Bâtiment Nord

Afin de l'aider à préparer son rapport sur mes travaux, l'architecte du patrimoine m'a demandé de rechercher des photos montrant que mes derniers terrassements dans la cour (ceux lors desquels j'ai découvert l'ancien pavement et en ai fait dégager une partie) n'ont pas porté atteinte à ce vestige. Plus précisément, elle m'a demandé des photos prouvant, selon mes dires, qu'il y avait des parterres de fleurs tout autour de la cour.

J'ai trouvé ce jeu de tirages-papier de photos que j'ai prises (si l'on en croit les dates indiquées) dans les années 1996 à 1998. Je les présente ici dans le sens trigonométrique :


Elles me semblent répondre de façon tout à fait claire à la question.

Certes, on pourrait m'objecter que ceci ne prouve pas que ces parterres n'ont pas été créés par mon épouse ou moi.

Je réplique en montrant une des rares photos antérieures à mon achat qui me soient parvenues. Voici l'état de la cour vers 1975 (le portail n'avait pas encore été restauré) :


Cette fois-ci, cette partie du débat me paraît close.
L'architecte du patrimoine m'a demandé de lui transmettre des photos montrant l'ancien carrelage du bâtiment Nord et du logis.

Voici à peu près tout ce qui reste en place de ces contributions des années 1950 ou 1970 ; cela se situe au sol du passage entre le logis et le bâtiment Nord ; les trois photos suivantes ont été prises ce soir :

9 mai 2020.

9 mai 2020.

Tant qu'on y est, voici aussi le dernier témoin de l'ancien enduit mural des mêmes années :

9 mai 2020.


Il est vrai que, il y a une douzaine d'années, dans le bâtiment Nord, ...

... et encore plus récemment, dans le logis, ...

... on a eu l'occasion de faire le ménage à ma façon.
L'après-midi passée à rechercher des autorisations administratives n'aura pas été vaine puisque je viens de retrouver un document qui pourrait être utile à l'avenir, notamment pour le bureau d'études chargé de calibrer des installations de fluides divers ou bien pour l'architecte du patrimoine en charge de la "mission n°2" que l'on sait. Il s'agit en effet de l'"Etude de filière d'assainissement autonome" de la Chaslerie (à l'exclusion de la ferme qui a été étudiée et traitée par ailleurs).

En clair, il s'agissait de mettre en place un dispositif de traitement d'eaux usées adapté à la vie d'une quarantaine de personnes en résidence permanente au manoir favori (ainsi que l'impose la réglementation ; sans commentaires) :



Je signale à toutes fins utiles que les originaux du rapport ci-dessus et du document suivant sont conservés dans le dossier relatif au permis de construire qui va faire l'objet du prochain message :

Je viens d'adresser à l'architecte du patrimoine des photos intéressantes pour son "étude n°2". Elles sont tirées du message 19548 :
- 2ème et 3ème photos de ce message : enduits en ciment dans la salle-à-manger du logis, tels que je les ai fait sauter (les photos sont d'août 2006),
- 4ème photo : rejointoiement extérieur (la photo date de septembre 2006),
- 5ème photo : la "dent creuse" du mur Sud venait juste d'être remontée (septembre 2006),
- 8ème photo : trous de colombes massacrés dans les années 1950 et en début de restauration ; noter aussi le ciment (novembre 2006),
- 9ème photo : rejointoiement extérieur (novembre 2006) ; à eux seuls, les rejointoiements extérieurs ont occupé à temps plein mon premier homme toutes mains pendant dix-huit mois d'affilée (de mémoire) ;
- 11ème photo : enduits au ciment dans la cuisine ; notez les surépaisseurs : c'était la même chose dans la salle-à-manger (décembre 2006),
- 12ème photo : le décor, très moche à mes yeux, de l'étage du bâtiment Nord (décembre 2006), datant de la campagne de travaux des années 1970 ; l'isolation du plafond datait de la restauration de la couverture sous la maîtrise d’œuvre de Nicolas GAUTIER ; et encore est-ce moi qui avais dû insister pour qu'il y en ait une.
Les carrelages omniprésents dans le bâtiment Nord (tout comme les enduits en ciment qui, eux avaient tout colonisé partout) avant que je fasse disparaître ces horreurs :


(Le garçonnet de gauche est mon cadet.)
A quoi tient parfois la restauration d'un monument historique ?

