Désultoirement vôtre !

Echange de voeux :

(début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade <penadomf@msn.com>
Envoyé : lundi 9 janvier 2017 17:46
À : nicolas.gautier@culture.gouv.fr
Objet : RE:


Cher Nicolas,

Merci pour votre message. Mes meilleurs vœux à vous aussi et à votre famille.

A mon tour je vous réponds : "Allumez le feu !"

Car je serais curieux de savoir ce qui, mis à part votre caractère sympathiquement enthousiaste que tout le monde apprécie, moi le premier, justifie vos affirmations si catégoriques qu'à l'occasion de l'incendie de 1884, l'escalier de granit a été épargné par les flammes et, tout aussi définitivement, que la porte XVIIIème était en place à l'entrée du logis au moment de l'incendie et y a résisté.

En effet, pour m'en tenir ici à quelques idées simples :

- la restauration des marches en granit de la cage d'escalier en 2013 par l'excellente entreprise BODIN a illustré la fournaise que cet escalier avait dû supporter une nuit entière. Si vous ne me croyez pas, je vous suggère d'interroger l'excellent Cédrick COOS, gérant de l'entreprise BODIN, ou Benoît MAFFRE, l'architecte qui a suivi et contrôlé son travail ; vous pouvez aussi (à défaut du feu) envoyer ##20130918 dans le moteur de recherche de notre site favori et, à partir de là, naviguer sur la toile ;

- les granits des encadrements de fenêtres du rez-de-chaussée portent également, et encore aujourd'hui, la trace de l'incendie ;

- la totalité des pièces de bois du logis, à commencer par la charpente de la couverture mais aussi, semble-t-il, toutes les poutres des plafonds, y compris au rez-de-chaussée, a brûlé et été rendue irrécupérable à cette occasion, du moins à ma connaissance ;

- la seule exception, semble-t-il encore aujourd'hui, se trouve au rez-de-chaussée du logis ; il s'agit plus précisément du linteau de porte au passage entre le logis et le bâtiment Nord ; ce linteau de bois porte la trace d'une fournaise, sans doute celle de 1884, à tel point que l'on doit se demander ce qu'il fabrique encore là ;

- quant à la porte qui vous passionne, il s'agit, compte tenu de son épaisseur, de ses caractéristiques et, notamment, de sa serrure, d'une ancienne porte intérieure, ainsi qu'un artisan chevronné, Pascal BRESSON, qui a pris la peine de l'étudier sur place (c'est-à-dire à l'entrée de l'"aile de la belle-mère" où elle se trouve actuellement), a pu le constater et me l'expliquer. Donc, fort de cet avis d'expert, je considère qu'elle a été implantée à l'entrée du logis consécutivement à l'incendie, dans un contexte de désastre auquel il avait fallu parer dans l'urgence.

Par conséquent, je ne serais pas étonné que lorsque, vous prétendez que ladite porte a résisté à cet endroit à l'incendie qui avait laissé intacte la cage d'escalier, vous ayez écrit tout simplement ce que, de façon peut-être trop synthétique, d'aucuns pourraient appeler une (...). Rassurez-vous, vous n'êtes pas le seul, au moins pour ce qui concerne les menuiseries (je vous renvoie à ce sujet à l'étude préalable que vous savez), mais je demeure vigilant pour veiller, en l'état, toujours perfectible, de ma connaissance des lieux, à ce que des idées qui me paraissent aussi farfelues ne se répandent pas davantage.


Quant à la lucarne, je vous remercie d'avoir complété votre dessin précédent à ce sujet. Vous allez, une nouvelle fois, me trouver un tantinet rabat-joie ; mais le seul document probant que je connaisse, sur son état antérieur à l'incendie, est accessible dans la photothèque de notre site favori (onglet en bas de chaque page du site), dans la rubrique "Vieilles représentations / Avant l'incendie de 1884" ; ce document, extrait d'un ouvrage de l'érudit local BLANCHETIERE, montre que cette lucarne était en bois et de petit format.

N'ayez pas de doute sur le fait que, depuis 25 ans, bientôt 26, je n'ai jamais interrompu mes recherches pour trouver d'autres preuves de la forme authentique de cette (ces) lucarne(s). Si, comme j'imagine que l'on peut l'inférer de votre dessin modifié, il en va autrement pour vous, je vous en félicite et vous prie de bien vouloir me les communiquer


Enfin, l'hypothèse qu'il n'y avait à l'origine qu'une seule fenêtre par pièce et par façade, est nouvelle pour moi et me paraît en revanche très intéressante ; j'y souscris immédiatement pour ce qui concerne le salon mais demeure à convaincre pour la "pièce dévastée" qui se trouve au-dessus.


