Désultoirement vôtre !

Les Arts Décoratifs
rédigé le Mercredi 27 Avril 2016
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La cuisine est tout un art au musée Nissim de Camondo. (re)Découvrez la cuisine du XIXème siècle au 63 rue Monceau, 75008, Paris :

N.D.L.R. : Superbe matos (qui me semble plutôt dater de 1912, peu de temps avant que Nissim ne parte se faire descendre en flammes) ! Mais franchement "too much" pour notre manoir favori.

Ceci dit, quelle déperdition de savoir-faire en un siècle !

N.D.L.R. : Lu et approuvé ! (Avec un petit doute sur l'opportunité de la dernière idée car de petites éoliennes sur les voitures en freineraient la course, poussant le conducteur à appuyer sur l'accélérateur pour compenser ; mais ceci est un détail qui n'enlève rien à la force des autres arguments.)
Je recherche toujours les moyens de fidéliser, à moindre coût pour moi, un salarié qui entretiendrait les abords de notre manoir favori.

Ceci m'amène à m'intéresser plus particulièrement à la permaculture, telle qu'elle s'expérimente au Bec Hellouin.

Je me rendrai donc lundi prochain à l'invitation d'Hugues de BONARDI, revu le week-end dernier, afin de tâcher d'en apprendre un peu plus sur ce sujet qui m'intrigue:

Jacqueline X.
rédigé le Vendredi 29 Avril 2016
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Bonsoir,

Les cuisines du château de Chambord ont été reconstituées. Correspondant à leur apparence du XVIIIe siècle, elles accueillent le public dès aujourd’hui.

Peut-être quelques idées à prendre pour votre future cuisine.

Je suis tout à fait d'accord pour le sort à réserver aux éoliennes ; pour les voitures il me semble que le système hybride n'est pas mal, le seul reproche c'est le coût de ces véhicules.

Bon week-end !

Admirez le talent de ces maîtres charpentiers japonais qui bâtissent des édifices en bois sans utiliser de clous !

Encore aujourd’hui, des charpentiers japonais perpétuent un art ancestral en construisant des bâtiments en bois sans utiliser le moindre clou. Grâce à leur précision sans égale, ils assemblent les poutres et les planches à la perfection, bâtissant des maisons tout aussi durables que les autres. DGS vous fait découvrir ces artisans au talent époustouflant.

Les artisans respectueux des traditions montrés ici font partie du groupe Kobayashi Kenkou. Ils sont passés maîtres dans l’art de sculpter et d’imbriquer à la perfection des différents morceaux de bois qui composent le bâtiment à construire. Il existe plusieurs familles de charpentiers au Japon, possédant chacune leurs propres techniques.

N.D.L.R. : Oui, tout-à-fait époustouflant !

Nous vous rappelons les horaires d'ouverture du château d'Ancy-le-Franc 10h30-12h30, 14h-18h. Tous les jours, sauf les lundis non-fériés. Bien ouvert également les 1er et 8 mai, jeudi de l'Ascension et lundi de Pentecôte.
Vous y découvrirez les trésors de la Renaissance, la grande collection de peintures murales des XIVe et XIIe siècles, une architecture exceptionnelle, le résultat des nombreux travaux de restauration, son grand parc, les expositions d'art en cours .... N'hésitez pas à nous contacter pour les réservations de groupes !

N.D.L.R. : Je n'oublie pas la question que m'avait posée Nicolas BERBINEAU il y a quelques semaines, sur l'aménagement de la cour de la Chaslerie. Mais je n'ai toujours pas remis la main sur les plans de Marc LECHIEN.
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Jonathan LEVERNIEUX est venu ce matin récupérer la dameuse qu'il nous avait prêtée.

J'en ai profité pour l'interroger sur sa vie dans l'entreprise BODIN. Il en est très content. Il m'a appris que Cédrick COOS et les principaux animateurs de cette entreprise l'avaient achetée à ses anciens propriétaires. Je les en félicite.

