Désultoirement vôtre !

Jacques ATTALI (via "Facebook")
rédigé le Mardi 28 Janvier 2020
Vie du site - Aspects juridiques - Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pouvoirs publics, élus locaux
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Pause, s’il vous plaît !

Les mots ont toujours tué. Soit par le mal que l’insulte et la diffamation peuvent faire. Soit par l’incitation à la violence physique qu’ils peuvent entraîner.
Des gens insultés, harcelés, au travail ou dans leur vie privée, ont mis fin à leurs jours. Des gens dont on promène la tête au bout d’une pique, dont on encourage à l’usage de la force pour leur faire quitter un pouvoir démocratiquement conquis, ne sont pas loin d’être dans la même situation : le harcèlement politique n’est jamais bon pour la démocratie.

On en est là aujourd’hui, dans beaucoup de pays.

En Grande Bretagne, en Italie, aux Etats-Unis, en Espagne, et dans tant d’autres pays, la violence des mots atteint des proportions folles. Les propos hallucinants du président des Etats-Unis et de ses soutiens allument bien des mèches. A l’autre extrême, certains extrémistes écologistes en arrivent à demander qu’on en finisse avec l’espèce humaine, parce qu’elle a depuis toujours eu le projet de soumettre la nature. Dans un tout autre contexte, le discours de haine des fondamentalistes a précédé leur passage à l’acte ; contre les femmes, contre les infidèles, contre leurs propres coreligionnaires, contre ceux qui mettent en avant les principes de la laïcité.

Les réseaux sociaux ajoutent à cette libération de la parole. La haine y est partout. Les menaces de mort, en général anonymes, s’y multiplient. Comme si ces gens-là prenaient prétexte de ne pas être entendus, dans le cadre des institutions, pour crier de plus en plus fort. Cela ne s’arrêtera pas au champ de la politique. Ce langage deviendra celui de la conversation quotidienne, et la menace n’y sera plus, ne sera plus virtuelle. C’est là où « la banalité du mal », concept philosophique imaginé en 1963 par Hannah Arendt à propos de Adolf Eichmann, prend un tout nouveau sens.

Ce retour de la violence verbale, prélude à celui de la violence physique, est particulièrement inquiétant en France, pays qui n’a jamais accepté l’idée de se réformer, et qui n’avance que par des révolutions. Au point que ce sont des révolutions, ou des coups d’Etat, qui ont enfanté, d’une façon ou d’une autre, nos cinq républiques.

Les comportements de l’ancienne direction de France Telecom, qui a poussé au suicide bien des employés de la firme, rejoignent les discours hallucinants des dirigeants de la France Insoumise, qui en appellent à la violation des lois, à la violence physique contre le président de la République et les élus de son parti. Et plus encore, ces dirigeants politiques, appuyés par quelques syndicalistes et quelques associations, soutenus par quelques médias suicidaires, en sont même à organiser des retraites aux flambeaux : n’importe qui avec un peu de culture y voit un rappel des grandes parades fascistes et nazies. Et même s’ils prétendent que cela renvoie aux premiers 14 juillet, ce rappel de la révolution française met surtout l’accent sur l’horreur de la Terreur, symbolisée par les abjectes silhouettes de la tête d’Emmanuel Macron placée au bout d’une pique.

Tout cela ne sert que Marine Le Pen, dont pourtant tout, en principe, sépare l’extrême gauche. Oui, Jean-Luc Mélenchon, qui fut un grand ministre et qui reste un homme cultivé, est en train de devenir le marchepied de l’extrême droite. Ce ne serait pas le premier, dans la gauche française, à avoir fait ce chemin. Sans doute le fait-il, au moins inconsciemment, pour faire battre celui qui le dérange surtout parce qu’il a réussi à conquérir démocratiquement en six mois un pouvoir dont lui, Mélenchon, rêve depuis quarante ans.

Je dis cela sans viser particulièrement un élu. Ni pour défendre un président particulier de la République. Ni pour soutenir des réformes dont je n’approuve pas toutes les modalités. Ce sont les institutions qui sont en cause. Ce sont elles qu’il faut défendre. Et en particulier la liberté d’opinion, la liberté de la presse, la liberté syndicale, qui seront les premières victimes de ce que ces fossoyeurs croient défendre.

Il faut y mettre fin au plus tôt.

