Désultoirement vôtre !

Magnifica e rarissima chiave Veneziana del XVI secolo.
Autentica al 100%
Lunghezza 13 cm
Rosone bellissimo con cresta superiore.

Antico battente in ferro forgiato e scolpito. Autentico.
Nord Italia Epoca XVI secolo
Pubblicato nei libri del settore
Link shop :

Antico Battente in ferro forgiato italiano XVI secolo.
Dimensioni 18 cm x 19 cm circa

N.D.L.R. : Contemporains de la Chaslerie.
Saint-Bômer-les-Forges
Union cantonale FDSEA : se mobiliser pour exister

Les jeunes agriculteurs inquiets pour leur avenir.

Lundi 15 février, les jeunes agriculteurs de l'union cantonale FDSEA étaient réunis à Saint-Bômer-les-Forges, dans l'Orne.

Une vingtaine d’agriculteurs, éleveurs et producteurs ont assisté, lundi 15 février, à l’assemblée générale de l’union cantonale de la FDSEA que préside Dominique Roussel. Cette rencontre a été l’occasion d’échanger sur les problèmes actuels liés aux difficultés que rencontrent les agriculteurs ornais.

Après avoir présenté une rétrospective des activités et des nombreuses actions menées par les responsables de la fédération de l’Orne en 2015, Anne-Marie Denis, présidente de la FDSEA de l’Orne, a exposé les mesures et les actions à mettre en place auprès des acteurs économiques, notamment auprès des grandes et moyennes surfaces (GMS) et de la grande distribution.

Profitant de la présence de Catherine Meunier, conseillère régionale et départementale, Benjamin Malval et Vincent Mourgues, représentant le Crédit agricole de Domfront, un producteur laitier s’inquiète de la stagnation des prix du lait et de la concurrence déloyale des producteurs étrangers.

Anne-Marie Denis s’insurge : Sur certains produits laitiers, faute d’étiquetage, nous ne connaissons ni leur origine ni leur provenance. Le consommateur ne s’y retrouve plus. Nous allons nous mobiliser pour exiger qu’un étiquetage indiquant l’origine des produits devienne obligatoire.

Les producteurs disent mourir à petit feu en appliquant les règles de Bruxelles. Pour eux, l’ouverture des frontières sans harmonisation des législations sociales et fiscales accélère le processus d’une concurrence libre et faussée. Comme l’affirme Eric Conan « l’objectif premier n’est plus de bien nourrir les consommateurs, mais d’enrichir les lobbies de l’agroalimentaire et de la grande distribution qui vendent partout, mais achètent où ils veulent ».

N.D.L.R. : La 3ème génération de la famille LEMOINE, fermiers de la Chaslerie, en force sur cette photo (Valentin GALLOT, 2ème à gauche, et son frère aîné Jérémie, à droite) !

#MetKids Fun Fact: These gloves, or gauntlets, are mismatched! The left one actually comes from another, very similar suit of armor made only a couple of decades later. Everything else was part of the original armor, which is over four hundred years old. http://met.org/1SEXpJ4

Made under the direction of Jacob Halder (British, 1558–1608) | Armor Garniture of George Clifford (1558–1605), Third Earl of Cumberland | 1586

N.D.L.R. : Contemporain de la Chaslerie.
J'ai dû rappeler ce matin à mes stagiaires les principes de base de la taille des arbres afin d'éviter les chicots : comment orienter l'instrument par rapport à la branche et dans quel sens le tourner pour ne pas être gêné par ses vis et boulons.

23 février 2016.

Ce n'était jamais que la 3ème fois en 3 sessions.

23 février 2016.

Bonjour,

Comme suite à notre entretien téléphonique, je vous remercie d’avoir accepté d’accueillir Bertrand Pivert notre jeune charpentier lorsqu’il le pourra.

Je lui envoie dès aujourd’hui les coordonnées de votre site avec les indications du DOE et de l'onglet "charpente-couverture".

Vous m'avez interrogé sur les enduits chaux-chanvre. Sur le site de MPF national, vous trouverez le dossier ATHEBA qui vous intéressera je l’espère.

Vous trouverez aussi en pièces jointes quelques éléments concernant l’église de Méguillaume, à la restauration de laquelle travaille Bertrand Pivert :

Je vous rappelle ultérieurement pour vous dire à quel moment on pourrait se voir et faire un petit tour « vieilles pierres » dans notre secteur !

Bien à vous,

Marie-Laurence

N.D.L.R. : Merci pour ce très intéressant message. N'hésitez pas à nous tenir informés de votre chantier favori, en nous expliquant ses étapes, ses difficultés et ses joies.

Merci pour l'info sur l'enduit chaux-chanvre. On va étudier la question, bien qu'il soit sans doute un peu tard pour la cave.

Je viendrai avec plaisir visiter votre secteur sous votre houlette.

