Désultoirement vôtre !

L'industrialisation de la mer :


Une grue sur un caisson Phœnix de 1944 ? Non, simple effet d’optique du navire Gulliver au large de Courseulles : 108 m de long sur 49 m de large, équipé de deux grues capables de soulever 4 000 tonnes. À gauche de la barge, la fondation en treillis de 40 m de haut pesant 1 300 t maintenant fichée dans les fonds marins, qui recevra la sous-station électrique du parc éolien du Calvados. | OUEST-FRANCE

N.D.L.R. : Tout cela n'est pas perdu pour tout le monde. Certains s'en mettent plein les poches...
"Front Populaire"
rédigé le Mardi 28 Mars 2023
Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux
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Le Conseil constitutionnel peut-il annuler la réforme des retraites ?

Pris au dépourvu par l'ampleur de la contestation contre la réforme des retraites, Emmanuel Macron et sa cour sont dans l'impasse. Le Conseil constitutionnel, qui doit encore valider la constitutionnalité (ou non) de la loi, va-t-il leur sauver la mise ? Analyse par l'avocat Régis de Castelnau.

Crédits illustration : © UGO AMEZ/SIPA


Emmanuel Macron est arrivé à l’Élysée grâce à une opération politique voulue et organisée par la haute fonction publique d’État, soucieuse de porter l’un des siens au sommet dudit État. Elle fut également soutenue et financée par les grands intérêts. Sa réussite a également bénéficié d’un concours de circonstances et de l’appui décisif de la magistrature – souvenons-nous de l’opération de disqualification judiciaire de François Fillon, favori de l’élection présidentielle 2017. Un concours de circonstances qu’il n’est pas excessif d’assimiler à une forme de coup d’État, qui a bénéficié de l’absence de réaction des forces politiques et démocratiques, inertes devant cette manipulation, et qui a pourtant retiré au scrutin son caractère de sincérité et de légitimité. Le problème, c’est qu’il a installé à l’Élysée un parfait inconnu au parcours intellectuel, social et politique d’un vide abyssal.

Emmanuel Macron infirme politique

Le CV du président de la République ne fait apparaître ni études universitaires brillantes, ni parcours professionnel digne de ce nom, ni la moindre responsabilité politique. Et c’est bien ce dernier point qui aboutit à ce que l’actuel locataire de l'Élysée apparaisse comme inadapté, dès lors qu’il s’agit de gérer des moments difficiles. Desservi par un narcissisme pathologique, il pense que le brio et le charme qu’il s’attribue seront suffisants pour franchir les obstacles. Sans mesurer que ses atouts essentiels sont le soutien de l’oligarchie, celui d’un bloc élitaire minoritaire, et le caractère hétérogène d’une opposition politique pourtant largement majoritaire.

Manifestement, Emmanuel Macron n’a pas retenu la leçon de Richelieu, celle qui dit que « la politique est le moyen de rendre possible ce qui est nécessaire ». Son caractère et son absence d’expérience le rendent incapable jusqu’à l’infirmité d’intégrer et de traiter la conflictualité constitutive du politique. Ce qui l’a amené à commettre toutes les erreurs possibles dans la conduite de son projet de réforme des retraites. Jusqu’à l’invraisemblable bras d’honneur du recours par Élisabeth Borne de l’article 49-3 après qu’elle et ses ministres ont affirmé la veille encore qu’il n’en était pas question…

Le mouvement social a passé un cap, et l’acharnement de Macron à jouer le pourrissement débouche sur une crise politique que ses commanditaires risquent de trouver inopportune. La presse occidentale ne se gêne pas pour traiter le président français d’autocrate et accuse son système d’être antidémocratique.

Et beaucoup se demandent comment sortir de l’impasse dans laquelle le président a enfermé le pays. Alors, on va peut-être demander au Conseil constitutionnel de s’y coller. Voyons comment.

Les groupes d’oppositions au Parlement l’ont saisi de plusieurs recours contre la loi adoptée grâce au 49-3. Pour rappel, dans le système français, toute loi votée par le Parlement et faisant l’objet d’un recours parlementaire ne peut être promulguée par le Président de la République qu’après la « validation » par le Conseil constitutionnel.