Je recommande très vivement l'entreprise BODIN pour tous travaux de maçonnerie délicats ou soignés. Ils avaient réussi des choses remarquables dans le logis de notre manoir favori et je compte bien faire de nouveau appel à eux quand on y verra plus clair dans les aspects administraaaâââtifs de la restauration de l'intérieur de ce bâtiment.

Parade costume of Christian II, Elector of Saxony (1583-1611)

The construction and embroidery probably Saxon, Dresden, the fabric possibly Italian, beginning of the 17th century, between 1601 and 1609

Rüstkammer, Staatliche Kunstsammlungen, Dresden, i.7

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
Le Publicateur Libre
rédigé le Dimanche 8 Mai 2016
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Lotissements : pourquoi les parcelles communales du Domfrontais ont du mal à trouver des acquéreurs ?

Dans notre édition du 7 mai 2015, nous avions publié une carte des parcelles communales à vendre dans le Domfrontais. Un an après, qu'en est-il ? Ont-elles trouvé des acquéreurs ?

Les communes du Domfrontais disposent de parcelles pour la construction mais les acquéreurs se font attendre.

Sept communes du Domfrontais sur neuf ont construit des lotissements pour maintenir leur attractivité. En mai 2015, elles disposaient de 40 parcelles à vendre, de 350 à 1 000 m2, avec des prix oscillant de 6 à 25 €/m2. Un an après, ce nombre n’a pas beaucoup varié.

Si la ville phare du territoire, Domfront a réussi à en vendre une de 615 m2 dans le lotissement du Général Rémond sur les 5 dont elle disposait, les autres sont toujours en quête de nouveaux acquéreurs. La faute à qui ? à quoi ? Chantal Heuzé, maire déléguée de Rouellé, commune de 200 habitants, située à 7 km du siège de la ville nouvelle, Domfront-en-Poiraie, pointe du doigt la conjoncture économique qui n’incite pas les gens à s’installer dans les petites communes où il n’y a pas de travail et où il est nécessaire d’avoir deux voitures. Les gens préfèrent se rapprocher des villes

Quelles solutions ?

Selon elle, l’une des solutions pour rendre plus attractifs les lotissements serait de baisser le prix des parcelles à vendre. « Dans les années 90, le prix du mètre carré dans le lotissement du Champ Pellerin était normal. Puis, il a été baissé ce qui a permis de vendre toutes les parcelles. Nous avons aussi sept logements sociaux qui vont être tous loués par des jeunes couples et des retraités. La commune a misé sur ces logements dans l’espoir que ces personnes construisent ensuite dans les lotissements, ce qui s’est passé pour certains ». L’élue affirme également que si les cœurs de bourgs étaient mieux revalorisés « les petites communes deviendraient plus attractives aux yeux de ceux qui ont des projets de construction ».
« Il faut avoir confiance pour se projeter dans l’avenir »

Comme Rouellé, la commune de Lonlay-l’Abbaye a du mal à vendre ses 10 parcelles de 600 à 835 m2. Le maire, Christian Derouet évoque l’insécurité de l’emploi.

Les jeunes couples aimeraient construire mais ils ne savent pas où ils vont. Il faut avoir confiance pour se projeter dans l’avenir. Les lotissements répondent à une partie des jeunes couples ou des retraités qui veulent se rapprocher du bourg. L’autre partie veut s’installer en campagne

Pour répondre à cette diversité des demandes et satisfaire la majorité, le maire de Lonlay-l’Abbaye s’est assuré de pouvoir proposer des parcelles constructibles à côté du bourg. Il se lance aussi dans un projet ambitieux, celui de transformer le POS (Plan d’occupation des sols) en PLU (Plan local d’urbanisme). « Je vais visiter tous les lieudits de la commune afin de recenser les anciens bâtiments agricoles de caractères pouvant être valorisés et transformés en maison d’habitation. Le but est de lutter contre la désertification des campagnes, en respectant les normes pour ne pas nuire au développement agricole ».

