Désultoirement vôtre !

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Pendant qu'une saine jeunesse, au grand complet ou presque, se concerte sur la meilleure façon de limiter l'érosion du sol dans la douve Sud...

26 avril 2019.

... j'observe le débit de l'eau dans le regard de Claude MARTIN :

26 avril 2019.

26 avril 2019.


P.S. (à 20 heures) : Ce soir, O'Gustin ne comprend pas les raisons du grondement qu'il entend sourdre sous la dalle refermée :

26 avril 2019.

En tout cas, l'effet de l'intervention des foreurs d'hier est radical, l'allée historique s'assèche rapidement :

26 avril 2019.

Le Logis de la Chabotterie (Saint-Sulpice le Verdon, Vendée) est l'exemple parfait du logis vendéen, alliant à la fois la maison noble, aux extérieurs sobres mais aux intérieurs richement décorés, et des dépendances agricoles (greniers, pressoirs, écuries, etc.). La plupart de ces logis sont construits à la fin du XVIè siècle et tout au long du XVIIè (la chapelle de la Chabotterie date du XIXè siècle).

C'est dans le bois de la Chabotterie, le 23 mars 1796, que le général vendéen François-Athanase Charette de la Contrie est arrêté, avant d'être conduit dans la cuisine du logis pour y être soigné ; il sera fusillé à Nantes 6 jours plus tard. Depuis quelques années, un espace de 3000m² a été aménagé à côté du logis pour exposer l'histoire des guerres de Vendée.

Propriété du département de la Vendée, la Chabotterie est l'un des rares logis ouverts au public, avec ceux de Chaligny et du Bâtiment : tous sont réputés pour leurs superbes jardins, notamment ceux du Bâtiment, propriété du compositeur William Christie qui y organise des concerts.

L'allée cavalière conduit, à travers les bois, à la façade principale du logis. On ne le voit pas sur la photo, mais entre les deux tours, juste avant le jardin, se trouve un fossé destiné à surprendre d'éventuels assaillants : dans le logis vendéen, l'aspect militaire n'est jamais négligé :

Comme tous les logis vendéens, la façade d'honneur de la Chabotterie donne sur les jardins à la française :

Le logis vendéen suit toujours un plan carré : au fond de la cour, le corps de logis, résidence du seigneur ; sur les ailes, les dépendances agricoles ; à l'avant, le porche d'entrée. Ici, la tour d'escalier portant un mâchicoulis d'apparat rappelle la noblesse des propriétaires :

La multiplication des tours et des toitures marque la richesse et le prestige des seigneurs de la Chabotterie. La chapelle que l'on voit ici est postérieure au reste du logis (XIXè siècle) :

Les intérieurs (ici le bureau) sont eux richement décorés et meublés :

La grande salle à manger :

La chapelle :

Le grand bureau :

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie. Dommage qu'il y ait cette chapelle, belle comme une verrue.

J'aime beaucoup les boiseries de la salle-à-manger, notamment au-dessus de la fenêtre. Le dallage de granit du bureau me conforte dans mes idées à propos du futur sol de la salle-à-manger de notre manoir favori (ce qui ne va pas plaire à Carole). Une autre idée intéressante : les menuiseries de fenêtres peintes en rouge à l'intérieur des pièces d'époque.
La "Route des Joyaux de la Mayenne" est née ... (via "Facebook")
rédigé le Samedi 27 Avril 2019
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
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Douze sites patrimoniaux se sont réunis pour vous faire aimer la Mayenne !

Château de Bourgon (à Montourtier) :


Château de Craon et son parc :


Château de Favry et ses jardins (à Préaux) :


Château de la Grande Courbe :


Château d'Hauterives et son jardin :


Château-fort de Lassay :


Château le Ouy et sa charmille :


Château de Magnanne :


Moulin de Thévalles :


Château des Arcis et ses jardins :


Château de la Rongère :


Château de Varennes l'Enfant :


N.D.L.R. : Bonne idée. La Chaslerie serait partante pour une initiative parallèle dans l'Orne.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Samedi 27 Avril 2019
Journal du chantier - Plomberie-chauffage - Bâtiment Nord - Désultoirement vôtre ! - Anecdotes
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J'ai essayé de rallumer le chauffage afin que le bâtiment Nord soit agréable demain pour accueillir les petits-enfants. Mais impossible.