A l'été 1997, je m'étais rapproché de François POUGHEOL, architecte du patrimoine dont j'admirais la qualité des travaux au manoir de la Grande Pierre à Céaucé, pour lui demander de réfléchir à ce que pourrait être la restauration du bâtiment Nord de notre manoir favori, bâtiment dont j'estimais qu'il avait été massacré par les horribles et stupides percements et autres travaux au ciment et aux céramiques très moches dus à mes prédécesseurs.

Hélas pour moi, je commençais à traverser alors une zone de grandes turbulences dans ma vie professionnelle, zone dont je sortis plusieurs années plus tard et non sans mal, ainsi que raconté par ailleurs. Donc je ne donnai pas suite à ce projet dont je ne voyais d'ailleurs pas comment il pourrait être mis en œuvre sans que les cicatrices ne se vissent. Sur ce dernier point, la suite me rassura car l'on sait que je menai seul d'importants travaux modificatifs du bâtiment Nord au début des années 2010, de mémoire, c'est-à-dire une fois que j'eusse recruté Claude MARTIN.

Dans le cadre de mes classements en cours pour le pensum que l'on sait, je redécouvre le dossier du projet de François POUGHEOL...

... et, avec le recul que peuvent donner les 23 années qui viennent de s'écouler, plus l'expérience de mes propres réalisations, je dois reconnaître que je ne le trouve pas mauvais. Je dirais même qu'il me semble, à plusieurs titres, supérieur à ce que j'ai fait (je pense ici à l'accès à l'arrière-cour et au traitement ingénieux de l'électro-ménager bruyant ; moi, j'ai privilégié la commodité de mes vieux jours, avec ma "chambre mortuaire" de plain-pied, actuel "petit salon" pour reprendre la dénomination préférée par Carole). Tant pis, le coup est parti et ce ne sera pas moi qui remettrai l'ouvrage sur le métier, "such is life" !

Pour comprendre ce rendez-vous manqué, il faut sans doute prendre également en compte le fait que mon caractère et celui de cet architecte n'avaient pas suffisamment accroché : lui-même était sans doute peu enclin à consacrer beaucoup de temps à une clientèle de particuliers, comme la suite de sa carrière l'a montré. Bref, nous ne fîmes pas affaire et l'on pourrait le regretter, bien que ceci ne servirait à rien.

Il est toutefois intéressant de noter que la réflexion alors amorcée pour la cuisine du bâtiment Nord n'a toujours pas été close à ce jour puisque ma famille flotte encore un peu sur le parti à retenir.

A ce dernier sujet, l'architecte du patrimoine en charge de la "mission n°2" (c'est-à-dire l'architecte actuelle, celle qui m'a demandé de ne pas citer son nom sur le site) m'a indiqué qu'elle trouverait dommage de nous priver de la vue du cul du four, proéminence qu'elle considère comme très bien restaurée. Donc elle serait encline à recommander de faire tomber la cloison en parpaings (montée et peinte en bleu depuis les années 1970) pour dégager la vue sur cet organe rebondi.

Il y a quelques jours à peine, j'ai touché un mot à Carole de cette dernière idée et, à ma surprise, elle ne l'a pas rejetée. Donc la messe correspondante n'est pas encore dite, même si une réalisation rapide me semblerait fortement compliquée par le coût, insoutenable pour moi dans l'immédiat, de l'installation envisagée d'un chauffage central par aquathermie (une contrainte qu'avec la non-vente de "Pontorson" due à la pandémie, je ne vois hélas pas comment surmonter rapidement).
Voici un résumé des travaux sur le bâtiment Nord :

Quand j'ai acheté la Chaslerie, Nicolas GAUTIER, alors A.B.F. de l'Orne, m'a encouragé à réfléchir à la démolition du bâtiment Nord parce qu'il "empêche le nécessaire flanquement réciproque de meurtrières, dans la tour Nord-Est du logis et la tour Louis XIII". J'ai néanmoins décidé de garder ce bâtiment et de le restaurer car je voyais bien qu'il était à même de me fournir le plus facilement une "bulle d'habitabilité" restaurée à mon goût, pendant que j'entreprenais par ailleurs les travaux pharaoniques que l'on a vus.