En l’absence d’études sérieuses sur l’habitat dans notre secteur, Gwenaëlle Nedellec, directrice et juriste de l’ADIL (Agence départementale sur le logement) de l’Orne, se borne à des hypothèses sur ce manque d’intérêt pour les lotissements, en évoquant une baisse activité économique en milieu rural, la concurrence éventuelle avec les biens anciens et une offre de parcelles surabondante qui n’est peut-être pas en phase avec la demande.

Sometimes even a cursory examination of an object can tell us a great deal. For example, with this parcel-gilt silver Steeple Cup and Cover we know that it was made in London by 'CB' from its makers' marks, and it has even been dated 1613/14. The cup also bears the crest of the Old Serjeants Inn, Chancery Lane, suggesting a connection there.

Steeple cups took their names from their covers, which were designed in a similar form to church steeples. This style was introduced in the last years of Elizabeth I's reign and, while they were extremely popular in England, they were not made on the Continent, making this an exclusively English decorative art form.

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
9 mai 1630 : mort de l’homme de guerre et poète Théodore Agrippa d’Aubigné

(D’après « Biographie universelle, ancienne et moderne » (tome 3), paru en 1811)

Théodore Agrippa d’Aubigné est né à Saint-Maury, près de Pons, en Saintonge, le 8 février 1552, d’une famille très ancienne. Sa mère mourut en le mettant au jour et il nous apprend lui-même que c’est la raison qui le fit nommer Agrippa : Quasi ægre partus.

Son père lui donna des maîtres fort habiles et ne négligea rien pour son éducation. Le jeune d’Aubigné répondit si bien à leurs soins qu’à l’âge de six ans, il lisait déjà le latin, le grec et l’hébreu, et qu’à sept ans et demi, il traduisit en français le Criton de Platon, sur la promesse de son père de faire imprimer cet ouvrage et d’y joindre son portrait.

Il n’avait que huit ans et demi, lorsque, passant à Amboise avec son père, celui-ci ayant reconnu sur un échafaud les restes de ses malheureux compagnons — conjuration d’Amboise en mars 1560, qui désigne une tentative d’enlèvement manquée organisée par des protestants pour s’emparer de la personne du roi François II en vue de le soustraire de la tutelle des Guise, événement annonçant les guerres de religion —, dit à son fils : « Mon enfant, il ne faut point épargner ta tête après la mienne pour venger ces chefs pleins d’honneur ; si tu t’y épargnes, tu auras ma malédiction. »

Théodore Agrippa d’Aubigné

Ce peu de mots, et la manière dont ils furent prononcés, firent une grande impression sur d’Aubigné, naturellement plein de courage, et, dès lors, il attendit avec impatience le moment de se signaler. A 11 ans, il se trouva au siège d’Orléans — qui eut lieu en février 1563 et constitue un des épisodes de la première guerre de religion — où il se fit remarquer par un sang-froid peu commun dans les enfants de cet âge.

Ayant perdu son père, dont les affaires étaient fort dérangées, on lui conseilla de renoncer à sa succession et on l’envoya à Genève où il étudia quelque temps sous le célèbre théologien protestant Théodore de Bèze (1519-1605) qui le prit en affection ; mais dégoûté des études, il s’enfuit secrètement à Lyon ; et à quelque temps de là, s’enrôla dans les troupes qui, sous le commandement du prince de Condé, désolaient, par zèle de religion, les provinces méridionales de France.

Il s’acquit quelque réputation dans cette guerre, et, peu de temps après (août 1573), il entra au service du roi de Navarre — qui deviendra le roi de France Henri IV en 1589. D’Aubigné se fit remarquer à la cour par la vivacité de son esprit et par son adresse à tous les exercices du corps. Il se fit aimer du roi de Navarre et sut en même temps se concilier les bonnes grâces des Guise et des autres grands seigneurs qui le recherchaient à cause de sa gaieté et de sa facilité à inventer de nouveaux divertissements. Ce fut à cette époque qu’il composa une tragédie de Circé. La reine-mère n’en voulut pas permettre la représentation à raison de la dépense qu’elle devait occasionner ; mais cette pièce fut jouée dans la suite pendant les fêtes qui curent lieu à l’occasion du mariage du duc de Joyeuse (octobre 1581).

