Désultoirement vôtre !

Châteaux (via "Facebook")
rédigé le Mercredi 18 Aout 2021
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Les souterrains du château de Brézé 💚

"Sous le château et autour des fossés sont creusés 4 kilomètres de souterrains. La partie la plus ancienne du réseau est la Roche de Brézé, antérieure à 1063. Elle est située 9 mètres en dessous de la cour du château. La Roche de Brézé présente une structure en trèfle, avec au centre un puits de lumière. Ce souterrain-refuge était équipé pour soutenir un long siège : des silos permettaient de stocker la nourriture, l'accès au souterrain pouvait être facilement obstrué et les défenseurs pouvaient tendre des embuscades aux assaillants grâce à l'étroitesse des couloirs et à leurs nombreux coudes.

Autour des fossés se trouvent de grandes pièces troglodytiques avec notamment une boulangerie, une glacière et une magnanerie. D'autres parties du réseau servaient à la conservation du vin.

Les fossés du château de Brézé sont les plus profonds d'Europe (18 mètres). Ils ont été creusés en plusieurs étapes, vers 1450 leur profondeur atteignait 10 à 12 mètres, au XVIe siècle elle atteignait les 18 mètres. Les pierres extraites lors du creusement des fossés ont été utilisées pour la construction du château. Les fossés sont entourés d'un chemin de ronde souterrain dont l'un des principaux éléments est une échauguette. "

Brézé.

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N.D.L.R. : Fascinant !
Eup-eup
Publié le 18 août 2021

C’est une plante extraordinaire comme je n’en avais encore jamais observé. Elle forme une boule couverte de petits triangles rouges blancs et noirs. Et quand on s’en approche, les triangles se mettent à voler autour d’elle.


En réalité, il s’agit d’un arbuste couvert de papillons. Je l’appelle eup-eup, car renseignements pris, les papillons se nomment Euplagia quadripunctaria (communément Écaille chinée), et la plante Eupatorium cannibinum, ou eupatoire à feuilles de chanvre. Avec cette association, la nature semble avoir mis tous ses « eups » dans le même buisson.

Euplagia signifie en grec « belle oblique », ce qui s’explique par la forme en delta des ailes de l’insecte au repos. Quant à la plante, elle tirerait selon certains son nom de Mithridate VI Eupator, le grand Mithridate qui régnait au Ier siècle avant JC sur les bords de la mer Noire et qui, herboriste fameux, absorbait de petites doses de toutes les substances toxiques connues pour se prémunir d’être empoisonné. Selon d’autres, il s’agirait plus prosaïquement d’une déformation du mot grec hêpatêros, « qui se rapporte au foie », car la plante, aux vertus cholagogues et purgatives, est recommandée pour pallier les troubles hépatiques et intestinaux *.

Ajoutons qu’une croyance populaire indique que l’eupatoire serait aussi une « plante magique qui apporte le succès amoureux et la séduction »**. Si c’était avéré, cela constituerait une propriété tout-à-fait remarquable pour un laxatif.


* Source Wikipedia

** https://jardinage.ooreka.fr/plante/voir/846/eupatoire

N.D.L.R. : observé / observées ?

Oui, je sais, je suis un emmerdeur... ce qui tombe bien, si je peux dire, pour un laxatif...
Visite de Mme Christine ROYER, sous-préfète d'Argentan :

18 août 2021.


Hugues HOURDIN a décrit les projets et les ambitions de la SVAADE. J'ai présenté l'état actuel du chantier.

Réunion très utile. Beaucoup d'écoute et un esprit positif. Merci à cette représentante de l'Etat !
Jean-Pierre ARBON
rédigé le Vendredi 20 Aout 2021
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Retour sur le One Two Two
Publié le 20 août 2021

J’ai raconté autrefois la visite que mon père et mon oncle avaient faite au One Two Two. (Je résume : en 1935, alors qu’ils ont respectivement quatorze et onze ans, leur mère les envoie porter un message à leur père qui travaillait dans un bureau au 112 rue de Provence. Ils se trompent d’adresse et sonnent au 122, lieu de la célèbre maison close, où ils disent à l’hôtesse étonnée qui leur ouvre qu’ils viennent chercher leur papa.)

Mais une récente conversation avec ma cousine Isabelle, qui s’est intéressée beaucoup plus que moi aux détails de l’histoire de la famille, me conduit à considérer l’affaire sous un nouveau jour. Elle m’a en effet appris que la maison de la rue du Bac à Asnières dans laquelle nos grands-parents emménagèrent dans les années trente avait servi auparavant de « base arrière » et de lieu de repos aux filles du One Two Two. Etonnante découverte. Lorsqu’elle a hérité de cette maison, elle a d’ailleurs retrouvé dans un coin du grenier quelques plaques photographiques (que je n’ai malheureusement pas encore vues) montrant ces demoiselles en très petite tenue*.