D’abord en appliquant avec rigueur les lois de la république, qui condamnent ce genre de comportements, même si leurs auteurs sont des représentants du peuple, ou des syndicalistes : Plus on a de responsabilités publiques, plus on doit donner l’exemple.

Ensuite en dénonçant, discréditant ceux qui tiennent de tels propos, même s’ils ne sont pas illégaux. Ils doivent comprendre qu’insulter, crier, n’est pas un argument, et ne convainc personne. Ils doivent comprendre que, par leurs fonctions même, leur rôle est d’être les intermédiaires des inquiétudes et des colères des peuples, et non de les exacerber.

La République est notre bien commun ; et avec elle, la tolérance, la laïcité, et bien d’autres trésors. Soyons en fier. Ne les bafouons pas. En faisant des mots les alliés, et non les ennemis, de la liberté.

j@attali.com

N.D.L.R. : D'accord.

Défendre la liberté d'opinion, la liberté d'expression : vaste programme !
HAUTEFORT, Périgord Noir, 24 Dordogne, Nouvelle Aquitaine. à 40 km de Périgueux, créé sur une période allant de la fin du 16e siècle à la fin du 17ème siècle sur les bases d’une ancienne forteresse médiévale. c’est l’un des rares édifices classiques de la Dordogne. Actuellement propriété d’une fondation, ouvert à la visite de mars à novembre.


N.D.L.R. : Pour partie contemporain de la Chaslerie.

Quand je vois les difficultés sans fin auxquelles je ne cesse de me heurter pour restaurer notre manoir favori et le drainage permanent et massif que cela entraîne sur mes finances de retraité de la fonction publique, je ne peux que me demander qui peut aujourd'hui en France entretenir un truc pareil.

N.D.L.R. 2 : J'ai la réponse...

Et dire que j'ai assez bien connu un gendre... et qu'un autre est le fils d'un ancien collègue...
Journée consacrée presque entièrement à vérifier les chiffres entrés par l'architecte du patrimoine dans le tableau récapitulant la mission dont elle s'estime limitativement investie et qu'elle appelle "EXE". En clair, la restauration des menuiseries extérieures du logis et celle des lucarnes du colombier et des écuries (mais pas les lucarnes pourtant moribondes de la tour Louis XIII, ni davantage la restauration des menuiseries extérieurs de l'aile Ouest autres que ces lucarnes, si ce n'est, exception à l'exception, les menuiseries métalliques de la tour Louis XIII). Bref, de quoi faire de sacrés nœuds de cervelle pour le plaisir. Et en laissant très largement de côté mes soucis d'habitabilité.

Sur ces bases peu satisfaisantes, j'essaye de répartir les sommes correspondant à cet "EXE" bizarre entre plusieurs tranches :
- une tranche 0 pour écluser les reliquats de subventions obtenues pour la restauration de la charpente et de la couverture du colombier,
- la tranche 1 et la tranche 2, autant que possible comme elles ont été autorisées (mais ce n'est guère faisable en réalité, sauf à introduire de la souplesse entre sous-enveloppes),
- une tranche 3 et une tranche 4 à définir, cette fois en commençant à prendre un peu en considération mes souhaits d'habitabilité.

Ainsi conçue, cette programmation présente deux inconvénients majeurs :
- optiquement, elle peut donner l'impression que je passe mon temps à réclamer des subventions, ne serait-ce que parce que, par manque d'architecte du patrimoine en charge depuis bientôt trois ans, des wagons sont restés à quai (les tranches 1 et 2), bien contre mon gré ;
- sur le fond, elle néglige totalement les missions que j'ai besoin de confier à un architecte du patrimoine qui voudrait bien les accepter, en vue de traiter également toutes les autres tâches qui sont à mon programme et qui excèdent largement "EXE", notamment :
. la restauration des menuiseries extérieures du colombier et de l'ancien "salon de l'aile de la belle-mère" : sinon quand espérer rendre habitable le colombier ?
. le traitement enfin de la problématique dite des "poutres pourries" au plafond de mon ancienne chambre au 1er étage du logis ; tant qu'on y est, la réparation du conduit de cheminée dont le haut de la séparation intérieure (j'insiste sur cette localisation) s'éboule un peu plus lors de chaque nouvelle tempête ; sinon, quand rendre habitable la moitié Nord du logis ?
. le dialogue enfin avec le bureau d'études, puis tout ce qui concerne l'installation du circuit du chauffage, y compris à travers la cour (donc y compris la problématique du pavage de la cour) ; sinon, comment rendre habitable quoi que ce soit de plus que le bâtiment Nord et ses 65 m2 déjà traités ?
. et encore plein de choses qu'il serait trop long d'évoquer ici.