Il s’était établi entre d’Aubigné et le jeune roi de Navarre — né en décembre 1553, le futur Henri IV était plus jeune d’une année que Théodore — une amitié qui ne se démentit jamais par la suite. Dans les guerres que Henri IV fut obligé d’entreprendre pour reconquérir son royaume, d’Aubigné lui rendit les plus grands services, bravant tous les dangers, cherchant les postes les plus périlleux et exposant sa vie pour sauver celle de son maître. Il ne lui fut pas moins utile par son talent pour les négociations.

Cependant, ce prince ne récompensa pas d’Aubigné comme il le méritait. Celui-ci, qui croyait avoir conservé le droit de dire la vérité au roi, se plaignit hautement de son ingratitude ; Henri entendit ses plaintes et ne fit rien pour sa fortune. Sa franchise trop rude, la vanité qu’il tirait de ses services et son refus d’aider le roi dans ses amours déplurent à ce prince ; d’Aubigné le sentit et se retira de la cour ; il y revint quelque temps après mais il ne tarda pas à être exilé une seconde fois, sur la demande de la reine-mère, à qui d’Aubigné n’épargnait pas les épigrammes.

Lassé des intrigues de la cour, et peut-être aussi déterminé par le mauvais état de ses affaires, il se retira dans son gouvernement de Maillezais ; mais, tant que vécut Henri IV, il se montra, dans toutes les occasions, sujet fidèle et zélé ; aussi, chaque fois qu’il se présenta devant ce prince, il en fut toujours bien accueilli, quoiqu’on n’épargnât aucune manœuvre pour le perdre dans son esprit.

Lors même qu’on croyait Henri IV le plus irrité contre d’Aubigné, les ministres ayant pensé qu’il convenait de choisir un lieu plus sûr que Chinon pour y tenir en prison le cardinal de Bourbon, reconnu roi de France par la ligue, Henri IV décida qu’on le transférerait à Maillezais, sous la garde de d’Aubigné ; et, sur ce que Philippe Duplessis-Mornay (1549-1623), théologien protestant et ami lui aussi de Henri IV, alléguait contre cet avis les sujets de plainte qu’avait ce nouveau gardien, le roi répliqua « que la parole qu’on tirerait de lui était un remède suffisant à l’encontre. »

Après la mort de son maître — Henri IV fut assassiné en 1610 —, d’Aubigné passa plusieurs années dans la retraite la plus entière ; il employa ses loisirs à composer l’histoire de son temps, ouvrage écrit avec beaucoup de franchise et de hardiesse. Les deux premiers volumes furent imprimés avec privilège ; mais le troisième n’ayant pas été approuvé, à raison des choses trop libres qu’il contenait, d’Aubigné ne laissa pas de le faire imprimer. Celte hardiesse lui réussit mal ; car aussitôt que ce volume parut, il fut condamné à être brûlé avec les deux premiers, par arrêt du parlement de Paris en date du 4 janvier 1620.

D’Aubigné, pour éviter les persécutions dont il était menacé, se réfugia à Genève. Son éloignement et la privation de ses biens n’avaient point encore apaisé ses ennemis ; ils le poursuivirent sous prétexte qu’au mépris des lois, il avait employé, à la réparation des bastions de la ville de Genève, les matériaux d’une église ruinée dès 1572 et obtinrent un arrêt qui le condamnait à avoir la tête tranchée. C’était le quatrième arrêt de mort rendu contre lui, pour de semblables crimes, « lesquels, dit-il, m’ont fait honneur et plaisir. »

Dans ce même temps, on parlait de lui faire épouser — sa première épouse était morte en 1596 —, à Genève, une veuve de l’ancienne maison des Burlamacchi, aimée et considérée pour sa vertu, son illustre extraction et ses biens qui étaient considérables. D’Aubigné, pour l’éprouver, lui annonça, le premier, l’arrêt rendu contre lui ; mais cette nouvelle ne changea rien à la résolution de cette femme courageuse et leur mariage se conclut en 1623. Il mourut à Genève, le 9 mai 1630, âgé de près de quatre-vingts ans, et fut enterré dans le cloître de l’église Saint-Pierre.