Fabius et Juppé pour sortir de la nasse

Normalement, le contrôle de constitutionnalité devrait être limité à l’examen de la conformité de la loi, confrontée au texte-même de la Constitution. Une évolution jurisprudentielle trentenaire a vu une considérable augmentation du champ d’intervention du Conseil et de ses possibilités d’interprétation, récupérant ainsi dans les faits une partie importante du pouvoir législatif. Ce qui donne à ses décisions un caractère éminemment politique. Rappelons qu’il est présidé par Laurent Fabius et qu’Alain Juppé y siège. Deux poids lourds d'expérience de la politique, qui ne veulent probablement aucun mal à Emmanuel Macron mais ne seraient pas fâchés de contribuer à une sortie de crise, par exemple en annulant la loi. Et en renvoyant ce faisant l’exécutif à remettre son ouvrage sur le métier. Répétons qu’il s’agirait d’une décision politique mais qu’elle nécessite de préserver les formes et d’avancer des motifs juridiques. Il semble bien qu’il n’en manque pas.

L’utilisation de l’article 49-3 ne pose pas de problème de principe et c’est une possibilité offerte au gouvernement par la Constitution de la Ve République. Et ce n’est pas la bombe atomique antidémocratique que l’on nous présente sans arrêt. Elle est avant tout le moyen d’obliger les parlementaires à prendre leurs responsabilités.

« Vous ne voulez pas voter le projet de loi que le gouvernement vous propose. Fort bien, mais vous êtes les élus de la Nation et donc responsables devant le peuple. Par conséquent, vous devez manifester votre défiance vis-à-vis de cet exécutif qui vous a proposé un texte dont vous ne voulez pas. Et voter une motion de censure pour le renverser. Et si vous n’avez pas ce courage, le texte est adopté. » On sait ce qu’il en a été du courage d’Éric Ciotti, pour ne citer que lui.


En revanche, le véhicule législatif choisi était bien une manipulation. Le gouvernement a utilisé l’article 47-1 de la Constitution, qui permet aux lois budgétaires de bénéficier du fait de leur urgence d’un calendrier contraint et d’un examen accéléré. Élisabeth Borne a ainsi prétendu que son projet de loi de réforme des retraites était une loi rectificative de financement de la Sécurité sociale ! Une collection de mesures prévues dans le texte n’avait aucun rapport avec une telle loi et devenait de ce fait autant de ce que l’on appelle des « cavaliers législatifs » que la Constitution interdit. Leur annulation par petits bouts priverait la loi de de sa cohérence. La meilleure solution serait de considérer le choix de l’article 47-1 comme inconstitutionnel, et de prononcer une annulation globale.

Il y a ensuite la violation d’un principe déjà consacré par des décisions antérieures du Conseil, celui de la nécessaire « sincérité du débat parlementaire ».

Il y a eu par ailleurs un certains nombre de manipulations, comme par exemple l’activation de l’article 38 du règlement du Sénat, ayant pour effet de limiter les prises de parole, ou encore l’utilisation à deux reprises de l’article 44 al.2 de la Constitution par le gouvernement pour faire tomber les sous-amendements non examinés par la commission des affaires sociales. Le ministre du Travail, Olivier Dussopt, a enfin eu recours à l’article 44-3 de la Constitution, qui prévoit « un vote bloqué » permettant à une assemblée de se prononcer par un seul vote sur tout ou partie d’un texte en discussion, en ne retenant que les amendements proposés ou acceptés par le gouvernement.

Pris séparément, tous ses moyens ne pourraient entraîner une censure globale du texte. Mais avec l’usage de l’article 47-1, il s’est produit un effet d’accumulation, caractérisant ce que les juristes appellent un « détournement de procédure ». D'autant qu'il existe des précédents dans la jurisprudence constitutionnelle, comme par exemple l’annulation totale de la loi de finances parce que le gouvernement avait fait examiner à l’Assemblée nationale la deuxième partie du texte sur les dépenses avant la première sur les recettes ! Autre exemple de réaffirmation du principe de « sincérité du débat » : l’annulation totale en 2012 de la loi Duflot, motivée par le fait que le texte examiné au Sénat était celui du gouvernement et non celui amendé par la commission des affaires économiques.

Répétons-le, les décisions du Conseil constitutionnel ont d’abord et avant tout un caractère politique. Alors, si Laurent Fabius et Alain Juppé veulent contraindre Emmanuel Macron à abandonner sa stratégie de fuite en avant, ils ont toutes les motivations juridiques qui pourraient le permettre. Cela constituerait une défaite politique pour le Président, et l’on voit mal comment Élisabeth Borne pourrait alors conserver son poste.