Autrement dit, même en additionnant le coût des tranches 0 à 4, on est très loin du total que j'aurai à supporter, si du moins je veux pouvoir mettre à la disposition de mes proches et du public un minimum de pièces convenables pour les recevoir.

Voilà ce qu'il faudra que je parvienne à faire comprendre à mes interlocuteurs du 7. Si j'en crois ce qu'on me laisse entendre, je n'y suis pas encore arrivé et c'est bien ce qui m'inquiète car je ne sais plus comment m'exprimer.
Châteaux, Manoirs et Gentilhommières (via "Facebook")
rédigé le Dimanche 2 Février 2020
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Pour l'étude de diagnostic - Idées de travaux à venir - Références culturelles
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Le château de Landreville est une maison-forte située dans la commune française de Bayonville dans le département des Ardennes.
C'est un rare exemple encore pratiquement intact d’une habitation seigneuriale ardennaise de la pré-Renaissance.
Le château de Landreville avec ses quatre tours et ses douves fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 12 août 20061.
Il est aujourd'hui un Luxury Bed & Breakfast avec chambres d'hôtes aussi bien au château même que dans le pavillon de chasse.
La châtellenie est attestée au xiie siècle. Le château de Landreville a été bâti au début du XIVe et restructuré au milieu du XVIe siècle.
Le château de Landreville représente 800 ans d’histoire, de drames et de joies, qui furent partagés par les familles Landreville, Issenart, Grandpré, Chennery, Beauvais, Maillart, Meixmoron... Le portrait de Claude-François de Maillard (ou Maillart), seigneur et premier marquis de Landreville, a été peint par Nicolas de Largillierre vers 1735.
C'est ici que vivait la légendaire « Dame Blanche » et les descendants de Jean Colin-Maillard, le valeureux chevalier de Huy d'après lequel naquit le jeu de colin-maillard
C'est Pierre de Maillart, baron de Landres et propriétaire à l'époque aussi-bien du château de Gruyères (Ardennes) que de celui de Landres, qui décida de réaménager le château de Landreville en 1567, demeure abandonnée à elle-même après qu'un incendie détruisit les intérieurs sous l'occupation de l'armée de Charles Quint en 1552. Il ira y habiter dès 1570 avec sa jeune femme, Guillemette de Beauvais, propriétaire des lieux.
Le nom du jeu viendrait de Jean Colin-Maillard, un guerrier hutois, ayant combattu le comte de Louvain au xe siècle et qui eut les yeux crevés au cours d'une bataille, mais continua à se battre, frappant au hasard tout autour de lui.
Ce visage aux yeux crevés est représenté sur une sculpture en pierre du portrait du valeureux guerrier Johan Coley Maillard dit « le Grand Maillard » et de sa femme Jeanne de Seille réalisée sur une des cheminées monumentales de l'ancien Château de Landreville, demeure française de sa famille après qu'elle eut quitté la Belgique vers 1350:


N.D.L.R. : Des ressemblances avec notre manoir favori (du moins dans les extérieurs), ce qui n'est guère étonnant puisqu'ils sont pour partie contemporains.

Y repenser si, un jour, on restaure les lucarnes du logis.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 4 Février 2020
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Sud Manche - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - Anecdotes
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Voici la série de courriels que, ce matin, de la salle d'audience de la Cour administrative d'appel de Nantes, j'ai expédiés à mes alliés dans les procédures entamées voici bientôt 5 ans et voici quelques échanges qui en ont résulté. Je m'exprimais en qualité de président de l'A.D.D.O.O.E. ("Association pour le développement durable de l'Ouest Ornais et de ses environs") :

(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 4 février 2020 16:20
À : Patrice (...)
Objet : RE: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

Ils ont acheté le promoteur "Vents d'Oc".