Régis FOUILLEUL, appelé à l'aide, m'a signalé une nouvelle fois qu'il vaut mieux ne pas oublier de remettre du fuel dans la cuve quand le niveau se rapproche de zéro. L'aiguille indique pourtant qu'il reste le quart, si du moins je lis bien.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 28 Avril 2019
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Géologie - Références culturelles
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Je sens qu'il va falloir qu'un de ces jours, j'aille faire un tour du côté de Louvigné-du-Désert. Il est en effet temps que je trouve du granit de la bonne couleur pour un possible futur dallage dans la salle-à-manger de notre logis favori. Autant consulter des experts de ce sujet.

En fait, il me faudrait un genre de granit rouillé, comme l'entreprise BODIN en avait trouvé en 2014 un lot parfait du côté de La Motte-Fouquet, lorsque j'avais entrepris de restaurer l'entrée dudit logis en vue du mariage de mon aîné.
Le musée de Flandre à Cassel.

Perchée sur une butte, à 176 mètres au-dessus de la plaine de Flandre, la charmante commune de Cassel prend place dans le département du Nord, en région des Hauts-de-France. Elle se situe non loin de la frontière franco-belge, à quelques kilomètres seulement de la ville de Dunkerque.
Ancienne propriété des comtes de Flandre, la ville de Cassel se développe au Moyen Âge, notamment avec la construction d'un premier château dans le courant du Xe siècle. Maintes fois conquise, incendiée ou détruite, elle fut le théâtre de nombreuses batailles au fil des siècles, notamment entre Flamands et Français. Autrefois connue pour son activité agricole et ses élevages, elle connaît cependant un nouvel essor au XIXe siècle avec l'arrivée du chemin de fer et le développement routier.
Aujourd'hui, Cassel est connue pour son importante activité touristique autant sur son patrimoine architectural, historique que culturel.
La ville de Cassel a obtenu le titre de Village préféré des français pour l'année 2018.

Le musée est créé le 1er juillet 1837, date à laquelle Charles Vanoverschelde (né à Halluin en 1771 et demeurant à Cassel), cède son cabinet d'histoire naturelle pour la somme de 3 500 francs à une fondation privée2. L'ensemble de cette première collection est installé dans l'ancien Hôtel de Ville, qui est mis à disposition de la fondation à titre gracieux par la municipalité 3. En 1889, le musée devient municipal. Plusieurs donation d'objets ethnographiques et d'art affluent et modifient l'orientation première de la collection composée initialement essentiellement de pièces minéralogiques et paléontologiques.
En 1914, le maréchal Foch installe son quartier général à Cassel dans l'Hôtel de la Noble Cour. À la fin de la guerre, le maréchal envoie à ses anciens logeurs, les Deschodt son képi de général qui est donné par la suite au musée4. Son uniforme rejoint en 1938 dans les collections du musée à la suite d'un don effectué par Madame la Maréchal. Se pose alors la question du devenir du musée : faut-il créer un nouveau musée consacré à la Grande Guerre ?

N.D.L.R. : Beaucoup de contemporain de la Chaslerie, me semble-t-il.
Je retiens notamment l'idée des petites lucarnes à capucine qui ne dépareilleraient pas sur le logis de notre manoir favori.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 29 Avril 2019
Désultoirement vôtre ! - O'Gustin
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Après une rapide exploration du chantier de la salle-à-manger du logis...

29 avril 2019.

... notre loïde favori a choisi de camper dans la "salle dévastée" (près d'Igor) où il a entrepris de déchiqueter un coussin :

29 avril 2019.

29 avril 2019.

29 avril 2019.

29 avril 2019.

29 avril 2019.

Au total, il a bien travaillé :

29 avril 2019.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 29 Avril 2019
Désultoirement vôtre ! - O'Gustin
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Notre Guguss favori a passé une partie de la matinée à rechercher les crottes de ragondin dont ce gros cochon se délecte :

29 avril 2019.