Est-ce qu'un tel scénario désamorcerait la crise politique et ramener le calme ? Ce n’est même pas sûr, tant le rejet de la personne même d’Emmanuel Macron plonge la majorité du peuple français dans la rage.

Le problème, c’est bien lui.

N.D.L.R. : Cet article ne nous apprend pas grand chose.
(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 29 mars 2023 08:34
À : Xavier MEYER
Objet : RE: Saisons musicales de La Chaslerie 2023.

10,5° C dans le grand salon à 8 heures 30...

Bonne journée !

PPF

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 29 mars 2023 03:50
À : Xavier MEYER
Objet : RE: Saisons musicales de La Chaslerie 2023.

Rectification : 12,1° C dans le salon.

C'est la paume de ma main, en transportant le thermomètre, qui avait dû être à l'origine d'un apport de chaleur tropicale...

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 29 mars 2023 03:35
À : Xavier MEYER
Objet : RE: Saisons musicales de La Chaslerie 2023.

Dans le grand salon du logis, la température est actuellement de 13,2° C.

Autrement dit, c'est Byzance !

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 29 mars 2023 03:08
À : Xavier MEYER
Objet : RE: Saisons musicales de La Chaslerie 2023.

Vérification faite, il fait en ce moment 12,9° C à l'intérieur de l'entrée non chauffée du "bâtiment Nord" de la Chaslerie ainsi que dans ma chambrette. Ceci nous maintient en forme, Guguss (au rez-de-chaussée) et moi (à l'étage).

"Météo-France" nous dit qu'il fait 9° C à l'extérieur.

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 28 mars 2023 22:27
À : Xavier MEYER
Objet : Re: Saisons musicales de La Chaslerie 2023.

Je ne pense pas que ce soit possible : 210 m3 d'air, une cheminée ouverte sur le ciel, des portes qui ferment mal, de simples vitrages (juste une feuille de plastique à la fenêtre de la tour voisine), pas de chauffage, etc...

Envoyé de mon Galaxy A32 5G Orange
Envoyé à partir de Outlook pour Android

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From: Xavier MEYER
Sent: Tuesday, March 28, 2023 10:22:51 PM
To: penadomf@msn.com <penadomf@msn.com>
Subject: Fwd: Saisons musicales de La Chaslerie 2023.

Je vous transmets.
Merci et bonne soirée

Annick Meyer

Début du message transféré :

> Expéditeur: daniel mangenot (...)
> Date: 28 mars 2023 à 21:33:24 UTC+2
> Destinataire: Xavier MEYER
> Objet: Rép :⁨ Saisons musicales de La Chaslerie 2023.⁩
>
> Bonsoir Monsieur Meyer, auriez vous la possibilité de faire en sorte que la salle soit chauffée pour atteindre la température de 16°C l'avant veille du concert, d'avance merci,cordialement MD
>
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Le lun. 27 mars 2023 à 23:49, daniel mangenot (...) a écrit :
>
> Bonne nuit monsieur Meyer.
>
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Le lun. 27 mars 2023 à 22:53, Xavier MEYER a écrit :
>
> Cher Monsieur
> Il n'y aura pas de chanteur le 31 mars. Je pense qu'ainsi la question du diapason ne se pose pas.
> Je vous remercie de votre réponse et je vous dis à vendredi prochain 15 heures à La Chaslerie.
> Bien cordialement
> X. MEYER
>
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De : daniel mangenot (...)
Envoyé : lundi 27 mars 2023 21:27
À : Xavier MEYER
Objet : Re: Saisons musicales de La Chaslerie 2023.
>
> Important, niveau du diapason, pardonnez moi de vous le rappeler.
>
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Le lun. 27 mars 2023 à 21:26, daniel mangenot (...) a écrit :
>
> Je ne suis pas dans l'instrument pour savoir comment il va réagir. En l'occurrence il me faut être chez moi pour accueillir (...)...je pense qu'il n'y aura pas de problèmes particuliers. Je pense arriver vers 15 heures, cela sera fonction de mon piano précédent. Bonne soirée à vous, cordialement MD
>
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Le lun. 27 mars 2023 à 20:38, Xavier MEYER a écrit :
>
> Cher Monsieur
> J'ai bien noté que vous viendrez à La Chaslerie le vendredi 31 mars prochain pour accorder le piano.
> MAIS, A QUELLE HEURE ??
> Il s'agira d'un duo violon-piano avec des oeuvres de Chausson, Debussy, Ravel et Messiaen.
> J'aimerais que vous me rassuriez sur la tenue de l'accord pour le Dimanche 2.
> Vous avez raison d'apporter de la colle, comme convenu.
>
> Dans l'attente de votre réponse pour l'heure, je vous prie de croire, cher Monsieur, en l'expression de mes sentiments les meilleurs.
>
> X. MEYER, Vice-président de LA SVAADE.