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De : Patrice (...)
Envoyé : mardi 4 février 2020 16:19
À : 'Pierre-Paul Fourcade' <penadomf@msn.com>
Objet : TR: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

Cher Pierre-Paul,

J’ai manqué un barreau de l’échelle. Que fait "Total" ?

Patrice

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De : hervé texier <vdcenpb@yahoo.fr>
Envoyé : mardi 4 février 2020 13:38
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>; 21 personnes
Objet : Re: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

Ta conviction est aussi la mienne.
Nous espérons une suite favorable malgré la puissance de nos adversaires, Total et le Ministère de la transition écologique.

Hervé Texier
Président BNE
Vice président FED

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De : Patrice (...)
Envoyé : mardi 4 février 2020 13:06
À : 'Pierre-Paul Fourcade' <penadomf@msn.com>
Objet : RE: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

Cher Pierre-Paul,

J’attends l’arrêt pour me réjouir.

Mais tu pourras en dire un mot à (tes visiteurs de vendredi. Ils verront) que ton énergie inlassable profite au Patrimoine.

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 4 février 2020 12:19
À : 22 personnes
Objet : RE: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

Disons que Me Monamy a su très bien exploiter, dans ses dernières écritures, les arguments de fait révélés pour nous par les documents écolos de l'enquête publique. Il me semble qu'en équité, la paternité de l'argumentation qui porte est à partager entre lui, pour la mise en forme procédurale, et eux, pour le fond.

Grâce à cela, nous devrions l'emporter cette fois-ci.

Mais nous ne devrions pas pour autant nous démobiliser. Car notre adversaire est dorénavant le groupe "Total" qui aurait les moyens de (...)

En fait, et depuis le début, nous savons que nous sommes engagés dans une course de fond. Jusqu'à ce que les pouvoirs publics comprennent enfin que leur politique pro-éolienne est une impasse.

Telle est du moins ma conviction.

PPF

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De : JB
Envoyé : mardi 4 février 2020 11:00:36
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>; 21 personnes
Objet : Re: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

Merci et Bravo pour ce reportage en direct.

Mais l’argumentation Chiroptères était essentiellement la nôtre ou celle de nos amis écolos. ?

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De : Hugues Hourdin
Envoyé : mardi 4 février 2020 10:23
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>;21 personnes
Objet : RE: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

Deux à trois semaines normalement.

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Date : mardi 4 février 2020 à 10:22
À : 22 personnes
Objet : RE: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

Si on gagne ce 5eme procès, il faudra arroser ça. Près de 5 ans de combat. Je ne sais pas quand on recevra l'arrêt de la C.A.A. de Nantes. J'ai oublié de le demander...

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 4 février 2020 10:19:05
À : 22 personnes
Objet : RE: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

Normalement, on devrait quand même échapper au 6ème procès. Touchons du bois !

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 4 février 2020 10:14
À : 22 personnes
Objet : RE: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

C'est quand même incroyable cette histoire : si on gagne (ce que je crois), ce sera uniquement à cause des chiroptères ! Quel pays de dingues !

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De : Hugues Hourdin
Envoyé : mardi 4 février 2020 10:06:37
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>; 21 personnes
Objet : RE: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

Fort bien !

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De : Pierre-Paul Fourcade [mailto:penadomf@msn.com]
Envoyé : mardi 4 février 2020 10:05
À : 22 personnes
Objet : RE: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

Notre avocate me dit que le point important, c'est que le rapporteur public a conclu au rejet sec sans possibilité de régulariser en l'état. Donc il faudrait que le promoteur recommence son dossier entièrement, y compris l'enquête publique. Je souligne entièrement.

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 4 février 2020 10:00:07
À : 22 personnes
Objet : RE: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

Notre avocate dit que le document évoqué par son confrère n'est pas suffisant pour régulariser comme la partie adverse le souhaiterait.

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 4 février 2020 09:57:37
À : (...)
Objet : RE: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

L'avocat adverse s'exprime. Il dit être très surpris de n'avoir pas entendu le rapporteur public évoquer des éléments fournis par le promoteur. Il va écrire. Il demande une simple procédure de régularisation et dit que ça suffirait.

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 4 février 2020 09:54:24
À : 22 personnes.
Objet : RE: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

Je n'ai pas entendu que le rapporteur ait parlé d'acoustique.

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 4 février 2020 09:52
À : 22 personnes
Objet : RE: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

Chiroptères : (...) le TA (...) avait raison.
(...)