Quoi qu'il en soit, sur ce sujet comme sur les autres, je serai toujours heureux de débattre avec vous qui confirmez par votre courriel à quel point vous êtes, comme moi, attaché à notre manoir favori et à le comprendre et le restaurer de notre mieux, avec tout notre cœur. Sachez donc que je serai toujours heureux de vous recevoir un jour prochain à la Chaslerie.

Il existe désormais, au fournil de la ferme, de quoi abriter les amis la nuit. Donc votre date sera la mienne, y compris en cette saison, l'invitation valant également, bien entendu, pour Lucyna.

Bien amicalement à vous.

PPF



De : GAUTIER nicolas <nicolas.gautier@culture.gouv.fr>
Envoyé : lundi 9 janvier 2017 14:28
À : Pierre-Paul Fourcade
Objet :

Cher Pierre-Paul,

Que cette nouvelle année vous apporte la poursuite de la réalisation de vos projets et, partant, le bien-être de toute votre petite famille.

Vous trouverez ci-après un nouveau dessin montrant la restitution de la façade avec son parement en fausse coupe de brique et de pierre, version joyeusement colorée du principe de carroyage adopté sur nombre d'édifices, dont un des manoirs du Pays d'Auge porte encore témoignage.

Vous observerez que j'ai bien tenu le plus grand compte de la disposition des baies en rétablissant la composition à une seule fenêtre
à croisée, par niveau, y éclairant une grande pièce, auquel les pièces de la tourelle servent de cabinet.

Il est enfin tout à fait probable que la toiture s’adornait d'une lucarne placée dans l'axe de la travée.

Quant à la porte, la photo des années 1900 montre sans ambiguïté que sa menuiserie, épargnée durant l'incendie car placée dans la cage d’escalier, épargnée par les flammes, est bien celle implantée au XVIIIe siècle lorsque le linteau a été rehaussé.

Quant à ma photo d'Essai, je vous accorde qu'elle n'est pas évidente à lire mais qu'il n'a pas de doute sur l’existence du carroyage, notamment sur les deux entrevous les plus à gauche !

Bien amicalement à vous.

"Envoyez la poussière !"

Nicolas Gautier
Architecte des Bâtiments de France
Architecte et Urbaniste en chef de l'Etat
Chef du service départemental de l'architecture et du patrimoine de la Sarthe
19 Boulevard de Paixhans
72000 Le Mans
Téléphone : 02 72 16 42 49/51
nicolas.gautier@culture.gouv.fr

Merci de nous aider à préserver l'environnement en n'imprimant ce courriel et les documents joints que si nécessaire.

(fin de citation)
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 10 Janvier 2017
Vie des associations - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - APIJOMM - api
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Contact téléphonique très agréable avec une employée de la M.S.A. dont j'ignore le nom car elle n'a pas voulu me le donner. J'ai pu expliquer les particularités de mon usine à gaz APIJOMM et nous allons essayer d'immatriculer cette association convenablement auprès de cet organisme. Mais que tout ceci est compliqué !

Je cherche par ailleurs à joindre la mission locale de Flers pour savoir si le dispositif des "emplois d'avenir" est reconduit en ce début d'année ainsi que pour informer mon interlocutrice habituelle de mes tractations en cours avec la M.S.A.

P.S. : Je viens de réussir à joindre mon interlocutrice de la mission locale. Le dispositif des emplois d'avenir vient d'être reconduit mais - car il y a un mais - la mission locale n'a pas de candidat à me soumettre. Il m'est donc suggéré de m'intéresser désormais aux "C.A.E." (de la documentation va m'être envoyée) mais je comprends que le taux de prise en charge par la puissance publique en est de 65 %, au lieu de 75 pour les emplois d'avenir.

J'ai répondu que j'allais d'abord essayer de finaliser le rodage de mon usine à gaz avant d'envisager de compliquer encore le dispositif.

Mais quelle galère ! Et quel pays de fous, avec toutes ces réglementations qui changent tout le temps, comme si on n'avait pas mieux à faire que courir après une info compliquée comme à plaisir ! Tout cela est grotesque et lamentable, que d'énergie perdue en conneries !

P.S. 2 : Il y a ainsi des soirs où je me sens très las.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 12 Janvier 2017
Vie des associations - A.D.D.O.O.E. - Désultoirement vôtre ! - Pouvoirs publics, élus locaux - APIJOMM - api
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L'U.R.S.S.A.F. et ses joies :

Comme on le sait, Benjamin était mon salarié jusqu'à la fin septembre 2016. Depuis le 1er octobre, il l'est de l'A.D.D.O.O.E. Je ne l'ai pas précisé ici à l'U.R.S.S.A.F. Ils n'ont qu'à faire leur boulot, ils disposent déjà de tous les éléments utiles dans leurs dossiers !

