Message #48424

Il est 3 heures du matin et, à mon habitude, je vérifie, dans la "tour de contrôle", quels sont les messages du site favori qui ont été "individualisés" hier par les visiteurs. Il y a 24 heures, lors de ma précédente insomnie, j'en avais fait de même. Et j'avais ainsi redécouvert un message où je me proposais d'installer la chaufferie centrale sous la charretterie. Une idée que j'avais ensuite oubliée, préférant, comme l'on sait et par crainte de la perte d'une trop grande quantité de calories dans les sols, privilégier une installation au rez-de-chaussée du colombier.

Hier après-midi, au réveil de ma sieste, l'idée s'est imposée à moi dans toute son évidence. En effet, en translatant la chaufferie sous la charretterie, on simplifierait drastiquement toute la problématique des jonctions entre les forages et la chaufferie.

J'ai donc essayé de joindre téléphoniquement l'architecte du patrimoine (avec qui j'avais pu discuter d'autres sujets le matin-même) puis M. VANNOBEL (de "Bee +") pour leur faire part de mes réflexions. Je suis ainsi d'avis qu'il faudrait que M. VANNOBEL prépare une version 4 de son étude de faisabilité calée sur ma nouvelle idée. Bien sûr il me faudra remettre la main au porte-monnaie. Mais j'estime que ce serait trop bête de perdre une occasion de bien faire :
- en ôtant de la matière aux débats à venir avec le service régional d'archéologie,
- en libérant l'espace du rez-de-chaussée du colombier pour le rendre disponible pour un rôle plus noble que l'abri d'une chaufferie ;
- en donnant un rôle approprié de local technique à la charretterie, d'autant que l'arrivée générale de l'électricité s'y trouve déjà.

Il faudra que je demande à M. VANNOBEL de comparer, en termes de déperdition de chaleur, les deux hypothèses d'implantation de la chaufferie. Et, tant qu'on y est, de me préciser les incertitudes sur ses évaluations de coûts (investissement et fonctionnement), ces derniers demeurant redoutables à mon échelle, même dans la version 3 de l'étude consécutive à la récente réunion sur place avec l'architecte du patrimoine.

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