29 avril 2019.

Cette après-midi, lorsque Carole a entrepris de ratisser la cour...

29 avril 2019.

... cet athlète de haut niveau (lui, masculin singulier, pas Carole) a fait une démonstration explosive de la qualité de sa détente :

29 avril 2019.

29 avril 2019.

29 avril 2019.

Château de CHAREIL-CINTRAT, 03140 Chareil-Cintrat, département de l’Allier région Auvergne-Rhône-Alpes

Château édifié à la fin du Moyen Age par la famille Chareil, propriétaire du fief. Quelques aménagements Renaissance vers le milieu du 16e siècle. Au 18e siècle, construction d'une partie des communs. Pendant la Révolution, le domaine est vendu comme bien national. L'Etat achète le domaine le 10 octobre 1958. Le château comporte un corps de logis flanqué de deux tours circulaires aux angles nord-ouest et sud-ouest.
Propriétaire : État français, (Centre des monuments nationaux)

N.D.L.R. : N'est pas sans rappeler notre manoir favori, y compris dans son plan-masse.
(En moins abîmé mais en moins chouette, selon moi.)
Notre-Dame: la liste des 1170 signataires de l’appel au président.

N.D.L.R. : On connaît mes fortes réserves, fruit de près de 30 ans d'expérience de terrain, à propos de certains intervenants de la restauration du patrimoine, à qui je reproche les dérives que facilite leur (...).

J'adresse néanmoins un coup de chapeau particulier à ceux des signataires de l'appel suivant qui sont actuellement en fonction ! Ce sont des braves, qui croient en leur métier ! (On aimerait en voir davantage...)

Voici le texte en question :

(Début de citation)