P.S. du 19 janvier 2017 : Deux coups de fil de l'U.R.S.S.A.F. et deux courriers supplémentaires de ma part à cet organisme ont permis, je l'espère, de clarifier la situation.

Au passage, j'ai appris que l'U.R.S.S.A.F. ignore ce que fait la M.S.A. et que, pire encore, elle ignore ce qui se passe du côté des chèques emploi service.
Jan Brueghel the Elder died #OnThisDay in 1625. He was one of the most celebrated flower painters of his age. From 1605 onwards, his floral still lifes brought new complexity and depth to the emerging genre: his first painting of this type included 72 varieties of spring and summer flowers. This composition, while not quite so extravagant, is typically bright and dense :

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.

17 janvier 2017.

Je suis allé voir où en étaient Benjamin et Dylan.

Ils se trouvent en haut de l'allée historique et ont entrepris de dégager un passage sur les "nouvelles terres", à l'angle du chemin communal, afin de ne plus avoir, quand ils se rendront là-haut en tracteur, à creuser des ornières du côté des "petits ponts" :

17 janvier 2017.

Il va falloir déménager les pierres de champ qu'un agriculteur avait entreposées là et, sans doute, enfouir la souche. Quand ils en auront fini à cet endroit, ils iront débroussailler les parcelles P8 et P9 :

Le long de la limite Ouest des "nouvelles terres", ils ont disposé un balisage destiné à faciliter la plantation prochaine d'une nouvelle haie :

17 janvier 2017.

Je souhaite en effet dresser un obstacle aux miasmes de pesticides répandus plusieurs fois par an par le voisin et qui font avorter mes arbres fruitiers et, de façon plus générale, mourir la bio-diversité. Accessoirement, cette haie dissimulera à la vue un certain nombre de poteaux électriques si moches.

Pour le reste, il ne fait quand même pas très chaud ce matin :

17 janvier 2017.

La Vénus de Jean Bologne : un chef d’œuvre retrouvé et exposé à Paris pour la première fois

La Vénus de Jean Bologne © Georg Steinmetzer.

Une Vénus récemment réattribuée à Jean Bologne et datant de 1597, est exposée à l’Institut culturel italien de Paris du 18 au 20 janvier.

Ce grand bronze, mesurant 1,12 mètres, provient apparemment du château de Chantemesle, situé à Corbeil-Essonnes et démoli dans les années 1960. Le château appartenait à Louis Hesselin, personnage très important de la cour de Louis XIII et grand collectionneur de bronzes de Jean Bologne. La Vénus était tombée dans l’oubli suite à l’abandon des lieux. Depuis une trentaine d’années, la sculpture circulait sur le marché de l’art, sans être attribuée à Jean Bologne. La sculpture a subi récemment des analyses plus approfondies. Les recherches d’Alexandre Rudigier, des documents découverts par Blanca Truyols, et les résultats d’analyses scientifiques menées par des laboratoires en Europe démontrent que la grande Vénus a été sculptée par Jean Bologne en 1597, puis fondue. De plus, des documents issus des archives de Florence démontrent que ce nu faisait partie d’un ensemble de présents diplomatiques envoyé par Ferdinand Ier de Médicis, grand-duc de Toscane, à Henri IV, entre 1597 et 1600, pour les jardins du Château-Neuf de Saint-Germain-en-Laye. De cet envoi subsistent aujourd’hui trois sculptures de Jean Bologne : le Mercure du Louvre, le Triton du Metropolitan Museum de New York et cette Vénus, redécouverte en France. Ces documents d’archives fournissent des éléments inédits sur les relations entre les deux cours, ainsi que des témoignages directs sur Henri IV et son entourage. Ces découvertes et de nouveaux documents viennent d’être publiés dans un numéro spécial du Bulletin monumental, sous la direction de Bertrand Jestaz « Jean Bologne et les jardins d’Henri IV », édité par la Société française d’archéologie. La sculpture, aujourd’hui toujours en mains privées, sera exceptionnellement présentée dans le cadre de l’Hôtel de Galliffet, actuel Institut culturel italien, à Paris, du 18 au 20 janvier, de 15h à 18h.

N.D.L.R. : Contemporaine de la Chaslerie
Hier après-midi, Claude MARTIN est passé me voir. Puisque je le laisse se promener sur ses terres avec un groupe de chasseurs, il voulait me faire cadeau d'une partie de leur récent butin, dont un pâté de foie de chevreuil mitonné par son épouse.

Il m'a signalé que la récente tempête avait fait tomber un énorme chêne qui couronnait un talus acheté à mes voisins GAHERY il y a quelques années.

21 janvier 2017.