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 4 février 2020 09:46
À : 22 personnes
Objet : RE: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

Un magistrat venait juste d'indiquer qu'un mémoire du promoteur est arrivé après la clôture de l'instruction...

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 4 février 2020 09:41:41
À : 22 personnes
Objet : RE: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

Ça commence pour nous.

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 4 février 2020 09:33:43
À : 22 personnes
Objet : RE: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

Troisième affaire appelée. Ce n'est toujours pas la nôtre.

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 4 février 2020 09:32:01
À : 22 personnes
Objet : RE: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

Nous savons d'expérience que cette cour ne suit pas toujours son rapporteur public. Je vous écrirai néanmoins ce qui me frappera le plus dans le discours de ce dernier. Le deuxième dossier inscrit a l'ordre du jour vient d'être appelé. Ce n'est pas encore notre tour.

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 4 février 2020 09:28:14
À : 22 personnes
Objet : RE: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

La collaboratrice de Me Monamy est arrivée. Elle m'annonce être informée que le rapporteur public va conclure au "rejet au fond" de la requête de nos opposants. Excellent.

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 4 février 2020 09:20:44
À : 22 personnes
Objet : RE: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

La greffière n'est pas informée de la présence de la collaboratrice de Me Monamy. Elle m'a dit qu'elle va appeler notre affaire. Elle m'a demandé si je comptais prendre la parole. J'ai répondu que non.

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 4 février 2020 09:13:04
À : 22 personnes
Objet : RE: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

Il me semble que nos alliés écolos sont absents. Mais il semble qu'ils soient représentés par un avocat (si j'en juge par le document tenu par le concierge). Je ne sais pas qui, parmi les avocats présents, est la collaboratrice de Me Monamy qui, je le rappelle, nous avait prévenus de son absence.

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 4 février 2020 09:05:41
À : 22 personnes
Objet : RE: Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

Le président est le même que celui qui, dans l'affaire des permis de construire, avait pris, à notre détriment, le contre-pied des conclusions du rapporteur public. Il me semble que ce dernier n'est pas le même qu'il y a une quinzaine de mois (de mémoire).

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De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mardi 4 février 2020 08:37:00
À : 22 personnes
Objet : Sppef et autres/ préfet de la Manche ICPE Appel

Notre affaire vient en audience ce matin à la Cour administrative d'appel de Nantes :

4 février 2020.

J'y suis arrivé :

4 février 2020.

Je vais vous rendre compte des événements.

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 4 Février 2020
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Anecdotes - Références culturelles
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Pour rentrer de Nantes, mon G.P.S. m'a fait passer par Fougères dont j'ai admiré l'impressionnant château :

4 février 220.

4 février 220.

4 février 220.

4 février 220.

4 février 220.

4 février 220.

4 février 220.

4 février 220.

4 février 220.

4 février 220.

4 février 220.

4 février 220.

4 février 220.

4 février 220.

4 février 220.

4 février 220.

4 février 220.

4 février 220.

4 février 220.

Tous les troquets autour du château étaient fermés. Tous sauf un chinois qui est en réalité vietnamien. J'y ai très bien déjeuné, seul client dans tout l'établissement.

Ensuite, mon G.P.S. m'a fait circuler au pied du château de la Chaize, aux Loges-Marchis. Mon ami Bertrand en était hélas absent.
Je signale que, lors de sa visite d'hier, l'architecte du patrimoine que j'avais pris l'initiative de contacter m'a informé que les crottes au sol du grenier de la moitié Sud du logis...

6 février 2020.

6 février 2020.

... sont le produit de chauves-souris (et non de souris comme je le croyais). Il paraît que ces bestioles arrivent à pénétrer dans les bâtiments en se coulant par d'infimes interstices.

Bien que ces alliées de la première heure méritent assurément que je chante leur gloire, il faudra quand même qu'on mette un peu d'ordre à ce bazar. Les chauves-souris c'est très bien, vraiment très très bien, mais dehors !
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 5 Février 2020
Vie des associations - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - APIJOMM - api
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(Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : mercredi 5 février 2020 08:37
À : (...)@atout-services-53-61-72.fr
Objet : RE: Ref : ANE - Bulletins de salaire de janvier 2020

Madame,

Comme je vous l'ai déjà indiqué, je REFUSE formellement que la MSA puisse procéder à des prélèvements automatiques sur le compte bancaire dont je vous ai envoyé le RIB AUX FINS EXCLUSIVES DES PRELEVEMENTS DU FISC.