Monsieur le Président,
Au soir du 15 avril, les regards du monde entier se sont tournés vers Notre-Dame de Paris embrasée, rappelant combien ce monument n’est pas seulement celui des catholiques, des Parisiens, des Français ou même des Européens, mais un de ces édifices que le génie de ses bâtisseurs successifs a légués à l’humanité.
La France s’est dotée très tôt, en partie sous l’influence du vibrant roman de Victor Hugo qui sonna comme un plaidoyer pour la cathédrale parisienne, d’une législation visant à la protection des monuments historiques, mais aussi à prévoir un cadre d’action lorsqu’ils ont été mutilés par les ravages du temps ou des hommes. Dès 1862, l’État a choisi de placer la cathédrale parisienne, alors en cours de restauration, sous la protection de cette législation. Plus d’un siècle plus tard, c’est encore sous l’impulsion de la France, entre autres, que l’Unesco choisit de mettre en place une liste du patrimoine mondial de l’humanité, assortie de critères de protection précis. En 1991, la France a obtenu l’inscription sur cette liste des rives de la Seine à Paris, s’appuyant sur la présence, en leur cœur, de Notre-Dame et sur l’existence d’une perspective qui s’était constituée entre le Moyen Âge et le début du XXe siècle, protégée en tant que telle.
Une telle protection ne saurait exister sans une déontologie qui s’impose à tous ceux qui œuvrent à l’entretien, à la conservation et à la restauration de ces monuments. Là encore, la France fait figure de pionnière, notamment grâce aux réflexions de Jean-Baptiste Lassus et d’Eugène Viollet-le-Duc, élaborées autour de leur pratique dans l’île de la Cité, à la Sainte-Chapelle et à Notre-Dame. Cette déontologie, évidemment, a évolué. Elle a abouti à la charte de Venise en 1964, complétée par le document de Nara en 1994, qui fixe un cadre internationalement reconnu aux interventions sur les monuments, tant pour les opérations de conservation que de restauration ou de reconstruction partielle.
Dans toute cette histoire, la France a longtemps joué un rôle moteur, s’appuyant sur des institutions d’excellence formant les spécialistes de la protection, reconnues internationalement et attirant des étudiants du monde entier (École de Chaillot, Institut national du patrimoine, formations universitaires, compagnonnage, aujourd’hui inscrit à la demande de la France sur la liste du patrimoine immatériel de l’humanité). Ce n’est pas un hasard si le siège du Conseil international des monuments et des sites se trouve à Paris. Cette excellence de la France dans le domaine patrimonial, on en a encore vu la preuve dans l’intervention exemplaire des pompiers, dont l’action a permis d’éviter un désastre bien pire, et dans les actions qui ont permis de consolider dans l’urgence la cathédrale et d’en évacuer l’essentiel des œuvres déplaçables au cours de la semaine. Nous avons tous conscience d’avoir échappé à un désastre majeur, celui de l’effondrement de la cathédrale et de la disparition avec elle des 850 ans d’histoire qu’elle conserve.
Malheureusement, cette excellence a aussi été quelque peu oubliée par les gouvernements précédents, et avec elle l’investissement national dans la sauvegarde du patrimoine : comme le montre le rapport du Sénat sur le projet de loi de finances pour 2019, les crédits de paiements affectés à l’entretien des monuments historiques, hors grands projets, ont diminué, en euros courants, de 2010 à 2012, avant de se stabiliser, toujours en euros courants, depuis 2013. Depuis longtemps, pourtant, les alertes se multiplient sur l’insuffisance criante de ces budgets, obligeant à privilégier des travaux d’urgence, tels ceux qui se déroulaient à Notre-Dame, plutôt qu’une approche véritablement planifiée.
Aujourd’hui, le drame est là, et il nous dépasse tous. Notre-Dame de Paris n’est pas qu’une cathédrale, pas seulement l’un des monuments majeurs de l’architecture européenne. C’est l’un des monuments autour desquels, pendant près de deux siècles, se sont constituées la protection et la déontologie françaises et mondiales des monuments historiques. L’émotion qui l’a entouré a montré combien ce drame était mondial, il nous reste à en percevoir toute la portée historique. C’est pour cela que nous, universitaires, chercheurs et professionnels du patrimoine, de France et du monde entier, nous permettons de nous adresser à vous, Monsieur le Président, pour vous demander, comme l’a si bien dit Jean Nouvel, de « laisser le temps du diagnostic aux historiens et aux experts avant de (vous) prononcer sur l ’avenir du monument ». Nous savons que le calendrier politique demande d’agir vite, nous savons combien une Notre-Dame mutilée pèse sur l’image de la France. Néanmoins, ce qui va se passer à Notre-Dame dans les années à venir nous engage, tous, bien au-delà de ce calendrier. L’enjeu de ces travaux dépassera les mandats politiques comme les générations, et c’est à leur aune que nous serons jugés.
Aussi ne venons-nous pas vers vous pour préconiser telle ou telle solution. C’est trop tôt. Que pourra-t-on faire ou ne pas faire, quels choix seront possibles ? Nous ne pouvons apporter de réponse à ce jour. Cela dépend de contraintes techniques qui sont fonction de l’état du bâtiment. Mais ces choix doivent aussi se faire dans le respect de ce qu’est Notre-Dame, plus qu’une cathédrale parmi d’autres, plus qu’un monument historique parmi d’autres, en ayant une approche scrupuleuse, réfléchie, de la déontologie. L’histoire de Notre-Dame de Paris fait que l’ampleur de l’incendie dépasse ses seules conséquences matérielles. Vous avez déclaré, Monsieur le Président, vouloir restaurer Notre-Dame. C’est notre souhait à tous, mais pour ce faire, n’effaçons pas la complexité de la pensée qui doit entourer ce chantier derrière un affichage d’efficacité.
Prenons le temps du diagnostic.
L’exécutif ne peut se passer d’écouter les experts, la France en forme parmi les meilleurs du monde. Nombre de ceux-ci se trouvent dans votre administration, au ministère de la Culture. Sachons reconnaître leur expertise, prenons le temps de trouver le bon chemin et alors, oui, fixons un délai ambitieux pour une restauration exemplaire non seulement pour le présent, mais aussi pour les générations à venir. L’excellence des savoir-faire des artisans et entreprises de France, leur expérience, celles de ses architectes, l’expertise de ses conservateurs, de ses historiens sont mondialement reconnues. La place à part de la cathédrale a attiré, à travers le monde, l’attention des universitaires et de nombreux programmes de recherche dont les résultats sont à notre disposition. Ces ressources françaises et internationales mettent les meilleures chances du côté de la France pour rétablir Notre-Dame de Paris dans sa dignité de symbole. Sachons les écouter. Faisons-leur confiance, faites-leur confiance, sans retard mais sans précipitation. Le monde nous regarde. Il ne s’agit pas d’un geste d’architecture mais de millions de gestes, humbles et experts, gouvernés par la science et le savoir, dans le cadre d’une politique patrimoniale renouvelée, ambitieuse et volontariste, soucieuse de chaque monument, qui redonneront à la cathédrale d’Hugo, de Viollet- le-Duc, la nôtre, la vôtre, sa place et sa fonction dans l’histoire et dans l’avenir.