De là à imaginer qu’Albert et Jacky en aient eu connaissance, que leur curiosité en ait été excitée, et que, lors de leur visite rue de Provence, la confusion qu’ils ont faite entre le 112 et le 122 n’ait pas été entièrement le fruit du hasard, il n’y a qu’un pas que je me hasarde à franchir.


* Heureusement il y en a d’autres, disponibles sur le net, comme ci-dessus, où l’on voit en cuisine le personnel préparer la spécialité maison : le bœuf à la ficelle.
J'ai peut-être trouvé hier soir un moyen astucieux (ne soyons pas modeste) d'inciter mon aîné à amorcer la pompe à phynances de la SVAADE (qui en a bien besoin).

S'il reprend mon idée...


Mais n'anticipons pas, cela m'a déjà joué suffisamment de tours !


P.S. (à 23 heures) : Mon aîné, à qui je viens de parler alors qu'il rentrait tout juste du bureau, se montre intéressé par mon schéma.


Avec un peu de chance, la fin de la restauration intérieure de la cave pourrait donc être lancée en même temps que les travaux envisagés sur la ferme grâce à son cadet. Ceci est un autre grand progrès à mettre au crédit de la SVAADE dont l'intervention nouvelle m'amène à réfléchir à mon repositionnement par rapport au chantier favori.

A ce stade, que de bonnes news ! Pourvu que ça dure !
Jean-Pierre ARBON
rédigé le Lundi 23 Aout 2021
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Aubergine
Publié le 23 août 2021

Je donne de temps en temps un coup de main à mon fils Augustin. Je ne saurais dire exactement comment cela s’est fait, mais il m’a peu à peu spécialisé dans la récolte de ses aubergines.

C’est sans doute parce que la chose est des plus simples : il suffit de repérer sous les feuilles celles qui sont de taille convenable et de couper leur tige avec un sécateur. La seule difficulté consiste à éviter de mettre la main au contact du petit capuce vert à leur sommet, très piquant et donnant de multiples minuscules échardes.


En me documentant brièvement à son sujet, j’ai appris que l’aubergine était originaire d’Asie (Inde et Chine), et qu’elle avait été popularisée autour de la Méditerranée par les Arabes. Mahomet la recommande, pour qui l’aubergine serait une « plante du paradis ». Mais en Europe du Nord, au Moyen-Age, Albert-le-Grand la désigne comme un fruit malsain et on la surnomme « pomme des fous ».

On voit qu’un même légume peut être apprécié différemment parmi les hommes, et refléter le choc des civilisations.
La 38ème édition des journées européennes du patrimoine aura lieu les 18 & 19 septembre prochains sur le thème « patrimoine pour tous ».

Cette année, la DRAC de Normandie a souhaité valoriser le patrimoine exceptionnel, qui rayonne sur le territoire normand.

Nous avons le plaisir de vous adresser le lien qui vous permettra de télécharger le programme régional des JEP 2021 en Normandie.

Vous pouvez également retrouver le programme complet sur le site national avec les derniers ajouts.

Espérant, à travers cet envoi susciter un intérêt, une mise en avant par vos soins de ce patrimoine remarquable célébré chaque année lors du troisième week-end de septembre, nous vous invitons à en faire une large diffusion.

Comptant sur votre engagement et votre passion pour le patrimoine de notre région, la cellule communication reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire;

N.D.L.R. : A la Chaslerie, visites extérieures gratuites le dimanche 19 septembre 2021 de 14 heures à 18 heures 30.

On pourra faire des dons à la SVAADE et, dans la limite du stock de maquettes et de lithophanies imprimées, repartir avec l'un de ces magnifiques objets, dignes des plus belles vitrines d'amateurs éclairés !

Voici d'ailleurs les derniers modèles de lithophanies imprimés :

13 août 2021.

13 août 2021.

13 août 2021.

13 août 2021.

13 août 2021.

13 août 2021.

13 août 2021.

13 août 2021.


Gorgious, isn't it ?
Reçu hier, par téléphone, une convocation à me rendre lundi prochain à la D.R.A.C. de Caen pour rencontrer le conservateur régional des monuments historiques, flanqué de mon "officier traitant" et d'une autre personne que je ne pense pas avoir déjà croisée.

J'imagine que c'est pour faire le point des dossiers en cours à la suite de la démission de la dernière architecte du patrimoine et dans la perspective de l'intervention prochaine de la SVAADE. Depuis l'A.G. du 17 août dernier, la SVAADE a en effet été désignée pour être le nouveau maître d'ouvrage du chantier favori. Comme tel, elle est chargée de recruter un nouvel architecte du patrimoine (même si celui-ci pourrait, à titre secondaire, intervenir également comme mon maître d’œuvre pour les travaux dont je garderais la maîtrise d'ouvrage, travaux à définir dans le temps compte tenu de la réussite de la SVAADE que j'espère).