L'arbre a chuté en travers du prolongement de l'allée historique et sur mes plantations d'acacia de la parcelle P12, y occasionnant pas mal de dégâts.

21 janvier 2017.

Ce chêne devait avoir deux bons siècles. Une fois que Benjamin et Dylan en auront dégagé le tronc, je vais contacter une scierie pour voir combien ils m'en proposent. Ce sera pour moi la première occasion d'essayer de vendre du bois poussé sur mes terres.

Au courrier ce matin, un tableau intitulé "Entreprise : A.D.D.O.O.E. - DADS Préparatoire 2460-T - Année : 2016".

Aucun nom d'expéditeur ne figure sur ce document ni sur l'enveloppe.

Après avoir vérifié sur internet ce que ce charabia pouvait vouloir dire, je comprends qu'il s'agit de déterminer la base d'imposition de l'A.D.D.O.O.E. à la taxe sur les salaires (dont le taux est de 4,25% et peut atteindre 20 %, à la charge de l'employeur).

Or, outre que les "emplois d'avenir" ne doivent pas être pris en compte pour ce calcul, je constate que la rémunération de Benjamin se situe sous le seuil de déclenchement de cette imposition qui est, à l'évidence, totalement saugrenue, anti-sociale et anti-économique.

Donc l'A.D.D.O.O.E. devrait passer au travers.

Mais quel pays de merde vraiment (air connu) ! Comment des abrutis qui nous gouvernent peuvent-ils avoir conçu de pareilles horreurs ? Avec ça, étonnez-vous qu'il y ait autant de chômage dans ce pays !
Pierre DUMONSTIER l'aîné (Paris vers 1543-1601) attribué à
"Portrait de Philippe STROZZI (Florence 1541 - mer des Açores 1582) en armure portant l'ordre de Saint-Michel"
Toile 115 x 87,5 cm

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.

Ce tableau passera en vente publique cet après-midi. Je tâcherai d'y assister. En d'autres temps, j'aurais pu enchérir. Comme dit l'autre, "tout cela me paraît bien loin."
Zoom sur l'étonnant "petit boudoir" du château de La Rochefoucauld, en Charente !

Composé d'un plafond à caissons et de boiseries du XVIe siècle, ce boudoir est décoré de peintures sur boiseries représentant des paysages et châteaux de la famille de La Rochefoucauld. Pour l'anecdote, Marie d'Angoulême (sœur de François Ier) s'installait ici pour écrire des poèmes.

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
La chiesa di San Paolo Converso è una chiesa sconsacrata situata nel centro storico di Milano, all'incrocio fra corso Italia e piazza Sant'Eufemia. L'interno della chiesa presenta il più importante esempio di unità fra architettura e decorazione pittorica e il più spettacoloso ciclo di affreschi di Vincenzo Campi.

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
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Beautiful Libraries and Bookshops...Door, hidden in the library, Austrian National Library, Vienna, photo by Amanda Rust, FEOtwo via Flickr.

N.D.L.R. : Y penser si j'arrive un jour à financer la bibliothèque dont je rêve. (J'envisage en effet de dissimuler la porte de séparation avec la chaufferie actuelle, future arrière-cuisine dans mon idée.)

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 1er Février 2017
Désultoirement vôtre ! - Généalogie et sagas familiales
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Depuis quelques jours avant Noël, j'essayais d'obtenir un rendez-vous avec Jean-Pierre JOUYET afin d'évoquer ma situation personnelle.

Il m'a fait rappeler aujourd'hui par une de ses proches collaboratrices à qui j'ai expliqué que j'attendais toujours qu'une mission me soit confiée à Bercy.

Il ne sera peut-être pas nécessaire que je saisisse le premier président de la Cour des Comptes.

Nouvelle acquisition : armoire à deux corps de la fin du XVIe siècle / New acquisition: two-piece cabinet from the end of the 16th century 🔸

Grâce à la Société des Amis du Louvre, ce chef-d’œuvre du mobilier de la Renaissance a été acquis par le Louvre.

La façade de cette armoire en bois de noyer de près de 2 mètres de haut est décorée de hauts reliefs aux thématiques guerrières. Minerve casquée est représentée au centre de la porte de gauche et une Victoire ailée se trouve au centre de la porte de droite.
La question de l’attribution de l’armoire demeure ouverte, mais l’hypothèse du travail fameux menuisier dijonnais Hugues Sambin est plausible.

Venez découvrir cette œuvre dans les salles d’Objets d’art, Aile Richelieu, 1er étage, ce soir en nocturne jusqu’à 21h45 !

Armoire à deux corps, vers 1580 - 1600, provenance Bourgogne, noyer et chêne, traces de dorure, 188,5 x 159,9 x 55 cm © Musée du Louvre

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.