Rapportons un trait fort connu de d’Aubigné, par la raison qu’il a été défiguré par ceux qui l’ont cité. Une nuit qu'il était couché dans la garde-robe de son maître, avec le sieur de la Force, il lui dit, à plusieurs reprises : « Notre maître est un ladre vert, et le plus ingrat mortel qu’il y ait sur la face de la terre. » La Force, qui sommeillait, lui demanda ce qu’il disait ; le roi, qui avait entendu d’Aubigné, répéta le propos, de quoi d’Aubigné resta un peu confus ; mais son maître ne lui en fit pas pour cela plus mauvais visage le lendemain ; aussi ne lui en donna-t-il pas un quart d’écu davantage. Voilà le trait tel que d’Aubigné le rapporte lui-même. Il avoue qu’il fut confus en entendant le roi, et on conviendra qu’il avait lieu de l’être ; mais il ne dit pas qu’il répondit : « Sire, dormez ; nous en avons bien d’autres à dire. » Ce mot eût été le comble de l’audace.

D’Aubigné avait épousé , en premières noces, le 6 juin 1585, Suzanne de Lusignan de Lezay et eut plusieurs enfants de ce mariage, entre autres Constant, père de Françoise d’Aubigné, la célèbre marquise dame de Maintenon, qui fonda la Maison royale de Saint-Louis, école destinée aux jeunes filles de la noblesse pauvre.

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie. Et beau modèle de précocité intellectuelle pour une petite normalienne...
sain-et-naturel.com
rédigé le Mercredi 11 Mai 2016
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Voici un village africain où chaque maison est une œuvre d’Art :

Dans le sud du Burkina Faso, un pays enclavé d’Afrique de l’ouest, près de la frontière avec le Ghana se trouve un petit village circulaire d’environ 1,2 hectares, appelé Tiébélé. Ce sont les maisons du peuple Kassena, un des plus anciens groupes ethniques qui se sont installés sur le territoire du Burkina Faso au 15ème siècle. Tiébélé est connu pour son incroyable architecture traditionnelle Gourounsi et pour les murs de ses maisons richement décorés.

Le Burkina Faso est un pays pauvre même selon les normes de l’Afrique de l’Ouest, et il peut-être l’un des pays le plus pauvre du monde. Mais il est culturellement riche, et les murs de ses bâtiments décorés constituent une partie importante de son héritage culturel dans cette région du pays. Les décorations sont un projet communautaire toujours réalisées par les femmes.

La photographe Rita Willaert y a réalisé un magnifique reportage photo où chaque maison est une œuvre d’Art.

N.D.L.R. : Ceci aussi, ça a une autre gueule que ces foutus clapiers !

Avec, en prime, de chouettes idées de cuisine pour Carole :

En tout cas, voici de quoi nous rassurer sur la nature humaine !

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Vendredi 13 Mai 2016
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Marie-Laurence MALLARD m'a fait découvrir hier quelques beautés du patrimoine de la Suisse Normande. Dans une chapelle à laquelle elle est très attachée et qu'elle m'a fait visiter, j'ai remarqué ce très beau confessionnal...

12 mai 2016.

12 mai 2016.

... et vivement recommandé que Sébastien LEBOISNE soit consulté pour sa restauration.

J'ai en effet reçu hier et réglé sa facture pour ce qu'il a réalisé dans le fournil de la ferme. Je suis très satisfait de son travail et ses prix me semblent tout à fait raisonnables.