Ces dossiers en cours concernent selon moi :
- les tranches 1 et 2 de restauration des menuiseries extérieures du logis, travaux que je freinais pour deux raisons, d'une part - et, compte tenu de la limitation de mes moyens financiers, c'est important pour moi - parce que je demeure en avance sur le chantier dans ma problématique fiscale (du fait notamment de "déficits fonciers reportables"), d'autre part et surtout, parce que j'essayais de faire pression sur mon interlocutrice pour qu'elle traite enfin les questions qu'en ma qualité de maître d'ouvrage, je lui avais désignées comme prioritaires (mais "chante, fauvette" ; comme d'autres, elle préférait évidemment écrémer mon dossier en facturant des honoraires ne lui demandant guère de travail, ce qui explique par exemple que, depuis une douzaine d'années au moins, la question des "poutres pourries" n'a toujours pas été traitée) ;
- la consommation, enfin, d'un petit reliquat de subvention relatif à la restauration des enduits muraux de la cage d'escalier du logis ; à mes yeux, ce dossier a été mal emmanché dès le départ puisqu'il n'a pas été tenu compte de la nécessité, au préalable, de traiter la restauration des menuiseries extérieures de ladite cage (ceci fait partie de la "tranche 1") ni le scellement des radiateurs (lui-même conditionné par la problématique de l'aquathermie, donc, à ce stade des débats, du pavement de la cour).

Il est fort possible que, lors de cet entretien, mes interlocuteurs cherchent de nouveau à m'inviter à canaliser le programme de travaux en me concentrant sur la restauration intérieure du colombier et de la moitié Nord du logis, comme ils l'ont déjà fait il y a quelque chose comme dix-huit mois. Or, même si je perçois la part d'empathie que comporte une telle recommandation, je demeure rétif à de tels conseils car je considère que la question fait partie des prérogatives du maître d'ouvrage, seul responsable "in fine" du bon déroulement de l'ensemble des opérations et seul en capacité de gérer au mieux toutes les contraintes dont lui seul a une vue d'ensemble (et Dieu sait que ce ne sont pas les contraintes qui manquent dans une telle entreprise).


D'aucuns pourront me déclarer un peu raide dans mes positions. Mais pensez-vous qu'on puisse changer un homme âgé de bientôt 70 ans dans son comportement face au chantier de sa vie ?
Silvère JARROSSON (via "Facebook")
rédigé le Mercredi 25 Aout 2021
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La texture est une caractéristique interne à la matière, une émanation, vers son dehors, de ses caractéristiques et de ses réactions profondes. C’est bien dans le derme et l’hypoderme que les réactions de l’épiderme prennent leur source. En peinture, on a parfois tendance à vouloir travailler la texture par le dessus, en ajoutant des couches et de la matière, alors qu’une texture naît par le dessous, grâce aux caractéristiques premières de la toile et de la peinture.

Je propose donc que l’on cesse de considérer le travail de la texture comme une question à traiter par le dessus et extérieurement à la toile (rajouter ceci ou recouvrir de cela afin de donner plus de matière) pour la travailler par le dessous par le biais des propriétés de la peinture. Comme une maladie de peau, la texture vient des profondeurs et émerge. Elle ne se rajoute pas par dessus, elle suinte d’en dessous.

Exit donc les techniques d’empâtement. Texture ne signifie ni matière, ni relief, mais simplement surface de la matière et manifestation de cette matière vers l’extérieur ; comme une peau malade sécrète ses fluides. Dans la finesse de la couche picturale, dans la façon dont la peinture se fige, sédimente, coagule, la texture apparaît.

Fort de ce constat, ne peut-on pas alors envisager de textures lisses ? Des œuvres dans lesquelles les propriétés de la matière s’expriment sans aucune épaisseur matérielle. Des impressions de textures, comme ma série d’œuvres Impressions, dans laquelle la couche picturale, hyper mince, parfois même poncée, est presque inexistante. On obtient une texture en niant tout effet de matière. De fait, la texture est cette propriété de la matière qui se manifeste d’autant mieux que la matière est infime. Elle est cette nature qui vit dans l’infiniment peu, comme dans le calcul intégral la dérivée définit d’autant plus précisément une fonction qu’elle correspond à une portion infime de celle-ci.