En 1991, le bâtiment Nord était recouvert d'ardoises ; il y avait deux anciens vélux que je trouvais très moches ; le pignon Ouest était déglingué, une porte au milieu des colombages y donnant sur le vide :

La photo suivante, prise sous le même angle, montre l'état actuel du bâtiment ; la couverture du côté Nord est désormais en tuiles, les vélux ont été remplacés par des houteaux et j'en ai ajouté un troisième, plus grand ; le pignon Ouest a été recouvert de bardeaux de châtaigner ; au niveau du rez-de-chaussée, j'ai modifié les ouvertures et les ai dotées de grilles en tant que de besoin ; j'ai substitué un rouge sang de bœuf aux peintures blanches précédentes :

Côté cour, la transformation a également été importante afin de pouvoir oublier ces horribles ouvertures carrées (sans doute des années 1970) :

Par rapport à cette dernière photo, j'ai encore ajouté un fenestrou à l'étage :

16 mai 2020.


A l'intérieur du bâtiment, outre l'élimination de toutes les horreurs des années 1950 et 1970, j'ai veillé à améliorer l'habitabilité. D'abord en modifiant des pièces de charpente...

... et en "désépaississant" le mur Sud :


Au rez-de-chaussée, il n'y avait point non plus de salut possible sans un grand nettoyage par le vide, du sol au plafond en passant par les murs dont l'horrible enduit au ciment favorisait la dégradation sous l'effet de l'humidité du terrain :


Voici quelques photos de l'état intérieur actuel du bâtiment :

16 mai 2020.

16 mai 2020.


La cuisine est en attente d'idées lumineuses pour terminer son aménagement (le béton au plafond de sa première travée est de moi ; le béton du plafond des deux travées suivantes - celle qu'on voit sur la photo et celle de l'arrière-cuisine qui est derrière le mur du fond - date de mes prédécesseurs des années 1950 et 1970) :

16 mai 2020.


Le cabinet de toilettes du rez-de-chaussée attend qu'un maître d’œuvre courageux veuille bien s'y coller :

16 mai 2020.


Depuis que j'y ai ajouté un piano (dont je ne fais rien à ce jour), le petit salon est un peu trop encombré de meubles :

16 mai 2020.

16 mai 2020.


Passons à l'étage :

16 mai 2020.

16 mai 2020.


La chambre de Carole :

16 mai 2020.

Au dessus du lit, l'alcôve et le dernier fenestrou que j'ai fait percer :

16 mai 2020.

Le houteau que j'ai ajouté est plus grand que les deux autres :

16 mai 2020.

Voici, à l'étage, la fenêtre qui a remplacé la porte ouvrant sur le vide :

16 mai 2020.


On reconnaît ma chambrette monacalo-monastique, toujours encombrée des dossiers sur lesquels je travaille :

16 mai 2020.

C'est spartiate mais ça me suffit :

16 mai 2020.

Le dressing...

16 mai 2020.

... le cabinet de toilettes (le fenestrou du fond est de ma création)...

16 mai 2020.