En effet, j'ai toutes raisons de me méfier de la façon dont la MSA travaille. Elle me réclame encore le paiement de sommes anciennes et je conteste ses analyses à ces sujets. Donc je ne voudrais pas qu'elle fasse justice elle-même.

A ce propos, j'ai reçu récemment un courriel circulaire émanant d'Atout-Services, relatif à vos retards prévisibles dans la préparation des bulletins de salaires de janvier. Or l'adresse courriel en question indiquait sans ambiguïté qu'Atout-Services est une émanation et dans la dépendance de la MSA. Pourtant vous m'aviez affirmé le contraire. Donc de qui se moque-t-on ?

Cordialement,

PPF

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De : (...)@atout-services-53-61-72.fr>
Envoyé : mercredi 5 février 2020 08:13
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Re: Ref : ANE - Bulletins de salaire de janvier 2020

Bonjour,

Veuillez trouver ci-joint, les éléments de paie pour le mois de janvier.ainsi qu'un imprimé avec nos tarifs 2020.

Vous en souhaitant bonne réception.

Pour M LEBOULANGER, il faut soit qu'il vous adresse une lettre de démission, soit que vous entamiez une procédure de licenciement pour abandon de poste en contactant la DIRECCTE.

Nous attirons votre attention sur le fait qu'à compter du 1er janvier 2020, le paiement, par voie dématérialisée, des cotisations et contributions sociales devient obligatoire pour tous les employeurs du secteur privé et du secteur public, peu importe le montant versé l’année précédente.
Nous avons donc paramétré le bloc de paiement de la DSN en virement afin que vous réglez vos cotisations. Vous trouverez ci-joint, le mandat de la MSA à compléter et à nous retourner si vous souhaitez mettre en place le prélèvement automatique.
Merci de votre compréhension.

Cordialement,
(...)

52 Boulevard du 1er Chasseurs
61000 Alençon
Tel : 02.33.31.42.88 - E-Mail : (...)@atout-services-53-61-72.fr
https://www.atoutservices-mos.com/

______________________________________________________________________________

Le jeu. 30 janv. 2020 à 14:53, Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com> a écrit :

Madame,

Je vous prie de préparer les BS suivants :
Igor EREMIA : 151,67 h
Francis FORTIN : 63,50 h

Quant à Gérard LEBOULANGER, je suis encore sans nouvelles de lui donc le considère comme démissionnaire. Il n'apparaît donc plus nécessaire de préparer des BS à son nom.

Cordialement,

PPF

(Fin de citation)
L'un des points de l'ordre du jour de la réunion de la "Demeure Historique" à laquelle je devais participer ce matin à Paris concerne les difficultés éprouvées par les propriétaires de monuments historiques pour faire acter par l'administraaaâââtion l'ouverture au public de leur animal.

Pour moi, tout s'est bien passé cette année (ça avait été le bordel l'an dernier) :


Il est vrai que, dans ma demande, je n'y étais pas allé avec le dos de la cuillère.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 6 Février 2020
Désultoirement vôtre ! - O'Gustin - Météo
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- 2° C ce matin :

6 février 2020.

6 février 2020.

Pas sûr que, demain, on puisse tenir dans la tour Louis XIII. Tout cela risque donc de se terminer dans la "nouvelle-cuisine-provisoire-qui-dure", c'est-à-dire au rez-de-chaussée du bâtiment Nord.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 6 Février 2020
Désultoirement vôtre ! - O'Gustin
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Carole a voulu que Guguss puisse nous faire honneur demain. Donc direction "Saint-Mars-des-Puces" :

6 février 2020.

6 février 2020.

6 février 2020.

6 février 2020.

6 février 2020.

Moi, je suis beaucoup plus tolérant avec les effluves de vieux mâle en rut.

(Et pour cause.)
(Début de citation)

De : hervé texier <vdcenpb@yahoo.fr>
Envoyé : jeudi 6 février 2020 18:01
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Re: Projet d'éoliennes aux abords de la cathédrale de Sées

Je ne râle pas, je constate.

D'ailleurs comme râleur, je n'arrive pas à ta cheville...