Quant à M. Pivert, il est le bienvenu quand il veut. Il suffit qu'il me prévienne tout simplement.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Jeudi 25 Février 2016
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Je suis abonné, via Facebook, à un certain nombre de pages où sont montrées de belles images.

Voici par exemple ce que diffuse ce soir la page "My Loire Valley". Il s'agit du château de Coudray-Montpensier, à Seuilly. Je le trouve magnifique.

Quel régal pour les yeux ! Que cette pierre est belle et gratifiante !

Depuis l'époque où, en culottes courtes, du côté de Chinon, je balancais des pétards allumés entre les pattes des chiens ou dans les cheminées des maisons troglodytes, j'ai toujours eu un faible pour le doux calcaire des terroirs qui ont vu naître Ronsard, du Bellay ou Rabelais.

Ici, la terre et le grès sont beaucoup plus âpres, beaucoup plus durs à travailler, c'est une tout autre histoire.

Jean-Pierre ARBON m'a demandé hier quand il pourrait se produire à la Chaslerie. J'avais rêvé de lui, initialement, pour une prochaine "Sainte-Anne à la Chaslerie" (qui aurait ainsi été un peu décalée cette fois-ci, ce qui ne serait pas pour me déplaire...), mais Jean-Pierre m'a rappelé que tous les fins juillet - débuts août, il est bloqué par son festival d'Amou.

Ce n'est pas grave, on trouvera une autre date. Puisque nous disposerons bientôt d'une chambre d'amis chauffée avec le fournil de la ferme, on pourrait presque prévoir n'importe quel moment dans l'année. Pourquoi ne pas penser à une prochaine "Journée du Patrimoine" ? Je vais soumettre l'idée à Jean-Pierre.
François LEVALET
rédigé le Lundi 29 Février 2016
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Le donjon de Vire :

A la mort de Guillaume le Conquérant, ses fils se disputent son héritage jusqu'à ce que Henri I Beauclerc obtienne une victoire significative en 1106 à Tinchebray sur son frère ainé, Robert Courteheuse. Il réunit alors le Duché de Normandie au royaume d'Angleterre et entreprend la construction de forteresses le long des frontières du duché : Avranches, Mortain, Domfront ou Vire en 1123.

N.D.L.R. : Les lieux de ces places-fortes avaient été très bien choisis. Autant de villes bombardées lors des combats de la Libération. La Normandie a alors payé un très lourd tribut.

Importante conversation téléphonique hier soir avec mon interlocutrice normale à la D.R.A.C. de Caen. Importante, moins par le contenu que par la tonalité. J'ai en effet été très sensible à l'empathie témoignée pour l'effort de 25 ans de travaux sur un manoir parmi beaucoup d'autres, dans un monde où l'on voit, notamment par ici, une forte proportion de belles demeures partir à la dérive. Mes contraintes sont connues, pas seulement la financière, et connu également mon souci de passer, dans de bonnes conditions, le relais à la nouvelle génération.

Sur le fond, le dossier sur lequel nous attendons la réponse est sur le bureau du conservateur régional des monuments historiques, avec un long compte rendu des services qui sont entrés finement dans le détail de la question. Pour la suite, j'ai rappelé mes souhaits d'engager dès que possible la restauration des menuiseries extérieures ainsi que de fournir à mes successeurs un cadre réfléchi pour les restaurations intérieures du logis à venir ; en l'état des finances publiques, ces choses sont compliquées à organiser mais, espérons-le, pas impossibles. Enfin, j'ai fait part de mon intention d'expérimenter l'isolation thermique à l'occasion de la poursuite de la restauration de la cave et mon interlocutrice a proposé de me fournir des adresses utiles à l'échelon régional.

P.S. du 11 mars 2016 : Ma correspondante m'a adressé un courriel pour m'indiquer à qui m'adresser pour l'isolation thermique de la cave :
- rénovation thermique sur le patrimoine ancien (programmes co-développés avec le ministère de la culture) ;
- aides.

Elle me rappelle également que, la cave étant inscrite (arrêté de 1926), ces travaux devront faire l'objet d'une autorisation préalable des services des affaires culturelles.
Les hasards de la navigation sur la toile me font remettre la main sur une photothèque conservée en ligne (sur Flickr) et que j'avais complètement oubliée. J'en extrais les photos suivantes, présentées ici par ordre chronologique et qui montrent quelle tête nous avions il y a dix ans et en quoi consistait alors notre chantier favori :

Juillet 2006, avec Ayodele BALOGUN, Charlie WALKER et Scott SUNDERMAN, camarades de London Business School.

Je venais de virer un couvreur insuffisamment compétent et, sur le logis, il restait la poivrière Nord-Est et le versant Nord à restaurer. L'emplacement de la lucarne avait été réservé. le muret de terrasse et la mur de la chapelle au manoir n'avaient pas encore commencé à être restaurés. A la charretterie, le chantier était suspendu depuis la défaillance d'un maçon local.

3 août 2006.

3 août 2006.

Anniversaire de Thibaud.

10 septembre 2006.

