoint.fr
rédigé le Samedi 30 Novembre 2024
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
rédigé le Samedi 30 Novembre 2024
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
Énergie : en Allemagne, la grande désillusion
Son réseau électrique est au bord de la rupture : comment le pays s’est fourvoyé dans une impasse à 520 milliards et reste dépendant des fossiles.
N.D.L.R. : Il n'est que temps que cette invraisemblable bulle de connerie se dégonfle enfin !
Son réseau électrique est au bord de la rupture : comment le pays s’est fourvoyé dans une impasse à 520 milliards et reste dépendant des fossiles.
N.D.L.R. : Il n'est que temps que cette invraisemblable bulle de connerie se dégonfle enfin !
Beauxarts.com
rédigé le Samedi 30 Novembre 2024
Vie des associations - La SVAADE - La SVAADE (travaux) - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Economie
rédigé le Samedi 30 Novembre 2024
Vie des associations - La SVAADE - La SVAADE (travaux) - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Economie
Pourquoi la banane scotchée de Maurizio Cattelan explose-t-elle les enchères ?
6,2 millions de dollars...
N.D.R.L. : Oui, on se le demande.
Même si cela devrait laisser quelque espoir à La SVAADE de trouver un très riche Chinois qui accepte le rôle de mécène du chantier favori...
M. Justin SUN, fondateur de la plateforme de cryptomonnaie "Tron", pensez à nous !
6,2 millions de dollars...
N.D.R.L. : Oui, on se le demande.
Même si cela devrait laisser quelque espoir à La SVAADE de trouver un très riche Chinois qui accepte le rôle de mécène du chantier favori...
M. Justin SUN, fondateur de la plateforme de cryptomonnaie "Tron", pensez à nous !
lefigaro.fr
rédigé le Samedi 30 Novembre 2024
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
rédigé le Samedi 30 Novembre 2024
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
Agnès Verdier-Molinié : «Et si la censure aboutissait aux pleins pouvoirs d’Emmanuel Macron ?»
La censure du gouvernement Barnier serait une faute politique très grave, estime la directrice de l’iFrap. Loin de faire démissionner le président, elle pourrait au contraire inciter Emmanuel Macron à recourir à l’article 16 de la Constitution pour assurer la continuité de l’État.
N.D.L.R. : Que Dieu nous en préserve ! Nous ne méritons quand même pas un tel châtiment !
La censure du gouvernement Barnier serait une faute politique très grave, estime la directrice de l’iFrap. Loin de faire démissionner le président, elle pourrait au contraire inciter Emmanuel Macron à recourir à l’article 16 de la Constitution pour assurer la continuité de l’État.
N.D.L.R. : Que Dieu nous en préserve ! Nous ne méritons quand même pas un tel châtiment !
"X"
rédigé le Dimanche 1er Décembre 2024
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Références culturelles
rédigé le Dimanche 1er Décembre 2024
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Références culturelles
🇫🇷🇳🇬 Lors du dîner d’État à l’Élysée en l’honneur du président nigérian, la Garde Républicaine interprète "Testimony" de P-Square et "Mama Africa" de Bracket à travers des pas de Coupé-Décalé, sous les yeux ravis d’Emmanuel Macron.
N.D.L.R. : J'aime beaucoup !
"Sorti en 2014, le single Testimony (Taste the Money) du duo P-Square est l’un des titres hip-hop les plus connus du Nigéria et même d’Afrique."
"Taste the money", c'est d'ailleurs le problème ici.
N'est-ce pas, très cher M. Justin SUN ?
N.D.L.R. : J'aime beaucoup !
"Sorti en 2014, le single Testimony (Taste the Money) du duo P-Square est l’un des titres hip-hop les plus connus du Nigéria et même d’Afrique."
"Taste the money", c'est d'ailleurs le problème ici.
N'est-ce pas, très cher M. Justin SUN ?
lepoint.fr
rédigé le Dimanche 1er Décembre 2024
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
rédigé le Dimanche 1er Décembre 2024
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Lobbying environnemental - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Economie
« Nous dénonçons le développement à marche forcée des énergies renouvelables »
TRIBUNE. Henri Proglio, Louis Gallois… Dans une lettre ouverte, 10 anciens dirigeants alertent le Premier ministre Michel Barnier, et dénoncent une politique ruineuse de développement massif des renouvelables.
N.D.L.R. : Excellent !
Ras le bol de ces inepties qui "crament un pognon de dingue", font exploser les tarifs de l'électricité, plombent la compétitivité économique nationale, défigurent les campagnes et dont ne profitent (mais dans quelles proportions !) que quelques spéculateurs sans scrupules !
Patrice CAHART aurait, selon moi, mérité de faire partie des signataires.
TRIBUNE. Henri Proglio, Louis Gallois… Dans une lettre ouverte, 10 anciens dirigeants alertent le Premier ministre Michel Barnier, et dénoncent une politique ruineuse de développement massif des renouvelables.
N.D.L.R. : Excellent !
Ras le bol de ces inepties qui "crament un pognon de dingue", font exploser les tarifs de l'électricité, plombent la compétitivité économique nationale, défigurent les campagnes et dont ne profitent (mais dans quelles proportions !) que quelques spéculateurs sans scrupules !
Patrice CAHART aurait, selon moi, mérité de faire partie des signataires.