Et heureusement qu'il y en a des comme nous !

Hervé

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Le jeudi 6 février 2020 à 17:46:03 UTC+1, Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com> a écrit :

T'as pas fini de râler, non mais ?

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De : hervé texier <vdcenpb@yahoo.fr>
Envoyé : jeudi 6 février 2020 17:45
À : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Objet : Re: Projet d'éoliennes aux abords de la cathédrale de Sées

Je fais tout cela bien entendu
mais elle se réveille un peu tard quand même... après l'enquête publique.

Hervé Texier
Président BNE

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Le jeudi 6 février 2020 à 12:02:28 UTC+1, Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com> a écrit :

Cher Hervé,

Mon amie (...), propriétaire du très beau château de (...) (Orne), s'inquiète du projet d'extension du "champ d'éoliennes" aux abords de Sées.

Je lui ai dit que tu pourrais sans doute lui communiquer les coordonnées d'opposants locaux que tu as repérés.

Peux-tu également lui communiquer l'excellente note que tu avais transmise au commissaire-enquêteur et toute autre info que tu jugerais utile (en plus, j'imagine, d'un bulletin d'adhésion à "Belle Normandie Environnement"...) ?

De mon côté, je lui expliquerai comment s'organiser pour creuser le dossier. Si tu as le lien par lequel accéder aux documents de l'enquête publique, cela l'aiderait aussi.

Amicalement,

PPF

(Fin de citation)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 8 Février 2020
Désultoirement vôtre ! - Transmission du patrimoine - Anecdotes - Références culturelles
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Je m'étais inscrit dans le but de me changer les idées après la série d'emmerdes que je viens de connaître. Et puis il y avait l'imparfait du subjonctif dont l'article de journal, lu par hasard à ma cantine favorite, rappelait les règles. Ce temps de ce mode m'a toujours fait marrer, notamment lorsqu'il était manié par Raymond-la-Science ou Doudou, à l'époque de leur splendeur. Sans parler du Général, bien sûr, grand maître ès-langue classique. Essayez un peu et vous verrez, ça change l'ambiance ; tout de suite, on vous regarde autrement et vous percevez dans les regards une lueur d'admiration. Sur le thème "Mazette, quel champion ! Il en a dans la cabesse, celui-là !"

Bref, je me suis pointé à 14 heures à Flers, au "Centre Madeleine LOUINTIER", pour ce concours d'orthographe. L'amphi étant comble, avec des participants de tout le département et, au moins, du Calvados en plus...

8 février 2020.

... je me suis assis en bordure d'allée, il faisait une chaleur à crever. Et, vous me connaissez, je n'avais pas manqué d'apporter mon appareil, donc j'ai pu prendre quelques photos :

8 février 2020.

On nous a prévenus que, pendant la dictée, une équipe de TF1 nous filmerait. Et l'épreuve a commencé :

8 février 2020.

Alors que nous en étions rendus aux trois-quarts de l'épreuve, j'ai eu la surprise d'être interrompu par la journaliste de TF1 qui, sous l’œil du cameraman, a cherché à m'interviewer :

8 février 2020.

"Et pourquoi êtes-vous ici ?" a-t-elle fini par me demander. J'ai mis un terme à l'entretien en lui disant, égal à moi-même : "Pour gagner !" Quelle arrogance de tête à claques, n'est-ce pas ? J'ai en effet toujours été agacé par les corniauds qui prétendent qu'il est plus important de participer. Moi, j'ai besoin d'adrénaline et j'aime la compétition. Bref, je me suis replongé dans l'exercice, en cochant en marge les mots ou expressions qui me posaient problème, afin d'y cantonner ma relecture. A la fin de la dictée, l'organisateur a poursuivi par un message destiné à départager les ex aequo (qu'on trouvera ci-après). Les "griffées", jamais entendu parler de ces bêtes-là.

Puis break pour correction. Ensuite, appel des lauréats de la catégorie cadet puis de la catégorie junior. Je remarque que la gagnante des cadets est un tout petit bout de chou, aussi noiraude qu'un rom. Etonnant. Sa mère la couve du regard, même basane. J'admire en mon for intérieur tous les efforts d'assimilation que cette victoire doit représenter pour elles.