... et vous aurez tout vu, à part l'arrière-cuisine qui est dans un tel état de foutoir, avec la vieille chaudière au fuel, qu'elle n'est pas montrable.
Le "projet 2014" rassemblait diverses petites interventions touchant à la fois à des parties classées et à des parties inscrites. Un intéressant et volumineux rapport fournissait de bons plans du bâtiment Nord ainsi que des photos commentées rappelant où nous en étions alors rendus du chantier :


J'espère que je n'oublie rien d'important (ou, du moins, de supposé tel).
Voici l'excellent projet, préparé par un très bon artisan, en vue d'aménager le futur "bureau-bibliothèque-de-mes-rêves", déjà en style Louis XVI, au rez-de-chaussée du bâtiment Nord (dans l'espace dévolu actuellement à la future cuisine).
(Et désolé pour mon insuffisante maîtrise du scanner quand il s'agit de reproduire des documents de grand format) :







J'avais voulu intéresser à ce projet l'architecte du patrimoine en qui je plaçais alors tous mes espoirs :


Voici la réponse que je m'étais attirée :


Je mets ce message en ligne ici pour rendre hommage à Pascal BRESSON et pour inviter l'architecte du patrimoine en charge de la "mission n°2" à ne pas hésiter à s'inspirer des dessins de cet artisan pour l'exécution de ma commande ; donc, dès que nous aurons résolu la question préalable, en cours d'examen, du parti à retenir pour le plafond du 1er étage du colombier ; à ce dernier sujet, on sait que, là comme ailleurs, je ne saurais me satisfaire des horreurs des années 1950.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 19 Mai 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Plomberie-chauffage - Bâtiment Nord
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L'entreprise "ERMENEUX" est en train de remplir de fuel la cuve qui alimente la vieille chaudière de l'arrière-cuisine. Il y en aura pour 2 000 litres :

19 mai 2020.

2 000 litres, cela représente un peu moins de deux ans de chauffage de mes 65 m2 habitables actuels.

Deux ans, j'imagine que c'est le temps qu'il faudra pour "purger" mes dossiers de toutes les autorisations administratives que j'ai demandé à l'architecte du patrimoine en charge de la "mission n°2" de recueillir avant de relancer les travaux lourds.
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mardi 19 Mai 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Peinture - Bâtiment Nord
0
Les travaux de peinture se poursuivent :

19 mai 2020.

19 mai 2020.

Je n'ai pas réussi à faire admettre mon jaune MONET ; on m'a préconisé un tilleul adouci :

19 mai 2020.

Au vu de la première couche, il me semble que le résultat pourrait être fadasse :

19 mai 2020.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 20 Mai 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Peinture - Bâtiment Nord
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A la lumière du jour, j'ai du mal à me faire à cette couleur :

20 mai 2020.

J'aurais préféré quelque chose qui flashe mais Carole a choisi cette eau tiède et n'en démord pas :

20 mai 2020.

Emmanuel LESCUYER ponce la porte d'entrée du bâtiment Nord dont le bas présentait de nombreuses gerçures :

20 mai 2020.

20 mai 2020.

20 mai 2020.

Il fait subir le même sort à la porte provisoire entre la cuisine et la salle-à-manger qui n'avait jamais été aussi bien traitée :

20 mai 2020.

20 mai 2020.

Mais puisque c'est là du provisoire qui risque de devoir durer encore un moment...
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 20 Mai 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Peinture - Bâtiment Nord
0
Travail de l'après-midi :

20 mai 2020.

Et nous n'en sommes qu'à la première couche :

20 mai 2020.

20 mai 2020.

Ce "rouge Vauban" fabriqué par Emmanuel LESCUYER me plaît beaucoup pour le manoir favori :

20 mai 2020.

20 mai 2020.

20 mai 2020.

Je reprochais à la peinture précédente d'avoir fané trop vite et d'avoir de plus tourné au violet. Là, mes vieilles pierres vont prendre un coup de fouet bienvenu :

20 mai 2020.

20 mai 2020.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Dimanche 24 Mai 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Peinture - Bâtiment Nord - Fournil du manoir
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Emmanuel LESCUYER ("Mr SPOON" pour un des ses clients Anglais) aura passé la semaine à poncer des menuiseries et à y passer la première couche de peinture.

Il fabrique lui-même ses couleurs. Son travail est impeccable...

21 mai 2020.

... et je trouve son "rouge Vauban" du plus bel effet :

21 mai 2020.

21 mai 2020.

21 mai 2020.

21 mai 2020.