(Fin de citation)
Châteaux, Manoirs et Gentilhommières (via "Facebook")
rédigé le Mercredi 1er Mai 2019
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CITADELLE DE BELLE ÎLE EN MER , golfe de Gascogne , Morbihan , Bretagne du Sud. Elle domine la rade du Palais , construite sur les vestiges d’un château , rachetée par Fouquet , puis fortifiée par Vauban . Actuellement musée d’art et d’histoire de Belle-Île, avec salle de la Marine et évènements culturels. Propriété depuis 2005 d’ un groupe privé qui y a aménagé une hôtellerie de qualité , un restaurant et des salles de séminaires.

Citadelle de Belle-Île-en-Mer.

Citadelle de Belle-Île-en-Mer.

Citadelle de Belle-Île-en-Mer.

Citadelle de Belle-Île-en-Mer.

Citadelle de Belle-Île-en-Mer.

Citadelle de Belle-Île-en-Mer.

Citadelle de Belle-Île-en-Mer.

Citadelle de Belle-Île-en-Mer.

Citadelle de Belle-Île-en-Mer.

Citadelle de Belle-Île-en-Mer.

Citadelle de Belle-Île-en-Mer.

Citadelle de Belle-Île-en-Mer.

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Citadelle de Belle-Île-en-Mer.

Citadelle de Belle-Île-en-Mer.

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Citadelle de Belle-Île-en-Mer.

Citadelle de Belle-Île-en-Mer.

Citadelle de Belle-Île-en-Mer.

Citadelle de Belle-Île-en-Mer.

Citadelle de Belle-Île-en-Mer.

N.D.L.R. : Ayons une pensée reconnaissante pour le couple LARQUETOUX qui s'est ruiné à restaurer cette perle.
The Royal Family (via "Facebook")
rédigé le Jeudi 2 Mai 2019
Désultoirement vôtre ! - Archives, histoire, documentation - Références culturelles
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Yesterday The Duke of Rothesay, as The Prince of Wales is known when in Scotland, visited The Castle of Mey in Caithness to officially open the refurbished Granary Lodge.

The Prince's Foundation has worked to create The Granary Lodge, a new bed and breakfast in the grounds of The Castle of Mey overlooking The North Sea to Orkney.

The accommodation will be owned and operated by The Queen Elizabeth Castle of Mey Trust, and profits raised will go towards maintaining and operating the estate as a tourist destination in the North Highlands of Scotland.

The castle was the property of The Duke of Rothesay’s grandmother, Queen Elizabeth The Queen Mother, from 1952 to 1996, when Her Majesty gifted it with an endowment to The Queen Elizabeth Castle of Mey Trust.

The Queen Mother set about renovating and restoring both the castle and its gardens and parklands, which extended to about 30 acres. Following this, she spent three weeks in August at the castle, returning for about ten days in October each year.

The Prince's Foundation is a group of charities set up by His Royal Highness which focus on promoting the built environment, heritage, culture and education projects primarily across the UK.


N.D.L.R. : Voici le genre de tenue qu'il me faudrait, à moi aussi, chaque fois que j'inaugure une pièce dans notre manoir favori :


Allons, ne rêvez pas, ça n'arrive quand même pas tous les jours !