Puis, commentaire du corrigé par l'organisateur. Ouille, j'ai écrit "gallinacés" avec un "e" de trop ; à "cantonade", j'ai hésité pour finir par me tromper, etc... Bref, au moins 6 fautes pour moi à vue de nez, donc ça part mal. Bien sûr, "griffées", ça n'allait pas, il fallait écrire "gryphées", huîtres parmi d'autres, disparues depuis belle lurette néanmoins. Et là où j'avais pensé à une "mareyeuse", il fallait comprendre qu'il ne pouvait s'agir que d'une "amareyeuse" ; jamais entendu parler de ces autres bestioles non plus.

Et puis de nouveau break, celui-ci très long, pour la correction des copies à un autre étage. On poireaute. Je discute avec ma voisine, une prof de fac retraitée qui s'est compté 8 fautes.

Après une éternité, l'organisateur revient et annonce que deux candidats sont ex aequo, y compris après l'épreuve subsidiaire. Il les appelle sur scène et, pour les départager, leur dicte une série de mots impossibles. Ce sont deux femmes et elle sont toujours ex aequo à l'issue de cette rallonge. Donc épreuve de tirs au but, l'une des deux finit par s'incliner, c'était vraiment très dur.

Puis appel des lauréats, en commençant par celui classé 7ème. Le 5ème se lève derrière moi à l'appel de son numéro ; j'ai le temps de lui demander combien il pense avoir fait de fautes ; "7", me répond-t-il ; donc ça doit être fichu pour moi. La 4ème est appelée, c'est la perdante du tir aux buts ; puis la 3ème, son vainqueur. Donc, pour moi, plus aucune chance, j'aurais dû partir plus tôt, ce n'était pas la peine d'attendre autant. Puis la deuxième, une tête de vainqueur, elle faisait partie, comme d'autres, de l'écurie de l'organisateur ; il les chauffe en vue de ce genre de compètes, dans une sorte de club de scrabble donc. J'imagine que ce n'est pas pour moi, ce genre de truc... Puis le gagnant : "J'appelle le numéro 55".

Oh, le 55, mais oui, c'est le mien, je descends l'amphi, manque de louper une marche, monte sur l'estrade, reçois ma copie, mon prix et les félicitations au micro de l'organisateur :

8 février 2020.

Il me demande si c'est ma première participation. "Oui" réponds-je. Etonnement sur tous les bancs de l'amphi. "Et d'où êtes-vous ?" "De La Haute Chapelle." "Et pourquoi vous êtes-vous inscrit à ce concours ?" "Parce que je voulais en savoir un peu plus sur l'imparfait du subjonctif." De nouveau, murmures divers dans l'amphi. On me remet mes bons d'achat, je me fraye un chemin à travers la cohue épatée par bibi qui l'est bien davantage et m'échappe au plus vite vers ma Twingo de compétition.

Mes preuves ? Les voici : d'abord le texte de la dictée :

8 février 2020.

Elle m'avait paru moins difficile que ce à quoi je m'attendais.

Ma copie (je m'étais forcé, vraiment forcé à l'écrire à peu près lisiblement cette fois-ci)...

8 février 2020.

8 février 2020.

8 février 2020.

8 février 2020.

... et mon carnet de bons d'achat :

8 février 2020.


Bref, tout ça, c'est pas mal mais, comme dit l'autre, "Je tâcherai de faire mieux la prochaine fois !"

P.S. (du 9 février 2020 à 17 heures) : Je pourrais aller faire un tour à la maison d'activités Saint-Michel de Flers où ce gentil organisateur officie les vendredis. Ne serait-ce que pour le remercier de nous consacrer tant d'efforts autour de sa passion.
En dernière page du "Monde" daté d'hier :

J'imagine sans mal que ça ne doit pas être drôle tous les jours de travailler dans un tel contexte.

Moi, je n'aurais pas aimé. C'est sûr !
Domfront 61700 (via "Facebook")
rédigé le Dimanche 9 Février 2020
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation
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St Front hier et St Front aujourd'hui :


N.D.L.R. : Eh bien, j'ai une nette préférence pour le Saint-Front d'hier. Cette civilisation de la bagnole aura beaucoup détruit, sans même parler des petits oiseaux disparus. On ne voit plus que du bitume et de la quincaillerie partout. C'est moche. Heureusement, l'ancien presbytère vient d'être restauré, c'est toujours ça.