Le rejointoiement de la tour Louis XIII était en cours.

16 septembre 2006.

16 septembre 2006.

14 novembre 2006, à Cancale.

14 novembre 2006, au 2ème étage du colombier.

Restauration de trous de boulin dans le colombier.

20 novembre 2006.

Claude MARTIN au travail sur la tour Louis XIII.

20 décembre 2006.

25 décembre 2006.

25 décembre 2006.

Dans une des chambrettes du bâtiment Nord (il y en avait trois à l'époque).
Tu sais ce qu'il te reste à faire...

N.D.L.R. : Cela plairait beaucoup à Carole. Mais en aurais-je les moyens ?

Je précise que Michel est un nouvel heureux propriétaire de ce matériel :

On attend que Chantal nous fasse goûter quelques bons petits plats à sa façon (pas trop petits mais aucun doute à ce sujet)...
Passages disparus
rédigé le Vendredi 11 Mars 2016
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Les portraits de Maerten Soolmans et de Oopjen Coppit, épouse de Maerten Soolmans, deux œuvres de Rembrandt sont exposées depuis le jeudi 10 mars au Musée du Louvre , salle 13 Salvator Rosa , à l'extrémité de la Grande Galerie. (la salle juste avant la peinture espagnole, pour la "première période d'exposition" durant trois mois , voir l'article du Journal Le Monde).
Le roi et la reine des Pays-Bas, en voyage officiel en France, et le président de la République, François Hollande, ont célébré, jeudi 10 mars au matin, l’union du Rijksmuseum d’Amsterdam et du Musée du Louvre, union grâce à laquelle Maerten Soolmans et son épouse, Oopjen Coppit, ne seront pas séparés. Leur double portrait en pied a été peint, en 1634, par Rembrandt, un an après leur mariage et alors qu’Oopjen était déjà enceinte. En présence de quelques ministres et de beaucoup de caméras, monarques et président ont donc joué les amateurs d’art, quelques brèves minutes : il fallait bien tant de hautes autorités pour fêter cette union, tant elle a été délicate à négocier.

Le musée du Louvre et le Rijksmuseum se sont partagés l'acquisition et exposeront tour à tour le couple (qui sera toujours présenté conjointement) . L’accord avait été conclu entre le premier ministre néerlandais Mark Rutte et le président français François Hollande lors d’une rencontre à New York. Propriété de la branche française de la famille Rothschild depuis plus d’un siècle, les deux tableaux du maître néerlandais, datent de 1634. Ils n’ont été montrés qu’une seule fois au public en cent cinquante ans, pendant une exposition organisée en commun en 1956 par le Rijksmuseum d’Amsterdam et le Museum Boijmans Van Beuningen de Rotterdam.

Pour ceux qui n'avaient pas suivi le film :
France et Pays-Bas ont acheté en commun les œuvres pour 160 millions d'euros . Suivant les commentaires , le montant est beaucoup trop élevé
Un prix considéré comme très au dessus du marché
La famille Rothschild, propriétaire des tableaux depuis plus d'un siècle, était entrée en contact au printemps 2013 avec le Louvre se disant prête à les céder pour environ 160 millions d'euros. Un prix considéré comme très au dessus du marché par plusieurs experts.
L'offre avait été jugée trop élevée par le musée qui avait fini par la décliner après un an de négociation. Les deux toiles avaient alors obtenu leur certificat d'exportation, autorisant leur sortie de France. Le président du Louvre Jean-Luc Martinez avait ensuite engagé des discussions avec son homologue du Rijksmuseum Wim Pijbes pour trouver une solution associant les deux pays.

La situation s'est cependant compliquée début septembre lorsque le gouvernement néerlandais a manifesté clairement sa volonté de voir les deux toiles rejoindre les Pays-Bas. Il s'est dit prêt à apporter 80 millions d'euros, tandis que le Rijksmuseum assurait vouloir réunir les 80 millions restants.

Budget "acquisitions" du Louvre de 8 millions par an

Un discours qui a poussé la France à se dire à son tour prête à acquérir pour 80 millions d'euros un des deux portraits pour le compte du musée du Louvre. "L'opération bénéficiera du mécénat exceptionnel de la Banque de France", indiquait le ministère de la Culture.

L'acquisition d'un des tableaux par le Rijksmuseum constitue le plus gros achat d'un musée néerlandais, selon les médias locaux. Trente-sept millions d'euros avaient été dépensés en 1997 par la Banque nationale néerlandaise, via une fondation, pour acquérir le "Victory Boogie Woogie" de Piet Mondriaan.

Le budget "acquisitions" du Louvre, premier musée du monde par sa fréquentation, est d'environ 8 millions d'euros, soit 20% du montant des billets vendus. L’œuvre la plus chère acquise à ce jour par le musée est un tableau d'Ingres, Le Portrait du Comte Molé, acheté en 2009 pour 19 millions d'euros...

N.D.L.R. : Conteporain de la tour Louis XIII.