En ce qui concerne son "bleu charron" du fournil du manoir, il est prévu qu'il renforce l'outremer pour la seconde couche ; celle-ci l'occupera, là et ailleurs, la semaine prochaine :

22 mai 2020.

22 mai 2020.

22 mai 2020.

22 mai 2020.

22 mai 2020.

22 mai 2020.

Il remet également en beauté les volets intérieurs du fournil que j'avais choisi de laisser bruts :

22 mai 2020.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Lundi 25 Mai 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Peinture - Bâtiment Nord - Désultoirement vôtre ! - O'Gustin
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Mastic avant la seconde couche :

25 mai 2020.

25 mai 2020.

25 mai 2020.

25 mai 2020.


Voici la marque de peinture (norvégienne) qu'utilise Mr SPOON pour le rouge Vauban :

25 mai 2020.


Pour la peinture tilleul et pour le bleu charron, c'est lui qui fabrique ses mélanges.

Passage de la seconde couche :

25 mai 2020.


Et, bien sûr, Guguss a voulu participer au travail :

25 mai 2020.

Il a l'air malin, notre loïde !
Je préfère le bleu de la seconde couche, il est plus franc et fait moins layette :

27 mai 2020.


Bien sûr, Guguss n'a pu s'empêcher d'y frotter une oreille (il n'en loupe pas une, celui-là !) :

27 mai 2020.


J'ai appris ce matin que mon aîné et sa petite famille débarqueront demain ; du coup, Mr SPOON remet à juillet, sans doute, les travaux supplémentaires dont nous avons commencé à parler, relatifs aux deux fournils :

27 mai 2020.

Ce matin, il a fait connaissance avec Sébastien LEBOISNE, venu prendre les cotes des lucarnes de l'aile Ouest qu'il va mettre en fabrication.
0
Début de citation)

De : Pierre-Paul Fourcade
Envoyé : mercredi 27 mai 2020 15:58
À : (...)architecte@gmail.com
Cc : C.F. ; T.F.
Objet : Chaslerie - Rouge Vauban

Madame,

Comme convenu, je vous transmets des photos de la peinture rouge utilisée par Emmanuel LESCUYER :

27 mai 2020.

27 mai 2020.

27 mai 2020.


Elle me satisfait parfaitement, de même que l'ensemble de son travail, d'une grande qualité. Encore merci de m'avoir recommandé de faire appel à cet artisan.

Bien cordialement,

PPF

(Fin de citation)

Voici une autre photo où la couleur brillante est altérée par les reflets :

27 mai 2020.


Comme on le voit, des moucherons viennent se coller à la peinture fraîche. Il paraît qu'il suffit d'attendre qu'elle sèche pour les faire disparaître d'un coup de "Sopalin".
Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 27 Mai 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Peinture - Bâtiment Nord - Aile "de la belle-mère"
0
Couleurs de peinture à la lumière du soir :

On notera l'excellence du travail de Mr SPOON (en tous points digne du label "qualité FOURCADE") :

27 mai 2020.

27 mai 2020.


Une porte qui n'a pas été repeinte depuis une dizaine d'années (et qui a vocation à disparaître, tant elle est moche) :

27 mai 2020.


La fenêtre de droite n'a pas été repeinte, pas plus que les houteaux :

27 mai 2020.


Le nouveau bleu du fournil du manoir :

27 mai 2020.

Pierre-Paul FOURCADE
rédigé le Mercredi 27 Mai 2020
Journal du chantier - Architecture-M.O. - Administration - Peinture - Bâtiment Nord
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Après la première couche de peinture dans mon cabinet de toilettes :

27 mai 2020.

27 mai 2020.


Malheureusement, l'arrivée des petits-enfants annoncée pour demain soir fait fuir Mr SPOON qui lèvera alors le camp sans avoir pu terminer la rallonge de tâches que j'avais encore imaginée ce matin. Nouvel exemple de la difficulté pour moi de concilier ce chantier avec une vie de famille pourtant minimale (les deux sujets n'étant évidemment pas sans liens au demeurant).