Au bout du processus de l’action-painting, dans le grand mélange, la déliquescence des structures fait entrer l’œuvre dans un nouvel état, informe, dans lequel la peinture n’a d’expression que par ses propriété intrinsèques. La dissolution dans le cosmos semble mener aux lisières de l’univers. La texture est alors la principale manifestation de cette peinture en plein délitement. Elle est ce qu’il reste quand plus rien de structurel ne subsiste, ce mouvement qui vient après le mouvement, ces micro-fissures et minuscules agglomérats de particules qui se manifestent en s’annihilant. Elle rappelle en cela la peau, à la fois lisse et micro-structurée en cellules, tissus et couches épidermiques. Elle est le mouvement infime du glacier qui devient mate en se fissurant. Comme une dérivée, elle n’a besoin du mouvement que pour l’abolir, elle est une expression à l’extrême de la matière.

Il faut voir la texture comme une forme d’absolu, une peinture qui s’exprime en disparaissant, un mouvement qui se fige, comme le confins d’un processus. Au bout de l’action-painting, dans le laisser-vivre absolu de la peinture, ne restent que les jeux de textures d’une peinture qui ne vit que par ses propriétés intrinsèques, sans structures ni matières.

(SJ)


N.D.L.R. : Transmis à ma belle-fille. Pour méditation.

Let us be zen !
Jean-Pierre ARBON
rédigé le Mercredi 25 Aout 2021
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Mets et mots d’Amou et des Luys
Publié le 25 août 2021


« Deux lectures musicales, un concert de chansons gourmandes, une conférence sur les recettes de la lecture à voix haute, une autre sur trente mille ans d’alimentation, une exposition de photographies de “Festins Littéraires” par Charles Roux (en partenariat avec le Musée de la faïence et des arts de la table de Samadet), une rencontre de passionnés autour du magicien d’Eugénie-les-Bains, Michel Guérard : le temps d’un week-end en Chalosse, entre Amou, Gaujacq et Brassempouy, les 25 et 26 septembre, Mets & Mots d’Amou & des Luys réunira artistes et personnalités (Marie Christine Barrault & Pascal Contet, Christophe Lavelle, Éric Lareine & Alexis Kune, Lucrèce Sassella & Antoine Sahler) afin de célébrer l’amour de la gastronomie et de la langue françaises.

L’événement sera agrémenté d’une dégustation, d’ateliers d’écriture et de cuisine, et des menus Mets & Mots d’Amou seront proposés pour la circonstance par trois restaurants ambassadeurs du tourisme gourmand landais : Chez Darracq à Amou, le Bistroquet de la Dame à Brassempouy et l’Estanquet qui se déplacera exceptionnellement à Gaujacq. »

— Mais dites-moi, mon ami, n’est-ce pas là l’occasion rêvée d’aller faire un tour en Chalosse ?
— Assurément !
— J’imagine qu’il faut réserver…
— Bien sûr. Ça se fait en ligne, ici, sur le site https://metsetmotsdamou.fr, où vous trouverez aussi le détail de la programmation et toutes les informations pratiques nécessaires. Qu’on se le dise !

N.D.L.R. : Très tentant !
Raphaël, Mathis & Emmanuel, pour Anatomies d'Architecture
rédigé le Mercredi 25 Aout 2021
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Bonjour à toutes et à tous,

Pour celles et ceux qui ont soif d’apprendre de nouvelles techniques de construction écologique à plusieurs, avec 100% de matériaux naturels et locaux, le tout encadré par un constructeur de haut vol et dans un cadre unique :

Du 30 août au 4 septembre nous organisons un chantier école ouvert à tout public (pro et novice) au domaine du Costil en Normandie !

Animé en collaboration avec l’excellent Luc Van Nieuwenhuyze, maçon et président de l’ASterre, ce chantier sera l'occasion de réaliser sur site un plancher en quenouilles (torches de chanvre mélangées avec de la terre crue et enroulées autour d’un bois de noisetier)

N’hésitez pas à nous contacter directement par téléphone ou mail pour plus d’informations !
contact@ada2018.fr
07 82 13 83 04
Facebook / Instagram

A très bientôt.


Raphaël, Mathis & Emmanuel
Pour Anatomies d'Architecture
07 82 13 83 04

N.D.L.R. : Intéressant. J'ai déjà vu cela à l'un des plafonds du manoir du Grand Taute et, plus récemment, au plafond de la porterie de l'Abbaye de la Lucerne.

A la Chaslerie, il est trop tard pour y penser pour la charretterie. Dans les écuries telles qu'elles seront aménagées, cela ne serait pas en phase avec l'"escalier-en-facteur-commun" voisin. A la cave, j'ai déjà mis des bardeaux de châtaignier (sur le modèle de ce qui y préexistait). Mais on peut envisager un tel type de plafond pour la ferme, du moins pour certains de ses volumes.

Or je dispose d'ores et déjà d'au moins quatre plants touffus de noisetier, aux abords immédiats du manoir favori. Pour ce qui est du chanvre...

... il faudrait se mettre à en cultiver ici...
Voilà. C'est signé :