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De : daniel mangenot (...)
Envoyé : lundi 27 mars 2023 19:36
À : Xavier MEYER
Objet : Re: Saisons musicales de La Chaslerie 2023.
>
> Ce sera vendredi 31 mars.bonne soirée à vous.
>
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Le lun. 27 mars 2023 à 17:54, daniel mangenot (...) a écrit :
>
> Concernant le diapason, il sera utile de vous renseigner.
>
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Le lun. 27 mars 2023 à 17:53, daniel mangenot (...) a écrit :
>
> Bonjour Monsieur Meyer, je viendrai vendredi pour accorder l'instrument (avec de la colle) car samedi ce sera impossible. Bonne soirée, cordialement MD
>
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Le lun. 13 mars 2023 à 15:55, daniel mangenot (...) a écrit :
>
> Bonjour Monsieur Meyer, j'ai bien enregistré toutes les dates de concert,mai, pour les masters classés je pense que du jour au lendemain il sera inutile de revoir le piano sauf problème sur l'instrument ou des variations importantes de température!! Concernant le diapason il est toujours important de le connaître avant tout pour les chanteurs. Concernant l'accordage je viendrais la veille. Cordialement ,DM
>
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Le lun. 13 mars 2023 à 11:27, Xavier MEYER a écrit :
>
> Cher Monsieur
> Le printemps approche, les activités musicales de La Chaslerie aussi !
> Pour vous permettre de programmer vos interventions, vous trouverez ci-après les dates des concerts 2023 ayant recours à notre piano ERARD, et nécessitant donc votre intervention préalable pour effectuer son accord :
> - Dimanche 2 avril 2023 à 18 h : Duo violon piano.
> - Dimanche 28 mai 2023 (Pentocôte) à 18 heures : piano et chant.
> - Samedi 29 juillet 2023 : piano et chanteurs.
> - Dimanche 1er octobre 2023 : trio avec piano.
> Je vous remercie de votre retour me confirmant des dates de votre venue en vue de ces concerts.
> Il s'agit, vous l'avez bien compris, du même piano.
> Pour le Dimanche 2 avril, ce sera le premier concert de la saison, le piano n'ayant pas servi depuis votre dernier passage.
> Pour la master class de chant du 29 juillet, il y aura très problablement une suite le Dimanche 30 juillet, mais cela nécessiterait-il un autre accord ?
> Pour les chanteurs, vous voudrez bien m'indiquer si je dois les interroger concernant le niveau de diapason.
>
> Comptant sur vous pour arrêter au plus vite ces dates, je vous prie de croire, cher Monsieur, en l'expression de mes sentiments les meilleurs.
>
> X. MEYER, Vice-président de la SVAADE

(Fin de citation)
L'IA présente « des risques majeurs pour l'humanité » selon Elon Musk et des experts

Des centaines d'experts ont signé un appel à une pause dans la recherche sur l'intelligence artificielle. Dans cette pétition parue sur le site futureoflife.org, ils réclament un moratoire jusqu'à la mise en place de systèmes de sécurité, dont de nouvelles autorités réglementaires dédiées, la surveillance des systèmes d'IA, des techniques pour aider à distinguer le réel de l'artificiel et des institutions capables de gérer les « perturbations économiques et politiques dramatiques (en particulier pour la démocratie) que l'IA provoquera ».
Ouf ! Je viens de terminer ma première déclaration de T.V.A. de "sylviculteur". Celle-ci devrait, si je ne me suis pas trompé dans cette intervention "à titre professionnel", me permettre de récupérer 9 153 €, principalement au titre de l'empierrement de l'"allée principale".

Il faut que je savoure ce moment rare où je pense ne plus être en retard dans la préparation des déclarations diverses auxquelles je suis tenu...


N.D.L.R. : Une pure folie ! Et c'est le même constat dans tous les domaines d'intervention de l'Etat...

Au lieu de passer son temps à pérorer sans fin à la télé ou dans "Pif-Poche", le Jupiter-de-mes-deux ferait mieux de faire son boulot et, enfin, d'"arrêter d'emmerder les Français" avec ses administrations absurdement envahissantes.